Aaron & Jamie « What’s up ? »

ft. Aaron Հ What's up !

« Ecoute, je sais pas, je crois que j'ai la tête "déteste-moi", enfin tu vois le genre.En fait, je pense que Matt' pensait son père irréprochable, de ce que j'ai compris, il ne savait pas qu'il leur avait menti... et puis ouais, il a pas trompé leur mère avec la mienne, loin de là. » Donc ? J’eus vraiment du mal à comprendre la réaction de sa nouvelle famille. Aaron avait été leur ami et parce qu’ils le jugeaient coupable de quelque chose qu’il n’avait pas commis et dont il n’était absolument pas responsable, ils avaient rayés leur amitié. Cela me mis presque sur les nerfs, je ne les comprenais vraiment pas. Aaron était le mec le plus cool de la planète, le traiter ainsi me dégoutait au plus haut point. Il me raconta, que ce fut la faute d’Alaska s’ils avaient failli coucher ensemble ce qui me sourire. Je le connaissais que trop bien pour comprendre qu’il avait aussi sa part de responsabilité dans l’histoire. « Tu as connu comment Leyna ? » Je perdis instantanément mon sourire. Je n’étais pas vraiment prêt à parler à cœur ouvert, je ne savais déjà pas moi-même ce que je ressentais, même si je savais que Aaron pouvait m’aider à y voir plus clair. La serveuse arriva et Aaron se commanda une vodka-citron. Ainsi, je me rassis correctement et commandais un coca-whisky. La serveuse s’éloigna. « Un jour sur la plage. Je l’ai confondu avec sa jumelle, Alice. Puis on a…sympathisés. » Je n’allais pas non plus lui avouer qu’une heure après notre rencontre, on s’embrassait déjà. Je tentais un changement de sujet : « Donc tu veux dire, qu’à l’heure d’aujourd’hui les autres Silver, ne te parle plus ? Les bâtards… » Je n’étais pas du genre vulgaire mais là, ils le méritaient.

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what's up ? ft Jamie & Aaron

Je fixais Jamie d'un air perplexe, ouh ça puait le mensonge ça, j'espérais au moins qu'il était conscient qu'il ne savait pas mentir.

Enfin je n'allais pas le forcer non plus à tout me divulguer comme ça.

Je le connaissais le petit, il fallait le travailler.

-En fait, les autres Silver ne me connaissent pas trop tu sais. Ils sont tous en mode " happy family", la série que j'ai jamais pu encadré ... encore pire que The Walking Dead.

En fait mon ami était italien, j'avais toujours eu envie d'aller en Italie, vous savez c'est le pays où les types sont du genre à avoir trois poils au cul et à se sentir comme un ours.

Tiens en parlant de ça, c'était moi où l'ado' pré-pubère derrière nous était en train de tenter de brancher la serveuse.

Pauvre demoiselle, c'est ce que ça coûte d'avoir un décolleté panoramique.

En plus de ça, il y avait des gens pas net sur la terrasse entre le type qui limitent avait les yeux hors des trous là.

La serveuse continuait son manège.

-A mon avis elle veut que son minou fasse miaouuuu. fis-je en miaulant comme un chat. Si tu vois ce que je veux dire Jamie bien sûr.

Je n'allais pas bien moi, en fait j'étais plutôt perdu entre le doute et la colère. Je me sentais comme une mauvaise herbe, genre plante verte, il devait y avoir limite une pancarte sur moi marqué " demi-frère 25 ans d'âge".

Je suis sûr qu'à ce moment là Matt' aurait pris du désherbant et m'aurait aspergé.

-C'est bientôt mon anniversaire Jamie !

Je changeais un peu de sujet, je voulais un peu m'amuser avec mon bff de la mort qui tue, fallait bien, sinon si on était bff pour déprimer comme australopithèque fossilisé !

J'avais aussi un autre problème mon passeport. Je n'allais bientôt plus avoir de visa mais personne ne le savait encore.

Obama aurait pu me gracier, c'est le premier président noir de l'amérique quoi... c'est dieu !

Je pris alors un peu l'accent Namibien de quelqu'un qui a l'Afrikaans comme langue maternelle.

-Tu sais pour les gens comme les Silver, je suis rien ... C'est la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir...

Je regardais mon petit Jamie m'écoutait, il devait surement me prendre pour un fou.

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ft. Aaron Հ What's up !

