HELENA C. REILLY ► Natalia Vodianova

C'est le 10 Novembre 1993 à Cambridge, Massachussets, que les membres de la famille Reilly m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) He"Lena", Candice. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Droit ( Majeur )& d'Art Appliqué ( Mineur ) depuis Un ans :rvmp: et travaille en parallèle de mes études en tant que Stagiaire dans une agence de Pub. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Lowell.

-hé- Léna C. Reilly

Looks alot like Natalia Vodianova

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle DOUNYZzZ et j'ai 20 ans. Je suis Frenchie et j'ai connu le forum grâce à Je ne m'en rappelle plus Oo. Je trouve que ce forum est tout simplement le meilleur ! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Natalia Vodianova comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart & Tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Marshall Elliot Reilly.

Mot de la fin ? ▲ Yiiihaa ! hanwii

Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
Il était très exactement 16 h 06 lorsque Léna avait entendu ce grand boom en provenance du nord de la ville, elle était restée travailler ce jour là au cabinet de son père pour terminer une simulation de cas qu'elle devait rendre dans la semaine. Elle s'était alors précipité vers l'immense bais des Bureau Reilly et avait vu cette amas de fumée au loin. Sa main c'était doucement posé sur sa bouche. Il n'y avait aucun doute, elle connaissait la ville par cœur et ce bâtiment au loin d'où provenait cet immense nuage sombre elle y allait tous les matins.
C'est alors dans une euphorie démente qu'elle avait parcouru la ville sur ses escarpins. Elle n'avait pensé qu'à une seule chose. Ses frères ! Ses frères qu'elle savait là-bas. En quelques minutes à peine elle s'était retrouvée devant ce building dévitalisé, bouche-bée. Des cris, des larmes, des sirènes, des hurlements, des blessés. Perdus dans l'immensité de ce chaos elle cherchait, cherchait en vain sa famille. Pendant des heures elle avait tenté de les joindre... Mais rien. A bout de souffle et d'énergie, elle s'était posée sur le trottoir adjacent se résignant à la pire des explications. Elle y avait passé la soirée. Ces deux hommes là, ceux qui hantaient son esprit depuis 16 h 06, c'était les hommes de sa vie, ceux sans qui elle ne pouvait plus avancer. La nuit était tombé sans qu'elle n'est bougé d'un centimètre, pétrifiée. Son Blackberry à la main. Les mauvaises nouvelles avaient plu toute la soirée, elle attendait la sienne. Comme un appel, son téléphone vibra. Elle porta tristement son regard vers celui-ci.
« Où est-ce que tu es putain ? ». C'était Marshall, sont visage s'illumina et son portable se mit à vibré une seconde fois dans la foulée. Ils l'avaient tous cherchée toute la journée. Elle qui s'était ancrée les pires scénarios dans la tête avait été le fruit de leur tourment. Elle avait alors beaucoup pleuré, de soulagement, ses nerfs lâchaient.

Elle se souvient toujours parfaitement de ce fameux jour. Le fameux jour où elle crut tout perdre.

CABOT HOUSE.
Pourquoi les Cabot, hein ? Drôle de question.

Peut-être tout simplement parce que je suis la Cabot par excellence. Jeune, belle, riche. J'ai tout pour moi. En plus de ça c'est une tradition familiale je m'explique ; ma mère Katherine Reilly, fut elle-même présidente de la Cabot House pendant plusieurs années. C'est donc tout naturellement que je me tourne vers vous. Je pourrais également « pourquoi pas » servir d'entremetteuse à plus d'une, j'ai cru entendre que mon frère n'en laissait pas beaucoup indifférente. Sachez que m'avoir dans la poche, c'est l'avoir dans la poche, à bon entendeur...

