Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIts not too late; its never too late [Feat. Elizabeth] - Page 2
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Its not too late; its never too late [Feat. Elizabeth]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Elle m'avait fait entrer dans sa chambre subitement, comme ça, alors que quelqu'un que je ne connaissais pas faisait son entrée dans le couloir. Peut-être qu'elle ne voulait pas être vue en ma compagnie? Bizarre. Mais en y pensant un peu plus, c'était très peu probable si son but était de sauver sa réputation: tout le monde aurait pu nous voir dans la piscine l'autre jour. En même temps j'aurais bien compris ce genre de réaction : moi, le geek hermite qui ne pense qu'à la date de sortir du prochain halo! Mais si c'était pas ça, peut-être que c'était autre chose. Peut-être me posais-je trop de question. M'ouais. Assez avec les peut-être. Ce qui était sûr et ce qui me donnait des ailes en ce moment, ce qui faisait en sorte que j'avais une soudaine hausse d'énergie, c'était le fait de savoir qu'elle me pardonnait. Ouais, vous avez bien compris. J'me sentais énergique mais j'avais surtout faim, soudainement.

Elle venait de se réveiller? On dirait qu'on avait ça de plus en commun, tiens! On dormait tout les deux comme deux taupes ces temps-ci. Sauf... ces temps-ci pour moi, justement. La raison semble assez évidente et j'avais justement peur qu'elle ne le remarque. Ce qu'elle fît mais d'une autre manière. Loins de moi l'idée de la contredire et de lui annoncer comme ça ''Nan en fait depuis qu'on s'est vu l'autre jour, je dors plus'', je ne fis que sourire de manière coupable en haussant les épaules. Manière efficace de lui faire comprendre que c'était ainsi que tout les mecs étaient! Nan mais à part mon père, j'connais aucun gars qui aime se lever tôt! Nous sommes tous une bande de flémmards réveillés au son du chariot  à bouffe! Reportant à nouveau mon attention sur Lizzie, je remarquai son sourire. Et je souris de la même façon. Soit c'était contagieux, soit c'était l'effet que nous avions l'un sur l'autre... C'était assez plaisant...

Traversant la pièce, elle se dirige vers le téléphone et me propose... à manger. Un p'tit déjeuner avec Lizzie? J'hésitai. Non pas que j'en avais pas envie. C'était surtout une... politesse. Nan mais je raconte quoi, là?! Elizabeth et d'la bouffe. Le seul truc qu'il me manquerait pour me faire pleurer d'joie, ça serait ma xbox! Gardant mon sourire qui commençait sérieusement à me donner l'air idiot, je ne lui répondit que quelques secondes plus tard. Ouais, z'avez compris. Un genre de décalage étrange avait retardé ma réponse et j'avais eu l'air d'un mec complètement à l'est.

«E-Euh... ouais d'accord!»

Elle marquait un point. J'lui devais bien ça! Haha!

«J'ai une idée... et si tu me faisais goûter à la France? J'y suis jamais allé et on dit qu'ya que de la haute gastronomie, par chez vous!»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



