Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLOU&GWEN ◘ Let me see you dance, I love to watch you dance.
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LOU&GWEN ◘ Let me see you dance, I love to watch you dance.

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Te revoir, c'était comme revenir vers le passé, reprendre la même drogue qu'on avait abandonné, revoir une vieille photo qu'on se veut revivre. T'as tout chamboulé, tout. Ma vie, mon esprit, mes pensées, mon semblant d'équilibre, mes sens, tout. Et j'sais pas si c'est bien, si c'est mal. J'sais plus rien et tout ca à cause de toi. C'est fou ce que tu m'fais revivre depuis ce putain de jour où t'es revenue, depuis ce putain d'jour où j'suis redevenue un peu à toi. A chaque fois que j'te vois, y'a une petite voix en moi qui dit "Offres moi dès ce soir ta peau brune et tes lèvres mauves, tes seins, tes reins, tes cheveux noirs et qu'on se noie dans les nuits fauves" et juste après, j'pense que si tu m'aimes tu devrais me laisser partir. Que si je t'aime un peu, j'devrai te laisser partir. A croire que je t'aime pas assez, parce que j'veux que tu restes cette fille qui ferait tout pour moi, qui resterait à moi quoi que je fasse. Que je te blesse, te laisse, te trompe, te fuis. Pourquoi t'es revenue et t'as tout pété sur ton passage ? T'es comme l'ouragan Katrina, tu reviens quand j'm'y attends pas, que j'pensais avoir laissé derrière moi. Mais non, t'es toujours là, même après mon overdose quand Ocyllie est partie, même quand j'ai couché avec Dixie sur mon lit d'hôpital. T'es toujours là, comme une moule à son rocher, un bébé kangourou dans la poche de sa mère, un chien avec son maître SDF. Et quelque part, j'aime ca. Et c'est pour cela que j'suis là, devant ta porte, à frapper contre cette dernière pour que tu m'ouvres avec ton sourire angélique et heureux. Ce putain de sourire heureux que t'as à chaque fois que tu m'vois. Même si avec ma main platrée et mon bracelet électronique j'suis moins sexy qu'avant, donne moi encore du temps avant que je ne prenne la fuite vers d'autres bras, pour te voir courir derrière moi.
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    Le bruit sourd d'une main contre la porte résonne parmi les gémissements. Ton coeur qui jusqu'à lors ce faisait silencieux reprend vie. C'est abominable. Rapidement tes doigts salit par cette terrible décadence s'enfuient. Tu te redresses, les lèvres gonflés par les trop nombreux baisers de... De qui déjà ? Qui t'accompagne dans cette danse macabre ? Cette danse qui cherche un échappatoire à l'amour. Oh l'amour. Peut-être est-ce lui qui frappe à ta porte ? Espoir... C'est suicidaire de regarder les choses du bon côté. L'homme ne vole pas et la chute risque d'être haute s'il ne s'agit qu'un idiot. Qu'une idiote. D'ailleurs celle qui couché dans ton lit te tire vers elle n'a pas encore compris. C'est fini, trop tard, gâché. Gâcher par ton poul si rapide, par ta joie qui ne cesse d'augmenter... Tu enfiles rapidement de quoi recouvrir ton corps nue alors que tu lui demandes sèchement de se rhabiller. Le jeu est fini. Quoi ? Quel jeu ? Déjà un souvenir lointain devant ton espérance grandissante. A peine ses chaussures en main que tu la pousses vers la porte... Cette porte qui te semble si mystérieuse, tu pries pour que cela soit elle. Gwen. Oh... Gwen, second prénom que prend l'amour lorsqu'il a été trop violent. Lorsqu'il a trop brisé ton coeur. Il se fait doux, se montre enjôleur, et se fait appeler Gwen. Tu soupires et entrebâille doucement la porte. Elle. Ton souffle se coupe alors que tu mines un air détachée. La fille, l'inconnue. La stupide fille inconnue ouvre plus grand et s'enfuit, derrière elle l'effluve de vos ébat la poursuit. Tu te mords la lèvre, fière et si honteuse. " - J'peux t'aider ? " Tu la détailles du regard. D'abord le plâtre, ensuite le bracelet électronique. Si ta mère savait... tu t'en moques en fait. Elle est si loin, à l'autre bout du pays et toi... toi tu es là avec elle. Tu recules, lui faisant signe d'entrer. Le tee shirt long que tu portes effleures délicatement ta cuisse mais ce n'est pas ça qui te fait frissonner. Oh non. C'est son regard. Son putain de regard qui se promène sur ton corps. C'est lui qui te fait devenir rouge, c'est lui qui te fait de l'effet. C'est lui qui te rend idiote à te damner pour un baiser. Rien d'autre, rien de plus. Tu t'assoies mine de rien sur ton lit. Comme si ce n'était pas elle, comme si tu n'étais pas en train de baiser là quelque instant plus tôt. Non, rien ne doit se laisser paraître. Rien.
