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this is bullshit. ¤ wes

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Olivia était la seule et l'unique, ses parents n'avaient jamais eu d'autre enfant, une petite bombe énervée avait bien suffit à remplir leur vie. Ils avaient mit toute la pression du monde sur elle, pour la meilleure, toujours souriante, victorieuse en tout point. Si seulement elle avait pu écrire l'histoire en détrônant la chine et les États-Unis au olympique et tombée enceinte après son mariage, elle aurait été tout simplement parfaite. Mais elle n'avait jamais réussi à se relever après cette blessure au genoux. Ses parents avaient tout reposé sur elle, leur gloire était du à celle de leur fille, rare sont les gens de la monarchie que l'on remarque sous le deuxième nom en liste, mais elle, on l'a voyait partout, parce qu'elle était parfaite, mais après tout ça, on l'a voyait partout pour les mauvaises raisons, alors valait mieux la cacher. Et elle avait eu cette impression qu'à se moment la, personne, personne n'avait prit sa défense. Alors bien sur, elle lançait toute sa merde sur Wesley, il était le seul à revenir vers elle aujourd'hui, le seul sur qui elle pouvait tout balancer et ça lui faisait un bien fou. Tous les deux semblaient bien bouché sur leur point de vu de la chose, ils étaient deux bourge bien bornés qui plus est. « parce que j'avais pas la pression peut-être ?! Parce que je sais pas c'est quoi et que tu aurais pas pu m'en parler à la place de courir la queue entre les jambes ?! Je suis fille unique aussi si tu te rappelle pas et je suis bien la seule personne au monde qui ait mis mes parents sur la map, alors bien franchement ne me sert pas ça comme excuse! » C'était une piètre excuse aux yeux de la jeune femme, mais c'était, oui, une explication à la réaction de son ex-fiancé et c'était une explication qu'Olivia aurait utilisé par moment, pour certaine chose, mais là, elle avait été trahi selon elle et se n'était plus une bonne explication. Puis fallait qu'il dise qu'il avait essayer de l'aider ce qu'il fallait pas entendre. « m'aider ?! on aurait dû une punition pour toi et t'as pas essayer très longtemps, je sentais bien que je te dérangeais! » Oui, parce qu'elle avait aussi eu se sentiments, qu'elle ruinait la vie de la personne qu'elle aimait le plus au monde. Olivia n'avait pas choisit de se sentir aussi mal, elle n'avait pas choisit de ressentir ce qu'elle ressentait aussi fortement et durement. Elle ne voyait pas la fin du problème, elle ne le voyait toujours pas, mais au moins elle ne se tirait pas une balle dans le crane. Elle avait sentit qu'elle était de trop et si elle aait eu plus de force, elle aurait sûrement retenue Wesley quand il avait annulé les fiançailles, mais elle se sentait faible, elle était encore en rééducation et franchement, Olivia n'avait pas son estime personnelle dans le plafond à ce moment là, alors elle avait baisser les bras, tout simplement. Elle fit une légère grimace quand il lui dit qu'il avait été accepté, dans un autre monde, elle aurait sauté de joie, aujourd'hui, elle avait l'impression que son passé la hantait et elle n'appréciait pas. « Comment je pouvais compter le plus pour toi et ensuite tu me lâche comme ça alors que j'avais besoin de toi! Comment aujourd'hui va etre différent Wesley, la situation était beaucoup plus simple à Londres, crois moi! » Ça l'effrayait, il disait vouloir l'aider, etre présent maintenant, mais elle allait bien plus mal aujourd'hui que le jour précédent, il ne pouvait endurer de la voir comme elle était en angleterre et là il le pourrait, alors que c'était pire ? Il avait recu un coup sur le crane et venait enfin de comprendre ou quoi. Et puis, d'un coup, il semblait choqué de ce qu'il venait d'entendre, bah, elle l'avait prévenu après tout, tant pis pour lui, il avait qu'à dire qu'il voulait pas savoir hein. Il mit ses mains sur ses joues et elle ressentit toute sa chaleur, chaleur qu'elle n'avait pas ressentit depuis très longtemps. Elle s'en dégagea rapidement, de peur de... de elle ne savait pas vraiment, juste par frayeur, tout simplement. « Peut-être que tu voulais pas Wesley, que c'était pas ton intention, mais ça change quoi au fait hein ? T'es partit t'es partit, t'es pas partit à moitié! Tu l'a pas sentit partir Wesley, t'as rien ressentit, t'as juste vu, sur le coté et t'as rien fait, tu m'as regarder à tout ces moments là et t'as rien fait. » Elle avait tord, il n'avait pas rien fait, il c'était précipité auprès d'elle quand elle était tombé, il avait fait, ce qu'il avait pu à se moment là, mais Olivia ne pouvait pas le voir, parce qu'elle était celle qui souffrait le plus, du moins c'est ce dont elle avait l'impression. Elle n'avait aucune idée de comment Wesley allait l'aider, elle ne savait même pas si c'était possible, elle ne ressentait pas que se soit possible, pas le moins du monde. Elle ouvrit la bouche pour répondre à son offre d'aide et la referma, elle avait tassé ses mains, elle ne pouvait pas lui dire oui, comme elle ne pouvait pas lui dire non. Olivia se sentait complètement impuissante et bloquée.