summertime sadness

KEY WEST, SUMMER 2013
------------------ ◊ -----------------





Mon sourire s’illumine une nouvelle fois mon visage quand Yohan accepte, ça m’fait chaud au cœur, pas simplement du simple fait qu’il accepte mais surtout qu’il apprenne à vaincre cette peur avec moi. Moi aussi, j’allais pas le nier, la tournure de notre relation m’effrayait par moment mais j’arrivais sans doute plus facilement que lui à la vaincre. Le contrôle des émotions c’était un peu ma tasse de thé quotidienne avec le théâtre. Difficile de savoir quand je vais bien ou mal quand on ne me connait pas personnellement puisque j’arrive généralement à masquer mon mal être.
« T’as pas tord on mange très bien chez nous ! C’est une excellente idée ça ! ça fait tellement longtemps que j’ai pas pris un vrai petit déjeuner ! » puis c’était aussi un peu l’occasion de faire découvrir mon pays à Yohan, j’lui en avais déjà parler de nombreuses fois mais je lui avais jamais fait découvrir par moi-même. En vrai, quoi. Puis hein j’allais pas me priver du room service, on était en vacances après tout nan ? Je prends alors le téléphone et passe la commande, croissants, baguettes, confiture, du café, la totale quoi, un vrai p’tit dej français si c’est ce qu’il désirait. J’me retourne vers lui, un grand sourire sur mes lèvres, dit donc c’était contagieux de sourire avec lui « ça devrait pas tarder, ils m’ont dit dix minutes » dis-je en m’avançant dans la chambre me dirigeant vers la baie vitrée afin de l’ouvrir pour aérer un peu. Oui je n’avais pas eu le temps de le faire puisque je venais à peine de me lever et me passer un coup d’eau fraîche sur mon visage avant l’arrivée de Yohan. D’ailleurs j’suis toujours en pyjama, c’est-à-dire un short et un t’shirt trop large pour moi mais que j’aimais bien. J’regarde un instant le paysage au loin et me perd un instant dans le mouvement des vagues. Je me retourne vers l’anglais et constate vraiment qu’à la lumière du jour, ma chambre que je partage avec les filles est vraiment en bordel, mon dieu j’ai honte… j’lui demande alors « et toi t’es tout seul dans ta chambre ou t’es avec des potes ? t’as vu le bordel que laisse mes coloc !» dis-je en rigolant doucement. On commence alors à parler ensemble, à ragoter sur nos amis, j’vois pas le temps passer. Avec lui c’est toujours ainsi, soit le temps s’arrête autour de nous quand on est vraiment proches… ou bien il passe incroyablement vite, trop vite même, quand on discute et on rit simplement. Quand soudainement on frappe à la porte, je m’approche de celle-ci sautillant, j’récupère le plateau, miam miam ça donne l’eau à la bouche tout ça ! je remercie le jeune homme avant de fermer la porte le plateau dans mes mains « A table ! on va manger sur la terrasse ? » proposais-je à Yohan, autant profiter des terrasses qu’offraient les chambres de l’hôtel, non ? 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Se retournant, elle m'annonça que ça arriverait dans dix minutes. Nos sourires se coisèrent en même temps que nos regards, me faisant croire que... ça en devenait très bizarre. Mais était-ce si mal de se sentir si bien? Bonne question. Lizzie m'avait plusieurs fois parlé de son pays d'origine et bien que, comme tout anglais qui se respecte, je ne l'écoutais qu'à moitié... je dois dire que ce que j'entendais sur la France n'avait rien de déplaisant. L'orgueil d'un anglais, peut-être. Les rancunes d'un peuple envers l'autre peut-être. Mais bon, j'étais pas du genre à porter le flambeau d'une guerre entre deux nations... Surtout pas contre Elizabeth. Elle était la personne qui avait changé ma vie en si peu de temps. Oui oui, en une seule rencontre, je n'avais pas peur de dire ''changer ma vie''. Après tout, si je ne l'avais pas rencontré, je n'aurais jamais eu le courage -ni le besoin- de cogner à toutes ses portes pour la trouver. Me restait plus qu'à savoir ce qui en était et décortiquer l'inconnu en bon scientifique que j'étais.

Ouvrant la baie vitrée, je sentis le vent chaud s’engouffrer dans la chambre. C'était un bien considérable, il fallait l'admettre. Même moi, pâle et peu habitué à la lumière du jour, savait apprécier une brise fraîche lorsqu'elle m’effleurait la peau. Admirant le paysage de la Floride comme elle le faisait, ce fût sa voix qui me tira de mes pensées. Le bordel? Elle appelait ça un bordel?! Oui bon, c'était pas rangé comme chez ma mère mais... comparé à ma chambre, c'était pas si mal. Je souris mais cette fois de manière taquine.

