(flashback) Elys ♦ Hold me in your arms again

Quand il lui demanda confirmation que c'était bien fini avec Humberto , elle ne pût s'empêcher de sourire face à sa réaction tout en acquiesçant d'un léger hochement de tête avant de lui offrir un baiser des plus tendres en guise de réponse.Alors que pour jouer elle tenta d'échapper à son emprise, elle se laissa capturer prisonnière de ses bras, de ses lèvres et cela sans omettre aucune résistance.Mais,comment ne pas craquer ? Parfois, elle se surprenait à se demander si tout cela était vraiment réel , si elle ne rêvait pas. Parce que si c'était un rêve, elle ne voulait absolument pas se réveiller.C'était un rêve qu'elle vivait éveillée.Le rêve de retrouver le seul qui avait au final toujours compté.Tout était juste différent , différent d'avec les autres hommes. Plus simple et facile parce qu'ils se connaissaient par cœur mais en même temps, plus précieux , plus important , plus significatif. Et limite, elle ressentait une légère appréhension. Comme une nouvelle première fois car après tout,ils avaient tous les deux vécus pendant ces deux ans de séparation. Et si ils avaient perdu cette magie ? Mais, une appréhension qui fût vite chassée lorsque leurs regards se croisèrent.Front contre front , plongée et noyée dans le bleu de ses yeux, totalement sous le charme , immortalisant ce moment unique , capturant la magie de l'instant « Je t'aime » murmura-t-elle presque timidement alors que ses mains glissèrent lentement,délicatement, doucement sur les boutons de la chemise de son homme – parce que ouai, maintenant, elle pouvait le dire, c'était officiellement son mec – les déboutonnant un à un .« Je t'aime et je suis complètement folle de toi » reprit-elle avec plus d'assurance et plus séductrice, un sourire coquin dessiné sur son visage.

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Un baiser qui représentait le début de notre relation officielle. D'un simple regard, elle m'avait convaincu de la fin de sa pseudo relation avec ce Humberto et mon cœur s'était desserré, daignant laisser pénétrer tout l'amour que j'avais pour elle. Elle ne pouvait résister à mes bras autour de son corps si fin, elle ne pouvait résister car l'amour et le désir étaient tout réuni. Un sourire sur mes lèvres collées contre les siennes, le paradis s'offrait à moi ?! Front contre front, les yeux dans les yeux, elle m'avouait son amour en un je t'aime et je n'osais guère vraiment répondre, ne voulant rien gâcher de ma voix froide. Je n'osais pas pourtant au fond de mon cœur, le je t'aime restait là, prêt à être dit. Je souriais à ses mots, posant à nouveau mes lèvres sur les siennes tandis que la belle commençait à déboutonner ma chemise. Je la regardais avec envie, une envie plus que certaine de lui faire l'amour comme jamais meme si je l’appréhendais comme si c'était la première fois qu'on le faisait, une première fois avec la plus belle, avec l'amour de ma vie. Mon cœur battait à cent à l'heure. Je laissais glisser ma chemise au sol dès que le dernier bouton fut ouvert, commençant à caresser sa peau légèrement métissée du bout des doigts, osant passer sous son t-shirt avant de le retirer d'un coup faisant attention de ne pas lui faire mal ou quoi que ce soit. Je revenais à ses lèvres alors qu'elle me murmurait à nouveau son amour et qu'elle était folle de moi. Un sourire, toujours, puis plus de parole. Des actes. Je la couchais sur le lit ; nous étions tous les deux sans t-shirt, dès nos peaux pouvaient se toucher mais je voulais plus comme toujours. Je suis fou de toi moi aussi ... Je respirais fort, déjà bien trop excité par la scène qui commençait juste. J'embrassais son cou avec tendresse. simplement. Descendant peu à peu, juste avant ces deux seins bien formés avant de retourner en vitesse à sa bouche pour convier sa langue à une danse endiablée.

