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REAGEY | tonight, we are young.

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Le soleil se couche sur Cambridge et l’air se rafraichit. Un sms de Reaghan dans la matinée m’a prié de la retrouver devant la Quincy House à 19h30. A ce qu’il parait, elle a quelque chose à m’annoncer… et j’ai hâte de savoir ça. Je me prépare donc après les cours pour aller la retrouver et me poste avec ma voiture devant sa maison à l’heure. La voyant descendre les marche du grand bâtiment, je clackson. (pour la faire rire, hein !) Quand elle monte côté passager, je lui fais la bise et lui dit : « Hey, ça va toi ? »
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J'étais un peu à la bourre quand je remarquais l'heure qu'il était. Casey allait arriver d'une minute à l'autre. Je me changeais, optant pour un legging noir et un large t-shirt sans manche qui arrivait jusqu'à mes cuisses. Puis je mettais rapidement des spartiates couleur dorée avant de prendre ma veste style officier, à petits boutons dorés. Une fois fait, je prenais mon sac et je sortais de ma chambre. Je posais mon sac en bandoulière matelassé noir dont la lanière était en cuir noir sur laquelle était entremêlé par une chaine dorée. En sortant, je voyais rapidement Casey. Ce dernier klaxonna ce qui me fit sourire. Je montais sur le siège passager, accueillant sa bise avec un nouveau sourire. « Ça va très bien. Et toi? »  Cela faisait un moment qu'on ne s'était pas vu et je voulais rattraper le temps perdu. « Tu me réserves ta soirée? »
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« Ça va très bien. Et toi? » Je souris. On ne s'était pas vu depuis le mois de juillet et malgré l'avantage des SMS, on a toujours plus de chose et de plaisir à se raconter nos vies face à face ! « Super bien, merci ! » Sur ce, je démarre et m'engage vers Cambridge centré. « Tu me réserves ta soirée? » Je souris. « Je suis tout à toi ! Sinon raconte-moi, il s'est passé des choses intéressantes depuis le temps ? » De mon coté pas grand-chose, une sortie avec Lavender, une discussion avec Bethany et les retrouvailles avec ma cousine.
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En montant dans la voiture du Winthrop, je me rendais compte qu'il semblait en pleine forme. Ce qui me faisait réellement plaisir. A sa réponse, je souriais un peu plus avant de répondre: « Super! Pas mal de choses et ça va être long à tout te raconter. » J'ouvrais ensuite mon sac et je fouillais à l'intérieur tout en ajoutant: « Mais avant ça, on doit passer déposer ça à l'hôpital. » Je lui montrais alors un chèque de sept milles dollars. « Ce sont les premiers bénéfices de ma marque alors j'ai trouvé que faire un don était une bonne idée. » J'avais encore du mal à croire que mes fringues se vendaient aussi bien. Je pourrais même en vivre à présent. Mais cela restait une passion. Et le métier que je voulais faire, c'était la photographie. Les premiers bénéfices étaient là et je voulais faire quelque chose d'utile. Je n'avais pas envie d'acheter des trucs futiles ou le dernier téléphone à la mode. Non. Je voulais faire un don pour la lutte contre le cancer.
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« Mais avant ça, on doit passer déposer ça à l'hôpital. » j’hausse un sourcil et la questionne du regard quand elle dévoile un chèque de sept milles dollars. J’écarquille les yeux. « Ce sont les premiers bénéfices de ma marque alors j'ai trouvé que faire un don était une bonne idée. » Je la prends dans mes bras. Mon cœur bat fort dans ma poitrine. Elle sait très bien que son geste me touche, c’est d’ailleurs très certainement pour ça qu’elle profite d’être avec moi pour aller le déposer. Elle sait à quel point c’est insupportable de faire des perfusions chaque mois, de ne pas pouvoir faire d’autres efforts comme les autres gosses, d’être vu différemment des autres, de sentir le sentiment d’impuissance des médecins face à soi. Je me mets alors à rire. A rire aux éclats, presque à en pleurer. . Le rire est un instrument puissant, tout comme le sourire. Mais le rire montre la joie tandis que le sourire se contente parfois de la cacher. Dans une vie, il nous arrivera de voir plus de faux sourires que de joies sincères. Ça aussi ça me donne envie de rire ; parce que la vie est trop courte pour se cacher derrière des faux-semblants ; qu’elle est trop cruelle pour qu’on n’essaie pas de la contredire en lui montrant quand elle viendra chercher son dut, qu’on a su profiter de ses merveilles jusqu’au bout. Mais je ris aussi parce que je n’ai plus la force d’avoir mal ; qu’endurer toute la misère du monde n’est pas pour moi et que profiter de chaque instant est plus important que de les dénigrer. « Merci. » Sur ce, je desserre mon étreinte et conduis jusqu’à l’hôpital. Arrivé devant le grand bâtiment, je ressens un infini sentiment de fierté envers mon amie.