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Depuis ma tendre enfance mon père voulait me marier à une femme riche, une femme venant elle aussi de la noblesse, mais pour moi ça a toujours été hors de question de me marier avec une femme que je n'aimais pas. Je ne l'avais jamais dit à mes parents de peur de les décevoir, mais un jour, j'ai fait la rencontre de la femme parfaite. Je venais tout juste de devenir coach adjoint d'une équipe de gymnastes, beaucoup d'entre elles étaient déjà des athlètes connues et reconnues dans le pays, mais la seule qui a su gagner mon attention dès les premières minutes, c'était elle. Cette magnifique blonde, l'une des meilleurs, que dis-je la meilleure de toute. Rapidement nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre, ce qui plaisait à nos parents respectifs. Je pensais qu'à partir de ce jour ma vie ne serait que plus belle et que rien ne pourrait la détruire, mais j'avais tort. La blessure d'Olivia quelques semaines après a tout changées et tout fait basculer. Si je pouvais changer une seule journée de ma vie, ce serait celle-ci. Peut-être que sans cette journée au jour d'aujourd'hui nous serions mariées avec un petit bébé dans les bras. J'aurai tellement aimé. Et tu voulais quoi Olivia ? Que je laisse tomber ma famille et mon héritage pour partir avec toi loin de Londres ? On aurait terminé comment ? Toi drogué et moi sans argent, je n'aurai jamais pu t'aider dans ce cas. Je ne voulais pas te perdre et je ne voulais pas non plus perdre mon héritage, car je voulais que cet héritage nous serves à nous et à la famille qu'on aurait pu construire ensemble. Et je lui disais la vérité, je voulais hériter de mon père et me marier avec elle, bâtir une famille parfaite loin de ses drogues. Mais à partir du moment où Olivia s'est mise à boire, tout cela n'était plus envisageable. J'ai dû faire un choix, je pensais qu'en m'éloignant d'elle ses addictions auraient disparues avec le temps et que nous aurions pu tout reprendre à partir de ce moment, mais j'avais eu tort et je n'ai rien pu faire face à la décision de ses parents de l'envoyer à Harvard. Lorsqu'elle m'avoua qu'elle avait ce sentiment envers moi, ça me fit mal. Jamais elle ne m'avait dérangé, jamais. Tu ne m'as jamais dérangé, au contraire tu es la seule à avoir réussi à me rendre heureux Oli, la seule! J'avais fait une erreur en annulant les fiançailles, j'aurais peut-être dû attendre encore un peu, faire un peu plus pour l'aider. Mais qu'est-ce que je pouvais bien faire d'autre ? Elle ne voulait rien entendre à cette époque et j'ai préféré annuler moi-même tout cela avant que mon père ne s'en charge à ma place.