LOWELL HOUSE.
Les Lowell pour moi, ce serait une manière de m'émanciper de l'autorité de mon paternel. Il exige de moi que je sois une jeune avocate en devenir alors que je n'aspire qu'à être un putain de designer à la notoriété international. Je me fous du droit. Je trouve ça soporifique et hautain, intégré la Lowell House donc serait le moyen d'assumer ma passion et de provoquer mes parents par la même occasion. Cela dit, je dois avouer que je rêve d'intégrer les Cabots depuis que j'ai eu ma première Barbie au berceau.

(Invité)

En apparence j'étais la fille de bonne famille. La petite descendante des Reilly. Pour mon père j'avais le devoir d'être la fierté. Il fallait dire qu'avec les deux autres, il avait pu signer ses premiers échecs.

Notre famille est bien connue à Cambridge, les Reilly sont de véritable vétérans de la ville. Le Cabinet d'avocats, ouvert depuis des lustres dans la cinquième avenue, c'est une histoire familiale. Tenu jadis par mon arrière, arrière grand-père et aujourd'hui en possession de mon paternel, c'est la consécration des générations. John-Smith Reilly, mon père est l'américain type. Riche, autoritaire, sur de lui, compétent. C'est pourquoi il est celui qui a fait exploser l'affaire. Le jeune prodige. A ses 22 ans il était à la tête du cabinet et déjà pleins aux as, du moins c'est ce que la légende dit. Puis il a rencontré ma mère après avoir batifolé à droite à gauche et est alors venu au monde Marshall, mon frère. Marshall, ne leur à jamais fait de cadeau, je le soupçonne, au-delà des querelles familial commune à toutes les familles, de réellement haïr notre père. Il y a toujours eu une certaine tension entre eux, quelque chose de spécial, une compétition de testostérones ou que sais-je. BREF. Marshall n'a jamais réellement été l'image type du descendant que JSR - c'est comme ça que la presse aimait l'appeler - c'était fixé.
En accord avec ma mère ils ont donc décidé de retenter le coup. Dommage pour eux, nous étions deux. Des jumeaux. La suite est plutôt banale. J'étais la dernière option pour notre bon vieux paternel et la plus simple, je reprendrais l'entreprise, point final.

C'est donc comme ça, que depuis que j'ai atteint l'âge de huit ans, mon père m'entraîne à être la meilleure. Au début je dois avouer que je n'étais pas dérangée par l'idée. Reprendre l'entreprise familiale, pourquoi pas. Et puis avec le temps, les réels envies prennent places et l'ennuie parvient. Adolescente, je n'ai plus eu du tout envie de suivre ses envies. J'ai alors déraillé. J'ai fugué, l'ai insulté, me suis rebellé. Ce que font la plupart des adolescente d'ailleurs, mais en vain. Mes frères tentèrent de lui faire entendre raison, ma mère s'y mit également, rien. Comme s'il avait cette espèce de droit. Je n'en revenais pas. Comment osait-il décidé ainsi de la vie que j'allais mener.

Les années passèrent alors et je me résignais. De toute manière, il me tenait. La décision tomba à l'aube de mes 18 ans. J'étais acceptée à Harvard en droit. N'importe qui aurait sauté au plafond, moi j'étais juste dépitée.
A mon arrivée à Harvard, je décidais de rejoindre une sororitée, il était hors de question que je sois la seule à rentrer chez ce bourreau le soir. Les filles de ma maison me convinrent de choisir ma mineure selon ce dont j'avais réellement envie et étrangement c'était le premier choix que je faisais réellement pour moi dans la vie.
Cette première année fut une révélation. Je n'étais plus la petite Léna qu'on présentait au dîner mondain comme un putain de trophée. J'étais moi. Je mis totalement les études en second plan. Je découvrais l'université. Les soirées, les mecs, les filles, le spring-break. Tout.
Et Aujourd'hui après avoir passé mon été entier au Cabinet Reilly je n'ai qu'une hâte, que la rentrée soit enfin là pour pouvoir retrouver tout ce qui m'a manqué l'été durant. Harvard.

The End

(Invité)