le speed dating PV READ

2 semaines. Deux punaise de semaine que je mettais inscrit au sceances de speed dating, j'en avais marre d'être seul, j'avais besoin de reconnaissance et d'attention... C 'est trop demandé ? J'allais presque acheté un cousin en forme de bustre homme, pour avoir une présence réconfortante dans mon lit le soir, à croire que ça devenais un problème de la prostate ! Beaucoup de beau garçon, mais aucun avec beaucoup de conversation. En même temps en 5 minutes que dire ? Nom, prénoms, age, passion dans la vie... Que des choses futile, j'étais sûrement pour les organisatrices un cas désespéré le 1% avec qui sa ne marchais pas. Mais une fois encore, j'avais traversé la rue plein de pavé où passait mes mocassin depuis deux semaine, j'étais assis devant la même table ronde décorer d'un simple nappe blanche avec au centre une sonnette avec le numéro 10 sur mon mini pull type marine fétiche faisant ressortir mes yeux et mes boucle légèrement dompte pour l'occasion. Je pris une gorgé d'eau en observant les personnes réunis ce soir ; on était a peu près une vingtaine présent ce soir,  chiffre classique. Certains c'était mis sur le 31 un peu comme moi et d'autre en tenue acceptable pour rencontré l'amour avec un grand « A » ou au moins un plan cul avec un grand « C ». J’étais complètement oppressé, je voyais des millier de paires de yeux rivée sur moi, comme si j'étais un pâte en croûte qu'on veut mangé. J'allais vers les toilettes quand l’organisatrice me prévient que la soirée allait bientôt débuter et je la rassurais en disant que j'allais bientôt revenir, que dire ?

Une femme orrait dit : qu'elle irait se repoudrer le nez, mais moi ? Je n'avais pas lui dire que je faisait sortir les pompier de la caserne, non et non ni que j'allais reprendre mes esprit devant leur miroir tout crasseux, où l'on se demande si c'est vraiment du dentifrice -mais la vrai question est : est ce que l'on veut vraiment savoir ? Non pas vraiment. Je me passais longuement de l'eau claire sur le visage et regardais mon visage avec de lège cerne, évidemment avec Ezra, mon colocataire de l'appartement, qu'est avec a chaque fois une nouvelle poules, impossible de fermer l’œil, mais ce soir, j'allais en ramener un et claquer les portes de ma commode tellement fort, qu'on croirais qu'il y a un meurtre dans ma chambre. Je me redressais et remettais correctement ma veste et mon pull tendis que je remarquais un des regard braquer sur mon arrière train, il est vrai qu'il me moulait à la perfection mon petit derrière, mais tout de même ! Un peu de discrétion. Je ne fit comme si je n'avais rien vue et sortis des toilettes pour me rasseoir à ma table  et en un coup de sonnette ce n'est pas une table mais bien a un véritable poulailler qu'on entendais dans le bar. Je deblatairais mon fidèle refrain que j'avais depuis deux semaines : « Bonsoir. Je m'appel Adam. 19 ans. Je suis a l'université d'harvard, j'y fais des études de musique. Ma passion ? Le chant , la musique le théâtre et la boxe américaine/ française. Et toi ? » je le regardais intensivement me demandant, premièrement ce qu'il faisait içi ? Il n'avais pas l'air du tout ronger par la solitude et deuxièmement s'il avait vraiment compris a une strict chose que j'avais dit. Celui ci avait l'air différent de tout ce que j'avais pus voir depuis deux semaines, son physique avait l'air agréable mais sa voix aussi, une voix douce, mélodieuse, sexuellement suave.  Son corps me faisait dilatée mais pupille malgré l’éclairage de la salle. 

