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KOACE ✱ Shogun tonight!

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Tu stoppais doucement le mouvement de ton bassin pour venir agrippais son poignet et l'emmener fumer une cigarette à l'extérieur. Tu lui en tendais une et en prenait une pour toi. Alors qu'il te rendait ton briquet avec lequel tu allumais ton bout de nicotine il posait une question bien étrange sur le fait s'il devait ou non dealer enfin plutôt si cela te dérangeait. Tu lui disais que non mais ce qui te dérangeait vraiment c'était qu'il reprenne sa consommation de coke et que cette fois-ci ça finisse vraiment mal. Il t'expliquait alors que c'est ça qui lui permettait d'avoir un logement décent et de manger. Tirant alors sur ta cigarette tu le regardais. « Il y a pleins d'autres travails tu sais et puis je suis bourrée de fric alors je peux le payer moi ton loyer enfin je peux t'aider. Il suffit juste de me demander. » Tu lui lançais un petit sourire mais, ce n'était pas fini, tu comptais bien lui proposer un deal. C'est-à-dire finit les drogues dures genre coke et héroïne mais seulement consommation de drogue douce genre l'herbe. Il te regardait un instant restant muet puis te disais qu'il en avait besoin que c'est ça qui le tenait encore sur cette terre. Tu riais mais, tu ne riais pas de bon coeur c'était simplement les nerfs qui lâchaient. « C'est ça qui te tient sur terre ? Moi qui pensais t'avoir aidé. Et l'autre jour sur la plage quand tu m'as dit que tu m'aimais, t'étais sous l'emprise de la blanche ou tu le pensais vraiment. Non, parce que s'il n'y a qu'elle qui te tient en vie. Tu as qu'à sortir avec elle. Parce que moi je te préviens tout de suite, je ne retourne pas te voir à l'hôpital. J'ai déjà eu du mal la première fois mais là c'est fini. Après fait ce que tu veux Konrad mais fais le bon choix parce qu'à force de jouer comme ça un jour ou l'autre tu vas perdre. » Tu venais de l'assommer d'un coup mais bordel à la fin tu en avais marre de le voir se détruire comme ça alors que lui t'interdisait ta satisfaction à d'auto-détruire et pourquoi lui il aurait le droit ? Tu l'aimais, tu l'aimais tellement à en crevé que tout cela n'était que pour le faire réagir. L'abandonner tu n'en serais pas capable.
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Dehors avec elle maintenant, on a dansés et on est là maintenant à fumer. Elle m'a passée une clope, j'ai tiré une latte et je lui ai posé une question à la con, comme ça, je savais vraiment pas pourquoi j'avais ouvert ma gueule pour ça, quel con vraiment. Sans ça je serais sans logement, affamé, ouais vendre de la drogue, c'est mon boulot et ça me permet de dormir dans un lit et de déguster un steak. Elle veut m'aider, je souriais comme un con tirant une autre latte avant de lui répondre Je veux pas de ton argent. Garde le, je veux pas qu'on es pitié de moi, je suis fier de faire parti des pauvres si tu veux savoir. j'ai pas honte de ce que je suis, de mon milieu social, être pauvre, ça change quoi d'être riche franchement ? Enfin bref, j'avais dis ça en restant calme même si au fond ça m'énervait qu'on veuille m'aider alors que toute ma vie je me suis débrouiller tout seul. La voilà qui me propose un deal, arrêter toutes les drogues dures et garder que les douces, c'est pas possible je peux pas, sans ça, je meurs c'est comme ça, c'est vraiment con mais ces merdes me détruisent et me maintienne en vie et même Grace n'y peut rien, c'est con comme je dis. Et lorsqu'elle entend ma réponse à son deal, elle la mauvaise, elle m'en envoie plein dans la gueule en une seule lancée, je la regarde du genre "euh wtf ? D'où tu me parle comme ça", je tire une latte et ouvre ma gueule à mon tour Déjà tu va baisser d'un ton, je suis assez grand pour prendre mes décisions. De deux, sur la plage tu crois vraiment que je t'ai baladé en te disant ça, si tu crois vraiment ça, je sais pas ce que tu fou encore là. Et de trois comme j'tai dis, la question que je t'ai posé était conne, j'ai besoin de ça, mais j'ai aussi besoin de toi et cette fois, pas de choix. oui pas comme l'autre fois il y a je sais plus combien de temps où mon ex est parti me donnant elle même la réponse, je ne veux pas la perdre, pas Grace, je l'aime, je l'aime comme un fou.