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Quelque chose ne tourne pas rond, j'le sais, j'le sens. Y'a un truc qui a changé à l'instant même où j'ai ressenti ce besoin viscéral de te voir, te sentir contre moi. Quelle mouche m'a piquée de vouloir te voir, là, maintenant ? J'sais même pas pourquoi cette fois c'est moi qui vient vers toi. Et pourtant j'le fais. J'suis là, devant ta porte, une certaine boule au ventre qui me ronge. Et si tu m'échappais ? Et si les gémissements sourds que j'entends venaient de ta chambre ? Non, impossible. Je suis la seule et l'unique dans ta vie, ta putain de vie qui n'avait plus le moindre sens sans moi, pendant quatre ans. Et je trouve que tu mets trop longtemps pour venir ouvrir, et les gémissement sourds se sont tuent. Non, j'veux pas croire à ca, j'veux pas croire que pour la première fois tu sois allée vers une autre que moi. J'veux pas être la première et plus la dernière qui te touche, celle qui te brûle beaucoup trop fort, celle pour qui tu tuerai. J'veux être la seule femme qui marque ton corps de ses doigts et ses baisers, la seule qui caresse chaque parcelle de toi, pauvre damnée à la peau sucrée. Et cette putain de porte s'ouvre enfin légèrement, te laissant légèrement apparaître, avant qu'une fille ne parte comme une voleuse, me bousculant presque violemment. Je la regarde un instant, avant de te voir presque nue. J'peux t'aider ? J'ai presque envie de te hurler dessus pour avoir des explications, que tu m'dises que non, les gémissements ne venaient pas de vos ébats qui brûlent encore en toi. Mais j'suis pas stupide, loin de l'être. J'sais bien que tu l'as baisée, cette fille là. Et tu savais que ca allait m'faire mal. Et tu en jouirais presque, malgré le masque de la honte que tu portes fièrement. Je ne sais plus quoi penser de toi en cet instant. Et si finalement je voulais te voir avant de perdre ma place ? Non, ma place est déjà perdue, t'as couché avec elle. Tu me laisses entrer, après avoir détaillé chaque partie de moi. Tu sens, ce regard presque en colère et presque triste ? Je rentre dans ta chambre. Ca sent encore la chaleur de votre coït, le mélange de vos odeurs qui montraient que vos sens étaient en émoi. Je te regardais de haut en bas, ne voyant presque plus mes empreintes sur toi, détaillant chaque centimètre de ta peau nue. Et je sens l'effet que j'te fais. Il est palpable, un peu comme le mal que j'ai là au fond de moi. C'était qui, cette fille ? Je restais stoïque, malgré mon regard posé sur toi, ce regard qui n'a pas changé depuis que je suis entrée dans la pièce. Putain, arrête de me mentir Lou, j'supporte pas ca.
