Un casting en stress | Eyael

Adam D. Haster & Eyael R. Myhre-Schön

►Les pouls qui accelere ma voix qui accelere : je vis musique

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J'étais sur les fesses, quand j'entendis au téléphone de ma chambre d'hôtel que mes performances vocaux sur internet avait été vue par un casteur. J'allais peut être avoir la chance de participé à une énièmes reprise de Grease. Je ne pensais que cela pourrait m'arrivé et encore moins grâce avec quelques petit video en webcam trouble sur you tube : et si ma tête allait pas leur plaire ? Et si j'étais trop bouclé ? Les question se bousculais dans ma tête comme si l’apocalypse allait venir.Bon STOP déjà, est ce que je pouvais partir et laissé les Hardwaiins lors que le prochaines épreuve du laser games arrivait a grand pas ? J'avais émis ce détail... Je décidais donc de toquer à la chambre des chefs et sous chef -pourquoi il fallait que ce soit deux filles aussi . Je fus accueilli dans le couloir par des sourires charmeur des « viens par là mon mignon » de la part de certaines demoiselles. Je secouais la tête et fus enfin accueillis a bras ouvert par Brooke qui fut surprise de me voir. Je lui expliquai rapidement la situation, et, a mon grand soulagement celle ci acceptait tant que je revenais pour les laser games. C'est donc comme ça que je retrouvais en train de me ronger mes ongles jusqu'au sang dans une salle d'attente qui puait la transpiration du stress... A moins que ce soit moi ? je me regardais sur le miroir en face de moi : mes cheveux avait été gélifié à la perfection, je remontait un peu ma veste costard et ressaierais mon nœud papillon. Je tournais les yeux frénétiquement, essayant de me concentrer sur les parole que mon casque sortait, pour essayer de me calmer. Mais cela ne marchait pas... Rha ! Je me levais pour faire les cents pas alors que les autre se concentrait sur leur texte. J'en pouvais plus. J'avais l'impression de suer de tout l'eau de mon corps, la seul chose que je pouvais faire ? Chanter danser comme si ma vie en dépendais ! Je soufflais en disant : « qu'est que je fou là ? Je vais me faire bouffer cru »

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

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Eyael participait lui aussi au Summer Camp, mais pour l'instant, il avait eut quelques "soucis". Oh loin de lui de s'en faire en général, et ce n'était pas vraiment le cas, seulement voilà, il avait du aller à Cambridge, parce que sa "mère" l'avait appeler en lui disant que sa jeune soeur était aller toute seule, lui rendre visite, oubliant fortement qu'il n'était pas là pour l'été. Il ne pouvait pas la laisser seule errer dans Cambridge parce qu'il était sur la plage entrain de siroter je ne sais pas quel cocktail à la noix en ne faisant rien. Aussi Eyael avait demandé exceptionnellement à s'en retourner à Cambridge, pour accueillir sa soeur, la faire changer d'avis, et la mettre dans un avion direct pour San Francisco! Alors c'est un peu ce qu'il faisait. Il la réceptionna, et tenta de la convaincre de s'en retourner, seulement elle n'accepta qu'à une condition : qu'ils fassent une chose débile ensemble. Aussi ils se promenèrent dans les rues de Cambridge, et à la première porte qui leurs semblaient avoir une bonne tête, ils entrèrent. C'est là qu'ils entrèrent dans le monde de Adam. Ils se firent passer pour deux personnes qui faisaient parti du casting, du moins elle, lui était sensé "l'accompagner", et ils prirent place. Seulement voilà un petit gars arrêtait pas de faire les cents pas, et en plus il semblait vraiment pas aller bien; Tandis qu'elle lui souriait, Eyael se sentit investit de la mission d'aller calmer le jeune homme. Aussi il se leva et mit sa mains sur son épaule de façon, pas du tout gay mais totalement "hey je te parles monsieur", et lui dit très gentiment.

Vous pouvez pas arrêter de stresser? Vous allez rendre chèvre ma soeur jeune homme.

Eyael lui sourit gentiment, et c'est vrai qu'à voir un japonais avec une caucasienne, on avait un peu de mal à penser que c'était sa soeur... Mais elle voulait faire un truc fou aujourd'hui... la prochaine fois Eyael ne se laisserait pas embarqué dans ce genre de connerie.