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Je souris à l'étreinte de Casey. Je sais que mon geste le touche aussi. Nous étions tous les deux concernés par cette saleté mais nous étions encore là. Mais le combat n'était pas terminé. Alors un peu d'aide, ne faisait pas de mal. Je fermais les yeux en profitant de ce câlin. Puis quand il reprit la conduite, je posais à nouveau mon regard sur lui, un grand sourire sur les lèvres. « Je n'arrive pas à croire que je dis « bénéfices » et « ma marque » dans une même phrase. » Si on m'avait dit il y a un an que je ferais tout ça, je n'aurais surement pas cru cette personne. Jusque là ce n'était qu'une passion parmi d'autres. Mais j'avais remarqué que mes créations plaisaient. Et quand je portais certaines d'entre elles, on m'accostait parfois pour me demander où je les avais acheté. C'était amusant. Je ne pensais pas que mon style anglais pouvait plaire au pays de l'oncle Sam. Puis la voiture s'arrêta devant l'hôpital. J'avais déjà mis l'ordre. Il ne manquait plus que le mettre dans la boite prévu à cet effet, et qui se trouvait dans le hall du service. Tout en descendant, je tendais le chèque à Casey. « Tu veux le mettre dans la boite? »
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« Je n'arrive pas à croire que je dis « bénéfices » et « ma marque » dans une même phrase. » Je souris ; c’est vrai que voir les choses qu’on entreprend se réaliser est vraiment incroyable et magique, surtout dans le cas de Reaghan : ses créations sont tout particulièrement magnifiques et elle le mérite amplement. Peu de temps après nous sortons de la voiture et entrons tous les deux dans l’endroit que je déteste le plus au monde, même avant le cimetière. On peut penser ce que l’on veut, qu’un Hôpital est un endroit où les gens guérissent et tout un tas de choses idiotes du même genre, mais c’est surtout un endroit où tu te demandes si tu vas en sortir un jour ou pas. Les murs verts et jaunes de l’entrée, censées égaillé les patients et les proches, me donnent plus envie de tourner de l’œil qu’autre chose, bien que ça soit surtout par simple dégoût des hôpitaux. Devant la boite prévue pour les dépôts de dons, Reaghan me demande : « Tu veux le mettre dans la boite? » Sans que je le veuille, un immense sourire semblable à celui d’un gosse au pied du sapin de noël s’affiche sur mon visage ; sa question, -si simple soit elle-, me va droit au cœur. « Ce sont aussi tes bénéfices, ta marque… on le fait à deux ? » Et sur ce, j’attrape l’autre coin de l’enveloppe. Nous glissons tous deux le chèque dans la boite et je ne peux m’empêcher d’être heureux. La dame qui s'occupe du hall du service nous regarde, le sourire aux lèvres, elle aussi. C’est fou comment un geste si simple, peux influencer des vies et des êtres. Je prends donc la main de Reaghan dans la mienne et dis : « Quand dans deux ans on m’annoncera la disparition du cancer, ça sera grâce à toi ! Merci… où veux-tu aller maintenant ? ».
