Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLOU&GWEN ◘ Let me see you dance, I love to watch you dance. - Page 2
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LOU&GWEN ◘ Let me see you dance, I love to watch you dance.

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Que reste t'il de nos amours ? De nos corps qui brûlaient tant à chaque fois qu'ils se communiaient dans une osmose si parfaite ? Il ne reste que le néant, plus rien. Un vide si profond. Un fossé, un précipice si grand dans le petit espace de ta chambre. Pas même un mètre nous sépare et pourtant cette distance qu'on accablerait presque est si dure à franchir pour mon égo. Je t'aime. Non, je te hais. Je t'aimais. Je ne sais plus, je suis perdue. Tu m'as blessée. Si j'te pardonnais ? En aurais-je au moins la force ? Je ne sais pas. On s'évite, on s'éloigne un peu plus à chaque minute. J'ai l'impression d'être un oiseau enfermé dans sa cage, ou bien une lionne enfermée dans son cirque. Où est passée notre attirance si puissante ? Aux oubliettes, comme les restes de nous, de notre histoire. Tout ce qu'il nous reste désormais, c'est cette souffrance que l'on s'inflige, par fierté, par méchanceté. Je ne sais plus si c'est toi que j'aime encore un peu ou si c'est simplement notre vécu, notre histoire si unique qui nous caractérisait. Quand on aime on ne compte pas. Je n'ai jamais compté le nombre incalculable de fois où je suis partie et revenue vers toi, peut-être parce que j'aimais ca, finalement, te voir souffrir réellement pour que je revienne. Parce que je me sentais importante pour la seule fois de ma vie. Et tout ca, c'est visiblement fini. J'suis peut-être plus aussi importante que ca pour toi. Et ca m'fait mal de le comprendre. Parce que tu étais ma valeur sure, que si j'redevenais seule, je pouvais toujours me tourner vers toi. Parce que j'aime revenir sur ce que je connais le mieux. Parce que je t'ai vraiment aimée, par le passé. Parce que tu restes cette fille qui dégénère tous mes sens. "Et moi je voulais que tu saches ce que ca fait de te savoir dans les bras d'une autre, de pas oser venir te voir dans la peur incessante de croiser une de tes putes. J'ai pas à te prouver quoique ce soit. Tu m'as abandonnée, c'est à toi de me prouver que j'ai encore une place dans ta vie ! Mais j'ai bien cru comprendre que c'est pas le cas, il y a déjà pas assez de place pour le tas de personne qui serrent leurs corps contre le tien. Tu n'as jamais été rien à mes yeux, c'pour ça que tu jouais, parce que t'as pas eu peur une seule seconde de me perdre. Et c'est pourquoi t'as mal là, car la réalité est toujours plus cruelle que prévu. " Je ne te regarde pas, j'ai peur d'affronter ton regard surement humide par les larmes que tu me cacheras. Si j'suis là, à ton avis, c'est parce que t'es insignifiante dans ma vie ? Tu t'plantes, Lou. T'es loin d'être rien pour moi. Et okay, j'ai jamais eu peur de te perdre, jusqu'à maintenant. Et ouais, la réalité est cruelle. Je n'ai plus peur de montrer mes faiblesses face à toi. J'ai décidé que je devais arrêter de me planquer sous mes airs de filles invincible et sans coeur et que j'devais montrer qui j'étais vraiment. Et quand j'te regarde, que tu fuis mon regard, j'sens bien que quelque chose te transperce de part en part. Et finalement, tu viens fondre dans mes bras, me serrant contre toi. Et je te serre, fort. Tu sanglotes si fort, ca me brise le coeur. Je pose ma tête au creux de ton cou, avant de te murmurer à l'oreille Embrasses moi... Comme si c'était la dernière fois.