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    "  C'était qui, cette fille ? ". Ton masque de honte s'effrite pour que bientôt un léger sourire se dessine sur ton visage. C'est la première fois que tu gagnes contre Gwen, enfin, non la deuxième. La première étant ton retour triomphal dans son lit. Lou, tu abordes fièrement la mine de quelqu'un qui vient de baiser... Cependant au fond de toi, brûle cette terrible honte. Elle te prend à la gorge et te tire vers les profondeurs  de la déchéance. Toi qui voulais que toujours tu ne sois marqué que par Gwen. Qui voulais pour toujours être à elle. Rien, tout s'est évaporé à la lueur de la réalité. A la lueur de la vérité. Quatre année de déni, de mensonge, de relation malsaine. Tout ça pour en arriver à transpirer de désir dans les bras d'une autre, tout ça pour mal baiser. Tout ca pour la blesser ne serais-ce qu'un peu. Quelle gout ça a Gwen ? La tromperie ? La jalousie ? L'amour. " - J'en sais trop rien. Une mather j'crois. ". La colère que tu lis dans son regard te fait jouir d'une supériorité. Quelle supériorité d'ailleurs. Te salir dans les mains d'une idiote. D'une pauvre idiote qui ne sait même pas utiliser ses doigts correctement. Tu t'étires légèrement, montrant sans le faire exprès l'énorme suçon qui orne désormais ton cou... Cela serait presque magnifique que tu l'es fait exprès. Tu es magnifique Lou. Magnifique dans ta misère, dans ton chagrin. Dans tes tords, dans vos tords. Le pire, c'est que tu serais prête à les défendre vos tords. Prête à montrer tout l'amour que tu oses lui porter à votre semi-relation amoureuse. La pièce regorge de ta décadence, de ta chute. L'ange serait donc tombée. Tu es tombée, perdant tes ailes d'avoir essayer de jouer le même jeux qu'elle. Vous n'avez pas les mêmes armes pour jouer et tu le comprends à présent. Tu le comprends à son air stoïque qui ne saurait pourtant te mentir. Tu sais qu'elle souffre. La douleur, la colère... Tu connais bien ces émotions, pourtant tu n'as pas l'habitude de les voir mais plutôt de les ressentir. Gwen perd elle aussi, pas ses ailes non.. En a-t-elle déjà eu seulement ? Non, elle perd son air invincible, elle est presque... Fragile ? Tu te lèves et goûtant de ta victoire tu viens lui offrir un léger baiser rempli de cynisme. " - Il en reste un peu vas. Fais pas la gueule. " Tu ris devant ta stupidité. Tu ris jaune, tu ris mais tu veux pleurer. Pleurer car il n'y a plus de rêve, plus d'illusion tout est lucide à présent. Cependant tu ne laisses pas tomber, ton coeur écorché mais toujours présent souffle à ta raison d'en arrêter là... Cette connasse de raison, ivre morte de gloire. Ivre morte, enfouit sous trois tonnes d'égo. Ton coeur n'oublie pas, il n'oublie rien. Tu regardes Gwen tes yeux embués de larmes, elle ne verra sans doute rien. Sa colère est trop forte pour qu'elle voit à tel point tu te détestes. Tu te détestes Lou, d'avoir bousiller ainsi la seule chose qu'elle aimait chez toi. Mais c'est trop tard... Trop tard, alors autant jouer jusqu'au bout. " - J'en appelle une autre s'tu veux. Je commence à connaitre les bons coups de Harvard. "

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Ca t'fait sourire, hein ? T'as cet éclair de vanité dans ton sourire putride et rempli de trahison, parce que tu me trahis, Lou. Tu m'fais du mal et t'en es fière. Tu jubiles de ta petite victoire sur moi, tu jouis de me voir mal, presque en train de brûler pour toi quand j'attends de savoir qui est cette fille. Et ta réponse, c'est comme une bombe. C'est encore plus violent que mon procès, que mon poing qui s'écrasait contre le mur en béton. J'en sais trop rien. Une mather j'crois. Putain, j'ai envie de tout casser. Avec une de mes consœurs, une fille que j'suis censée connaître, surtout que j'me présente à la présidence de la maison. Et toi, tu te tapes une de mes soeurs, sans ménagement, sans la moindre pointe de regret. Et ca fait mal, ca brûle au