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together again, to make a decision. ♕ aleksgia

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 aleksgia  

together again, to make a decision.

J'ai quitté Key West. Pourquoi ? Avant j'aurais pu vous dire que j'avais voulu partir pour oublier, décompresser, m'éloigner de Cambridge, donc de mon passé, en cette année, tellement de choses se sont passées, des bonnes, des mauvaises, et pas mal ont changées beaucoup de choses. C'est au bout de deux semaines là-bas que j'ai pris cette décision, mes valises étaient sortis du placard depuis quelques jours, je me questionnais juste sur la décision à prendre, mais je l'ai prise, je suis assis dans ce siège d'avion qui vient de quitter Key West pour Cambridge. Quelques heures de vol et l'annonce du capitaine comme quoi, le sol de Cambridge est juste en-dessous, l'avion atterrit, mes pieds se posent de nouveau sur ce sol, aussitôt une cigarette se porte à mes lèvres, j'en ai bien besoin je crois. J'entre dans l'aéroport une fois la clope écrasée avec le bout de mon pied, je ne tarde pas à récupérer mes valises et alors que je me dirige dans cette grande allée pour quitter l'endroit, je vois Georgia, elle aussi des bagages en main, elle aussi vient de quitter Key West. Toi aussi tu t'es dis que t'avais rien à faire là-bas ? lui demandais-je une fois arrivé à quelques pas d'elle. Je ne sais plus trop comment me comporter avec elle, c'est devenu trop compliqué, je ne sais même pas si je suis amoureux d'elle, surement que oui, peut-être bien que non.

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with alekseï ϟ together again, to make a decision
Au revoir Key West. Au revoir l'équipe des Yodastream. Terminé le summer camp. Et bonjour Cambridge. Et oui, déjà. Mon départ n'était pas prévu aussi tôt mais au final, partir était la meilleure chose à faire. Plusieurs choses m'y ont poussé et m'ont fait comprendre que finalement, le summer camp n'était pas vraiment pour moi. A l'aéroport, c'était un vrai bordel. Il y avait du monde, c'était bruyant, tout ce que je détestais. Mes deux valises ainsi que mes sacs en main, je me frayais un chemin parmi la foule et m'en allait vers un distributeur de boissons, dont je ne mit pas de temps à faire tomber une simple bouteille d'eau. Et alors que je me baissais pour la prendre, la voix d'Alekseï atteint mes oreilles. Oh merde ... Je relevais doucement les yeux vers lui tout en me relevant moi-même, ma bouteille à la main et une petite moue sur le visage. J'avais un peu de mal à réaliser qu'il se tenait là, devant moi. Moi qui pensais qu'il profitait paisiblement du summer camp sans se préoccuper de moi. Oh, heu ... ouais. Disons que c'est pas mon truc. Ca m'étonnes de te voir là, j'pensais que t'aimais bien aller à ce genre de choses. J'osais pas vraiment le regarder. C'était un peu bizarre entre nous, à cause de ce foutu baiser. Mais malgré tout, il m'avait manqué. Ces deux semaines sans lui avaient été longues.
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Key West était à des centaines et des centaines de kilomètres de là maintenant, me voilà de nouveau sur le sol américain. J'ai quitté ce Summer Camp car j'ai finis par réaliser que je n'avais rien à faire là-bas, j'avais voulu oublier et mettre de côté un passé qui se révélait bien trop grand pour que ce soit possible. Je venais de récupérer mes valises, en faisant ce petit geste pour saisir les poignées des valises, je me revoyais en septembre, la première fois que je débarquais ici, je ne sais pas si c'est mon séjour à l’hôpital, mon problème à la tête mais j'ai de plus en plus de souvenirs qui viennent comme ça, ils s'en vont, reviennent, je touche quelque chose et des flashbacks font surface enfin bref, ça va me faire du bien de revenir ici, loin de ce paradis, oui tout est contradictoire je sais. Je la vois près de ce distributeur, je ne m'attendais pas à la voir, tout est si compliqué entre nous, vraiment, comme jamais, mais je ne vais pas l'ignorer, pas après ce baiser, pas après ce qui s'est passé, mais je ressens une certaine gêne, je suis amoureux sans être amoureux je crois, j'en sais trop rien. Elle aussi semble surprise lorsque ma voix l'interpelle, elle me voit en se retournant, elle ne sait pas trop comment se comporter elle aussi, ça n'arrange rien mais bon je ferai avec. Bah je me suis rendu compte que j'avais rien à faire là-bas, ouais j'aime voir des paysages nouveaux mais on va dire que ces derniers temps, j'ai pas que ça à faire. J'ai mieux à penser. penser à moi et Georgia, je ne sais plus où ça en est entre nous, j'ai envie de l'embrasser, mais si je le fais, je vais le regretter, si je ne le fais pas je vais le regretter, je ne sais plus quoi faire mais finalement je me laisse tenter. je m'approche d'elle et dépose mes lèvres sur les siennes, un court baiser, quelques secondes avant que je quitte ses lèvres et me recule légèrement Penser surtout à ce que je viens de faire je crois..