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Adam D. Haster & Eyael R. Myhre-Schön

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Je détestais quand le stress envahissais mon corps. Je pensais qu'avec le temps, ceci avait disparue, mais non.Je sentis un main emprisonné mon épaule fermement. J'avais faillis avoir une crise cardiaque, je sursautais et me retournais pour voir un type asiatique me parler. Mais sûr le coup je ne l'entendis pas car j'avais toujours mon casque sur les oreilles. Je haussais les sourcils et enlevais mon casque pour lui sourire crispés « pardon. Vous disiez ? » moi ? Arrêté de stressé ? Il croyais que ça s'enlevais comme le fruit d'un arbre lui ou quoi ? Je fis un rire jaune avant de lui répondre gentilement «Ok. Premièrement ça fais 19 ans que je vis avec se stress alors pardon ça s’enlève pas d'un claquement de doigts ! » Je passais ma main dans mes cheveux et décidais d'aller faire un tour dans le couloir pour aller mettre ma tête à la fenêtre. Mon dieu, quand je stress je deviens un monstre. Heureusement, j'avais pris ma bouteille au passage et je bus une gorgée avant d'entendre quelqu'un me rejoindre.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

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Eyael était pas du tout un mauvais gars. Il n'était pas méchant, et sa remarque n'était pas pour embêter le jeune homme, mais alors loin de là. A vrai dire, il pensait plutôt à sa soeur qu'autre chose, mais bon. Il haussa les épaules quand le jeune homme lui demanda pardon, puisqu'il ne semblait pas avoir entendu sa requête. Du moins c'est ce qu'il cru jusqu'à ce que l'inconnu lui réponde de façon un peu sèche. Eyael ne prit pas la mouche, sachant très bien que parfois le stress pouvait rendre les gens un peu ... méchant. C'était pas une chose courante pour Eyael, après avoir été en Irak, tout semble beaucoup plus "simple" dans la "vrai vie à la maison", comme il disait toujours. Aussi voyant que le jeune homme s'écarta pour s'isoler un peu, il ne put s'empêcher d'aller le rejoindre, là aussi de façon pas du tout gay... Et il se mit juste à côté de lui, enfin assez loin pour ne pas avoir de contact physique. Il hésita quelques instants, avant de se sentir obligé de lui dire.

19 ans? Et bah t'es tout jeune. Qu'est-ce tu fiches dans cet endroit? Et désolé de te contredire, mais ça peut s'arranger cette histoire de stress.

Eyael toujours à essayer d'aider les gens, c'est chiant à force. C'était son grand problème ça, toujours à se mêler, enfin plus ou moins, de la vie des gens pour les aider, peu importait ce que ça pouvait être, même si là franchement il devait pas avoir l'air très... aidant.. mais bon, fallait bien commencer par autre chose ^^ Il prit sans demander au jeune homme, un de ses poignets, histoire de voir son rythme cardiaque, ah ben oui quand on fait des études de médecine... déformation professionnel.

Respires profondément, et ne penses qu'à ça. Le reste c'est du parasitage mon petit.

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Adam D. Haster & Eyael R. Myhre-Schön

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Je chantonnais doucement, c'est fou comme ça me calmais se genre de chose. J'inspirais et expirais plus profondément. Je voyais la vision de comment je mettais retrouver dans cette endroit : je me revois en train de me dandiner comme un petit poulet en rythme sur la chanson que ma mère pianotais tout en souriant, de voir son fils s'amuser. Et mon pere lui, soupirais d'agacement. Je sortais de mon brouillard temporel. Je lui souriais, encore, apparemment un sourire, illumine une journée : «je passe un casting, pour participer à une comédie musical. Tu devrais savoir si tu accompagne ta soeur. » je fit un rire jaune lorsqu'il dit que mon problème pouvais être résolu je repris «même le yoga n'a pas marché sur moi alors.. » je tremblais lorsque celui ci me pris mon poignée j'essayais de le repousser mais ne réussis pas « Je... Laisse moi s'il te plait. Pourquoi tu veux m'aider ? n se connait pas...» je tremblais, j'était completement terrifié mon poul s'accelerais. Purquoi il voulait absolument m'aidé ? Je faisais pitié ou quoi ?