fond d'moi. Ca m'énerve, j'ai envie de t'attraper par les cheveux et de t'énumérer le nom de toutes les filles sur lesquelles j'ai laissé une trace de moi. Pour que t'aies aussi mal que moi, que ca te détruise presque. Encore mieux... Je serre les dents, tu vois que j'suis énervée, et t'en profites pour laisser apparaître le suçon qu'elle t'a fait. Tu l'fais exprès ? Tu veux m'prouver ce que t'as ressenti à chaque fois ? T'avais pas besoin de ca, t'avais pas besoin d'me mentir en m'disant que j'étais la seule qui serait en droit de te toucher, la seule qui pourrait te faire jouir comme jamais. Mais t'as gémis, avec elle. Tu m'as menti, trahie, blessée, baisée, enculée. J'te collerai bien une gifle, si tu savais Lou. Et tu te lèves avant de poser tes lèvres sur les miennes. Il en reste un peu vas. Fais pas la gueule. Enlève moi ce putain de sourire satisfait que t'as au coin d'la gueule, ce sourire qui pue le cynisme. J'en veux pas, lâche moi. M'approches pas. J'ai envie de te pousser, te repousser, te gifler, te frapper, de te blesser comme jamais. J'ai tant de haine contre toi à cet instant précis, Lou, t'imagines même pas. T'auras beau chialer, j'te regarderai pas. Tu pourrais presque me dire que tu crèverai pour moi, j'te dirais de sauter. T'as voulu jouer, t'as perdu. Echec et mat, Lou. Y'a que moi, qui sait jouer subtilement avec toi. J'en appelle une autre s'tu veux. Je commence à connaitre les bons coups de Harvard. Là, c'est le coup de grâce. Tu viens de m'achever, m'assassiner. J'attrapais le petit cadre sur ta table de nuit, une photo de nous, datant d'il y a quatre ou cinq ans. Je retirais la photo de ce cadre avant de la mettre en boule et te la jeter en pleine gueule. Tu me dégoutes, Lou. Fais ce que tu veux, maintenant. T'es libre de te donner à qui tu veux, mais reviens plus vers moi. J'existe plus pour toi, j'suis même plus un souvenir, rien, tu m'connais pas et tu m'as jamais connue. J'avais les dents tellement serrées que j'avais mal à la machoire. Et en relâchant la pression, je donnais un coup de pied dans sa porte. Elle m'a blessée, comme personne.
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    " Encore mieux... " Mentir. Tu le fais si bien. Tout n'est qu'un mensonge. Ce sourire, ta vanité, ta gloire. Baiser ? Oui tu l'as fait. Avec d'autre ? Une fois, une seule. Du plaisir ? Aucun, tu n'as ressenti aucun plaisir. Du désir ? Comment désirer un autre corps que le sien ? Tu ne peux pas, tu lui es destiné et ca te détruis totalement. L'amour, le vrai, il n'est jamais simple. Jamais totalement réciproque. Il y a celui qui souffre puis l'autre. Toi tu souffres, ou pas. Ici, maintenant. C'est Gwen qui souffre. Elle ramasse dans la gueule tout ce qu'elle te fait endurer depuis le début. Sauf qu'elle, elle ne subit pas en silence. Elle, elle serre les poings, elle crispe sa mâchoire. Elle fulmine, elle hurle sa rage en silence. Seul son regard te transperce. D'abord la flèche de cupidon, puis son regard meurtrier. Tu as envie de lui hurler d'arrêter, que ca sert à rien. Que t'es déjà morte. Morte lorsque l'autre te touchait, lorsque ses baisers empoisonnés se posaient sur ta peau. Où est le remède ? Sur les siennes. Les siennes que tu effleures à peine. " J'en veux pas, lâche moi. M'approches pas.  " Tu recules. Tu savais qu'il allait sortir celui là, mais ses mots, sa voix... C'est terrible. Tu détournes le regard, perdant un instant ton sourire alors que la larme coule. Elle menaçait de s'enfuir, pas depuis qu'elle est là non. Non depuis que l'autre t'a embrassé. Depuis que tu l'as dragué, choisi parmi les mathers. Parce que tu savais, tu savais que c'était le pire à faire pour Gwen. Utilisé les autres pour vous jeter des pierres, c'est ça le plus beau dans le jeu. Vous ne vous suffisez pas, vous ne souffrez pas assez ensemble. Vous avez besoin d'ajouter des cons dans votre histoire. Parce qu'après tout, plus on est de fou, plus on rit. Et bah putain, ce