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with alekseï ϟ together again, to make a decision
Pour ne rien cacher ... j'étais un peu mal à l'aise de le revoir là, maintenant. On ne s'était pas parlé pendant deux semaines et nos dernières conversations n'étaient que disputes et prises de tête successives et ce à cause d'un baiser que j'ai laissé échapper. Y'a de quoi être mal à l'aise, non ? Mais maintenant qu'il se tenait en face de moi - à ma grande surprise d'ailleurs - et qu'il venait de m'adresser la parole, j'allais devoir passer au-dessus de ces tensions entre nous dont je n'avais pas l'habitude. Et ce n'était pas forcément simple. Vraiment pas simple du tout même. Surtout quand on sait que ces tensions, elles sont là à cause de moi et de personne d'autre. Mais au final, ça avait beau être de ma faute ... personne ne contrôle ses sentiments, pas même moi. J'appréciais Alekseï, bien plus qu'en amitié. Et il le savait. Rien de mieux pour accentuer mon mal être. Je te comprends, répondis-je en baissant les yeux sur ma bouteille d'eau, rentrer est sûrement la meilleure chose à faire dans ce cas-là. La preuve, moi aussi je rentrais. J'esquissais un petit sourire en coin alors qu'il fit un pas vers moi. Je n'y prêta pas vraiment attention sur le moment, mais c'est lorsque ses lèvres se posèrent soudainement sur les miennes que là, il avait toute mon attention. Bon sang d'merde, c'était ... magique. Le fait qu'il m'embrasse de sa propre volonté me choqua mais j'appréciais son baiser du mieux que je pu. Après quelques trop courtes secondes, il se recula et j'eu un peu de mal à me remettre de ce qui venait de se passer. Je ne comprenais pas, du moins je ne comprenais plus. A quoi il jouait ? Terriblement intimidée, je levais doucement les yeux dans les siens. Alekseï, je t'en prie, ne commence pas à jouer avec ça ... je ... j'prends pas ça à la légère et j'veux pas m'faire de faux espoirs ... Concrètement, j'étais paumée. J'allais sûrement avoir du mal à m'endormir cette nuit.
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La revoir, après ce baiser, c'était dur. Tout avait été si facile avec elle, vraiment, il n'y a jamais eu de gêne entre nous, et là il n'y a quasiment que ça, comme quoi tout as changé entre nous. Engueulades, ignorance, mal-être, c'était devenu notre quotidien après ce baiser qu'elle m'a donnée, elle peut avoir des remords d'avoir fait ça, mais je sais qu'elle est amoureuse de moi depuis ce fameux soir et tout as changé dès lors, je ne la vois plus comme mon ex-meilleure amie, non je peux plus. Même lui parler, je ne sais plus quoi dire, pourtant c'était si facile avant et là j'hésite, je me lance avec peu d'assurance alors que d’habitude, elle me submerge mais face à elle, j'étais perdu, faible, seul. Elle aussi était revenu car elle n'avait rien à faire là-bas, j'étais venu pour décompresser et oublier mais après deux semaines je me suis rendu compte que c'était une connerie et me voilà ici, à Cambridge. Ouais. On la prise tous les deux faut croire. elle esquissait un faible sourire qui restait tout de même discret et c'est alors que je fis un pas vers elle, je me rapprochais, je l'embrassais. Un court baiser de quelques secondes avant que je quitte ses lèvres et que je me recule, pourquoi j'avais fais ça ? Parce que j'en avais envie, parce que je trouvais ça logique, j'étais amoureux, je ressentais cette même chose que j'avais eu autrefois pour Solweig, je n'étais pas sur avant ce baiser mais maintenant je sais que c'est elle que je veux. J'ai arrêté de jouer.. je sais maintenant que je suis amoureux de toi. je restais planté là, mes valises dans les mains, je ne réalisais pas encore que j'étais amoureux et que je venais de lui dire, j'ouvrais mon cœur à une autre fille que Solweig, c'était bizarre mais Georgia en valait largement la peine, elle était digne d'avoir mon cœur.