« En fait, les autres Silver ne me connaissent pas trop tu sais. Ils sont tous en mode "happy family", la série que j'ai jamais pu encadré ... encore pire que The Walking Dead. » Rah, tout cela me foutais en rogne. Déjà qu’à lui non plus ça ne l’enchantait pas d’avoir gagné un frère et une sœur, mais en plus ceux-là n’avaient pas le courage d’apprendre à mieux le connaître. Ils manquaient réellement quelque chose à ne pas le connaître. Soudain, il me désigna la même serveuse que nous avions repérée quelque temps avant et qui se faisait draguer par un jeune gamin. « A mon avis elle veut que son minou fasse miaouuuu. Si tu vois ce que je veux dire Jamie bien sûr. » Quoi ?! Ma tête se positionna en arrière et j’explosais de rire. Mais d’un rire fort et bruyant. Jamais je n’avais entendu une telle expression, ce qui me fit bien rire. Celui-ci enchaina alors que j’essuyais les larmes qui perlaient au coin de mes yeux. « C'est bientôt mon anniversaire Jamie ! Tu sais pour les gens comme les Silver, je suis rien ... C'est la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir... » Une fois de plus, j’eus à peine le temps de reprendre mes esprits que je me mis à rire derechef. Si fort que je m’en tenais le ventre. Comment que je l’adorais ce type ! Toujours là pour te remonter le moral, même si c’était lui avait besoin de se le faire remonter. « Q..uoi ?! » Je pleurais. Littéralement. Ses répliques m’avaient complétement achevé. « Tu sais que tu peux être crétin parfois avec tes conneries ? » Je lui fis un grand sourire alors que j’essuyais mes yeux avec une serviette en papier. « Au diable les Silver, tu vaux mieux qu’eux de toute façon, t’es un prodige ! Ils ne valent rien à côté de toi et tant pis pour eux s’ils refusent tout aussi bien d’apprendre à te connaitre comme à t’accepter. » Je repris progressivement mon sérieux alors que la serveuse venait déposer nos boissons sur la table, suivit du ticket de paiement avec un grand sourire. La remerciant, je la suivis du regard alors qu’elle repartait et jetant un coup d’œil au ticket, un nouveau sourire envahit mes lèvres. Le faisant glissé sur la table jusqu’à lui avec deux doigts, je lui désignais le numéro de téléphone que la serveuse avait noté au stylo bleu en haut à droite. « Pour toi, joyeux anniversaire ! » Je ponctuais le tout d’un clin d’œil.

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what's up ? ft Jamie & Aaron

Je fixais Jamie l'air de rien, comme Stitch dans le dessin animé éponyme.

Ce mec n'était pas mon meilleur ami pour rien, j'allais surement chevaucher la serveuse comme un fier destrier.

Les vacances filaient si vite, ça allait bientôt être la rentrée.

Jamie c'était un peu mon Grand Schtroumpf, mon point d'attache, mon point de repère, un de mes plus proches amis.

Il faisait parti de la liste des personnes que j'aimais, peut-être s'il me balançait des piques aussi dures que ceux d'un oursin. Je n'avais pas besoin de livres, ni d'encyclopédie, pour comprendre ce qu'était la valeur de l'amitié.

J'avais déjà expérimenté la perte de mon meilleur ami par le passé. C'était suffisant.

-Tu sais quoi... je te remercie pour tout Jamie, je sais que je suis chiant... ok, je fais une pause de sérieux deux secondes, mais tu sais que tu pourras toujours compter sur moi.

Plus qu'un période nycthémère et j'allais avoir 26 ans. Un peu choquant... où j'en étais dans ma vie ? Je ne le savais pas moi-même.

Ca donnait le tournis, j'avais presque envie de débagouler.

-T'es sur que la serveuse c'est pas une Yoyote sec de la touffe ? Parce que je suis pas fan.

J'étais fier de mes expressions loufoques, c'était vraiment la folie dans ma tête, j'avais envie de crier ouais c'est ça.

Mais une idée meilleure me vint en tête.

-HAAAN OUI C'est si bon...hmmm...continue...ouais...j'accélère...haaaan...ouii...c'est bon.

Voilà je venais de perdre quasiment toutes crédibilités devant tous les gens de la terrasse, je leur fis un sourire en mode australopithèque.

C'était pas tous les jours qu'on imitait un gémissement orgasmique devant tout le monde.

Je vis le chien d'une cliente, je lui fis un clin d'oeil à la mamie, avant de caresser son chien.

-Bon tu viens on va parler un peu à l'écart là, tous ses gens me regardent je sais pas pourquoi.

J'étais vraiment fou parfois.

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ft. Aaron Հ What's up !