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

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Le petit gars était marrant, et Eyael était franchement de bonne humeur, bon le fait d'avoir trainé avec sa soeur aujourd'hui était forcément positif, surtout que ça faisait un moment qu'ils ne s'étaient pas vu, la famille vous savez... C'est comme ça on peut pas les encadrer quand on vit avec, mais après ils nous manquent un peu. Du moins c'était ça pour Eya. Le jeune homme lui sourit avant de lui envoyé encore une autre pique dans la figure, et celle-ci il la méritait bien, c'est vrai, sur le coup Eya ne répondit rien, et laissa glisser. Il est vrai que tout marche pas forcément pour tout le monde, mais ça n'empêchait pas Eya d'essayer. Malheureusement son geste fut mal comprit, et le jeune homme semblait un peu... En panique... Sur le coup Eya serait presque à se demander si il avait une tête de violeur, ou de tueur... Mais il savait que non, aussi il ne lâcha pas le jeune homme et lui dit tranquillement.

C'est bon, détends-toi, je te veux pas de mal. T'es pas mon genre. Enfin... pas pour ça. Je prenais juste ton pouls, en passant... ça serait con que tu nous fasses une crise cardiaque.

Eya était par moment... un peu maladroit il faut le dire, mais c'est pas grave, c'est normal. Il lâcha le poignet du jeune homme, doucement, histoire de lui montrer qu'il comptait pas lui faire de mal ou quoi que ce soit, et reprit.

En vérité, on est là en touriste. Elle voulait faire un truc un peu dingue. Quoi de plus dingue que de faire un casting pour une comédie musical, surtout quand on chante comme une casserole comme elle. Je suis sûr que chanter te détends en vrai, la musique y'a que ça de vrai..

Eya était un peu parti à l'ouest, repensant à son opération et à cette solitude enquiquinante, qui lui avait permis d'apprendre à jouer de la guitare de façon plus que correcte.

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Adam D. Haster & Eyael R. Myhre-Schön

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Je mis ma tête en arrière, pour m'appuyer sur le mur le plus proche. Je regardais le plafond éclairés de milles et lumière, donnant une impression de ce retrouver au paradis. Mais, du certaines façont j'avais plus l'impression d'être en enfer. La main qui entourais mon poignée me surpris et je le pris certainement mal trop vite... Ce n'étais pas vraiment que j'étais paniqué, mais plutôt, que je n'étais pas habitué a ce genre de contact encore. Le manque de confiance en moi ce faisait toujours sentir : en ce moment même je me dépréciais tellement que je me trouvais ni attirant ni charmant ni talentueux... Bref le bloose total ! Je lui sourie avant de lui repondre : « j’espère qu'elle a du cran car on chante devant tout le monde. Même les participants. Et au cas où il y a un médecin dans la salle, donc je m’inquiètes pas tellement... » je lui souri avant de tourné ma tête vers la porte ouverte qui présentais une femme d'une trentaine d'année habillé de façon coloré mais coordonné avec un chignon serrer, des lunettes rond qui encerclais les yeux de glaces dont elle était propriétaire. Je déglutis lorsqu'elle cherchait le prénom sur un calpin avant de dire d'une voix plus douce que je ne l'aurais cru : « Adam Haster ? On vous attend dans la salle avec les autres. Nous allons commencé. » je fit un acquiescements automatiquement de la tête et rentrais dans la pénombre du théâtre. « Effectivement tout le monde est assis. Bon, ba merde pour ta sœur hein ! » je vins m'asseoir dans un des sièges et une personne imposante vint sur la scene et d'un voix un peu trop théâtrale dit les premier noms qui devait passer. Mon dieu ! Mon dieu ! Je secouais ma tête et commençais a me ronger les ongles.

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Eyael était un garçon pas vraiment compliqué, juste pas totalement normal, et il faut dire qu'apparemment il avait du effrayer un peu le jeune homme, et pour cela il s'en voulait un peu. Il repensait légèrement à l'armée, et pendant quelques secondes, cette partie de sa vie lui manquait terriblement. Un peu étrange, risqué sa vie assez courrament ne le gênait pas. Mais là, il n'avait pas toujours quelques choses à faire, et c'était assez frustrant. En tout cas la réponse du jeune inconnu eut pour mérite de faire sourire Eyael, le cran n'était pas un soucis dans leurs famille, allez savoir pourquoi. Il répondit alors naturellement

Le cran c'est pas un problème pour elle. Juste ça va être un massacre. J'espère que ça t'amuseras un peu en passant. Au pire je suis là aussi.

