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DON VITO & BIG TASTY ▬ control yourself

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Un beau cul ? Tate réprima un sourire charmé. Résiste mon ami, résiste ! Au lieu de quoi, donc, il détourna le regard et fronça les sourcils. Bon, le hic c’est que ce brave Don Vito le provoque de plus en plus. Soupire. Starkey avait la soudaine envie de l’étouffer avec la serviette derrière lui. « C’est ça, bien sûr, prends moi pour un con. » Etonnamment, l’artiste refusait de profiter de la situation. Par respect, disons. Et surtout parce qu’il n’avait pas envie d’écouter les conneries d’un type raide camé. Bref. Jenkins se colla à lui et enfouit son visage dans son cou. Jusque là, ça peut aller. (Un temps) Et voilà ! Voilà la merde à ne pas faire ! Un frisson parcourra subitement l’échine de notre Mather. Un baiser, dans le cou. Zone sensible. Incroyablement sensible. Non ! Affreusement sensible. Tate déglutit, avant de se mordre la lèvre inférieure. Ok, du calme, ce mec joue avec ta patience ! Control yourself man. Ca va aller. (Un temps). « Bon sang Doryan, redresse-toi ! J’ai envie de pieuter moi, là ! Tu m’emmerdes ! » Nouveau soupire. Ni une, ni deux, Starkey canalisa un maximum de force physique (bon…Mentale aussi, dans ce cas présent), pour traîner son ami jusqu’à son lit. Arrivé face au matelas, il tenta maladroitement de l’installer. « J’te jure que c’est la première et la dernière fois que j’fais ça pour toi ! J’suis pas ta mère bordel ! » Et pourtant, Tate prenait cette moue adorablement maternelle. (Un temps). Ce cher Don Vito était enfin allongé dans sur son lit. Victoire mes amis ! Tate souffla un bon coup, avant de s’asseoir au bord du matelas, aux pieds de son aîné. « Dors maintenant. » Il lui adressa un rapide regard en coin, fatigué certes, mais aussi et surtout un regard d’incompréhension. Un regard complètement paumé, incertain.
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    Et voilà ! Le truc qu'il fallait absolument pas faire avec moi, il l'avait fait. Au moment même où j'entendis le mot maman, toutes les images me revinrent en tête. Ces images affreuses qui me hantaient. Instinctivement je me repliais au fond de mon lit en tremblant. J'essayais de me calmer, il fallait que je me calme, je voulais pas qu'il me voit dans cet état. Pourtant j'étais incapable de me calmer, je le savais. Pour le coup l'effet de la drogue avait disparu, je ressentais juste de la tristesse et un vide. Un immense vide. Comme s'il me manquait quelque chose pour être au complet. Aucune drogue ne parvenait à me calmer quand j'étais dans cet état. Je levais alors le regard vers Tate. "Espèce de con." Ouais, pour le coup je lui en voulais. Je détestais pleurer devant quelqu'un, mais alors si le quelqu'un en question était le mec avec qui je partageais ma chambre, c'était encore pire. "T'es content ?! C'est bon t'as réussis ?! Sa te faisais tellement chié que ça tout ce qui c'est passé se soir ?! Comme si t'en crevais pas d'envie en plus ! Bah va y ! Dis que je suis pas assez bien ! C'est ça ?! Je suis pas assez bien pour le grand Tate Starkey ?! Tu fais chié ! Putain tu fais chié !!" Je m'arrêtais me rendant compte que ce que je venais de dire était pas bien normal. Pourquoi j'avais dis ça moi ?? Pour le coup je savais pas trop si c'était la drogue ou bien le fait qu'on est évoqué ma mère qui m'ai fait dire des trucs pareil, mais en tout cas c'était sorti et j'avoue d'ailleurs que ça faisait du bien (même si j'avais aucune idée de pourquoi j'avais balancé ça.) J'attrapais mon paquet de cigarette avant de m'en allumer une, j'en pris une bouffée avant de la tendre à mon coloc avec un regard genre : excuse-moi, je suis qu'un crétin. En même temps c'était le cas, j'étais un crétin qui savait pas ce qu'il voulait, ni se qu'il disait. Vive le camarade de chambre hein.
