(flashback) Adam & Nina ✗ Amour gloire et beauté ? [violent au 6e post]

Je  triturais ma main moite en attendant Alexis, mon cavalier,je regardai ma mère qui a mes coter tenant l'appareil photo dernier crie, que mon pere m'avais offert l'année derniere. D'ailleurs il n'était même pas là : pourquoi ? « Un spectacle désolant » d’après lui. Je me regardais dans le miroir qui montrait tout mon corps qui tremblais d’effroi, de crainte. Je replaçais ma cravate acheté spécialement pour l'occasion, je fit un sourire crispé a mon reflet. Respire, expire; pas aussi fort on dirait un taureau. Je me demande comment Alexis avait pus me demander d'être son cavalier, j'avais a peine dit depuis deux semaines remarqué que j'avais une attirance pour les hommes. Il me parut pas surpris du tout : surement a cause des multiplication de gel dans mes cheveux et  de papillon dans ma garde robe ? Oui pour moi a l’époque quand on été gay sa devenait aussi un style vestimentaire... Peu discret ? J'avais opté pour quelques nœud papillon qui me permettait d'être classe et distingué autrement que ma des chapeaux ou des foulard exubérant. J'entendis la sonnette retentir et j'étais comme bloqué sur mes mocassin noir et blanc ma mère me poussais le bas du dos et comme par magie, je retrouvais l'usage de mes jambes.

Je tournais la poignée doucement pour y découvrir le sourire joyeux d'Alexis, je souriais a mon tour ce qui me paressait le plus naturel possible et il me fait la bise, une bise tellement claquante, tellement forte que je fut un peu surpris moi même. Ma mère prit quelques cliché et je me calmait enfin jouant avec les différentes position avant de sortir Alexis me remit droite ma fleure sur ma poitrine et rougis, un peu gêné. Je rentrais dans la voiture de ses parents qu'il avait prie pour l'occasion, et même rangé et nettoyé car je sentais un parfum rose et que la dernière fois que j'y était rentré de multitude de paquet de chips et de soda de tout sortes. Il me prit la main et me promet que tous se passeras bien, je lui rassura a mon tour que avec lui je ne craignais rien. Absolument rien. Je regardais droit devant moi et rien d'autre je sentis la main de Alexis se poser sur moi avant les vitesses. Il se gare et me dit de rester là. Il m'ouvre la porte et je souri car j'aime les petites attentions de ce genre, bras dessus et dessous, nous entrons dans la salle de gym qui a été magnifiquement aménage de drap de velours et la boule de disco mettais des effets merveilleux. Alexis tend les billets a une demoiselle rousse qui ne regardait avec dégoût avant de prendre les billets d'un geste sec.

J'aurais été le plus heureux des hommes si tout le mondes arrêtaient de nous regardé, Alexis et moi comme des bêtes de foires. je sentais aussi un peu mon cavalier nerveux mais il le dissimuler derriere un large sourire bienveillant a mon égard, a moins que ce soit le fruit de mon imagination et qu'il le fasse a tout le monde ? Je rougis lorsqu'il prit ma main pour m'emmener sur la piste de danse où passait le tube que passait dans toute les radio depuis deux semaines, qui avait le dont de m’énerve mais Alexis tout était différent. Je ft un léger hoquet de surprise lorsque il mis son bras autour de ma taille, pour m'emprisonner autour de lui nos jambe se retrouvais entrelaçai et je riais tellement que je cru que mes poumon allait littéralement explosé. Il me proposais un verre et me laissais seul sur la piste de dance. Je le quitte pour trouvé Nina mais je ne suis pas vraiment sur elle avait drôlement changer, elle était devenue une jeune femme que tout le monde voulait dans le lycée depuis quelques temps, mais je gardais sournoisement un œil sur ma sœur de coeur, je lui fit signe et arrivait dans ça direction mais quelques chose clochait : elle était seul ? Sans cavalier ? Je n'aimais pas du tout son petit copain, j'avais l'impression qu'il jouait d'elle : peut être juste de la jalousie ? Sûrement. Nina était comme une sœur que je devais protège de tous c'est adolescent en rûte qui voulais copuler a l’arrière d'un twingo sale. je lui souri et lui dit d'une voix mi taquine et mi sérieuse : « Bin il est où ton prince charmant ?  Me dit pas que tes venue tout seul ? Sinon j’écrase ses bourses entre deux pierre comme faisait les grecs. » j'aurais été prête a tout pour elle même me faire passer pour un meurtre qu'elle aurait fait... M'enfin, je n’espérais pas qu'elle arrive a une tel chose hein. Alexis arrivait avec deux gobelet et il salua Nina et me tendit finalement un verre m'embrassais sur la joue, ce qui me surprit fort je regardais Nina avec de gros yeux et dit pas télépathie je fait quoi je fait quoi ? mais vue qu'elle ne me répondit pas, je ne pus répondre qu'un joli sourire à l'égard de mon cavalier. Cette soirée allait être magique.