Elle n'avait pas besoin de ça, pas besoin de se confronter à mon père, un homme puissant qui n'aurait jamais voulu me voir aux bras d'une alcoolique. Je pensais que mon arrivée à Harvard lui aurait fait un minimum plaisir, je savais qu'elle ne m'aurait pas sauté dans les bras, mais au moins un petit sourire dissimulé sur son visage d'ange m'aurait grandement fait plaisir. Lorsqu'elle m'a dit que je l'ai abandonné au pire moment de sa vie, je me sentais coupable. Mais lorsqu'elle m'a demandé ce que ça va changer maintenant, je la regardais dans les yeux, très sérieusement. Car ici, il n'y a que nous deux. Pas de famille nous mettant une pression de fou, juste toi et moi. Je peux t'aider sans que tu te préoccupes de l'avis de tes parents et des miens. Tu comprends ça ? Je sais que tu es capable de remonter la pente, tu es la personne la plus forte que je connaisse. Et j'espérais qu'elle s'en finisse par s'en rendre compte, qu'elle terminerait par comprendre qu'elle n'avait rien à faire avec une clope dans la bouche ou un verre de vodka dans les mains. Elle méritait tellement mieux que cet enfer. À Harvard je pourrais l'aider, j'en étais sûr. Je l'éloignerais de toutes ses mauvaises fréquentations, je l'aiderai à ne plus consommer de drogue. Mais lorsqu'elle retira mes mains de son visage j'ai compris qu'elle n'était pas encore prête à m'entendre, prête à me faire de nouveau confiance. Ses paroles faisaient mal, elle ne devait pas se rendre compte de l'impact que ça avait sur moi. Elle me reprochait de n'avoir rien fait, d'avoir regardé sans agir, pourtant au fond de moi je pensais avoir fait ce que je pouvais pour l'aider. Tu penses vraiment ce que tu dis ? Tu crois que j'ai pas souffert autant que toi de perdre notre enfant ? Tu crois que ça me faisait plaisir de te voir sombrer comme ça ? Tu crois que j'ai aimé te voir souffrir à cause de ta blessure ? Non. J'ai souffert autant que toi et tu sais pourquoi ? Parce que je t'aimais et ça n'a pas changé. Oui je l'aimais encore, car je n'aurais jamais fait tout ce trajet, m'inscrire à Harvard pour quelqu'un d'autre, mais ça elle ne s'en rendait pas compte. Je l'ai regardé dans les yeux, tristement et blessé de la voir comme ça. Dis-moi ce que tu veux que je fasse pour t'aider, dis-moi ce que tu attends de moi. Tu sais que je ne ferais jamais ça pour quelqu'un d'autre. Et je n'ai jamais été aussi sincère qu'à cet instant, mais est-ce qu'elle arriverait à s'en rendre compte ? J'en doutais fortement.

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C'Était tellement dur, Olivia avait fait sa famille, pas ses parents, la fortune et la gloire était arrivée quand elle avait émerger dans le monde du sport comme un des plus grands espoirs de l'Angleterre et elle était si parfaite, elle avait le feu dans les yeux, elle était souriante, polie, posée, adorable et plus que douée. Elle avait sa famille au complet sur ses épaules, qui la poussait parce qu'il voulait toujours plus. Olivia n'y voyait pas de problème vraiment au début, après tout, qu'est ce que ça pouvait faire, elle était douée et elle ne pouvait pas perdre du talent non ? L'arrivé de Wesley était un cadeau du ciel dans sa vie, il était tellement... parfait pour elle. Ses parents voudrait de lui et lui, il était adorable avec elle, à toujours la pousser plus loin, à être là pour elle, il la faisait sourire, rire, il était beau, charmant, il devait être son mari, le père de ses milliers d'enfants. Mais sa descente en enfer, personne n'aurait pu la prédire, ni vraiment la prévenir, on aurait peut-être pu l'arrêter et elle avait cette impression, que Wesley aurait pu arrêter tout ça et ce qui lui dit là mit en colère, au point où ses yeux se remplirent d'eau. « OUI! Oui Wesley! J'aurais voulu que tu envoie chier ton père et que prenne mon côté Wesley! L'argent, on en aurait pas eu besoin on se serait