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La soirée qui avait si bien commencé semblait tournait à l'orage. Tirant plus rapidement sur cette cigarette qui semblait te bruler les doigts tu venais de t'emporter contre lui. Contre celui que tu avais voulu pendant un certain nombre d'années. Tu t'en voulais mais, sur le coup tu avais tellement eu peur de le perdre que tu n'avais pu t'empêcher de lui balancer tout un tas de trucs à la gueule. « Je n'ai pas pitié de toi. Je veux juste t'aider mais, je ne t'ai jamais demandé de changer qui tu étais. » Tu jetais le mégot de cigarette un peu plus loin pensant que tout cela allait s'apaiser mais, non. Konrad te parlait sur un ton qu'il n'avait jamais pris avec toi. Il semblait tellement agressive. « Je ne te demande pas de faire un choix. Je ne veux juste pas qu'on m'appelle pour me dire que mon copain n'est plus de ce monde. Je suis désolée de tenir à toi Konrad. Je suis désolée de m'inquiéter. » Tu soupirais doucement et regardait Konrad. « Je vais rentrer je n'ai plus tellement envie de m'amuser. » Tu déposais un tendre baiser sur le coin de ses lèvres avant de te tourner doucement. Tu l'aimais comme un fou cet homme, tu l'aimais à en crevé.
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Toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit, et bien là c'était très bien parti pour. On abordait le sujet de la coke, le fait que je ne puisse plus m'en passer, c’est un besoin vital pour moi. Je veux l'aide de personne. le ton montait légèrement, et d'un coup elle m'en foutait plein la gueule, sans s'arrêter, elle le pensait je crois, elle avait les nerfs mais elle le pensait et elle me le faisait comprendre. Mais elle avait beau avoir son statut de pute ou salope mais avec moi, me tenir tête c'est dangereux et je le lui fais comprendre en lui parlant comme jamais je ne lui ai parlé avant comme ça, agressivement. Ok j'ai faillis y passer mais j'apprend de mes erreurs, je fais gaffe la prochaine fois c'est tout. oui là, ça commençait à m'énerver sérieux, elle était ma copine, je l'aimais mais même elle n'avait aucun droit pour me dire quoi faire ou non, aucun droit. Elle voulait rentrer, ses lèvres au coin des miennes et elle se retournait pour me faire dos et retourner à l'hôtel, elle était sérieuse ? Et je fais quoi moi là ?. elle me plantait si je comprenais bien.

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La corde sensible venait d'être touché. Tu ne voulais absolument pas le perdre et pour cela il fallait bien que tu te résignes à faire ta forte tête avec lui. Vous veniez de vous embrouiller sévèrement sur le fait qu'il continue de dealer et même de prendre de la coke. Enfin bref, tu soupirais doucement puis tournais les talons alors qu'il te demandait ce que lui faisait. Tu te retournais doucement et le pris par le bras. L'emmenant un peu plus loin afin que personne ne vous entende tu le collais dans un coin contre le mur. « Écoute moi bien parce que je ne le répéterais pas deux fois. Tu peux continuer à dealer ce n'est pas mon problème. Quant au fait que tu prends de la coke. Je veux bien te faire confiance mais, je te promets que je ne viens pas te revoir à l'hôpital sinon c'est moi qui t'achève. Et enfin, je vais dire un truc que je n'ai jamais dit de ma vie. Mais je t'aime, je suis folle de toi. Je t'aime à en crever Konrad. » Tu venais coller tes lèvres aux siennes afin d'entamer un baiser tendre et langoureux à la fois. « Maintenant tu fais ce que tu veux. Si tu veux me gifler vas-y. Me laisser tombait vas-y et même si tu veux retourner dans cette boite vas-y. Mais moi je rentre et si tu veux venir dans ma chambre c'est aussi possible. » Tu le relâchais doucement et passait une main sur sa joue avant de tourner les talons et peut-être que c'était la fin tu n'avais pas envie d'y croire mais tu sentais la chose arrivée à grands pas.
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Il y avait de la tension dans l'air, pas une petite en tout cas, elle venait de me foutre en rogne et elle aussi l'était en apprenant que je n’arrêterai rien, deal, conso de coke, j'en ai juste besoin et ce qu'elle a du mal avalé je pense c'est de m'entendre dire que j'en avais encore plus besoin que je n'ai besoin d'elle. C'est la vérité malheureusement, ça me suit depuis mes 18 ans et aucun jour ne s’est passé depuis 6 ans sans que j'y touche, je peux pas arrêter, c'est impossible. Elle m'avait tenu tête, j'avais été agressif et là elle me tournait le dos pour rentrer et je lui posais cette fois une question simple et réfléchit, ce que je devais faire maintenant. Elle revenait vers moi, prenant mon bras et m'emmenant dans un coin reculé où j'avais mon dos contre un mur et elle à quelques centimètres de moi, et elle ne me laissait dire aucune parole, ses lèvres s'ouvraient en première et une fois son monologue terminé elle m'embrassait à pleine bouche. Ses lèvres se retiraient des miennes et sa main venait caresser ma joue me disant de la rejoindre si je le voulais dans sa chambre ou de la laisser tomber, en fait, de faire ce que je voulais et elle s'écartait pour tourner le dos une seconde fois mais je prenais son poignet et venait me placer devant elle Grace St-James. J'étais sincère quand je disais que je ne pouvais pas me passer de drogues, les douces comme les fortes mais soit sur que toi, oui toi ma chérie, tu es la plus forte de toutes ces drogues et dieu sait que je t'ai détesté mais sache que maintenant, je t'aime comme un dingue, oui c’est surement illogique ce que je dis, moi Konrad Sheffield le roi des connards avouer mes sentiments mais j'ai pas peur, je te le redis, je t'aime. ma main qui n'avait pas son poignet entre les doigts venaient se glisser sur sa joue Et je veux être avec toi, j'ai besoin de toi. la première à qui je me dévoile, à qui j'enlève cette carapace, c’est la seule fille, la seule.