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    "Si j'suis là, à ton avis, c'est parce que t'es insignifiante dans ma vie ? Tu t'plantes, Lou. T'es loin d'être rien pour moi. Et okay, j'ai jamais eu peur de te perdre, jusqu'à maintenant. Et ouais, la réalité est cruelle. " Avant tu aimais la vie car tu l'avais en commun avec elle, tu aimais la vie car tu savais que quelque part, même dans les bras de la pire garce, Gwen pensait à toi ne serais-ce qu'un minimum. Mais tout vole en éclat, tout s'évapore dés que ton acte de rébellion devient réel. Dés qu'il s'inscrit dans vos vies respectives, dans votre futur... Ou devrais-je dire dans vos futurs ? Parce que maintenant, vu l'écart qui vous sépare... Non pas celui physique qui n'est que quelques mètres, mais celui mental qui vous éloigne de plus en plus. " Et quand tu es avec les autres ? Tu fais bien d'avoir peur de me perdre, car tu viens de me perdre là, autant que je t'ai perdue chaque fois que tu as touché d'autre corps. Et que d'autres corps t'as touché. ". Avant tu savais pourquoi tu existais : pour elle. Maintenant qu'elle pleure sa douleur, sa souffrance que tu déverses en elle à grands coups de vengeance. Ton existence n'a plus aucun sens maintenant, plus rien. Tu es si faible, tes sanglots secouent violemment ton corps. Ton corps se meurt lentement, et ton avenir ne semble n'être plus qu'une éternité de souffrance. Pourtant quand tu viens te jeter dans ses bras... Plus rien. Touts tes doutes s'envolent. Tu t'accroches à elle comme à on dernier espoir. En fait, elle est ton dernier espoir. Tu ne veux rien d'autre qu'elle, Elle. Elle. Elle. Gwen. Elle glisse son visage dans le creux de ton cou... Tu soupires de plaisir, de confiance. Jamais nulle part au monde tu es aussi bien que là. Tu retrouves un peu foi en toi, tu retrouves un peu de joie. Ta culpabilité s'apaise alors que son odeur t'envahit, que sa chaleur t'envahit. Ses chuchotements chatouille agréablement ta peau et rapidement tu es parcourue de frisson. Personne au monde ne te fais autant d'effet, sauf elle. " Embrasses moi... Comme si c'était la dernière fois.". a peine ses mots sortent de sa bouche que tu te jettes assoiffée dessus. Tu ne laisses pas la place au doute ou à quoi que ce soit. Rien. Tes lèvres fondent sur les siennes dans un baiser langoureux. Tes larmes continuent à couler mais peu importe puisqu'elle est là ? Elle est là. Elle sera toujours là malgré vos amours. Et puis, ca serait laid de s'aimer sans en crever. Vous auriez pu, bien sûr, mais non. Vous préférez mourir d'amour, vous brulez les sens jusqu'au petit matin et regretter amèrement vos choix. Croire que vous ne vous aimez plus puis se jetez l'une sur l'autre pour éteindre ses mensonges par des coïts passionnés. Vous arrachez le coeur à main nue et ne vouloir ensuite que rien de tout cela ne soit vrai... Votre baiser s'enflamme comme votre relation, tu ne veux plus jouer. Tu la veux entière, à toi, pour toujours. Tu ne veux plus te faire arracher le coeur, par envie, pour rêver et idolâtrer un amour mièvre. " Je ne veux pas que cela soit la dernière fois Gwen, je ne veux pas. " . Ton front se colle au sien, tes lèvres se déposent sur ses lèvres rapidement. De peur de perdre le contacte, encore.