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Heu ? D’accord. Soudainement, sans que personne ne puisse s’en douter un seul instant (pas même le Poney, derrière son écran), Doryan péta son câble. Pour le coup, Tate recula légèrement, de peur de se prendre un coup de poing ou quelque chose comme ça en pleine face. Simple réflex, en passant. Il observa, avec une totale incompréhension, le visage de son colocataire se métamorphoser violemment. Il était au bord des larmes. À la limite même d’éclater en sanglot. L’artiste en resta littéralement sur le cul. Voir Jenkins pleurer, c’est comme voir un bisounous chevaucher un mammouth tropical. C’est impensable, inimaginable. Impossible quoi ! Il déglutit, le laissant reprendre seul son calme. Sans un mot. (Un temps) Don Vito se calma enfin, laissant la pièce se replonger tendrement dans le silence. Il tendit par ailleurs sa cigarette fraîchement entamée à Tate. Ce dernier la prit, tira un coup, puis la lui rendit. (Un temps) Starkey laissa quelques secondes filer. Quelques secondes où se mélangèrent questionnement, doutes, et craintes dans ses pensées. (Un temps) Il détestait par-dessus tout ce genre de situation. Ce genre de situation où il était face à quelqu’un qui avait besoin de réconfort. Ce genre de situation où il ne savait comment en donner. (Un temps) Il inspira un bon coup, se mordilla la lèvre inférieure, puis souffla. « Allez, fais-moi un peu de place que j’puisse loger mes grosses miches gelées à côté des tiennes. » Tate esquissa un petit sourire, qui se voulait chaleureux, et rassurant à la fois. Sans demander son reste, il s’installa sous la couette, contre le corps encore fébrile de son aîné. (Un temps) Il n’avait aucune idée du pourquoi Doryan venait de faire une crise de nerfs. Et il ne savait absolument pas quoi lui dire pour lui montrer qu’il était là pour lui. C’est donc par manques de moyens (et quelque part aussi, par envie) qu’il s’était glissé à ses côtés, et qu’il venait de poser sa main sur son bras, pour le lui frotter délicatement. (Un temps) Dans un même temps, et à l’aide de sa main libre, il éteignit la petite loupiotte de la table de chevet, plongeant ainsi la chambre dans une douce et paisible pénombre.
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    Finalement je sais pas trop qui était le plus bizarre entre moi et mon colocataire se soir. Je pensais qu'il allait me frapper ou m'insulter après mon petage de câble, mais au lieu de ça il se glissa près de moi. J'allais pas m'en plaindre j'avais besoin d'une présence près de moi. Je le laissais se glisser sous la couette alors que j'écrasais ma cigarette dans un cendrier. Une fois plongé dans le noir je me rapprochais du jeune homme. J'avais besoin de sentir une présence humaine contre moi, je voulais me sentir moins seul. Je fermais les yeux afin d'essayer de m'endormir, mais je n'y arrivais pas. "Tasty...tu dors ??" Pas de réponse, il devait dormir. Je me redressais légèrement pour le regarder, même si je voyais pas grand chose comme il faisait noir. Il était sur le dos, une main sur la tête, on aurait dit un enfant. Il faisait tellement innocent. De le voir comme ça, ça m'a fais sourire. Je me suis approché doucement de son oreille avant de souffler : "Merci d'avoir pris soins de moi dans l'état que j'étais..." Je fis glisser ma main jusqu'à sa joue avant de faire glisser le bout de mes doigts sur sa peau. J'approchais mon visage du siens et déposais un baisé sur sa joue, un baiser tout léger comme un papillon. Je posais ensuite ma tête sur son torse et attrapais sa main. "Ne me laisse pas...jamais." Je sais pas d'où tout ça sortait, mais j'avais besoin de le dire. Je me mis à jouer avec ses doigts. Il dormait de toute façon...enfin...je crois. "Tasty...si t'es réveillé...fais quelque chose...ste plaît."Minute d'attente...et peut-être même d'angoisse.