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with alekseï ϟ together again, to make a decision
J'acquiesçais en silence. C'était quand même louche que l'on se retrouve au même endroit après avoir décidé de quitter le summer camp le même jour. Une coïncidence. A croire que le destin avait envie de nous réunir au plus vite. Enfin bon, si c'était pour que notre conversation dévie vers la dispute une nouvelle fois, je préférais partir. J'avais pas envie de me faire du mal à nouveau. Et pourtant, lorsque les lèvres d'Alekseï se posèrent sur les miennes, je ressentis comme un agréable coup dans le coeur. Quelque chose qui fait mal mais qui, au fond, fait du bien. Lorsque le baiser prit fin, j'avais un mal de fou à réaliser. Il m'avait embrassé. Lui. J'avais l'impression que mes sentiments étaient en train de se décupler sans que je ne puisse rien y faire. Mais j'avais aussi l'impression qu'il avait fait ça pour me faire plaisir ou pour je ne sais quoi ... mais pas parce qu'il était amoureux. Et je ne voulais pas qu'il joue avec mes sentiments, ce que je ne manquait pas de lui dire.J'avais pas envie de me faire de films, de me dire qu'un jour il serait à moi alors que non. Et en l'entendant répondre, mes yeux s'agrandirent et je cru faire un malaise. C'était im-po-ssible. Un rêve, je nageais en plein rêve. C'était le bordel dans ma tête. Le pensait-il vraiment ? Est-ce qu'il était sûr de lui ? Un vrai foutoir. J'eu même du mal à lui répondre et nerveusement, je me mis pouffer de rire. Tu ... attends, t'es en train de me dire que ... oh et puis merde. Je m'avançais tout en posant la bouteille d'eau sur l'une de mes valises, passais mes bras autour de son cou et l'embrassais, avec tendresse et douceur. J'avais l'impression d'avoir accompli un des rêves de ma vie : l'avoir avec moi, et avec moi seule. Je me détachais de ses lèvres et, encore intimidée mais heureuse, je lui souriais. J'dois être la femme la plus heureuse de toute la ville. Et je me mis à rire, mon bonheur n'ayant plus de limite.
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Je devais admettre, bizarre qu'elle et moi nous trouvions ici, que elle et moi avions tous les deux quittés le Summer Camp. Ça m'avait surpris de la voir pour tout dire mais j'étais quand même allé vers elle, même si je ne savais plus comment être avec elle, elle me déstabilisait, me perturbait, tout à cause de ce baiser échangé au bal, je sais qu'elle es amoureuse de moi, mais la question c'est ce que je ressens. Je ne savais plus quoi faire pour mettre un terme à ces doutes constants qui trônent dans ma tête depuis ce fameux soir, alors je tente, je m'approche, mes lèvres touchent les siennes durant quelques secondes avant que je les quitte et m'écarte légèrement. Le gout si magique de ses lèvres, je le savais maintenant, je ressens c que j'ai ressentis autrefois pour Solweig, je suis amoureux d'elle, je le sais maintenant, c'est une certitude. Elle reste surprise par ce que j'ai fais, elle me dit même que je ne dois pas jouer avec ses sentiments mais ce n'est pas un jeu, c'était une réponse à ma question, et je le lui faisais savoir, avec la plus grande sincérité qu'elle pouvait méritée de ma part, elle savait maintenant que j'étais amoureux d'elle. Oui t'as tout juste.. je souriais puis quand à elle, elle lâchait sa bouteille d'eau et venait passer ses bras autour de ma nuque et m’embrassait tendrement et langoureusement pendant quelques secondes avant qu'elle retire ses lèvres et elle souriait, même rigolait, elle était heureuse, je le voyais dans ses yeux Je vois ça oui. Et tu fais de moi un homme heureux Georgia Petry-Vessel. je passais une main sur sa joue avant de l'embrasser de nouveau, elle était devenu ma seule et unique addiction.