pas rendu là! Je voulais juste que tu penses à moi pour un moment et pas à ton p'tit cul! L'argent serait venu après. » Pour Olivia c'était simple, s'il l'avait aidé, ça n'aurait pas été si catastrophique, pas aussi long et au final leur famille aurait finie par leur redonner leur argent et Olivia avait le sien, qu'elle avait fait elle-même et ça aurait été largement suffisant. la famille serait venu plus tard et rendu là, Olivia aurait été plus que bien, mais Wesley, selon elle, avait tout fait de travers. Elle c'était sentie seule et meme si elle avait réussi à se lier à bien des gens ici, elle c'était quand même toujours sentie seule. Olivia avait prit de travers la décisions de son fiancé qui n'avait pas attendu pour la laisser, qui l'avait laisser à elle-même, elle n'avait pas décidé d'évaluer sa décision, elle l'avait prit personnel. « J'étai toute seule Wesley, toute seule dans l'avion, toute seule quand je suis arrivée ici. Alors si je suis la seule, honnêtement je te comprend pas, je comprend comme tu peux laisser la seule personne qui te rend heureux Wes! » Olivia détestait la situation, elle aurait aimé être heureuse de voir Wesley, elle aurait aimé lui sauter dans la bras, mais elle n'était pas dans cet état. Elle avait le feu au cul et ne se rendait pas compte du tout des bêtises qu'elle disait, ne se rendait pas compte qu'elle pouvait sincèrement blesser Wesley.

Olivia secouait frénétiquement la tête, il lui faudrait plus qu'une clope ce soir là. Son esprit sautait du coq à l'âne, elle en avait marre, ne savait pas quoi faire, au fond d'elle, elle ne voulait pas vraiment faire fuir Wesley, mais elle ne savait pas du tout si elle était heureuse ou non de le voir. Elle avait un problème, un grave problème et elle le savait quand même un peu, mais elle ne savait pas comment en sortir en fait. Elle ne se sentait pas forte comme l'anglais le prétendait, pas du tout, elle se sentait faible, fatiguée et tout simplement sans issue. « Y a déjà un moment que je me préoccupe pas d'eux si t'avais pas remarqué! Je suis pas forte Wesley. » Olivia n'était pas forte parce qu'elle en avait décidé. Elle ne s'était pas remis au sport, parce qu'elle avait beaucoup trop peur de ne plus en etre capable, elle buvait pour oublier la perte de tout, fumait pour calmer son anxiété, pour elle, tout avait une raison valable, malgré qu'elle eut un réel problème. Mais quel alcoolique se rendait vraiment compte de se problème en question. bien sur qu'elle lançait des foutaises sur son ex, il était là pour qu'elle puisse enfin hurler et dire des bêtises, elle n'allait certainement pas s'en priver. Elle avait cette impression qu'elle avait été la seule à souffrir parce qu'elle était la seule à le vivre comme elle le vivait, mais tout le monde avait sa façon à lui de traduire sa peine. Wesley avait la sienne et Olivia ne la voyait pas vraiment, alors elle avait assumer, que lui, il s'en foutait pas mal. « J'ai l'air de pas le penser ?! Je t'ai pas vu te morfondre, ni pleurer, ni quoique se soit Wesley! Y a personne qui y a rien dit ou fait pour me montrer qu'il avait un peu de peine aussi! » Elle ne releva pas le fait qu'il l'aimait encore, même si, ca lui avait fait un peu chaud au coeur, qu'à un autre moment, ça l'aurait même fait sourire, mais elle était trop frustrée présentement et surement que Wesley n'allait pas le voir non plus, que c'était pour ça qu'elle était si méchante avec lui. « Je sais pas Wesley ce que je veux que tu fasse, là présentement, tout ce que je sais, c'est qu'avant que je te croise aujourd'hui, j'allais pas si mal. » Oh la menteuse, bon, elle ne savait pas qu'elle mentait d'accord, ce qu'elle avait toujours voulu, c'est être la fille qu'on choisit, pour qui on se bat malgré toute les repousse qu'elle pouvait infliger, malgré la barrière, malgré les difficultés, elle voulait valoir la peine.