«Seul dans ma chambre je fou un bordel deux fois pire!»

C'était un de mes pires défauts, fallait l'avouer. J'étais IN-CA-PA-BLE de ne pas me laisser traîner, à moins que quelqu'un ne me le rappel. Après ça ne m'empêchait pas d'être propre, hein! C'est juste que je ne pensais pas à plier mes vêtements et les ranger. Le temps passa et ces quelques dix minutes finirent par s'écouler à notre insu, la conversation dérivant paisiblement en s'assurant que notre attention était captée. Je buvais ses paroles comme elle semblait accrochée à chaque mots que je disais. C'était... agréable. La nourriture finit donc par arriver, et Lizzie eut une idée de génie. La terrasse! Pourquoi pas?

L'aidant à tout mettre en place sur la table de la terrasse, je m'assis en face d'elle pour commencer à manger.

«Bon bah... bonne appétit!»

C'que j'avais faim! C'était quand même étrange de voir à quel point mon estomac était retourné avant que je n'arrive ici. Bref. Trop de pensées, pas assez de bouffe! Je commençai donc à goûter les différents plats Français qui s'étendaient sur la table. Ça changeait des trucs gras à souhait des anglais, ça, c'est sûr! Je levai les yeux vers elle, avalant ma bouchée avant de finalement donner mon verdict.

«C'est moins gras que par chez moi... mais c'est vraiment pas mal!»

Mon regard s'attarda alors sur une goutte de confiture, à la commissure de ses lèvres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



summertime sadness

KEY WEST, SUMMER 2013
------------------ ◊ -----------------





Il accepte et mon cœur s’emplie encore plus de joie. Pourquoi j’suis comme ça avec lui ? heureuse pour pas grand-chose ? J’étais heureuse de l’avoir enfin rencontré. Ça faisait seulement deux jours, ça pouvait paraître peu mais pour moi, pour nous je pense que c’était un pas énorme. Il avait su bouleverser ma vie comme ça, en un claquement de doigts. C’était inexplicable ces rencontres mais cette magie qu’il y avait entre Yohan et moi dès que j’lui parlé, dès que j’le regardais, j’pouvais nier le fait que ça me plaisait énormément, que je commençais à trop apprécier ses moments-là. C’était grave ? c’était maladif ? Je sais pas. Enfin… j’m’étais bien rendue compte que je m’étais sentie mal à cause de l’autre fois. Une force sortie de nulle part avait pris possession de mon cœur pour me le tirailler. Et il n’avait fait que rebattre quand j’avais ouvert la porte une heure plus tôt, que j’avais croisé le regard de l’anglais, qu’il m’avait souri et qu’on s’était pardonné.