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with alekseï ϟ together again, to make a decision
Il était amoureux de moi. Hé ho, ici la vie réelle. Là, c'était certain, j'allais pas dormir de toute la nuit. Ce qui m'épatait le plus, c'était de voir dans ses yeux toute la sincérité du monde. Je connaissais Alekseï mieux que n'importe qui ici, je savais quand il prenait une fille pour une idiote et quand il était réellement sincère. Et là, il avait l'air de l'être. Ca rendait ses paroles encore plus belles. En ce qui concerne les miennes, elles avaient du mal à passer le cap de mes lèvres. Je bafouillais, je cherchais mes mots. J'avais l'impression d'avoir quinze ans et que je venais de recevoir mon premier baiser. N'importe quoi. Et alors que j'en avais marre de chercher quoi lui dire, je préférais l'embrasser directement. Sans gêne, sans avoir peur qu'il me dise que je ne suis qu'une amie et que je finisse en pleurs une fois seule. Sans rien de tout ça. Juste avec l'amour que je lui porte depuis tellement de temps. Je décollais à contre coeur mes lèvres des siennes et par nervosité, je me mis à rire, laissant éclater un nouveau bonheur. Je gardais mes bras autour de son cou, sentant mes yeux pétiller, buvant chacune de ses paroles. Entendre tout ça de sa part dans ces circonstances, c'était tout nouveau pour moi. Et moi une femme comblée, monsieur Ivanovitch. Je sentais mes joues chauffer d'un seul coup. Et toujours souriante, je laissais Alekseï prendre à nouveau possession de mes lèvres. J'allais vite devenir accroc, c'était évident. Et il était clair que j'allais profiter de chacun de ses baisers. Le baiser achevé, je baissais un peu les yeux et me reculais de lui, et le bonheur coulant dans mon sang, je montrais nos valises du regard à Alekseï et aperçu au passage un petit garçon, les yeux rivés sur nous. S'embrasser c'est bien beau mais ... il faudrait peut-être bouger d'ici non ? En plus on nous espionne, regarde ... Je ris à nouveau tout en regardant l'enfant qui nous décocha un petit sourire avant que sa mère ne lui demande de la rejoindre. Mais enfin, il y avait de moins en moins de monde à l'aéroport et il était temps d'y aller.
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J'étais fixé maintenant, je savais ce que je ressentais pour elle et c'était de l'amour, le même que pour Solweig, j'ouvrais mon cœur pour la deuxième fois et je savais qu'elle allait me combler, je la connais depuis toujours, mon amour pour elle s'est crée pendant tout ce temps et je ne m'en rendais même pas compte, mais j'ai compris qu'avec le baiser qu'elle m'a donnée au bal, qu'elle était amoureuse de moi et avec le baiser que je viens de lui donner, que c'était réciproque. Je parlais avec sincérité, je pouvais prendre les filles pour de la merde si je le voulais, personne n'allait m’empêcher de me dire comment me comporter avec quelqu'un mais avec Georgia, c'était complètement différent, je l'aimais, et j'en étais certain, elle savait maintenant que j'étais amoureux d'elle et elle avait presque sauté dans mes bras pour m'embrasser. Elle riait de bonheur, je pense qu'elle n'arrivait pas à y croire mais elle devait bien y croire, c'était le monde réel C’est le principal alors. et je venais l'embrasser de nouveau pour éviter des blancs dans nos paroles tellement la surprise était grande. Enfin je décollais mes lèvres et je la voyais me montrer nos valises du regard et sa remarque me fit rire discrètement Je vois ça. Bougeons alors. je ne lui laissais pas le choix, le petit garçon qui était à côté de nous partait aux côtés de sa mère et je venais prendre les bagages de Georgia dans mes mains Toi ou une autre, c'est pareil, vous emmener toujours tout dans vos bagages putain.. elles n'étaient pas légères, elle avait juste à prendre les miennes, ça va deux valises c'est pas monstrueux a porter pour elle Prend les miennes tu veux ? on quittaient l'aéroport, je sifflais un taxi, les valises dans le coffre de la voiture, je la laissais monter en première puis ce fut mon tour et la question était où allions nous maintenant ?

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J'avais envie de m'en aller d'ici. De quitter pour de bon l'aéroport, d'oublier le summer camp ainsi que ces deux semaines peu convaincantes et de ne penser qu'à ce qui venait de se passer. J'avais encore du mal à me rendre compte que tout ça s'était vraiment produit. Son baiser, ses paroles ... j'étais à la limite de me pincer pour voir si tout était vrai. Lorsque le jeune garçon qui nous scrutait s'en alla retrouver sa mère, Alekseï s'empressa d'empoigner mes valises et sacs, prêt à partir d'ici. Sa remarque me fit aussi les sourcils et m'arracha un petit sourire. C'était ça d'être une femme. A croire qu'il ne le savait pas encore. Toi ou un autre c'est pareil. Toujours en train de se plaindre. Une fois mon petit pic lancé, fière de mon coup, j'empoignais ses valises à mon tour et nous nous dirigeâmes vers la sortie de l'aéroport. Je le voyais un peu embêté avec mes sacs et ça me faisait sourire, encore et toujours. Alekseï appela rapidement un taxi et en bon gentleman, il entreprit de mettre nos bagages dans le coffre et m'ouvrit la porte arrière de la voiture. Une fois montés à l'intérieur, le chauffeur de taxi nous regarda dans son rétroviseur, nous dit poliment bonjour et nous demanda la destination voulue. Je jetais un oeil à Alekseï puis au conducteur, et pris les choses en main. Hum, déposez-nous à l'angle de l'Iman St s'il vous plait. Direction, chez moi. Du moins à côté de chez moi. A une centaine de mètres. A moins que tu ne veuilles rentrer chez toi, évidemment. ajoutais-je en regardant Alekseï.
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