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Où était passée toute sa volonté si véhémente de lui faire payer l'affront qu'avait constitué la scène de la piscine à ses yeux ? Envolée, oubliée, éloignée.Pour le moment car tout le monde sait que la vengeance est un plat qui se mange froid. C'était une autre envie qui l'animait , se laissant peu à peu emporter par et succomber à la tentation. Le meilleur moyen de résister à la tentation n'était-il pas justement d'y céder. La tension avait laissé place à une tout autre atmosphère de sensualité et de tendresse créant une alchimie quasi-parfaite , naturelle ,entre eux. Les mots n'étant plus indispensables,le contact de leurs corps à corps suffisait à rendre palpable tout ce désir et cet amour qu'ils avaient dénié exprimer pendant deux longues années mais qui aujourd'hui, pouvait enfin se libérer.Entre ses mains, il lui donnait l'impression d'être une pierre précieuse ,tel un saphir ,qu'il travaillait avec minutie et délicatesse à chacun de ses gestes , à chacune de ses caresses effleurant sa peau , à chacun de ses baisers prenant possession de tout son être. Sentir ses baisers doux et tendres au niveau de son cou la faisait frissonner de plaisir alors que son souffle se faisait plus court et son désir plus fort. Accompagnant ses mouvements, elle laissa sa main glisser sur son corps musclé , du haut de ses épaules descendant jusqu'au niveau de sa taille ; ses jambes montant lentement le long de son corps remontèrent légèrement sa jupe laissant dévoiler une partie de sa cuisse cachée auparavant par le bout de tissu.Leurs corps de plus en plus proches, leurs baisers se faisaient plus sensuels témoignant de leur attirance et de leur désir mutuels de plus en plus fort.

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Une scène sensuelle. Comme dans un autre univers, me rendant compte de ma chance. Je souriais de plaisir, de contentement alors que je l'embrassais à pleine bouche. Nos lèvres se collaient l'une à l'autre avant de laisser nos langues se battent dans un duel de sensualité. Mon cœur battait fort mais je ne voulais l'avouer, j'avais limite honte qu'elle puisse savoir que j'avais sentiment. Bizarre lorsqu'on sait ce que j'avais pu lui dire : elle me rendait si bien, si différent, si ... oh tellement. Je caresse son corps de mes grandes mains. Elles glissent alors de ses épaules entre ses seins touchant alors doucement la bout de ses tétons, simples effleurement pour donner à ma princesse le sourire suprême. Je descend encore faisant de petit cercle autour de son nombril puis je retourne d'un coup la situation pour qu'elle prenne les devants à son tour. Je voulais lui montrer de l'inédit. Avant, il aurait tout fait pour contrôler là il voulait lui montrer qu'il voulait tout faire pour elle. Son corps sur le mien, elle s'était redressée et je la regardais droit dans les yeux, regardant ensuite son corps, souriant à ma belle. Trop de sentiments, trop de chose en moi flottait ; mon amour pour elle sublimait tout.

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Jouant l'un contre l'autre , l'un avec l'autre, il lui laissa prendre le dessus. Se mordillant légèrement la lèvre inférieure, un sourire illumina son visage alors qu'elle se tenait face à lui , les mains descendant avec douceur de son visage jusqu'à se poser au niveau de son torse musclé.Il était beau et dans l'intensité de leurs regards , il la faisait sentir belle à son tour et pourtant elle se sentait vulnérable et fragile à la fois.Surtout si elle se mettait à repenser à celles qui étaient passées après elle , ce qui ravivait ce manque de confiance en elle.Mais, c'est aussi dans son regard qu'elle trouvait ce qu'il fallait pour la rassurer , sans avoir besoin de mots.Elle se pencha alors vers lui , leurs doigts s'entrecroisant bloquant ainsi ses poignets , leurs lèvres se frôlant , se cherchant , laissant passer dans un murmure «je ne te connaissais pas ainsi »

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Son corps contre le mien laissait une magie infinie. Je la sentais ancrée contre mon corps et n'hésitais pas à bouger pour elle, pour presser plus encore nos corps l'un contre l'autre dans nos danses sensuelles. Un baiser encore, plus simple, plus beau. Par moment, je la sentais mal comme si elle ne se faisait pas confiance et intérieurement, ça m'attristait mais je montrais rien ne voulant gacher le moment. Nos lèvres se frolaient, nos mains s'entralaçaient bloquant alors les siennes et alors qu'elle avait pris le dessus, je la guidais vers le bas de mon corps en caressant ses cheveux tandis qu'elle me disait : «je ne te connaissais pas ainsi » Je restais tout de meme moi-meme. J'eus un sourire à ses paroles et je continuais à la caresser, laissant glisser mes mains au gré de la nature, là où mes mains allaient naturellement sans cherchant à toucher tel endroit ou tel autre. Parcelles de son dos, parcelles de sa chevelure tout pouvait y passer tandis que ses lèvres se baladaient sur mon corps brulant d'excitation. J'ai très envie de toi, Eliah ... De simples mots lui montrant que l'attente était trop longue, qu'il était temps qu'elle prenne ce que je lui offrais la possibilité de nous guider, d'etre la dominatrice.

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