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Ce n'était pas facile pour moi non plus, j'étais perdu. Et si j'avais vraiment agi comme un enfoiré ? Ce n'était pas ce que je voulais faire, je voulais seulement rendre ma famille fière sans perdre Olivia, mais je n'ai pas réussi à l'aider comme j'aurai dû le faire, à vrai dire je ne savais pas quoi faire à cette époque. J'avais toujours mon père derrière moi, ce que je comprenais, il voulait que sa seule descendance prenne le relais dans la meilleure des conditions. Je me voyais déjà à sa place, parmi les plus grands politiciens, parmi les plus grands nobles, parmi l'élite avec ma femme à mes côtés, mon Olive, celle qui me permettait de garder les pieds sur terre. Elle a toujours été parfaite à mes yeux avant de tomber dans l'alcool et la drogue, elle était celle avec qui je pouvais me projeter dans l'avenir, mais je ne pouvais pas me permettre d'envoyer mon père se faire voir, c'était impossible. Alors lorsqu'elle m'avoua qu'elle aurait aimé que j'envoie chier mon père et que je prenne plus son côté et sa défense, j'étais perdu. Des larmes coulaient de ses yeux, je ne pouvais pas rester devant elle sans réagir, je passais doucement mes doigts sur son visage afin de retirer ses larmes qui gâchaient son magnifique visage. Olive .. Je ne cesse de penser à toi, tu comprends ça ? Tu crois que je m'en veux pas de t'avoir laissé sans en faire plus ? Je ne peux pas envoyer mon père se faire voir et tu le sais. Je me voyais avec toi dans l'avenir, avec notre enfant, notre vie aurait été parfaite, mais ta dépendance à toutes ces merdes a tout détruit, tu voulais que je fasse quoi de plus ? Que je regarde ma femme tous les soires bourrée, c'est ça? J'ai peut-être précipité la fin de nos fiançailles, mais sur le moment je pensais vraiment que c'était la meilleure des choses à faire, la seule chose à faire pour elle et pour moi, pour nous. Mais lorsque ça c'est terminée ente nous, j'ai de suite senti ce vide en moi, ce vide que seule elle comblait, ce vide qu'elle a comblé durant des années. J'avais des amis, des amis hauts placés tout comme moi, mais aucun d'eux n'arrivait à combler le manque que j'avais en moi, le manque d'Olive. Lorsqu'elle m'a dit qu'elle était seule dans l'avion, seule à Harvard, je me sentais encore plus mal qu'avant, j'avais vraiment déconné, mais j'avais vraiment envie de réparer mes erreurs. Crois-moi quand je te dis que je m'en suis toujours voulu. J'étais seul moi aussi, je m'en fichais des amis nobles que j'avais à Londres, tu étais la seule personne que je voulais voir, que je voulais à côté de moi. Ça me rongeait de l'intérieur de te savoir seule dans l'avion, tu peux pas savoir combien ça me faisait mal. Combien ça me faisait mal d'imaginer tous les soirs dans l'état que tu devais être à cause de tes saloperies de drogue. Je n'ai jamais été aussi blessé, aussi mal. Je pensais que nos retrouvailles seraient complètement différentes, je pensais la retrouver sobre, je m'étais trompé sur toute la ligne. Quand je voyais Olivia se lever tous les matins à mes côtés, je cessais de me dire que j'aimais la femme la plus forte au monde, la plus forte mentalement, la femme parfaite. Je savais le poids qu'elle avait sur ses épaules de par son arbre généalogique, de par son statut et sa place de grande gymnaste, elle n'avait jamais baissé les bras, jamais abandonnée, elle était forte, plus forte que n'importe quelle autre jeune femme. Avant qu'elle ne tombe dans ses vices. Si tu es fortes, plus fortes que n'importe qui d'autre. Souviens-toi de tout ce que tu as accompli. J'ai confiance en toi, je sais que tu peux arrêter tout ça, arrêter de te pourrir la vie avec ça. J'aimais Olivia plus que tout au monde, même