Que ne ferait pas Read pour faire plaisir à l'une de ses sœurs ? Cette dernière, souhaitant le voir en meilleur forme, et surtout heureux avec une personne qui l'épaulerait, l'avait inscrit à un speed dating. Faut dire que ses parents attendaient depuis longtemps qu'il trouve vraiment chaussure à son pied, et la débâcle de leur rejeton leur avait fait comprendre à quel point la solitude lui nuisait. Alors sa sœur avait eu cette superbe -mauvaise- idée. Read ne savait plus où il en était avec Ryley, les choses s'étaient plutôt mal passées, il fallait se l'avouer, surtout avec l'épisode River, loin d'être fini. Mais il ne comptait pas rencontre l'homme ou la femme de sa vie à ce genre de soirée complètement idiote. Il ne comprenait pas comment, en quelques minutes, l'on pouvait suffisamment se présenter pour plaire à quelqu'un. Mais en même temps, il ne pouvait rien dire, car il avait toujours été quelqu'un de très rapide en amour. En fait, non, il était juste un cas social en ce qui concernait l'amour. Un vrai paria.
Mais il se rendit tout de même à la soirée, et dans la fiche de renseignement, cocha même la case qu'il lui était indifférent si la personne faisait partie du genre masculin ou féminin. Certainement que sa sœur n'avait pas prévu cela, mais de toute manière, elle n'en saurait rien. Sa famille ne savait pas pour son aventure avec Ryley, ou qui que ce soit du même sexe que lui. Manquerait plus que cela pour qu'ils le renient totalement. Déjà que sa mère était proche de la syncope lorsqu'on lui parlait de son cher Read...

Enfin, il se trouvait au lieu-dit, à l'heure dite et il attendit que le signal soit envoyé pour s'asseoir face à quelqu'un. Un illustre inconnu qui se présentait. Read sourit face à la délicatesse avec laquelle son interlocuteur se présentait, mais surtout cette sorte de lassitude qu'il avait dans la voix. A croire que lui aussi avait été obligé de venir ici.
« Et bien enchanté, moi c'est Read. Je suis secouriste, mais j'ai aussi fait des études de médecine à Havard. D'ailleurs, je compte reprendre à présent, à la rentrée. J'ai 26 ans, je suis une vieillerie, faut croire. » Un petit sourire charmant suivit ses mots. Il ne savait pas trop quoi dire d'autre. Présenter ses hobbies ? Il se contenta donc de fermer la bouche, avant de reprendre : « Vous avez pas l'air très heureux d'être là... »

Le grand amour. Un marché economique en pleinedevellopemeny avec la merveilleuse invention qu'est internet. J'ai essayer de m'inscrire mais appart des gros dégueulasse, il n'y avais pas vraiment de grand choix. J'avais aussi teste de rencontré d'autre gay, à une réunion contre l'homophobie avec Gwen mais là encore, un véritable champ de campagne. Et heureusement encore je n'étais pas allé mettre une annonce sur dans le journal ! Et c'est comme ça que j'ai décidé de m'inscrire au speed dating. Au début j'étais très septique : comment raconter en cinq pauvre minutes ce que tu a vécue pendant dix neuf ans ? Bien sur je n'allais pas passer a raconter des anecdote enfantin mais il fallait un certain un minimum. Je mettais donc mis au strict nécessaire rendez vous en rendez vous pour enfin trouver mon prince charmant. Je ne comprenais pas, qu'est qui pouvais leur faire peur a ce point ? Ma coiffure ? Ma peau légèrement allé ? Mon style vestimentaire ? Bref, un véritable casse tête chinois qui me faisait des fois, littéralement pleuré dans mon lit comme un enfant. Un désastre. Je suis un vrai désastre affectif. Je me rappelle qu'au début j'étais tout sourire et plein de joie a rencontré le prochain mais maintenant ce n'était qu'une corvée, et une de plus a faire, 3 fois par semaine. Je crois même que les organisatrices avait jeté l’éponge, comme moi, elle ne comprenait pas ce qui se passait. J'étais beau, intelligent au raisonnable, dans une université de choix. En pensant que c'était dans le coter physique je mettais mis a des exercice cardio. Mon corps était légèrement plus sculpter et cela m'avais remis un peu confiance en moi mais comme quoi... Le physique n'est pas tout n'est ce pas ? Je retroussais mes manches de mon costard et regardais mon voisin il était séduisante et oh mon dieu le fantasme du pompier.... Le torse huilé....ADAM non de dieu retiens toi je me mord la lèvre inférieur, presque instinctivement avant de reprendre du voix semi amusé et semi blasé : « Tu peu me tutoyer, j'ai l'air plus vieux sinon ! Moi ? J'étais heureux jusqu’à y'a 2 deux semaines. J'en peu juste plus d'attendre le prince charmant. Même si c'est pour un nuit. »  j'enlevais une boucle qui s'attaquait a mon front avant de posé ma main accouder a la table qui retenais ma tête qui faisait sont expression de chien tout mignon. Je repris sérieusement « ditons un chrono de deux jours encore et je suis obligé d'appelé un gigolo... C'est navrant j'vous jures. J'en peu plus... Pardon. Je devrais pas parlé comme ça»