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Dès lors que la lumière fut éteinte, Tate se plongea dans les bras de Morphée. Prisonnier d’un profond sommeil, les murmures de Don Vito n’étaient désormais plus que qu’un vague chant d’oisillon. Seulement, même si notre ami artiste n’entendait absolument rien lorsqu’il dormait, le simple fait que Jenkins se soit mis à le toucher, avait eu le don de l’extirper de ses songes. Il se réveilla donc doucement, entre-ouvrant d’abord les yeux pour tenter de comprendre dans quelle situation ils se trouvaient. (Un temps) Ok. Tate déglutit. Il referma ses paupières, jugeant préférable de se rendormir avant que les choses ne dérapent. (Un temps). Réflexion faite, c’est un peu tard. « …Faire quoi ? » Il avait hésité, horriblement hésité. Les questions fusaient dans sa tête. Qu’allait-il lui demander ? Qu’allait-il devoir faire ? Et s’il se faisait des idées ? Et s’il n’était pas, involontairement, entrain de profiter de la situation ? (Un temps). Non, Tate n’était ne faisait désespérément pas parti de ces gens qui savent jouer de leur charme à n’importe quelle occasion qui se présenterait. Il est pudique avec ses sentiments, et respectueux envers ceux d’autrui. De même que jamais, ô grand jamais, il ne se laissera embobiner dans une relation sans queue ni tête complètement tordue et fondée sur des doutes perpétuels. Jamais ! Avec lui, c’est soit blanc, soit noir. Aucune demi-mesure. L’ambiguïté, d’accord, mais à petite dose ! Voilà sa philosophie. « …Non attends, quelle que soit la chose que tu vas me demander, j’veux qu’tu m’dises que tu t’sens mieux. Qu’t’es conscient de ce qui se passe. Qu’t’es sorti de ton monde de poneys magiques. » C’était ça le deal. C’que tu vas lui demander, Doryan, assume-le, assume-le jusqu’au bout. Sans quoi, la patience, et surtout la confiance de Tate, te filera sous le nez.
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    Ok...donc en gros il dormait pas. Je sais pas si j'aurais pas préféré qu'il soit au pays des rêves en fait, mais bon trop tard maintenant. J'arquais un sourcil : mon monde de petit poney ?? Oui, bien sur. C'est pas vraiment des poneys que je voyais quand je me shootais, mais bon passons sur ce détail qui était pas si important dans le moment présent. Je me relevais légèrement avant de répondre : "Il y a un moment que je l'ai quitté se monde Tate."[/b] Je fis un petit sourire même s'il ne me voyait pas, avant de rapprocher mon visage du siens. Au dernier moment cependant je l'éloignais avant de murmurer : "C'est peut-être la plus grosse connerie de ma vie..." A vrai dire j'avais plus dis ça pour moi que pour qu'il l'entende, mais au pire on aurait tout le temps de réfléchir à la connerie plus tard. J'étais souvent comme ça d'ailleurs : l'acte d'abord, la réflexion ensuite. Je respirais alors comme pour me donner du courage (et je crois qu'en fait j'en avait besoin pour oser aller jusqu'au bout de ce que je voulais faire). Bref je rapprochais doucement mon visage du siens et après de longues minutes d'hésitation (ou peut-être même des heures j'en sais rien) je finis finalement par poser mes lèvres sur celles de mon colocataire. Au départ ça me faisais flipper, mais en fait j'ai pas tant détesté que ça et c'était plutôt bizarre même. Normalement j'aurais pas du aimer si ?? En plus s'il m'envoyait chier j'aurais pas eu l'air con, déjà que là je sentais que je l'étais. Dans le sens où il devait rien comprendre à ce qu'il se passait hein. Enfin, pour ce coup là on était deux. Parce que en toute franchise (mais vraiment en toute franchise) je n'avais aucune idée de pourquoi j'avais mes lèvres collés aux siennes, ni pourquoi ça me dégoûtais pas tant que ça. Je devais pas être normal, si ?? Enfin bon, pour le moment ma principale préoccupation c'était de profiter de ce qu'il se passait avant que cela s'arrête.