que tu peux rire en ce moment Lou. C'est tragiquement comique toute cette scène. " - Dommage, j'ai pas pu terminé avec l'autre. J'ai encore envie. ". Tu te mords la lèvre en restant debout. Là devant elle, les bras ballant près de ton corps athlétique. Tu n'es pas subtile, tu es directe. Tu n'as pas cherché à jouer longtemps, à traîner. Tu as avancé le coup directement, en plein coeur. Il n'y a pas d'épine sans rose, même quand elle s'appelle Lou. Gwen récupère ta photo, c'est la goutte de trop. Elle la froisse, la jette. Tu n'es plus que le vide, le néant. Rien. Elle s'écrase contre ton épaule avant de tomber au sol. "  Tu me dégoûtes, Lou. Fais ce que tu veux, maintenant. T'es libre de te donner à qui tu veux, mais reviens plus vers moi. J'existe plus pour toi, j'suis même plus un souvenir, rien, tu m'connais pas et tu m'as jamais connue.  ". Tu souffres, tu souffres, tu souffres. Tu l'as cherché non ? Pourtant ca ne te suffit pas. Tu ne veux pas qu'elle frappe sur la porte, non. Tu veux qu'elle te frappe toi, tu veux qu'elle te tue. Tu ne veux plus être, non. Pas sans elle. " - C'est bien toi qui es revenue là ? Non ? Retourne plutôt voir Dixie, Luwana et Tekla. Retournes voir les autres à la place de me faire la morale tu veux.  Ou alors ferme la et encaisses comme j'ai encaissé. "
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Putain, comment tu peux me faire ca, hein ? Comment t'arrives encore à me regarder en face, après m'avoir dit que personne d'autre ne toucherai ta peau, alors que là, je t'ai limite surprise avec l'autre ? Si j'étais pas venue, t'aurai pris ton pied, et tu m'aurais encore dis que j'étais la seule ? Putain, et avant, pendant quatre ans, tu m'as menti comme ca, aussi ? En me disant que personne d'autre que moi avait touché ton corps ? J'arrive même plus à te regarder dans les yeux, tellement ca brûle au fond de moi, tellement ca pique. J'suis dégoutée, déçue. Perdue. Toi tu savais que j'refaisais ma vie par moment, que j'allais voir des filles, tu savais tout ca, j'te disais pas que je t'attendais alors que c'était faux. C'est peut-être mon égo qui parle, c'est peut-être cette petite touche d'amour qui me reste pour toi qui parle, c'est peut-être même la femme blessée que je suis qui parle. Je sais même plus dissocier l'un de l'autre tellement j'suis paumée. Et toi, tu continues de te jouer de moi, de mes nerfs, Parce que cette relation autodestructrice et malsaine nous plait, on aime se faire du mal. Non, j'aime te faire du mal, mais t'as décidé d'inverser les rôles. T'agis comme une garce, et j'aime pas ca, Lou. Dommage, j'ai pas pu terminé avec l'autre. J'ai encore envie. Je te fusilles du regard, je te hais de me dire ca, t'avais pas l'droit. Compte pas sur moi pour passer derrière elle. T'as deux mains, sers toi en. Mon intonation est sèche, presque glaciale, mais comprends moi, putain. C'était toujours toi le jouet dans l'histoire, fallait pas changer ca. T'avais pas le droit. Et quand j'te jette cette putain de photo, je vois que ca te fais mal. Tu veux souffrir, t'as toujours aimé souffrir. C'est bien toi qui es revenue là ? Non ? Retourne plutôt voir Dixie, Luwana et Tekla. Retournes voir les autres à la place de me faire la morale tu veux. Ou alors ferme la et encaisses comme j'ai encaissé. Tu renverses les rôles pour passer pour la victime ? T'es sérieuse, Lou ? T'étais où, quand j'étais à l'hôpital ? T'es pas venue, tu t'en branle de moi. T'étais surement en train d'en baiser une autre. Au final, qu'est-ce que ca fout ? Et utiliser les meufs que j'me suis tapé en étant défoncée, c'est vraiment bas, mademoiselle je sais même pas qui m'baise. Alors non, j'ferme pas ma gueule. Et j'sais même pas c'que j'espérais en rentrant ici. Ah si, passer du temps avec toi, pour essayer de reconstruire quelque chose, mais t'as tout niqué. Tout. J'étais vraiment énervée, j'voulais la blesser au plus profond d'elle, peut-être que ca marchera.