Read observait attentivement le jeune homme assis face à lui. Il avait l'air étrange. Un peu comme s'il voulait vite trouver quelque chose à se mettre sous la dent. Et c'était peu dire car les phrases qu'il formula laissèrent Read muet un instant avant qu'il ne rit légèrement. Ce n'était pas pour se moquer, mais il ne s'attendait pas à ce qu'on lui dise un truc pareil ! Il croyait que la majorité des gens ici recherchait des relations stables et très … bah amoureuses quoi. Mais ce garçon, Adam, avait juste besoin de quelqu'un à serrer dans ses bras.Enfin, il avait les hormones en ébullition et avait besoin de se faire les crocs, passez moi l'expression. Ce qui avait laissé notre jeune secouriste sans voix, avant qu'il n'acquiesce en riant.
« Désolé... » dit Read en arrêtant de rire, reprenant son sérieux. Il ne voulait pas que son interlocuteur se sente offensé et croit qu'il se moquait de lui car c'était bien la dernière des choses qu'il oserait faire. Doucement, il reprit la parole, très gentiment : « Mais... Un prince charmant, c'est pour la vie, pas pour une nuit. Sinon c'est plus vraiment le prince charmant... Sinon c'est juste un garçon de passage. » Il sourit timidement en penchant la tête sur le côté. Read avait l'habitude d'être le garçon de passage, et bien qu'il soit issu d'une bonne famille, il n'avait aucun scrupule à passer des moments intimes avec des inconnus. Comme quoi, tout n'était pas en ordre dans son esprit, lui qui, autrefois, n'aurait jamais eu de rapports sexuels en dehors du mariage. Il avait promis d'arrêter avec les conneries de ce truc, mais s'il pouvait rendre service et profiter d'un bon moment, il n'avait aucune raison de se priver. Enfin, du moment que personne n'était au courant, car ce n'était pas du tout un comportement sain.
Il sourit de nouveau à son interlocuteur. Bientôt les 5 minutes seraient terminés et ils n'avaient rien dit. Mais cela n'avait pas grande importance.
« Tu m'invites boire un verre ? » demanda-t-il soudainement, arquant les sourcils. Sa sœur avait voulu qu'il croise quelqu'un, il avait croisé quelqu'un. Ryley l'avait quitté, il avait peur de toucher River comme si elle était devenue fragile, alors autant voir un peu ailleurs. De toute façon, il était pas obligé d'arriver un truc. Enfin, Read avait implicitement accepté qu'il arrive quelque chose, mais y avait toujours moyen de changer d'avis encore. Même s'il avait la sensation qu'Adam n'attendait que de lui sauter dessus.