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Le palpitant de Tate commençait réellement à s’agiter. Toute cette attente, toutes ces interrogations : il ne les supportait pas. Si dans ce cas présent, il avait été à la place de Doryan, il n’aurait pas hésité une seule seconde et se serait jeté à l’eau, quitte même à paraître un poil trop brusque. M’enfin, il voyait les choses comme ça : plus vite tu élimines, mieux tu te sens après. Bref, passons. L’artiste ferma ses paupières, profitant quelques instants du baiser timide de son aîné. (Un temps) En toute franchise, Starkey s’y attendait. Même un aveugle aurait deviné les intentions de Jenkins, que ce soit avec ses innombrables sous-entendus, ou avec ses gestes déplacés. Certes, il n’y voyait aucun mal, mais quitte à ce que ce ne soit qu’un baiser, autant le faire directement, sans tous ces préliminaires de drague complètement tordus. (Un temps) Qu’importe. C’qui est fait, est fait. Et Tate n’allait pas laisser ce cher Don Vito s’en tirer aussi facilement. Il rompit le baiser, avant de lui murmurer au creux des lèvres. « Connerie ? Qu’est-ce que tu parles de connerie ? C’est qu’un baiser. Et même pas un vrai en plus. » Sourire amusé, malicieux, presque provocateur. Sans attendre une quelconque réponse de Doryan, le Mather enchaîna. « Attends, laisse-moi te montrer… » (Un temps) Tate logea délicatement l’une de ses mains dans la nuque de Jenkins, attirant ainsi ses lèvres jusqu’aux siennes. Premier acte : baiser rapide, furtif. Deuxième acte : notre ami entre-ouvrit légèrement la bouche pour y happer la lèvre inférieure de l’étudiant. Troisième acte, Tate mordille légèrement cette même lèvre. Quatrième acte : Mister force l’accès à la langue de Jenkins avec fougue, venant ainsi jouer avec cette dernière. Cinquième et dernier acte : Main baladeuse. Et oui, Tate a beau être connu pour avoir la libido d’une vieille de quatre-vingt-dix piges, quand il est lancé, il ne s’arrête plus !
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    Ok alors là j'étais...dépassé par le cours des choses. Je pensais pas qu'il réagirait comme ça, enfin, qu'il irait plus loin que ça quoi. En plus normalement c'était moi qui menait ce genre de truc quand j'étais avec une fille. Bon en même temps là c'était pas une fille, c'était Tate. Euuuuuuuh...je pris conscience d'un seul coup que ouais j'embrassais un mec ! J'embrassais un mec !! Oh Gosh !! Euh...c'était bizarre pour le coup. Après un moment je réussi à le repousser légèrement. Je pris quelques minutes pour reprendre mon souffle. "Tate...on devrait pas s'amuser à faire ça...On va faire une bêtise. En plus j'aurais pas dû aimer ça...Oh putain. J'ai aimé ça ! Pourquoi j'ai aimé ça ?!" D'un coup j'avais peur. C'était pas un truc normal pour moi d'aimer ça. J'avais couché avec un nombre énorme de filles sans jamais aimer (enfin pas plus que ça quoi) ce qu'elle me faisait et là...il suffisait juste que mon coloc de chambre m'embrasse pour que je me sente toute chose. Mais qu'est-ce qu'il se passait merde ?! J'étais quand même pas un gay refoulé ou un truc dans se style si ?? Oh putain et si c'était ça ?! Non, ça pouvait pas être ça...je m'en serais rendu compte plus tôt non ?? On s'en rend forcément compte avant d'avoir 20 ans de ce genre de trucs non ?! "Fuck..." Je soupirais, j'étais totalement dans le brouillard là et pour une fois c'était parce que j'avais forcé sur la came. J'étais même parfaitement sobre. Je me levais avant de me mettre à faire les cents pas, en pleine réflexion avec mon moi "homosexuel refoulé", ouais on va l'appeler comme ça pour le moment. Bon je fais quoi coco là ?? Je vais jusqu'au bout...je m'arrête, je fais quoi ?? Je m'arrêtais devant le lit, Tatsy semblait s'être rendormis. Il faisait chié avec sa putain de gueule d'ange aussi ! Je me glissais de nouveau sous les draps, me collant contre son corps, embrassant son cou, descendant ma main le long de son torse jusqu'à l'extrémité de son Pull-In, l’effleurant du bout des doigts. "Tasty...est-ce que...est-ce que tu as envie de moi ??" Pathétique. Autant avec les filles j'étais beau parleur, autant là on aurait dit une vierge effarouchée, enfin en même temps on pouvait voir la chose comme ça...