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Ce soir tout explosé pour une simple question qui n'aurait jamais dû être poser apparemment. Mais stop. Trop longtemps. Trop longtemps vous vous êtes fait souffrir, maintenant que vous vous êtes trouvés tu comptais bien tout mettre en oeuvre pour que ça marche. C'est donc pourquoi tu décidais d'ouvrir ton coeur à cet homme. A cet homme qui t'avait tout pris, ton coeur, ton corps, ta vie, ta tête, ton esprit. Il n'y avait plus que lui et dieu sait que tu n'es pas le genre de fille à te poser mais, avec lui tout était différent. Tu l'embrassais puis repartais, tu n'avais donc plus rien à faire ici et personnellement le froid te prenait au niveau des épaules puis descendait dans ta chute de reins. Tu frissonnais alors que sa main se déposait sur ton poignet pour te tirer face à lui. Il se mit à partir dans une déclaration qui venant de Konrad était sincère. Jamais tu ne l'avais entendu parler à quelqu'un comme ça à pars peut-être à sa soeur mais, bien sûr avec elle tout était différent. Tout était mieux, Konrad allait mieux en tout cas. Il caressait ta joue, tu fermais alors doucement les yeux. « Rentre avec moi à l'hôtel s'il te plaît. » Tu les rouvrais calmement. Tes yeux bleus venaient se posait dans les prunelles du beau brun. Frissonnant de plus en plus, tu n'arrivais plus à cacher que tu avais froid et c'était aussi pour cela que tu voulais rentrer. « Mais si tu veux rester, reste. Mais j'ai vraiment froid et je suis un peu fatigué. Mais rejoints-moi après si tu veux. Il n'y a personne ce soir dans ma chambre. » Tu lui souriais tendrement et embrasser sa joue.
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Par une simple question j'ai foutu la merde. J'ai été agressif et jamais je lui avais parlé comme ça mais c'est ça, quand j'ai les nerfs, je contrôle plus rien, et comme je viens de le faire, j'ouvre ma gueule, je sors ce que je pense et les conséquences je les vois après, elle aussi à les nerfs, elle m'a tenu tête à à préféré partir, elle lâche l'affaire, c'est la bonne solution je pense mais pas pour moi, je lui repose une question et la voilà de nouveau prêt de moi, à me tirer dans un coin reculer et me faire un monologue sur ce qu'elle ressent, et au fond ça me touche et pour la première fois de ma vie je me confie sur mes sentiments, sur ce que je ressens pour elle, le roi des connards cesse d'être fier, arrogant, mesquin, agressif, méchant, il devient sincère, doux, tendre, romantique pour de vrai, cette fille me rend dingue. Je rentre avec toi. ma main s'était posée sur sa joue et nos yeux se fondirent l'un dans l'autre, elle insistait sur le choix que je devais prendre avant d'embrasser ma joue et je souriais Je rentre avec toi bébé. je retirais ma veste en cuir et la mettait sur elle T'es très sex avec du cuir. je lâchais un petit rire avant de prendre sa main, d’entrelacer mes doigts au sien et de partir avec elle vers l'hôtel.

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Tu savais que Konrad n'était pas à chercher mais à ce point-là et sur un sujet pareil tu ne pensais pas. C'est donc sans rien dire que tu venais lui ouvrir ton coeur. Espérant qu'il mette sa fierté de côté juste le temps d'un baiser et c'est ce qu'il fit. Il fit même mieux puisqu'il t'ouvrit enfin son coeur. Ce qu'il avait dans cette putain de boite, ce qu'il ressentait pour toi. Ce que tu n'avais jamais réussi à déceler. Tu souriais doucement, embrassais sa joue alors qu'il te disait qu'il rentrait avec toi. Voyant que tu frissonnais il t'enfilait sa veste en cuir à laquelle tu pris les deux rabats du cuir afin de venir recouvrir ta poitrine d'une seule et même main. L'autre était enlacés dans celle de Konrad. « J'ai même du latex à la maison. » Tu riais, vous riez. Après l'orage voilà le beau temps. Vous deux repartant main dans la main. Vous étiez amoureux, réellement amoureux.
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