si mes allures de riches bourgeois pouvait laisser prétendre le contraire. Je ne voulais que son bien, je voulais qu'elle arrête la drogue. Bien sûr je rêverais de tout reconstruire avec elle, de repartir de zéro. Mais elle ne comprenait pas ce que je ressentais, elle me reprocha de ne pas avoir pleuré, de ne pas avoir laissé échappé une seule larme, c'était vrai. Mais au plus profond de moi, j'étais tout aussi détruit qu'elle, mais je n'arrivais pas à lui dire, à lui faire comprendre. Ce qui me fit comme l'effet d'une balle en plein coeur, c'est lorsqu'elle m'a dit qu'elle n'allait pas si mal avant mon arrivée, je ne saurais trouver les mots pour dire ce que je ressens. Écoute moi Olive. C'est vrai je n'ai pas pleuré, mais crois-moi que j'avais tout aussi mal que toi, si ce n'était plus. Ce que tu as perdu, je l'ai aussi perdu. Laisse moi t'aider .. Si tu vas mal, c'est peut-être un peu à cause de moi, mais en grande partie à cause de ce que tu prends. Laisse moi t'aider à devenir sobre et après ça, si tu ne veux plus me voir .. Je te laisserai. Je ne voulais pas la laisser, mais si c'était la seule chose à faire pour la rendre heureuse une fois sobre, je le ferai à contre cœur. Je regardais Olive droit dans les yeux, en espérant qu'elle me fasse un signe, qu'elle me fasse comprendre qu'après mon aide, elle aimerait que je reste à ses côtés

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Olivia ne savait pas comment voir cette arrivée dans son monde. elle y avait rêvée, des nuis et des nuits, mais aujourd'hui, alors que ca lui arrivait, elle ne savait pas du quoi faire devant cette idée. Elle n'y croyait plus à la possibilité d'aller mieux, pour elle, c'était absolument invraisemblable, et même si elle avait cru que Wesley, pourrait y changer quelque chose, la`maintenant, elle n'y croyait pas. Olivia était fâchée, elle l'avait revue et n'avait pas eu e sentiment de légèreté qui lui avait procuré il y a quelques mois. Elle se sentait lourde, elle avait l'impression d'être un boulet pour lui, encore et encore, à quelque part, elle ne voulait pas embarquer Wesley dans ses tourments, elle préférait pourrir seulement sa vie à elle et ne pas toucher à celle des autres, comme si ça changeait quelque chose. La journée où elle était partit, Olivia avait ressenti le plus grand vide possible, elle avait bu, bien plus qu'elle n'avait jamais bu, même encore aujourd'hui, elle avait finit par s'évanouir sur son lit et c'était réveiller le lendemain matin, les yeux rouge gros comme une balle de golf parce qu'elle avait trop pleuré. Elle sourcilla quand elle l'entendit l'appeler Olive, mais elle fut trop heureuse pour se réjouir du retour de son surnom préféré. Il passa sa main pour essuyer les larmes de rage qui coulaient sur son visage et Olivia tenta de rester indifférente, ce qui était mieux que de le repousser. « Qu'est ce que tu comprend pas Wesley dans ce que je te dis ? Tu avais le choix d'envoyer promener ton père, de te donner la peine de m'aider, pas de rester assis avec moi à me regarder, mais de m'aider, de te battre, de me crier après s'il l'avait fallu, mais de faire quelque chose, pas de partir comme une andouille! » Olivia n'avait jamais voulu que Wes ne fasse que la regarder se bourrer et se droguer, elle avait voulu qu'il fasse l'impossible, qu'il se batte avec elle pour qu'elle arrête, qu'il change quelque chose et à la place il l'avait déçu profondément, parce qu'elle avait cru qu'il serait là pour toujours, pour elle, pour leurs enfants. Elle ne le releva pas le fais qu'il pensait à elle, elle n'avait pas envie de se confier au point où elle ne faisait que penser à lui, elle aussi, qu'elle buvait pour essayer de l'oublier, mais que rien n'y faisait.