J'avais envie que d'une seul chose, me faire un troue très très très profond est y rester jusqu’à la fin de mes jours. J'avais vraiment trop honte de la bombe nucléaire que je venais de lâcher : je venais ouvertement de lui dire que je le voulais dans un coin. Franchement, qu'est qui m'avais pris ? Il devait me prendre pour un cinglé vue son regard, on dirait que c'est yeux vont sortir de son orbite ! J'étais rouge pivoine et me cachait de mes mains et fut encore plus gêné lorsque le secouriste se mis a rire a gorge déployer. Il se mit a s'excuser tout en me racontant que l'amour ce n'étais qu'un soir : qu'est qu'il croyait ? Que j'étais stupide ou quoi ? Moi aussi je cherchais quelques chose de stable, quelqu'un avec qui rigolé, câliner et partager ma vie. Malheureusement, mon type n'existait surement que dans les contes de fée ou alors dans mon enfance. Je soupirais doucement : « Je le sais bien... Je ne suis pas stupide, je rêve comme chacun ici de trouver l'homme de ma vie ! Je ne pense pas qu'au sexe, faut pas croire, je veux bien plus que cela. Je pense juste que c'était stupide que j'y crois encore... Même pour les organisatrices je suis un cas perdue» Je montrais une jeune femme qui nous regardai en montrant c'est doigt parfaitement manucuré croisé. Je haussais les épaules et le regardait avec sa tête tout adorable que je répondis avec un sourire navré et ouais, j'avais encore gâché, quoi que... Un verre ? Je haussais un sourcil perplexe mais me levais de ma chaise sous les regards étonné des autres. Je dit en revoir a tout le monde avant de lui dire tout sourire -enfin ma bonne humeur était de retour- :  « Je suis pas un radin plusieurs verre si tu veux...» je l'emmenais dans mon bar irlandais préféré où il m'arrivait de faire quelques mini concert. Le barman, John O'brien, un irlandais pur et dure et rouquin comme pas deux me souris et me fit un signe de la main et me fit un clin d’œil en voyant Read, je sourie et une des serveuse nous emmenais dans un coin tranquille. Je reculais sa chaise, il me restait un peu de geste gentleman sous ma phrase d'homme affamé. Je commandais une guinesse et Read un autre alcool dont je n'entendis même pas le noms, j'étais trop absorber pas ses lèvre..  Punaise c'était dure de ce retenir ! Je me grattais un peu ma barbe de trois jour avant de reprendre d'une voix beaucoup moins rude qu'au départ : « Je suis vraiment désolé... Je me suis comporté comme un con tout a l'heure. J'aurais pas du parlé comme ça, vraiment. La serveuse vint nous servir et me demandais si j'allais bientôt revenir pour une autre représentation et je lui dit avec grand plaisir, elle me souri et repart tout gaiement, je me secouais la tête et repris, oui je fais quelques représentation pour payer mon loyer et harvard »  

Le secouriste eut un sourire gêné face aux phrases que venait de prononcer son interlocuteur. Il fallait avouer qu'il se sentait un peu coupable de l'avoir mis mal à l'aise en riant. Mais ce n'était pas méchant, c'était juste que cette nonchalance l'avait fait rire. Rien de plus. Aucunement une moquerie en tous cas. Il écouta les doléances de son interlocuteur envers lui-même. Ce garçon semblait avoir perdu l'estime qu'il avait en lui s'il pensait qu'il ne pourrait plus plaire à personne.
« Oh ne dis pas ça, voyons... Suffit un jour de tomber sur la bonne personne, un peu de patience. » déclara Read, posant alors une main sur l'épaule d'Adam, comme pour le rassurer. C'était bel et bien la vérité, tout le monde trouve chaussure à son pied, s'il est un tant soit peu sociable. Read se leva dès qu'il vit que son interlocuteur venait d'en faire de même. C'était comme si sa proposition de boire un verre ensemble lui avait redonné espoir. Comme quoi le sexe c'était déjà pas mal. Le secouriste sourit gentiment, avant de dire au revoir lui aussi à l'organisatrice qui les vit sortir de la salle. Une bonne échappatoire. Si la sœur de Read lui demandait s'il avait été au speed dating : évidemment qu'il y avait été. Mais il se voyait mal passer le reste de la soirée à ne pas dépasser deux lignes de vies avec des inconnus. Autant en connaître un davantage. Même si c'était juste histoire de satisfaire son taux de testostérone.

Il ne fallut pas plus de quelques minutes aux deux hommes pour migrer vers un bar qui semblait être un lieu habituel pour Adam. Tant mieux s'il voulait lui montrer des coins qu'il fréquentait, c'était un certain signe de confiance, même s'ils se connaissaient pas. Après tout, si Read devait finir chez lui....
« Oh t'en fais pas. » répondit-il face à l'inquiétude de son interlocuteur sur son comportement antérieur. Read demanda un cocktail sans alcool car avec son traitement, il n'avait pas le droit de boire. Une serveuse vint adresser quelques mots à Adam et Read ne put que sourire se sentant étranger. « Oh... Des représentations de quoi ? T'es artiste ? » demanda-t-il, question de s’enquérir un peu davantage de la vie du jeune homme.

