le speed dating PV READ

Je devient soudain radieux, lorsque je vois les multiple yeux rivés sur moi. J'étais heureux de leur partager mon univers. Je pianote toujours dans la même lenteur pour qu'il s'entende chaque note, vibrato, vois douce, voix plus saccader sortir de ma voix. Je fit une dernière note longue pour la fin puis ma voix s'évanouis puis laissé place au sifflement et au applaudissement chaudement donner par tout les clients et les propriétaire du bar. Autant d'éloge me fit presque me donner les larme au yeux mais je sentis Read, me prendre par surprise en me poignant l'épaule et me félicitant. Je lui souri et ris avec lui, mais le coeur n'y était pas. Je sentais que c'était pas le bon et qu'il en fallait pas que je lui fasse ça, j'ai pas envie de me dire qu'il partirais demain et me laisserais seul dan mes drap froid comme cela finissait a chaque fois depuis deux semaine. J'en avait arrêt d'être seul mais surtout d’avoir un crise de peur ou quoi que ce soit, sans me confier sans quelqu’un pour me rassurer et cela m'était de plus en plus insupportable d'autant que tout es amie autour de moi devenait en couple alors je mesait, pourquoi pas moi ?

Je regarde Read en silence et lui sourie et le remercie chaleureusement. Je me rassoies doucement sur ma chaise et bois ma boisson tout en douceur tut lentement pour l'alcool me brûle la gorge je ne veux plus penser a rien juste me laisser aller. Je me redresse : "Tu sais... Je ne sais pas si c'est bien de faire tout ça. Enfin, faudrait peut être que je me dise que je finirais seul et que ma vie deviendras plus calme desormais ? En faite non.... J'ai envie de me marie d'avoir des enfants tout ca tout ca... Je sais mem pas pourquoi je te parle de  ça en faite. m'enfin bref, si ce soir, ya rien d'autre qu'un bon coup je m'en sens pas vraiment capable. J'ai envie fr bien plus que ce seulement cela tu vois ?"

Read avait approché le jeune homme u peu par surprise, à vrai dire. Celui-ci avait finit par descendre de l'estrade pour rejoindre sa place, suivi de près par l'ambulancier. Read termina sa boisson, non alcoolisée, presque cul sec, alors que son interlocuteur venait de prendre une bonne gorgée, le regardant d'une façon assez étrange. Et lorsqu'il parla, Read comprit où il voulait en venir. Et bien, certes, c'était peut-être un peu bas de le dire que maintenant, mais on avait toujours le droit de changer d'avis. Même si pour notre jeune homme une bonne compagnie ce soir-là ne serait pas de trop... Il avait besoin de se sentir vivant et aimé. Même si ce n'était que de l'amour purement charnel, c'était déjà quelque chose. Il poussa un soupir avant de sourire toujours avec autant d'ardeur à Adam. Un sourire honnête.

« En fait, j'avais cru comprendre que t'étais en manque... Moi, j'ai besoin de me sentir vivant et faire chica boumboum, ça m'aide pour ça. Alors on peut s'apporter ce dont on a besoin dans l'immédiat, juste pour se sentir mieux. Et si ça donne autre chose dans la suite, bah ça donnera autre chose... Sinon, tant pis, on aura chacun gagné un 'ami'. Ouais c'est peut-être pas dans l'ordre, mais on est pas obligés d'être conformisme. T'en dis quoi?» déclara-t-il finalement. Il avait l'intuition que ce que venait de dire Adam n'était qu'un moment de blues et que son interlocuteur regretterait très rapidement de l'avoir laissé filer. Read aurait pu simplement acquiescer d'un signe de tête, terminer un autre verre en bavardant et rentrer chez lui, mais il avait la sensation que ce ne serait pas vraiment honnête envers lui-même. Et même Adam ne serait pas vraiment d'accord avec cette décision trop vite prise.