Le plateau entre mes mains, j’m’avance vers la terrasse et le dépose. Yohan m’aide à tout installer et on s’assoit l’un en face de l’autre. J’peux pas imaginer un meilleur moment, un meilleur instant, avec lui. Tout est parfait. On a pas besoin de grand-chose pour être heureux non ? Les choses simples suffisent. En voilà bien la preuve, j’suis plus qu’heureux de partager ce moment avec le jeune homme. J’aimerai en passer tellement d’autre. Il était rentré comme ça dans ma vie, brusquement, violemment, soudainement, mais à présent, j’ne voulais plus qu’il en ressorte. J’sors de mes pensées quand il me souhaite un bon appétit toi aussi lui répondis-je avant de commencer à manger. J’prends mon habituel café du matin –ou plutôt du midi vue l’heure- et mes tartines. Mon regard se perd un instant dans les vagues avant de se reposer sur le brun qui me parle. Un rire cristallin s’échappe d’entre mes lèvres quand il compare la nourriture française à l’anglaise Bah attend la gastronomie française est quand même pas mal réputée dans le monde ! lui lançais-je Mais bon j’avoue que la bouffe anglaise est aussi bien, du peu que j’y ai gouté j’me perds un instant dans son regard, perturber parce qu’il me fixe soudainement. J’ai quelque chose sur la visage ? J’ai dit quelque chose de travers ? Panique à bord. Q.. quelque chose ne va pas ? bafouillais-je soudainement.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon regard s'attardant alors sur ses lèvres beaucoup trop longtemps pour qu'une telle situation ne soit qualifiée de normale, une idée traversa mon esprit. Le simple fait de voir une petite tache de confiture sur le rebord de ses lèvres semblait faire naître en moi un sentiment étrange. Enfin... à en voir la tournure des choses, il semblait clair que ce qui me faisait cet effet étaient ses lèvres, ses yeux et sa personnalité et non la confiture. Comme à la piscine, mon regard se verrouillait sur Lizzie, ou plutôt sur une partie d'elle qui me rendait gaga et... un peu comme des sables mouvants, il devenait de plus en plus difficile pour moi de me sortir de cette transe. Je sentis son attention s'attarder sur moi pendant un instant. Vite! Il me fallait détourner le regard, faire un truc... Et alors que je sentais la force de bouger revenir, un autre sentiment me pris d'assaut. Une lassitude qui aurait normalement dû m'être familière mais qui, étrangement, avait quelque chose de différent. Je n'avais soudainement plus envie de lutter contre tout ce que Lizzie me faisait ressentir... Marre de détourner les yeux, de me priver de son regard, de sa voix... Marre de me priver d'elle! Peut-être qu'une telle pensée était digne d'un playboy ou j'sais pas... Mais... Putain, l'effet qu'elle me faisait, j'pouvais pas l'ignorer toute ma vie. J'étais devant un choix simple : soit je commettais le geste que j'avais envie de commettre, soit je me levais et l'abandonnait à nouveau, lâchement, comme je l'avais fait l'autre jour. Sans revenir m'excuser, sans... sans rien. Car il était évident que notre relation ne pouvait s'arrêter aux pensées auxquelles j'avais trop peur de mettre un nom! En tout cas, ça, c'était de mon côté. La peur qu'elle ne me rejette comme les autres l'auraient toutes fait semblait totalement disparue et ne restait en moi ce sentiment qui ne pouvait que vouloir dire ''J'ai rien à perdre''.

N'ayant effectivement plus grand chose à perdre, je me levai subitement, ne lui offrant comme seule réponse que mon corps se penchant au dessus de la table et de toute la nourriture gastronomique qui y siégeait. Mes mains ne sachant pas vraiment ou se placer vinrent se position sur le rebord de la table, l'agrippant fermement en un mélange de crispation dû au stress et au besoin d'équilibre. Je ne ressentais tout à coup que du stress, que de la tension alors que mon visage s'arrêtait à quelques centimètres du sien pour sentir son souffle contre mes lèvres. Ce ne fût qu'après une hésitation de plusieurs secondes – qui parurent comme un millénaire- que je fit le grand saut. Mes lèvres vinrent finalement combler la distance qu'il y avait entre nos deux visages, se déposant lentement sur les siennes, prolongeant ce simple geste et le rendant plus magique qu'il ne semblait l'être lorsqu'on le voyait dans les films hollywoodiens. Un léger frisson franchissait ma nuque lorsque mes yeux se fermèrent complètement. Ce qui était alors un mouvement relevant plus de l'automate que de l'humain se transforma alors en une émotion inconnue exprimée à l'état pur. Jamais aurais-je cru que ses lèvres contre les miennes pouvaient procurer un tel plaisir, une telle énergie en moi.

Après un moment que je ne saurais même définir, je reculai la tête, rouvrant mes yeux. J'étais maintenant près à faire face à Lizzie, à lui expliquer pourquoi j'avais commis un tel geste. À moins qu'elle ne me vire illico. Néanmoins, j'étais un Marshall. On m'avait apprit, tout jeune, qu'on ne devait jamais «s'excuser», car au sens littéral, s'auto-excuser était impoli et stupide. De même que de dire «Je regrette» si en fait, on assumait entièrement nos actes. Or aujourd'hui, je n'allais et ne comptais pas dire à Lizzie ces deux mots. À la place, je bafouillai deux-trois trucs plus ou moins compréhensibles.