« Tu sais quoi... je te remercie pour tout Jamie, je sais que je suis chiant... ok, je fais une pause de sérieux deux secondes, mais tu sais que tu pourras toujours compter sur moi. » J’hochais la tête en signe de remercîment silencieux. J’espérais dans le fond qu’il savait que c’était purement réciproque. Il enchaîna : « T'es sur que la serveuse c'est pas une Yoyote sec de la touffe ? Parce que je suis pas fan. » Je me mis à sourire jusqu’aux dents. Ah lala ce petit Aaron et ses expressions bizarres. Et ses cris chelous O.o. Je regardais aux alentours alors qu’Aaron c’était mis en tête de pousser des cris sauvages digne d’un orgasme sulfurant. Je me tassais sur moi-même, mort de rire mais aussi rouge de honte pour mon ami. Lorsque celui-ci arrêta, il me regarda d’un drôle d’air : « Bon tu viens on va parler un peu à l'écart là, tous ses gens me regardent je sais pas pourquoi. » Ah non ? Ben moi je le savais très bien. Je me levais de ma chaise, la poussant derrière moi, et attrapant mon verre, je me dirigeai avec Aaron en direction de la plage. Marcher un peu ne pouvait lui faire que le plus grand bien. Je m’esclaffai tout en lui disant : « Mec, t’es un grand malade ! » Un vrai fou tout droit sorti d’un asile de fou du même genre. Je savourais la fine brise de la mer alors que je buvais une goergée de ma boisson puis je me tournais vers mon ami avec un grand sourire: « Et sinon, cette Snow ? Tu l’aimes bien ou tu l’aimes bien bien ? »

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L'air marin me caressait le visage, je laissais mon regard se perdre dans le bleu de l'océan, c'était dingue de dire que de l'autre côté je trouverai la Namibie.

Dans quelques jours j'allais avoir 26 ans, déjà ! Une nouveau chapitre de ma vie s'écrit à ce moment là.

Ca me rendait quelque peu nostalgique, mon enfance dorée en Namibie, j'avais aimé mon pays jusqu'à ce que je me fasse "chasser" de là-bas.

En fait ma vie était très cyclique, il y avait une période de stabilité, de joie qui durait jusqu'à se briser par une catastrophe.

J'avais vraiment un karma terrible.

Et tout le bonheur et la joie que j'avais acquis ces dernières années m'étaient retombées dessus depuis un moment.

Je levais un sourcil face à ce que me disait Jamie.

-Je n'aime pas Snow... enfin je l'apprécie beaucoup tu vois, mais je ne suis pas amoureux d'elle...

Je ne pouvais pas tomber amoureux, huit ans étaient passés, mais j'avais toujours l'impression que mon coeur était pris.

J'étais sorti avec des filles à l'Université, je les avais aimé, mais jamais comme j'avais aimé Emily.

Même pas Blue... et ça me faisait toujours une boule au ventre. Quand je devais parler de mes sentiments, car au fond je n'étais jamais hônnete.

-Jamie... ça t'arrive d'avoir cette sensation où tu voudrais pouvoir enfin faire ce que tu veux, sans que les conséquences de tes actes soient négatifs ?

Pas que j'avais volé une banque non, c'était simplement que je blessais les gens sans le vouloir, j'étais toujours vu comme l'assistant de prof' super sexy, je ne me plaignais pas de ça, mais j'étais un être creux pour la majorité des gens de Harvard.

Mais je ne devais pas oublier que j'avais mes amis avec moi.

Et qu'ils étaient très important pour moi.

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Je pus constater du coin de l’œil Aaron faire un grimace en entendant ma question sur Snow. « Je n'aime pas Snow... enfin je l'apprécie beaucoup tu vois, mais je ne suis pas amoureux d'elle. » Ah, je l’aurais plein si ça avait été le cas. L’amour ça pouvait rendre aveugle et faire perdre la tête à des gars plein de bons sens dans notre genre. Je jetais un coup de pied invisible dans le sable, alors que mon interlocuteur de prenait de court : « Jamie... ça t'arrive d'avoir cette sensation où tu voudrais pouvoir enfin faire ce que tu veux, sans que les conséquences de tes actes soient négatifs ? » Hein ?! Si ma tête était baissé pour voir où je mettais les pieds, elle s’était relevée si rapidement que je fus pris d’un tournis extravagant. De quoi pouvait-il bien parler ? Pas que ça question me dérangeait, loin de là, mais il était parfois très rare qu’il me pose une de ses questions profondes remplis de bons sentiments. J’esquissais un sourire avant d’hocher les épaules. Je pouvais le comprendre. J’y arrivais. Car moi-même, je me sentais prit par des chaînes, incapable de pouvoir faire ce que je voulais quand je le voulais. Je m’étais déjà rebellé contre mes parents qui étaient contre mes études de médecine sportive car ils voulaient que j’entre dans le monde des finances, et la fin avait finalement était plutôt bonne grâce à leur acceptation mais, cela ne m’avait pas donné d’avantage l’envie de me battre pour ce que je voulais. Je songeais rapidement à Leyna, effleurant en même temps mon souvenir de ma rencontre avec Caliziana et la découverte foudroyante qu’elle était la petite sœur de mon meilleur pote d’études médicales, Gabriel. « Tu parles en connaissance de causes ? Il t’arrive quelque chose dont tu voudrais parler ? » Plutôt direct comme question. Néanmoins, le coup de foudre pour cette jeune femme et mon idylle naissante avec Leyna me laissait le cœur en vrac. J’étais trop volage et cela me mettait parfois les nerfs à vif, que je le veuille ou non. « Mais oui, tout le temps. J’aimerai pouvoir crier qui je suis réellement et ce que j’aimerai vraiment aussi. Malheureusement, on n’a pas toujours ce qu’on veut et on ne peut pas se permettre de faire des choses sans en subir les conséquences. Et je crois que c’est ce qui me fait le plus peur. » J’avais peur de blesser Leyna ou quelqu’un d’autre. Moi-même surtout.