C'était peut être l'alcool qui me donnais le bloose ? Pourtant ce doux nectar me donnait plus souvent l'euphorie et le tournis. Mais jamais ça m'avais mis dans un tel état. J'avais sortis trop de chose sur moi en quelques minutes, peut être que j'allais lui faire un peu peur ? Qui aimerais couché avec un posto dépressif aussi ? Je faisait tournoyer le reste dans mon verre tout en regardant Read bouge c'est lèvre. C'est fou comme c'est attirant cette partis du corps, je me pince les lèvres vigoureusement et finis mon verre cul sec, ce qui fit arracher un petit râlement : bin oui ça décapote l'alcool. Je regardais ma montre et repensais au gentil chiot qui m'attendais surement en ce moment même devant la porte je souris en pensant a cela et finis par poser mon verre sur la table en bois massif : « C'est plutôt moi d'habitude qui est utiliser comme un sextoys... C'est pour ça, on ma toujours dit "ne fait pas ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasses" n'est ce pas ? Et puis si j'étais conformiste, j'aimerais les femmes, le foot américain et tout le tintouin. Oh ! Avant que j'oublie j'ai un chiot chez moi donc ne t’inquiète pas si je parle comme un gaga c'est normal. En plus ce seras la première fois qu'il voit quelqu'un d'autre que moi dans l'appartement. D'ailleurs je suis sur qu'il fait des aboiement déchirant en ce moment même...» j'imaginais déjà un peu la scène; comme a son habitude mon petit Oreo viendras a ma rencontre, soit avec sa balle soit avec mes pantoufle (bin oui avec sa petit gueule il ne pas tout emmener !). Je rebroussait un meche qui était tomber sur mon front je paye le verre de Read tendis que la serveuse me felecite pour ma prestation qui, pour elle, sont toujours "parfaite ou exceptionnelle", je rougis, ca me gêne comme même un peu d'avoir des compliment comme ça.

Le jeune secouriste souriait à son interlocuteur qui, en vérité, avait vraiment l'air paumé. Mais celui-ci ne lui inspirait aucunement de la pitié, mais plutôt de l'attachement. On avait envie de s'attacher à ce type plutôt doux aux premiers abords. Il reprit la parole et visiblement l'alcool était parvenu à le détendre très largement. Il avait l'air même d'avoir oublié ce qu'il avait décrit plus tôt. Cette sorte d'état de solitude qu'il n'arrivait pas à fuir. Read lui sourit gentiment.
« Un chiot ? Oh, quelle race ? » demanda le jeune homme avec enthousiasme. Adam n'avait pas à s'en faire, Read n'avait pas peur des chiens, bien au contraire, il était plutôt du genre à jouer avec. Surtout avec un animal si tendre que pouvait l'être un petit chien. Il se leva alors qu'Adam avait payé les verres des deux jeunes hommes. C'était sympa, le secouriste n'avait même pas eu le temps de sortir son porte-monnaies que l'affaire était réglée. Mais en même temps, il avait bien dit à Adam de l'inviter et qui dit inviter dit payer. Ils sortirent du bâtiment et Read continuait de sourire simplement. Pas de raison d'être gêné ni de faire la tête dans de telles circonstances. Même si cela faisait bizarre de savoir quels seraient les plans de la soirée et que ces plans seraient on ne peut plus … pas très catholiques, disons.

Il y en avit qui avait beosin de fumer un joins pour sentir ses msucle de décontracter moi, il me fallait seulement : un bon alcool et une musique pour me sentir en pleine extase de bien être.Je soupirais un doux grognement quand je posait mon verre finis du nectar divin tendis que Read continuais totalement a me faire son sourire fort charmant, mais un peu déstabilisante. Je lui souri un peu avant de lui répondre que mon chiot était une petit bouille de labrador. J'avais hâte de rentré dans mon chez moi, je lui faisait voir toujours un peu plus de moi même et c'état carrément flippant, je me leve et paye la part de Read. Je passais la porte pour ressentir le froid me glacer le sang. Je e mes une echarpe que j'avais camoufler dans mon manteau et par pure réflexe de quand j'étais en couple, je prend a main de Read doucement mais surement. Et là je me rend compte que j'ai fait une grosse grosse grosse connerie, j’enlève ma main : " pardon pardon pardon... J'aurais pas du faire ça" je continue mon chemin et l’emmène jusqu’à la porte devant chez moi et me pince les levre est ce que c'est vraiment une bonne idée ?