Olivia bouillonnait, le pauvre chou, il avait été seul aussi, il se sentait mal et alors ? Elle était seule, tout les soirs, ou presque, dans son lit en boule bien péter, avec personne pour faire quoique se soit et ca faisait quand même un an qu'il avait attendu pour se démener un peu le cul. « Si tu te sentais si mal à ce moment là, pourquoi t'es venue direct, ça t'as pris six pour comprendre que ca serait peut-être une idée de venir me rejoindre ?! » Olivia se sentait faible depuis un an, elle avait perdu le feu qui l'animait, perdue la force de combattre, parce qu'après tout, pourquoi elle le ferait ? Sobre ou pas, elle se retrouvait seule, au moins intoxiquée, elle pouvait faire la fete avec les autres Mather, elle pouvait oublier un peu tout ce qui se passait au tour d'elle. Elle ne voyait pas la possibilité d'aller mieux, Oli avait l'impression que tout ne ferait que lui entrer dedans comme une bombe encore une fois, elle avait peur qu'elle se soit trop détacher et que tout les problèmes lui fasse effet d'une boule. « J'ai rien accompli Wes! Rien, j'ai fini quatrieme a pekin, donc la première des perdantes, je me suis éclaté le genoux sur une poutre et je suis même pas foutu d'être capable de faire ce que mère nature m'a constitué pour, garder mon enfant en moi! Alors franchement, non, à quoi sa sert de se battre alors que j'aurai rien à gagné, alors que je suis toujours seule! » Olivia était brutal, ses mots était crus et c'était voulu, elle se trouvait encore seule et ne voyait pas la possibilité de Wesley qui serait au près d'elle, il l'avait lâché une fois, pourquoi pas deux n'est-ce pas ? Elle c'était senti seule dans son malheur, parce qu'elle avait été la seul à l'extérioriser, Wesley était du genre à garder en dedans et Olivia le savait, mais à ce point là, elle avait espéré un peu plus d'expression qui lui en parle quelque chose du genre. Olivia écoutait son ex, mais ne savait pas quoi lui répondre. Elle ne savait pas ce qu'elle voulait, ne savait rien en fait, elle vivait au jour le jour, dans un monde où elle tentait de tout oublier, pas de planifier sa santé et son futur. Et au fond d'elle, elle savait bien que complètement sobre, elle ne le le laisserait pas partir, mais pour elle, la possibilité d'être sobre était trop intangible, elle préféra ne pas répondre, dévia le regard et ce trouva une excuse à la con pour partir. « Je ... je dois y aller Wes, j'ai un cours. » Elle avait vraiment un cours et pour une fois que ce genre de truc pouvoir la sortir de la merde. Elle n'attendit pas de ce faire retenir qu'elle partait en direction de son cours de biologie.
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Quand Olivia s'en est parti il y a quelques mois de cela à Harvard, c'était un gros coup pour moi. Je ne savais pas quoi faire, j'étais encore plus perdu que d'habitude. Mais j'ai toujours essayé de le cacher, de ne pas montrer ma faiblesse au grand jour, que cela soit envers mon père ou envers elle. Lorsque j'ai rompu avec elle, je savais qu'elle n'était pas loin, que je pourrai la voir quand je le voulais, même si je ne l'ai jamais fait. Mais dès l'instant où elle s'est envolée vers ces contrées lointaines, ça m'avait fait un choc. Mais mon côté bourgeois fier ne voulait rien savoir, je n'ai jamais rien fait, rien dit pour améliorer les choses, j'ai regardé sans agir, sans faire quoi que ce soit. En y repensant j'aurais pu faire tellement plus, mettre de côté quelques jours, quelques semaines mes responsabilités de côté, regarder mon père entre quatre yeux pour qu'il nous aide. J'aurai dû rester aux côtés d'Olivia l'empêchant par la même occasion de boire, de se droguer, mais je n'ai rien fait. Elle ne me repoussait pas lorsque j'essayais ses larmes de rage sur son visage, j'aurais aimé qu'elle réagisse autrement, mais ça aurait pu être pire. Quand elle m'avoua que j'avais le choix, je ne savais quoi lui répondre. Car au fond de moi jamais je ne pourrai abandonner mon rang, me prendre la tête avec mon paternel, mais je ne pouvais pas non plus imaginer la suite de ma vie sans Olivia. Je la regardais de nouveau dans les yeux, regardant de nouveau quelques larmes coulant sur ses joues tellement douces. Et tu crois que j'avais envie de te gueuler dessus ? Que c'était la meilleure des façons pour t'aider ? Ça n'aurait fait qu'empirer les choses. Je ne pouvais rien faire de plus Olive, rien du tout. Quand j'ai rompu avec toi, j'admets que c'était pour l'image de ma famille, mais aussi pour toi. Je pensais que ça pourrait t'aider de t'éloigner de moi, j'ai été con sur ce coup je sais. Je savais que j'avais mes torts dans cette histoire, au lieu de faire du bien comme je le pensais, je n'avais fait qu'empirer les événements, j'ai détruit la femme que j'aimais, la femme que je voulais voir comme je l'avais vu au premier jour, avec ce sourire étincellent sur son visage qui me faisait croire qu'avec elle, je serais heureux jusqu'à la fin de mes jours. Mais aujourd'hui tout cela avait disparu, son sourire et mes espérances, tout ça en partie à cause de moi.