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Je sentais le regard compatissant de Jamie sur moi, ce que ça me faisait du bien de l'avoir à mes côtés, chacun de mes meilleurs amis m'apportaient quelque chose, Emma était très gentille et avait toujours des idées tordues, Andy était plutôt celui avec qui je défoulais mon côté badboy et avec qui ça se terminait toujours par une bêtise en tout genre et Jamie, le mec sur qui je pouvais toujours compter... qui serait toujours à mes côtés.

-En effet, je dis ça, parce que j'ai l'impression que tout ce que je fais se termine mal... je viens de rompre avec Blue, tout ça parce que figure toi qu'elle est ma cousine... et que voilà ça me dégoute rien que de me rappeler de ses larmes...

Je n'avais vraiment pas de chance, à chaque pas que je faisais, je continuais de blesser les gens autour de moi sans m'en rendre compte, je n'avais jamais dit à Blue que j'étais marié avec Brooke... alors que nous étions ensemble.

Mais mon problème était que je croyais m'attacher à une fille, mais je ne l'aimais pas du plus profond de mon être, je n'avais eu que deux réelles histoires intenses, il y avait eu d'abord Emily... la fille pour qui je ferai n'importe quoi... mais à qui je n'avais pas parlé depuis huit ans.

Et Blue, Blue avait été mon histoire la plus intense à Harvard, encore plus que toutes ces amourettes que j'avais eu, bien que ces autres filles comptaient également pour moi, je chérissais plus le lien que nous avions à présent, je pensais en particulier à Neva', qui était maintenant une amie de grand secours et également une sorte de petite soeur de coeur.

Je me sentais mal à l'aise avec mes relations, je me dégoutais, et ces vacances n'avaient pas été des vacances de tout repos pour moi.

Je passais une main sur l'épaule de Jamie.

-Heureusement qu'on a des piliers dans notre vie, des gens stables qui malgré les tempêtes et les catastrophes ne nous lâcheront jamais...

Perdre encore un de mes meilleurs amis seraient le pire châtiment pour moi, je crois que j'avais atteint un point de non-retour à ce moment-là.

Je devais vraiment trouver une solution à tous mes problèmes.

Il était bientôt l'heure que je me sépare de Jamie.

-Je pense que je ne vais pas trop tarder à rester, Ja', on se tient au courant pour se voir tout à l'heure ?

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ft. Aaron Հ What's up !

« En effet, je dis ça, parce que j'ai l'impression que tout ce que je fais se termine mal... je viens de rompre avec Blue, tout ça parce que figure toi qu'elle est ma cousine... et que voilà ça me dégoute rien que de me rappeler de ses larmes... » Argh l’horreur, avec sa cousine. C’était à peine croyable, je me sentais vraiment peiné pour lui. Le pauvre décidément il n’avait pas vraiment de chance, ni en relations ni en amour. Il est même pire que moi. Je le sentis poser une main sur mon épaule. « Heureusement qu'on a des piliers dans notre vie, des gens stables qui malgré les tempêtes et les catastrophes ne nous lâcheront jamais... » Je lui fis un grand sourire. S’il me considérait comme un pilier, je le considérais plutôt comme mon super idéal masculin. « Je pense que je ne vais pas trop tarder à rester, Ja', on se tient au courant pour se voir tout à l'heure ? » J’eus une mine boudeuse. Je voulais en savoir plus, je ne voulais pas qu’il me quitte ainsi, les mots en travers de la bouche. Je lui posais à mon tour une main sur son épaule. « Ok. Mais si tu as besoin de quoique ce soit, si tu as envie de parler, n’hésites pas ! » Je lui un de mes plus grands sourires, avant de le serrer brièvement dans mes bras. « Alors à plus tard, mec. » Suivit d’un clin d’œil. « On se fend toujours hyper bien la poire avec toi ! » Je lui fis un alors un signe de la main pendant qu’il s’éloignait, alors que je décidais en même temps, de m’approcher du bord de l’eau.

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