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" Compte pas sur moi pour passer derrière elle. T'as deux mains, sers toi en. ". Une seconde larme coule sur ta joue, entraînant du mascara sur ta peau pâle. Pâle comme la mort, comme le cadavre que tu es à présent qu'elle t'a arraché le coeur. Sa main ensanglantée sers entre ses doigts cet organe couturé mille fois par ses tromperies. Mille fois par ses mensonges, par ses promesses. C'est fini, tu as tout envoyé en l'air et vous n'avez rien su rattraper au vol. Rien. Un couteau c'est planté dans son coeur, et le tien s'est tu à jamais. " Je m'en sers plutôt bien d'ailleurs, enfin tu as dû entendre ça derrière la porte, non ? ". Tu as pleuré ? A elle de pleurer, à elle de laisser échapper ses larmes acides qui brûlent à l'intérieur de toi. Tu t'allumes une clope traînant au pied du lit. Ton dupont éclaire tes traits affaissés et montre l'abomination qui se cache derrière. Voila enfin ton véritable visage révélé à son amour. Aujourd'hui, c'est la vérité qui éclate, c'est l'amour, c'est la fin. Tu ne veux même pas la voir. Tu préférerais l'ignorer mais tu ne peux pas. Tu ne peux pas éviter son regard, sa colère. Tu ne peux pas éviter ta victoire qui te fait pourtant tout perdre. Ce soir, le prix est remis à Lou, la garce par excellence. Bravo, vous avez réussi. Tu tires une longue bouffée de fumé, les yeux mi-clos pour retenir le plus de larmes possible. Tu ne veux pas qu'elle voit ta souffrance, tu ne veux pas qu'elle voit combien tu es faible. " T'étais où, quand j'étais à l'hôpital ? T'es pas venue, tu t'en branle de moi. T'étais surement en train d'en baiser une autre. Au final, qu'est-ce que ca fout ? Et utiliser les meufs que j'me suis tapé en étant défoncée, c'est vraiment bas, mademoiselle je sais même pas qui m'baise. Alors non, j'ferme pas ma gueule. Et j'sais même pas c'que j'espérais en rentrant ici. Ah si, passer du temps avec toi, pour essayer de reconstruire quelque chose, mais t'as tout niqué. Tout. " C'est le coup de grâce. Tu reçois le coup au ventre puisqu'il n'y a plus qu'abîme à ta poitrine. Tu te penches en respirant un grand coup, tu essuies maladroitement tes yeux et tu ramasses la photo. Cette maudite photo. Ton souffle est haché alors que tu la ranges dans ton tiroir. Pourquoi la garder Lou ? C'est fini, terminer. Tu as tout bousiller connasse ! Vois comment elle souffre par ta faute ?! Vois comme vous souffrez par ta faute, par tes conneries ! Par ton envie de vengeance et d'égalité ! Tu n'es pas elle et elle n'est pas toi, tu ne peux pas inverser les rôles en un claquement de doigts pour ensuite dire "oups pardon". Elle t'a blessé au plus profond de toi, mais tu fais preuve d'orgueil, encore. Tu enlève ton tee-shirt mine de rien. " Tu étais en si bonne compagnie que je me suis dit que c'était une mauvaise idée de venir te déranger. Et puis je suis venue, une fois. Mais une infirmière m'a dit qu'une fille était avec toi donc j'ai fait demi-tour. " Tu balances ce maudit tee-shirt alors que tu enfiles un peignoir. Tu veux te laver, tu as besoin de retirer toute cette grasse qui te colle au corps. Par sa faute à elle, par ta faute à toi et par la faute de cette conne de petite mather à la con. " Et. C'était la première fois que je le faisais avec une autre fille. Et puis pour pouvoir reconstruire quelque chose, il aurait fallut qu'il y ait quelque chose de construit auparavant. Mais non. Il n'y avait rien puisque j'ai toujours été qu'un jouet à tes yeux. Tu sais, un vulgaire truc qu'on vient utiliser quand on a besoin de réconfort ou qu'il n'y a personne d'autre. Alors maintenant dégage d'ici. Si moi je te dégoûte, tu me dégoûtes aussi. "