Eyael lui fit un petit clin d'oeil, qui n'avait rien de pervers, mais plus comme de la complicité, même si il ne le connaissait pas de depuis longtemps, après tout il ne lui avait pas dit qu'il faisait médecine, et même si ça ne se voyait pas, il était comme ça le petit, prévenant et gentil. Un vrai petit ange, du moins... pour l'instant.
Il regarda la femme bizarre parler au jeune homme, et il semblait être l'heure du show. Eyael n'étant pas un concurrent, il n'avait sûrement pas le droit d'entrée, et puis, ce genre de casting ne l'intéressait pas vraiment à voir. Néanmoins, il tenta, et bizarrement personne ne lui dit rien. Sûrement qu'ils devaient penser qu'il soutiendrait moralement sa soeur... Un truc du genre. Bref, Eyael répondit quand même au jeune homme

Et bien Adam, bonne crotte à toi. On se verra sûrement à la sortie....

Il lui sourit, et une fille châtain vint s'accrocher à son bras, avec un sourire tout aussi radieux que celui du japonais. C'était sa soeur, et tout deux s'assirent dans un coin... En attendant.

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Adam D. Haster & Eyael R. Myhre-Schön

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J'été tranquillement -ou pas- dans mon siège. Tout les personnes venait de passer. Tous avec une voix hors du commun. Je tremblais légèrement, quand j'entendis mon prénoms résonner dans tout le théâtre grâce au microphone. Je me levais et montait sur l'estrade qui me donnais de la hauteur : malgré que je ne voyais pas les visages des autres participant, je les sentais se figer sur moi. Je me présentais rapidement avant de dire l’intitulé de la chanson : hoppeless devoted to you. Le pianiste commençais l'introduction de la chanson pendant que je remontait le micro à ma hauteur. Je déglutis et commençais le premier couplet en mettant en avant la tristesse du personnage, je frôlais la longueur du micro pour me calmé. J'entamais le refrain avec un peu plus d'entrain. Je sentais tout les lumières se mettre sur ma direction, bizarrement, cette sensation m'apaisais. Je me surpris a faire une note que je ne faisait jamais d'habitude : trop haute. Cette chanson me permettais de expirer tout ma colère contre mon pere : je revoyais la scène de comment sont regard m'avais blessé, ses mots lancé avec hargne avant de me pousser avec violence vers la porte me jetant mon sac à la figure : une vraie scène déchirante, digne du cinéma. Les dernier note commençais a arrivé le stress se remis dans mon corps comme par magie : j'attendais patiemment le verdict qui fut pour moi plutôt positif et allais m'asseoir soufflant en partant avec les autres j'entendis a peine lorsqu'elle dit que le choix allait être difficile et tout le tralala.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

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Eyael assit sagement lui aussi bien au fond de la salle, histoire de pas se faire remarquer, avait attendu sagement que sa soeur passent, et par extension que tout les autres qui s'étaient présentés, soient passés. Il n'avait jamais assisté à ce genre de truc, et a vrai dire en voyant ça, ça le confortait dans l'idée qu'il n'aimerait pas spécialement être "caster" comme on dit. Tout les candidats avaient été bien, a part peu être sa soeur, vu la voix qu'elle avait, mais ça les faisaient doucement rire. Ils avaient voulu faire un truc débiles ensemble, et bien voilà c'était fait, ils auraient pu partir comme des voleurs, seulement quand on fait quelques choses, autant le faire bien, et une fois que le mec qu'Eya avait rencontrer dans le couloir d'attente, fut passé, et que ça semblait terminé, Eya et sa soeur suivirent le mouvement, ne sachant pas vraiment ce qu'ils étaient sensé faire, un peu comme le joueur qui avait la tête dans le potage à cette heure-ci. Une fois que les choses semblaient s'être calmé, le petit Eya, curieux comme pas deux, alla voir le jeune homme de tout à l'heure, après tout, stressé un jour, stressé toujours semblait être un proverbe qui lui allait bien, mais Eya, charitable comme pas deux aussi, lui dit alors, à voix basse.

Alors ça va mieux maintenant?

Une fois que la journée serait fini, il faudrait retourné au Summer Camp et faire bonne figure, même si, il fallait l'avoué, sa famille commençait un peu à lui manquer, mais ça c'est normal, il irait les voir plus tard, à noel, ou juste avant la rentrée, histoire de profiter un peu des gens qui l'aimait, et de refaire le plein jusqu'à l'an prochain....

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