Ces derniers mois sans elle, c'était l'horreur. La pire année de ma vie, je n'ai d'ailleurs trouvé personne d'autre, aucune autre petite-amie, pourquoi ? Car je n'en voulais pas, c'est elle que je voulais. Mais je ne pouvais partir, j'avais tant à faire à Londres, mais c'était trop dur sans elle, je n'ai pu m'empêcher de la rejoindre même si cela n'a pas eu l'effet désiré. Je ne pouvais pas avant, j'avais à faire à Londres. Entre mes cours, mon poste de coach adjoint, mon père, je ne pouvais pas venir avant. L'envie y était, mais le pouvoir absent. Crois-moi qu'aucun jour ne passait sans que l'envie de te rejoindre me ronge. Aujourd'hui Olivia se voyait comme celle qui avait tout raté dans sa vie, moi je voyais la jeune femme que j'ai aimé et que j'ai vu évoluer au jour le jour dans chaque domaine. À mes yeux elle n'avait pas besoin d'attraper l'or à Pékin pour être quelqu'un, non pour moi elle n'avait pas besoin de ça. D'ailleurs si elle n'avait jamais eu ce don en gymnastique, je l'aurai tout de même aimé, j'aurai été tout aussi fou d'elle que je l'étais en la voyant pour la première fois sur la barre. Alors lorsqu'elle m'avoua qu'elle n'avait rien accompli dans sa vie, ça me touchait davantage, car pour moi c'était faux. Tu n'avais pas besoin d'une médaille d'or pour être la meilleure à mes yeux, je m'en fichais de te savoir première, deuxième ou dernière. Chaque jour tu te défonçais pour être meilleure que la veille et pas seulement en gymnastique. Je n'aurai jamais pu rêver d'une autre femme que toi. Tu n'as pas su garder notre enfant, je ne t'en ai jamais voulu Olive, ce qui comptait pour moi c'était toi, ta santé avant tout. J'ai toujours su qu'on pourrait avoir un enfant un jour ou l'autre, je n'ai jamais douté de toi. Et tu n'es plus seule, je suis présent à tes côtés maintenant. Elle pouvait douter de mes propos, je le savais. Je l'avais déjà lâchement abandonné une première fois, je pouvais comprendre qu'elle craignait de se faire briser le coeur une seconde fois. Mais je n'avais aucune envie de faire cela, je voulais l'aider avant tout. La faire sortir de la drogue pour de bon et me remettre avec elle définitivement. Reconstruire ma vie passée avec elle, loin de sa confrérie qui lui était nuisible à mes yeux. Mais lorsqu'elle commençait à partir en cours d'après elle, je savais que mon retour était un échec, que je n'ai su garder Olivia auprès de moi. Je la voyais partir, m'échappant. J'aurais aimé la rattraper, mais pourquoi bon ? Elle n'aurait rien voulu entendre. Je ne disais rien, je la regardais partir sans ne pouvoir rien dire, l'air dépité et triste. Mais je n'allais pas abandonner, je ne voulais plus la laisser seule, plus jamais.


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