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A chaque nouvelle phrase, tu me blesses, je te blesse. On se fait du mal, on se détruit, et pourtant, c'est presque plus violent que de s'envoyer des parpaings en pleine gueule. Ce ne sont que des mots, mais des mots qui atteignent l'orgueil, l'égo et l'âme. " Je m'en sers plutôt bien d'ailleurs, enfin tu as dû entendre ça derrière la porte, non ? " Je fulminais, j'avais envie de t'attraper le visage entre les mains et de serrer fort, pour te montrer à quel point j'avais mal. Je m'appuyais contre la porte, affaiblie par tout ce que tu me dis. J'avais pas besoin de ça pour le savoir, Lou. J'le savais déjà... Je baissais la tête, laissant couler une chose de mes yeux. Putain, c'est quoi, ça ? Des larmes. Tu m'as achevée, tu m'fais tellement mal, Lou. Et pourtant, c'est jamais assez. Avant, c'est moi qui t'faisais pleurer, et là, t'as échangé les rôles. Et ca brûle, tellement fort. C'est pire que mon premier rail de coke, ça m'monte à la tête. C'est comme la pire scène d'un film sur une musique douce et entraînante, les moments magiques qu'on se voit cristallisés dans une vague d'orgueil mal placé. Tu es ma larme d'orgueil dans le savoir, tu me rend folle et tu te complais dans l'idée même de me voir souffrir pour toi. Mais finalement, c'est toi qui souffre. On se renvoie la balle avec tant d'aisance que c'est presque un nouveau jeu que l'on joue. Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis. Tu ranges dans un coin le souvenir de nous, comme pour marquer la fin de nous. Je sais que t'as pas envie de le faire, que ca te fais mal. Autant mal qu'à moi. Tu retires ton t-shirt, te retrouvant nue. Me fais pas ça, t'as pas le droit. Tu sais que ton corps c'est ma kryptonite. Mon regard le fuis comme la peste, tu n'es plus mienne, à quoi bon ? " Tu étais en si bonne compagnie que je me suis dit que c'était une mauvaise idée de venir te déranger. Et puis je suis venue, une fois. Mais une infirmière m'a dit qu'une fille était avec toi donc j'ai fait demi-tour. " Une fois. Je suis restée une semaine, à attendre ta visite. Une semaine dans ma solitude, une semaine à espérer te voir sur le pas de la porte. Et rien. Une fois, sur une semaine. T'as pas mieux comme excuse ? J'voulais que tu viennes, j'voulais que tu m'prouves que tu tenais à moi. Que t'as pas juste appelé les pompiers pour sauver ta conscience. Mais rien. T'as rien fait pour m'prouver ca, et là encore tu m'prouves que j'suis plus rien pour toi. J'ai besoin de ma came, j'veux planer pour oublier que tu m'fais mal, pour oublier que pour toi je ne suis qu'une figure du passé. J'm'attendais pas à ça, pas maintenant. Et tu enfilais un peignoir pour cacher ton corps souillé par cette fille qui n'est pas pour toi. " Et. C'était la première fois que je le faisais avec une autre fille. Et puis pour pouvoir reconstruire quelque chose, il aurait fallut qu'il y ait quelque chose de construit auparavant. Mais non. Il n'y avait rien puisque j'ai toujours été qu'un jouet à tes yeux. Tu sais, un vulgaire truc qu'on vient utiliser quand on a besoin de réconfort ou qu'il n'y a personne d'autre. Alors maintenant dégage d'ici. Si moi je te dégoûte, tu me dégoûtes aussi. " J'relevais les yeux vers toi, j'avais pas honte que tu vois mes yeux rouges, brûlés par l'acidité de mes larmes. T'as pas toujours été un jouet Lou. J'ai toujours eu de l'amour pour toi, même si j'm'interdit d'aimer. Parce que j'suis comme ca, j'suis pas comme toi. Et j'voulais qu'on se retrouve comme il y a sept ans. J'me souviens du premier jour comme si c'était hier. Alors non, j'partirais pas. T'as voulu m'blesser, t'as réussi. J'veux te montrer que j'suis pas invincible, que cette fois, tu gagnes. Que là...tu m'rends folle.