«J-Je... T-Tu... De la confiture... sur... s-sur ta lèvre...»

Je restai là, penché vers elle au dessus de la table, mon regard se décidant finalement à soutenir le sien pour lui dire «oui, j'ai ôsé».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



summertime sadness

KEY WEST, SUMMER 2013
------------------ ◊ -----------------





J'comprends plus c'qui se passe, strictement rien. J'vois Yohan se redresser et avancer dangereusement son visage du mien. J'bouge pas, tétanisée par la surprise, mais aussi par cette peur qui me revient soudainement, prenant possession de chaque parcelle de mon corps. Son souffle effleure ma peau à presque m'en donner des frissons. Des frissons qui me parcourent de la tête au pied. Mes yeux se perdent dans les siens une énième fois. Et c’est là que je remarque a quel point ils étaient beaux, ses yeux. A quel point Yohan était beau. Et c'est une explosion de sentiments dans mon corps à l'instant même où le beau anglais rompt l'espace entre nos lèvres qui était devenu à présent inutile. J'pense que mon coeur loupe un battement à cet instant avant de se remettre à battre a cent a l'heure. J'ai la tête qui me tourne mais j'aime tellement cet instant de pur bonheur. En fait, ouais c’est ça la perfection. Se sentir tellement bien qu’on se sent pousser des ailes. Et ça Yohan a cet effet là sur moi. J'ai pas envie de détacher mes lèvres des siennes. En fait, j'en ai toujours eu envie de l'embrasser, je l'ai toujours désiré, là voilà la réponse a ses mystères. Elle se trouvait juste devant mes yeux depuis tout ce temps. C’était juste que j’m’embrouillais trop le cerveau avec toutes ses questions que je ne voyais pas la réalité en face. Et cette réalité, cette évidence, c’est Yohan qui me l’avait prouvé à l’instant même. Ouais il avait osé, osé faire cette chose défendue que j’aurai peut-être mis un peu trop longtemps à comprendre, aveugler par mes sentiments naissants. Mais j’avais soudainement plus peur, mes lèvres contre les siennes dans ce doux baiser. J’en ai presque un pincement au cœur quand le brun se détache doucement de moi. J’cligne plusieurs fois des yeux comme pour vérifier que ce n’était pas juste un beau rêve. Non c’était belle et bien la réalité et cela emplissait encore plus mon cœur de joie. Je peine à me concentrer sur les mots de Yohan, mon regard beaucoup trop attiré par sa bouche. J’me pince les lèvres, hésitante. Il était toujours penché vers moi, m’expliquant le pourquoi du comment de son geste. Mais en fait, j’en ai juste rien à foutre, j’suis trop contente qu’il l’ait fait. J’ai juste pas de mot pour exprimer ce que je ressens que je m’approche à mon tour timidement de lui comme par crainte de faire un faux pas. Mais j’pouvais nier le fait que ce baiser, il était tout simplement devenu maladif. J’en redemandais toujours, plus et encore. Une de mes mains se loge doucement derrière sa nuque venant caressant la pointe de ses cheveux et mes lèvres se glissent lentement sur les siennes. Je prends mon temps, je savoure ce nouveau baiser passionné. J’ai pas envie que ce moment cesse, j’ai envie qu’il dure éternellement. J’me sens bien comme ça avec lui, j’ai tout un coup plus peur de ce qui nous arrive. C’est quand même incroyable ce qu’il nous arrive, j’aurai jamais pensé ça, il y a deux jours. Une telle tournure de situation des plus plaisantes. J’finis difficilement par me détacher de l’anglais et lui glisse en un simple murmure comme excuse Toi aussi t’en avais…
 
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)