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Combien de fois. Combien de fois ai-je passé mes nuits à te regarder dormir, pendant plus de trois ans ? A me dire que ton visage était calme, au point que j'le pensais parfois de cire ? Il ne l'était pas, vu le nombre de fois où j'pouvais sentir tes larmes cachées quand j'étais allée voir une autre ? Tes yeux. Ce regard que j'préférais clos pour ne pas le voir réprobateur et plein de souffrance. Parce que j'voulais pas te voir souffrir alors que moi j'me pavanais aux bras d'une autre devant toi qui ne disait mots. Et pourtant, quand j'te vois là, aussi mal que moi, j'me dis que tu ferais mieux de partir, de trouver quelqu'un d'autre que moi, qui prendra soin de toi. Mieux que moi, et j'te jure que ca m'tue d'penser ca. Mais au fond, peut-être qu'il vaudrait mieux que tu tournes la page sur notre amour, parce que j'te rendrais jamais pleinement heureuse. Et tu l'sais. Parce que même si tu m'aimes comme une folle et que tu seras toujours à moi, j'ferai toujours un truc qui te blessera au plus profond de toi, peut-être même qui tuera une partie de toi. Parce que j'sais faire que ca, tuer le meilleur de toi pour te rappeler que t'es à moi, mais que moi, j'suis à personne, jamais. " Et quand tu es avec les autres ? Tu fais bien d'avoir peur de me perdre, car tu viens de me perdre là, autant que je t'ai perdue chaque fois que tu as touché d'autre corps. Et que d'autres corps t'as touché. " T'as enfin appris à te rebeller, j'suis fière de toi. Mais ne joue plus sur ce terrain là, pas avec moi. Tu sais que j'n'ai qu'une chose à dire pour te voir mourir sous mes yeux, même si cette chose est fausse, elle te tuera à petit feu, à moins que tu ne préfères mettre un terme à ta vie que tu penses insignifiante sans moi. Au contraire, Lou. Ta vie commencera quand je serai plus dans la tienne, mais tu t'entête à penser le contraire, comme une sombre idiote. Et j'aime ton idiotie, bizarrement. Ce cercle vicieux ne cessera jamais, on le sait et on se complaît fortement à s'accrocher à cette putain d'idée que je suis ta vie et que j'finirais ma vie avec toi, tout en continuant à faire ce que j'ai toujours fait. Te tromper, te blesser, te tuer lentement sans même le vouloir. Quoi, quand j'suis avec les autres ? Ouais, j'l'ai surement cherché celle là. Tu veux que j'te dise quoi ? La vérité ? J'ai pas toujours pensé à toi avec les autres, parce que j'étais trop défoncée pour penser à quelque chose. Puis au final, qu'est-ce que ca changerait que j'te dise ca ? Ca changera pas ta vie, tu cesseras pas de m'aimer pour ca, mais tu m'garderas pas pour toi non plus. Parce que c'est plus comme ca. Tu foutras toujours un peu le bordel dans ma vie, c'est écrit dans l'bouquin d'ma vie. Mais t'es pas dans ce tome là. Ca c'est sur. Mais t'es peut-être dans le prochain, mais Luciole la licorne a pas programmé ces instants de ma vie avec toi, pas entièrement, pour l'instant t'es en intérim, puis visiblement, après ca j'te ferai souffrir un moment. Tu détestes Luciole, hein ? Et puis, tu peux l'dire, que ma licorne a un prénom d'merde. Et pourtant, quand j'sens cette proximité qu'on a, j'peux pas m'empêcher de sourire malgré tout. T'es là, contre moi. Comme une enfant qui se cramponne à son doudou après un cauchemar. Et j'aime ce petit côté enfantin que t'as quand t'es avec moi. Et à peine j'te disais de m'embrasser, tes lèvres se fondaient sur les miennes, comme si ta vie dépendait vraiment de ca, comme si j'étais ton oxygène. En fait, c'est un peu ca. Parce que sans moi, t'es morte, t'es plus rien, t'es insignifiante. Tu m'l'as dit tant de fois que j'ai retenu la leçon au bout de sept ans. Sept ans que j'me joue de toi et que toi, tu cours après moi. Sept ans que j'm'amuse avec ton coeur au creux de mes mains après l'avoir arraché et l'avoir remis à sa place. Si tant est qu'il est une place pour toi quand il n'est pas avec moi. Et notre baiser est enflammé qu'il en ferait brûler un brasier. " Je ne veux pas que cela soit la dernière fois Gwen, je ne veux pas. " Je ferme les yeux, je laisse ton front se coller contre le mien. Tu m'embrasses encore, rapidement, au point que je n'ai même pas le temps d'y répondre. On n'sait jamais de quoi demain est fait, Lou... J'peux rien te promettre... Et pourtant je te garde là, contre moi. J'veux pas que tu fuis après ces mots, j'veux que tu comprennes que malgré moi, j'serai toujours une indécise avec toi.
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