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J'avais longtemps hésité quant à savoir ce que j'allais faire de cet argent. Au début, je voulais les mettre sur mon compte et le faire fructifier pour plus tard. Mais je savais bien que plus tard, pouvait être éphémère. Alors j'avais décidé de l'investir. Comme ma bourse d'étude avait été réévaluée et qu'elle était à présent plus élevée. Elle couvrait quasiment tous mes frais scolaires, ce qui n'était pas le cas à ma première rentrée. Maintenant je pouvais me faire plaisir et songer à faire quelque chose avec cet argent que je n'attendais pas et sur lequel je ne comptais pas. Et la première idée qui avait traversé mon esprit, avait été de faire un don pour la recherche et la lutte contre le cancer. J'avais passé tellement de temps à l'hôpital. J'avais vu à quel point certains services peinaient à subventionner leurs actions. Notamment, permettre à des malades de faire des sorties ou de recevoir la visite d'animateurs. C'était quelque chose qui me concernait. Et j'avais envie que cela change. Ce n'était pas grand chose mais c'était déjà ça. Et puis, j'espérais que d'autres chèques allaient venir. Alors que je me trouvais devant la boite dédiée au don, Casey reprit la parole. Je le regardais avant de prendre l'autre bout du chèque. Ensemble, nous le mettions dans la boite. Un sourire s'étira sur mes lèvres avant que mes yeux bleus se posaient sur le Winthrop. « Oh je ne sais pas si ça va suffire à le vaincre mais on ne va pas arrêter de se battre, c'est certain. » Gardant la main de Casey dans la mienne, j'ajoutais: « Et si on allait manger? J'ai une faim de loup. J'ai envie d'une énorme glace à la vanille avec plein de chantilly. »
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« Oh je ne sais pas si ça va suffire à le vaincre mais on ne va pas arrêter de se battre, c'est certain. » Je souris. « On peut toujours l’espérer ! » Toujours main dans la main, nous rentrons à la voiture : « Et si on allait manger? J'ai une faim de loup. J'ai envie d'une énorme glace à la vanille avec plein de chantilly. » Je ris. « Oh oui et avec pleins de pistaches ! Et autant commencer par le désert ! » Sur ces belles déclarations d’amour envers la crème glacé, nous nous dirigeons dans la comèt vers l’unique glacier encore ouvert à cette heure où nous sommes certain de trouver un large de choix de glaces aussi bonnes et caloriques que possible. Les mains sur le volant, je demande à la blonde assise à ma droite : « et toi d’ailleurs, les rumeurs court sur un éventuel prince charmant ? » Sincèrement, avec elle je suis le stéréotype de la meilleure amie, toujours à vouloir savoir les derniers trucs qui la concerne même si ça concerne d’autre gars. Et d’ailleurs à ce propos, surtout après l’histoire avec Jasper, je sens que je vais me montrer beaucoup plus protecteurs la ou les prochaines fois ; bien que mon avis est toujours du genre à être : « tant que tu es heureuse : fonce. ».
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J'avais une faim de loup et je n'avais envie que d'une glace, même si nous étions en plein mois d'octobre. Je m'en fichais. Et Casey semblait de mon avis. En même temps, le Winthrop était aussi gourmand que moi. Voilà pourquoi on s'entendait aussi bien, enfin entre autre. Casey avait quasiment le même caractère que moi. On se complétait à merveille. C'était ma petite moitié. Mon autre moi. En plus, il voulait des pistaches, j'adorais les pistaches, encore un point commun. A nouveau dans la voiture, j'observais la route quand Casey reprit la parole. Je fronçais les sourcils à ses paroles avant de sourire, amusée. « Depuis quand les princes charmants existent? » Je le regardais. Quelle idée. Je savais que le Winthrop s'inquiétait pour moi, surtout avec le fiasco Ellingtonesque. Mais il n'avait pas à s'en faire. C'était une histoire ancienne. J'allais de l'avant. Heureusement, on avait quand même coupé les ponts depuis février. Et on ne s'était reparlé qu'au Summer Camp. Mais c'était chou de voir que Casey s'en inquiété. Je lui souriais alors, avant de rajouter: « Disons que c'est compliqué. Puis de toute façon là, je fais passer mes études avant tout. ». J'avais réussi à obtenir une réévaluation de ma bourse et je ne voulais pas la perdre. « Et toi avec Lavender, ça va toujours? »
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