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"J'avais pas besoin de ça pour le savoir, Lou. J'le savais déjà... " Elle se laisse aller contre la porte, son impuissance se briser. Tes épaules s'affaissant tandis que ses larmes coulent. Plus de plaisir, rien du tout. Tu ne seras jamais assez bien pour elle, toujours trop faible. Tu t'es baisé toute seule Lou, comment tu pourrais te racheter maintenant ? En t'offrant à ses pieds ? Rien à faire. A trop vouloir de jouer avec le feu, tu as rencontré ta propre fin. La mort des sens, la mort qui courait après toi a fini par lâcher l'épée de Damoclès sur ta nuque. Tu as tout donné, jusqu'à ta méchanceté et ta souffrance. Maintenant, trop tard pour freiner, ses larmes coulent. Elle pleure, ta déesse pleure et tu ne peu rien faire d'autre que regarder silencieusement. A trop la croire invincible, tu as trop tirer sur la corde. Elle a cédé pour de bon. L'amour, la haine, la peine, la souffrance. Tout s'est enfuit Lou. Ce qui était avant une pièce enfumée par la chaleureuse décadence est maintenant gelé par le manque, par la fin. La fin de la Fin. Ta fin, sa fin, votre fin. Tu t'es enfoncée dans un vide que tu ne peux plus remplir, même pas d’espérance idiote ou de mensonges indélébiles. Débile, c'est toi la débile. Tu ne la mérite pas, tu ne l'as jamais mérité. Tu retires ton tee-shirt, celui-là même que tu as porté un nombre incalculable de fois entre ses bras. " Une fois, sur une semaine. T'as pas mieux comme excuse ? J'voulais que tu viennes, j'voulais que tu m'prouves que tu tenais à moi. Que t'as pas juste appelé les pompiers pour sauver ta conscience. Mais rien. T'as rien fait pour m'prouver ca, et là encore tu m'prouves que j'suis plus rien pour toi.". Il n'y a plus de vous. En a-t-il jamais eu ? Ta gorge se serre alors que tes larmes affluent. Tu aimerais tellement être seule, mais tu ne peux pas. Aucun retour en arrière possible, tu aimerais être en ses bras. Mais il est trop tard pour tout ça. Trop tard. Tu enfiles rapidement un peignoir. "Et moi je voulais que tu saches ce que ca fait de te savoir dans les bras d'une autre, de pas oser venir te voir dans la peur incessante de croiser une de tes putes. J'ai pas à te prouver quoique ce soit. Tu m'as abandonnée, c'est à toi de me prouver que j'ai encore une place dans ta vie ! Mais j'ai bien cru comprendre que c'est pas le cas, il y a déjà pas assez de place pour le tas de personne qui serrent leurs corps contre le tien. Tu n'as jamais été rien à mes yeux, c'pour ça que tu jouais, parce que t'as pas eu peur une seule seconde de me perdre. Et c'est pourquoi t'as mal là, car la réalité est toujours plus cruelle que prévu. " Tu restes là en face d'elle, frissonnant de froid, de mal. Ton mascara à largement coulé, laissant de longue traînée noir sur ta peau. Tes lèvres sont bleus, le monde est noir. Plus de couleur sans Gwen. Sauf ses yeux rougis par ses pleurs. Elle te les montrent bien, pour que tu comprennes. " T'as pas toujours été un jouet Lou. J'ai toujours eu de l'amour pour toi, même si j'm'interdit d'aimer. Parce que j'suis comme ca, j'suis pas comme toi. Et j'voulais qu'on se retrouve comme il y a sept ans. J'me souviens du premier jour comme si c'était hier. Alors non, j'partirais pas. T'as voulu m'blesser, t'as réussi. J'veux te montrer que j'suis pas invincible, que cette fois, tu gagnes. Que là...tu m'rends folle."  Tu essayes de fuir sa vue le plus possible... Ne pas la voir te poignarde le coeur. Surtout ne te retournes pas vers elle Lou. Trop tard pour ça aussi. Tu fonces entre ses mains, pour la serrer fort contre ton corps. Tant pis si elle te repousse, tu ne peux plus rester loin d'elle. Tu éclates en gros sanglots, et la pièce résonnent dorénavant de tes pleurs, et peut-être même des siens. " Je suis désolée, tellement. "
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