Les organisateur de la soirée avait vraiment bien fait leur soirée. Tout le monde s'amusait mais j'avouais que ca me rendait un peu nerveux. C'était la première année je passais au bal de fin d’année, Alexis m'avait promis que personne ferait attention à nous, que nous étions tout a fait normal, mais j'avais la net impression que cela n'était pas du tout le cas. Voyant le regard outré de certain chaperon de la soirée. Mais enfin, je n'étais plus seul Nina ma chère et tendre était avec moi. J élançais un petit picot sur sont petit copain qu'il n'était pas là alors qu'elle avait grand besoin d'aide , elle n'étais pas vraiment  à l'aise dans la soirée. Moi manqué de tact ? Peut être mais ce n'est pas ma faute si ça coupe ridicule, et, sa gueule d'ange m’énerve tout de même ! Je tenais a Nina lui aussi apparemment, mais je n'y croyais vraiment pas. C'étais comme si une légère compétition c'était mis entre nous : qui sera le plus aimé de Nina ? Elle passait affectueusement sa main dans mes cheveux bouclé et je lui souri et lui dit avec un sourire malicieux :  «Le miens est allé me chercher en parfait gentleman une boisson pour me rafraîchir du ce qu'on pourrait appelé un collé serrer, qu'on vient de faire » je sentis ses lèvre effleurer doucement ma joue et me tendre une boisson non alcoolisé, Je ne penserais pas qu'il allait montrer une tel affection ce soir et je lançais un regard completement fondus avec un sourire vers Nina.

Celle ci se présentait, sous mon regard amusé , j'adorais quand elle faisait son regard de louve qui protégeait ces petits, je rassurait Alexis en disant qu'elle ne mordait que quand c'était strictement nécessaire. Je lui sourie doucement mais mon visage retombais durement lorsque je vis James arrivé comme une fleure avec ,enfin, une boisson pour Nina je ricanais et lui dit d'un ton peut être un peu trop sec : « Elle aurait pus se déshydrater le temps que tu viennes ! James je te présente Alexis, mon cavalier, Alexis, James le petit ami de Nina » j'entendis la musique se ralentir pour laissé place a un slow. Je finis mon gobelet avant d'emmener Nina sur la piste et de dire d'un voix qui devait être tres masculin : «Tu veux bien m'accorder cette danse ? En toute amitié bien sur » je mis une de mes mains sur ses hanches et l'autre dans ses doigts et nous tournions en rond autour de nous même, inlassablement. Mais Alexis vint me tapoter l'épaule pour prendre la place de Nina. J'acceptais, et me fit berçai au balancement de son coeur et il me dit ces mot qui pouvait être perçut comme completement inapte a la situation : vous pensez à "tu est magnifique ce soir ! Oh non ! Pas de ça. Il le disait d'un voix grave, suave, délicieuse : «Je veux être a toi ce soir. Maintenant. »  je levais ma tête pour voir les yeux de braise de Alexis me transpercer de tout mon être il voulait... Oh mon dieu ! Je sentis ses mains descendre vers mes fesses et ses lèvre se balader sur mon coud... On ne pouvais pas faire ça, pas içi, pas maintenant, pas avec ces yeux percer sur nous je hoquetait car je n'avais pas l'habitude de cette sensation fabuleuse. Je l'emmenais vers les toilettes où l'on serait plus tranquille mes a peine j'ai le temps de nous faites rentrer qu'il s'attaque sauvagement a mes levres se qui me fait décrocher un petit gémissement. Je ne l'avais jamais vue comme ça, toujours doux, attentionné. Oh oui cette fête allait être magique, inoubliable.