Read sourit encore face la réponse d'Adam. Un labrador, ce que ce pouvait être mignon comme animal et surtout imposant à l'âge d'adulte, respirant grâce et robustesse. C'était un chien très doux que l'on pouvait éduquer de façon à ce qu'il nous serve de toute son âme. Un animal fidèle et un véritable ami au fond, Read prenait pour preuve les chiens guide d'aveugle, très souvent de cette race. « Pourquoi t'es-tu décidé à avoir un chien ? » demanda-t-il. Une question qui pouvait être étrange, mais le jeune homme se demandait si c'était dû au sentiment de solitude qu'éprouvait Adam constamment -en tous cas, il semblait l'éprouver constamment- ou simplement comme cela, parce que c'était un rêve de gosse que de s'occuper d'un animal. Un peu des deux certainement. Ils sortirent du bar et commencèrent à marcher. Read sentit soudain la main d'Adam venir se glisser dans la sienne. Et aussi étrange que cela puisse paraître, il le laissa faire. C'était un geste tout ce qu'il y avait d'anodin. Après tout, même les enfants se tiennent par la main. Par contre il fut très gêné lorsque son interlocuteur le lâcha subitement et s'écarta. Il lâcha de multiples excuses. « Mais y a pas de mal, tu sais ? » dit Read toujours en souriant. Cependant, aucun des deux ne reproduit le geste passé. Si cela gênait l'un ou l'autre ce n'était pas la peine. Et puis de toute façon, y avait aucune raison. Ils s'arrêtèrent devant un immeuble et notre secouriste lança un regard interrogatif à Adam qui venait de se stopper. Ils entrèrent finalement et se trouvèrent devant la porte de ce qui semblait être l'appartement de l'étudiant. Ce dernier semblait douter et Read lui lança un regard suivi d'un sourire pour dissiper toutes ses craintes.

Mon chiot était un peu comme mon petit bébé. C'était bien le seul, qui m'attendais patiemment chaque soir, qui me faisait sourire en faisant des petites bêtises de son age. Je passais mon temps libre a lui coudre des nœud papillon collier de tout les couleur (il a presque autant que sont papa maintenant...). Peut être quand voyant sa bouille tout mignonne derrière un gros barreau m'avais donne le baume au coeur, mais il n'y avais pas que ça coyer moi ! Ça faisait un petit moment que je voulais un petit animal de compagnie depuis enfant. Ma famille et moi partions souvent en voyage et de ce faites, avoir un animal de compagnie était impossible. Je sourie avec nostalgie en pensant a les crises de nerf que je faisais pour avoir même un simple poisson rouge, tandis que je payais le verre a Read. Bin oui invité égale payé hein ! Je mis ma main dan celle de Read comme si ce simple geste voulait dire beaucoup... Peut être trop ? Je fus pris d'une soudaine sueur froide et retirais ma main en m'excusant platement. Read me disait que cela n'tait pas grave et celui n'essayais meme pas de refaire le geste et moi, gêné non plus. Nous arrivâmes chez moi je plaçait la cle dans la serrure nerveusement avant de rentrer et la tout mes crainte se dissipais : ma petite bouille vint vers moi tout content remuant de la queue comme jamais (n'allait t-il pas voler un jour ?)et sautillait tout autour de moi, je souri heureux : "Bin oui mon oreo c'est dure d'être seul hein ?" je le leve doucement pour lui montrer le visage radieux de Read "Lui, c'est Read... Dit bonsoir a Read, Oréo" le petit labrador jappais en direction de l'inconnue et sniffait déjà son visage avant de le lécher tout doucement comme ce qu'il faisait a moi au tout début, lorsque je l'avais adopter. Je le deposais et regardais ces gamelle et y rajoutait tout ce dont il en avait besoin pour la soirée. Puis, me tournais gracieusement vers Read je lui enlevais sont manteau et comme si c'était une autre personne qui parlais à la place moi je m'approchais de son oreille : "tu veux un massage ? Apparemment je suis un pro "