Qui l'aurais crue ? D'habitude on me demandais mn numero mais on ne m'applet jamais : combien de journée j'étais passé a regarder la coque de mon telephone en me rongeant continuellement mes ongles. Mais cette fois je pense que c'était presque la bonne, un verre sa veut bien dire quelques chose ? Non ? M'enfin ne nous emballons pas. Je pense plutôt qu'il a pitié de moi plus qu'autre chose. Je répondit d'un haussement d'épaule a son pseudo réconfort en répondant d'un air certains : « Que veut tu ? Je peux pas finir vieux jeune garçon... Mais j'ai autant de sexe appeal qu'un pingouin, sa aide pas non plus. » je me mit a rire de ma propre connerie. Je me levais finalement sous le regard médusé de certain : quoi ? Trop rapide ? Peut être. Je marchais doucement attendant Read, en le regardant un peu plus : il était beau, certes, même magnifique sous certain angle. Mais il avait un air déchiré dans son âme et avait l'air malade... Mais pas le genre petit rhume voyer vous ? Le genre qui vous consume petit a petit. Je resserrais ma cravate doucement et regarde maintenant les pavé tout en chantonnant un air familier a mon oreille. Je rentrais dans mon bar fétiche sous mon  plus grand sourire. Je ne voulais montrer ni mon desarois, ni ma mauvaise humeur dans cette endroit. Je commandais tout en observant Read sous toute ces couture, j'aimais observe les gens cela me permettais souvent de trouver des petite rime pour une nouvelle chanson ou une ambiance. Un des serveuse vint me taper un peu la discussion mais je sentis un peu Read mal a l'aise.  Quand celle ci partis tout gaiement, je montrais la petit scénette (ou plutôt une estrade) où l'on trouvait un micro tout seul, tout triste, je tapotais nerveusement sur la table aah j'avais envie d'y aller ! Je souriais encore et encore car je lui montrait un peu mon petit coin de paradis « Et je chante par rapport a ce que veulent les clients un peu comme un Jukebox humain tu vois ? »  

Read ne releva plus ce que lui disait son interlocuteur sur le néant de sa vie sentimentale. Après tout, il ne pouvait rien dire, il ne le connaissait pas et lui non plus n'était pas un exemple en matière de perfection sentimentale. Au contraire, tous les êtres qu'il avait pu aimer ont disparu. Même Ryley qui l'aimait tant, avait fini par le quitter au bout d'un mois de relation à cause de ses conneries. Il écouta donc juste attentivement les propos d'Adam, en songeant qu'il pourrait peut-être lui donner une meilleure vision de lui-même ce soir. Il suffisait peut-être simplement d'être à l'écoute et de comprendre. « Arrête avec tes bêtises, tu es très charmant ! » finit-il simplement par lui dévoiler, alors qu'ils sortaient du lieu de speed-dating pour rejoindre un bar aux allures sympathique. Là, Read apprit que sa nouvelle connaissance faisait des représentations, ce qui l'intrigua. Il posa une question, par laquelle son interlocuteur répondit en désignant la scène. Read sourit, c'était amusant comme principe, même très bien trouvé. De quoi ramener des clients, ce n'était pas souvent que l'on avait à sa disposition un juke-box vivant. Il hocha la tête avant d'avoir une idée. « Et alors, dis-moi, si ce soir tu avais l'occasion de chanter ce que tu veux, ce qui te passe par la têt, tu le ferais ? » demanda-t-il. « Ca m'intéresserait vraiment de t'entendre. » conclut-il ensuite. Après tout, il n'y avait quasiment aucun client dans la salle, et ce serait étonnant que son patron ou des serveurs lui refuse la scène, il n'y avait aucune raison, d'autant plus qu'il mettrait de l'ambiance gratuitement !