J'entend un léger cliquetis de la poignée des toilettes tendit que Alexis explorait mon torse du bout de sa langue. Et je commencais a trembler littéralement de peur, comme ci je voyais la scene défilé devant mes yeux. Alexis regarde la porte et fait comme une espèce de protection autour de ses bras, je reboutonne ma chemise et entend des voix avec plein grincement, grave, bourré d'alcool hurlé devant la porte : « Hey les pédettes ! Sortez de là ! OOOOUUUUh je sais que vous êtes là ! Faites un petit bruit avec vos truc cochon ! » j'avais peur, tellement peur qu'ils fassent pire que des simples bousculade dans les casiers. Je fit un petit crie lorsqu'il défonçait la porte et j'entendis un ricanement horrible et hurlant que j'étais là, qu'il entendait ma voix. Je priais, pour la première fois depuis des année, je priais comme jamais. Ils réussirent a rentré, je ne sais pas quel miracle. Mais qu'importe ils étaient quatres comme des armoires a glace l'un deux me prit une un paquet de boucle de cheveux pour me lever a vingts centimètre du sol, je hurlais de douleurs mais, cela ne fut rien a côte du reste il me plaquait contre le mur pour prendre de l'élan et me plaquait contre l'évier, avec peur de force mais assez pour entendre un fracassement sourd.

Alexis hurlait mon prénoms et en jurant contre un des mecs, il essaya vainement de s'interposé mais deux autres lui prit pour lui foutre un coup des point dans son visage, je criais, horrifié. Comment autant de violence pouvait avoir lieux ici, au lycée. Personne nous entendait ? bordel ! Je sentis un coup de poids, puis, deux sur ma cage thoracique, je pense de plus en plus fort car je sentis un os craqué j'avais tellement mal au visage que je ne savais pas si c'était casser ou pas. Mes cours de boxe me revint en mémoire et je donnais un coup en plein dans le visage de mon agresseur car il venait de me lever au niveaux de son visage (il faisait environ 2 têtes de plus que moi) celui ci me lâchait mais les deux autres qui s'occupait de Alexis; disparue pour me bloqué les bras puissamment. Je regardais en direction de Alexis sont corps sans vie je hurlais autant que je n'avais jamais autant hurlé de ma vie : « Alexis ! Lève toi bordel ! ALEXIS ! VOUS AVEZ FAITS QUOI BANDE DE FILS DE... ALEXIIIIIS » celui qui devait être la patron e regardait pendant que les deux autre macaque me tenait fermement. Il allait me tué. Je fermais les yeux et sentis plusieurs coup de point un partout. Je sentis le sang coulé de mes levres. Il me disait que j'étais une erreur de la nature. Que je ne méritais pas de vivre : est si c'étais vrai ? Alexis serait encore en train de sourire si je n'étais pas là, n'est ce pas ? A ce moment je me suis dit... Oui j'ai voulus qu'il me tue. J'ai pleuré et je vie une lame brillé dans la miroir... Une arme, je sentis la lame froide me parcourir le coup, me faisant frissonner l’échine. L'agresseur regardait un des suçons qu'avait fait Alexis quelques minutes avant et fit un bruit de degout et je sentais la lame lentement s'enfoncer dans le suçon , suffoquais. Je manquais d'air.

Je me reposais lourdement au sol. Comme un vulgaire tas de viandes, je pleure de rage regardant l'un des trois vouloir s'approcher de Nina et le corps d'Alexis. Ce fut de trop, comme une décharge d'adrelaline je me lève et me jete un puis deux puis trois coup de point sans me relâcher. Je pleure, je tremble, mon épaule me fait mal je crois qu'elle ses déplacer je sens du sang couvrir  lentement mon coup blanc mais plus rien n'avais d'importance juste cette homme qui m'avais fait souffrir et osé faire souffrir la personne a qui je tenais, il ne méritait qu'un chose. La mort. L'homme s'écroule mais ce n'est pas sassez il m'en faut plus je suis aveugler par la rage. Je prend son couteau je m'accroupis et approche de son coud et lui sortie aussi sèchement, que je ne pouvais imaginer que ce soit moi qui parlais aussi durement : « Tes un porc du comprend ça ? Tu touche pas a ma princesse ok ? PERSONNE ! Déjà son petit copain c'est limite alors toi ne la regarde pas JE TES DIT TU LA REGARDES PAS BORDEL ! Tu mérites de creve pour tout ce que tu a fait salopard... Ça devait être le plus beau soir de ma vie bordel ! » j’éclate en sanglot encore plus puissant et je jete le couteaux au sol. J'essaye de me leve mais je retombe au sol mes jambes tremble, j'ai utilisé tout mon énergie pour parler avec quelqu'un d'inutile... Zut alors. Je tend mon bras vers Alexis mais j'ai la gorge trop sèche pour parler je pleure, c'est tout. Je pose ma tête en arrière je ferme mes yeux remplie de larme et crache dans ma main, du sang. P*tain que la vie est pourrie j'ai même plus de force pour garder les yeux ouvert.... J’espère faire un jolie rêve, me réveille dans mon lit pour voir que toute cette histoire est un horrible cauchemard.