Enfin les deux hommes entrèrent dans l'appartement d'Adam et ils furent accueilli par les aboiements et les battements de queue festifs d'un chiot. Sans doute le fameux Oreo. Read sourit lorsqu'Adam le lui présenta et que l'animal commença à japper et lui lécher le nez. Ce n'était peut-être pas le truc le plus sain niveau microbe dans son cas où il devrait faire très attention à ne pas chopper de maladie, même un rhume, mais il aimait trop le bonheur d'un animal pour s'en priver. « Salut toi ! » s'exclama-t-il à l'attention du petit labrador. Il se permit de prendre un instant l'animal dans ses bras pour le caresser doucement alors qu'Adam vérifiait ce dont il avait besoin, remplissant ses gamelles. Cela donnait presque envie à Read d'avoir une présence animale chez lui. C'était vrai qu'il se sentait bien seul et surtout bien imbécile depuis que Ryley l'avait quitté. Une page tellement rapide de sa vie...Finalement, il reposa Oreo au sol pour que le chiot puisse aller s'abreuver. Puis Adam l'aida à ôter son manteau, avant de lui souffler à l'oreille quelques mots qui engendrèrent un nouveau sourire. Mais cette fois-ci, c'était un sourire bien malicieux. « Un pro ? » demanda-t-il en ancrant son regard dans celui de son interlocuteur, avant de murmurer en rapprochant sa bouche de l'oreille d'Adam : « Je veux bien que tu me le prouves... » Il fallait croire que ça commençait vite et bien.

Cela me faisait toujours fondre de voir mon petit chiot  japper un peu partout comme un enfant faisant du chahut. Tandis que Read le caressait je remplie ça gamelle et en entendant ceci, Oréo fonçait vers la gamelle et en mis un peu partout part terre, j cachais ma main sur mes yeux tout en souriant puis vins finalement vers Read pour lui enleve sont manteau pour lui proposer une bon massage en me flattant un peu en disant le mot "pro" un peu trop sérieusement. Celui ci archait délicieusement son sourcil, je fit un petit rire : "ouais... La dernière fois j'ai réussis faire dormir c'est flatteur, non ?" je prend l'huile de massage et me l'étale dur la main et sens le liquide sous on action, je montre avec mes yeux mon canapé et me met sur ces fesse tendis que je regardais c'est large epaule et son dos magnifique. Je me lèche les levre, impatient d'y toucher

La proposition de massage formulée par Adam était plus qu'alléchante et Read se laissa aller au jeu. Quoi de meilleur que ce genre de début pour émoustiller les sens ? Un sourire aux coins des lèvres, il ne put s'empêcher de laisser échapper un rire lorsque son interlocuteur lui affirma avoir tant des doigts de fée qu'il avait réussi à endormir.
« J'espère que tu ne vas pas m'endormir.... » dit-il en tenant ses lèvres à quelques centimètres de celles du jeune Lowell, question de bien le titiller et de bien lui faire comprendre le sous-entendu. Ils avaient d'autres plans que de dormir, c'était certain. Il ôta sa veste, avec l'aide d'Adam, puis son haut, se retrouvant alors torse nu. Bah oui, pour un massage c'était plus pratique d'autant qu'Adam comptait utiliser de l'huile. Read s'installa sur le canapé, après avoir lancé un nouveau regard à l'étudiant. Ce dernier le rejoignit rapidement, s'asseyant à califourchon contre la chute de reins de Read. Notre jeune homme attendait à présent de voir, ou plutôt de sentir, le travail des doigts de fée. Il faut tenir ses promesses !