Je devait être saoulant a force de dire que je me trouvais moche. Pire qu'une fille quoi ! Je souri un peu a cette pensé  tout en rougissant au compliment de Read, tandis que j'emmenais le secouriste a mon bar irlandais prefere. Il avait été construit d’époque tout en bois massif et on pouvait même entendre une vielle radio grisonner des chanson irlandaise. Il arrivait parfois d'y aller quand j'avais un coup de bloose - ce qui était souvent en ce moment- cela me relaxais de jouer au échec, de boire un coup ou de donner une bonne racler a certaines personne au fléchette. L'ambiance y était vraiment familial et des fois cela m'arrivait d'essayer quelques de mes chanson sur l'estrade devant les habitue du bars, certains me félicitait, d'autre carrément me donnait un pourboire. Bref c'est un bout d’Irlande a l'état pure. Read se demandais comment les représentation ce faisait. Je lui repondit en expliquant brefement le projet, des groupe ou des chanteur mettais une liste des chansons qu'ils connaissaient et les client choisissait; un juxebox humain en somme. Read parut emballer par le projet et je sentis comme un léger ton de défis, je me froissais mon menton avec mes long doigts -reflexe quand je réfléchis- puis lâchait en un souffle : « J'aime bien chanté les chanson d'amour ou les chanson qui bouge. Içi j'ai souvent chanter wake me up before you gogo avec ma guitare ou même mes propres chanson. Tu veux que je t'en chante une ? » et ni une ni deux j'empruntais le piano du propriétaire et tapotais gentillement mon micro en faisant des petit teste audio. Je me racle la voix comme d'habitude faisant un introduction plus brève que d'habitude, vue que c'était le désert ce soir. Je pose mes doigts sur le piano et défile une suite de note : Against all odds ou Take a look at me now pour certaines personnes je chante d'une voix douce, déchiré :  How can I just let you walk away, just let you leave without a trace when I stand here taking every breath with you, ooh you're the only one who really knew me at all

je reprend une respiration et reprend d'une voix plus forte :
How can you just walk away from me, when all I can do is watch you leave 'cause we've shared the laughter and the pain, and even shared the tears. You're the only one who really knew me at all. So take a look at me now,Well, there's just an empty space And there's nothing left here to remind me, just the memory of your face Oh, take a look at me now, Well, there's just an empty space And you coming back to me is against the odds and that's what I've got to face

I wish I could just make you turn around,
turn around and see me cry There's so much I need to say to you,
so many reasons why You're the only one who really knew me at all. Oh, so take a look at me now, Well, there's just an empty space
And there's nothing left here to remind me, just the memory of your face
Now take a look at me now, 'cos there's just an empty space, oh
But to wait for you, is all I can do and that's what I've got to face

Je me sentais tellement prise dans la chanson que je n'entendis pas une des serveuse pleurer en s'essuyant les larme dans un mouchoir. Ni une dizaine de yeux braquer sur moi. J'étais emporter par mes metion et par mes doigts. J'adorais cette sensation de casi flotter au dessus de mon corps, comme si, je m'exterieurisais pour oublier mes problèmes.

L'ancien secouriste avait lancé un regard charmeur et de défi à l'homme assis en face de lui. S'ils étaient là, c'était pour se connaître, pas seulement pour finir dans une chambre et s'envoyer en l'air, sinon cela tiendrait de la prostitution. Alors il lui demanda de lui chanter quelque chose. Si Adam était un artiste, quoi de mieux que de le rencontrer par l'intermédiaire de son art ? Certainement que lorsqu'il chantait, il parvenait à faire ressentir des choses qu'il gardait peut-être plus profondément ancrées en lui d'habitude. Finalement, le jeune homme se décida car il monta sur l'estrade et partit rejoindre le piano solitaire qui s'y trouvait. Il sembla s'échauffer et hésiter un peu à ce qu'il allait interpréter, mais se lança finalement. Des clients étaient entrés dans le bar, sans bruits et s'était installés. L'une des serveuses avait arrêté de s'activer à la tâche pour écouter. Il avait du talent c'était certain. Read resta là, les coudes sur la table, à l'écouter attentivement, se perdant dans sa voix. C'était certain qu'il avait de quoi charmer, fallait vraiment qu'il arrête de dire des conneries à propos de lui-même et de ce que les autres pensaient de sa personne parce qu'il avait vraiment tout faux. Il était en train d'offrir une partie de lui en ce moment, et c'était une magnifique part de personnalité.

Lorsqu'Adam eut terminé sa représentation, la salle était silencieuse et Read finit par l'applaudir en souriant. Il finit par monter sur l'estrade pour le rejoindre, car le jeune homme semblé si transporté qu'il ne risquait pas de l'entendre s'il lui parlait de cette distance. D'autant plus que d'autres personnes le félicitait pour sa prestation. « T'as vraiment du talent, mon coco... » dit-il en se penchant à côté de lui pour le souffler dans son oreille. « Tu m'impressionnes franchement, moi tout ce que je sais jouer au piano et chanter c'est au clair de la lune. » Il rit de façon franche avant de poser une main sur l'épaule de son nouvel ami. S'il voulait chanter autre chose qu'il le fasse, s'il pensait partir maintenant, c'était très bien aussi.