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Doryan mit fin brusquement au baiser, laissant ainsi s’échapper un grognement de frustration d’entre les lèvres de notre cher Big Tasty. BON. Restons calme. Au moins il a aimé. Heureusement qu’il a aimé, ouais ! Starkey sait emballer, il a la langue souple, non mais oh. Bref, il observe le Mather se lever, arquant un sourcil vivement avant de tout bonnement se laisser tomber sur le lit. Génial, le voilà qui repart dans ses délires. Jenkins, sérieusement : t’es chiant. (Un temps) Laissant donc ce brave Don Vito dans ses perpétuels questionnements à la con, notre ami artiste replongea dans ses songes. Du moins quelques minutes, le temps que l’autre ours revienne se glisser sous les draps. Bisou dans le cou = réveil tout en frisson ! Le Mather ouvrit une paupière, fronçant le sourcil au-dessus de l’autre. « …Quoi ? » Allez, ‘faut se réveiller mon chaton. Soupire. « Il y a dix minutes ouais, mais là… » Il souffla. « Et c’est plutôt à moi de te demander ça hein. T’as envie de tenter l’expérience avec un mec ? Tu veux que j’te dépucelle l’arrière train ? Vas-y, dis-moi tout, pas la peine de faire ta prude, on est pote j’te signale. T’as pas à avoir de tabou avec moi. » Bon, ça devenait gonflant pour Tate. Doryan chipotait trop. Beaucoup trop. Et en prime, ses gestes étaient en total contradiction avec ce qu’il pouvait dire. La main pas loin de l’engin, j’entends. « Bon, j’vais prendre ça pour un oui, déjà. » Ni une, ni deux, Tate se redressa, échangeant ainsi les rôles en se tenant désormais au-dessus de son aîné. Ceci fait, il descendit du lit, tout en lui faisant signe de s’asseoir au bord. « On commence en douceur, ok ? »…Bon, Tate, on dirait légèrement qu’tu lui donnes des cours de : comment baiser, version gay. C’est légèrement…hilarant. Hum. « Entre nous, Un gars, c’comme une fille, mais en mieux. Surtout pour sucer, parce que nous ! Gay, nous savons ce que c’est que d’avoir une bite, et donc de comment la faire se dresser en un clin d’œil. » …Mais oui, mais oui ! « So…Si tu permets. » Mister Starkey s’attèle à retirer le boxer de Jenkins, découvrant ainsi le membre de ce dernier. « J’te fais par étape, comme ça, dès qu’tu veux qu’on arrête, on arrête. ». Ceci étant dit, il saisit la virilité de son ami avant de se glisser entre ses jambes. Quelques mouvements de va et vient, et il finit par donner un vif coup de langue à l’extrémité du point le plus sensible. Que la leçon, commence !
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    T'es chiant, t'es chiant ! Il était marrant lui ! Il s'en foutait il était gay depuis longtemps, je suis sûr qu'il faisait moins le malin la première fois qu'il a fait ça à un mec. Et puis en plus jsais pas mais j'avais le droit de me poser des questions bordel ! Nan, parce que..."ressentir ça" pour un mec, c'était quand même pas bien dans les lois de Dame Nature hein ! Et puis en plus j'étais sobre, c'est ça qui faisait le plus flipper je crois. Nan, parce que shooté je savais que j'étais capable de telles conneries, mais sobre...bah je pensais pas que j'en étais capable voilà tout. "T'es marrant à dire que je suis chiant ! T'as jamais flippé toi face à ça peut-être ??" Avant même que j'ai une réponse je me retrouvais assis au bord du lit avec Starkey qui me donnait un cours sur les homosexuels et leurs pratique du sexe. Cool. Il pouvait pas faire ça genre, jsais pas plus spontané non. J'avais l'impression d'être un con ou un puceau là. Quoi que je pense qu'à ce moment je devais sûrement être les deux. Très sincèrement je suivais plus trop ses explications, il savait ce qu'il faisait après tout, hein. Je l'ai sentis faire glissé mon boxer et j'ai pas pu m'empêcher de virer au rouge pivoine. J'avais pas l'habitude de ça, j'ai préféré pas lever les yeux parce que sinon je savais que j'allais virer encore plus rouge. Oui, je suis un sensible même si comme ça j'en ai pas du tout l'air. L'arrêter, il en avait de bonne lui ! Si je l'arrêtais en plein milieu de son truc j'allais encore m'en faire passer une, comme quoi je savais pas ce que je voulais et tout et tout. Enfin bon, je comptais quand même l'arrêter si ça me plaisait pas. Quand j'ai sentis sa main sur ma partie intime tout mes muscles se sont tendu, comme s'ils étaient tous en mode : méfiance c'est pas une fille. Quand je sentis sa langue sur mon membre je me suis raidi encore plus. Il fallait que je lui dise d'arrêter, c'était pas bien ce qu'on faisait là. "Fuck...continu...ste-plaît." Ouah, bien Doryan, là tu venais carrément de lui dire baise moi quoi. Peut-être que c'est parce que c'est ce que je voulais vraiment au fond de moi. J'ai laissé mon corps retomber sur le lit, détendant mes muscles peu à peu, profitant juste de ce que mon coloc me faisait subir comme délicieuses tortures...
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