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[hot]Lou&Gwen ♣ Peace off ! Are you kidding me ?

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Je crève de chaud. C'est toi, Lou, qui provoque cela. J'enlève ma chemise, me retrouvant en débardeur, laissant apparaître mes tatouages, dont ceux que tu n'as jamais vu. T'as vu, mon corps n'a pas changé, après l'attentat, je suis toujours la même. Aucune cicatrice visible sur la partie haute de mon corps, mais sous mes fringues, c'est un champ de bataille. Des cicatrices sur les jambes, sur le bas du ventre, suite à ma fausse couche. Mais ca, tu ne le sauras jamais. Seule Elysia et Mai-Lan l'ont su. Et je garderai cela pour moi, désormais. Mes erreurs me regardent, toi aussi, tu me regardes, déglutissant avec peine quand je te dis que je suis indomptable. Pourquoi tu es comme ca, hein ? Pourquoi t'es aussi faible, devant moi, toi qui était forte avant ? " Je m'en souviens. " Je vois bien que ca te perturbe, mais je ne dirais rien, je ne demanderai pas pourquoi, je ne répondrais pas. Pour dire quoi, hein ? Je ne peux rien dire. J'hoche simplement la tête, positivement, sans un sourire, sans rien. J'essaye de fuir ton regard, péniblement, comme si l'affronter allait me faire succomber. Et si je succombais, au pire, qui l'apprendrait ? Non, je ne peux pas te regarder, Lou. Je regarde le sol, essayant de fuir la tentation, essayant de fuir ce qui me rattache à toi. T'avais pas le droit de bouleverser l'équilibre que je trouvais. Pourtant, tu le fais, tu le fais tellement bien. " Ce n'est pas important... ". Tu soupires, je m'exulterais presque de cette réponse, pour passer à autre chose, comme si finalement tout cela importait peu. Mais tu reprends. Tu reprends la parole comme pour m'enfoncer. " Je n'ai jamais perdue ta trace. Je pensais que c'était encore un jeu de ta part alors j'ai cherché et j'ai trouvé. On trouve toujours quand on en a vraiment envie. Et j'ai vraiment envie... " J'avais perdu pour la première fois le jeu que j'avais instauré, comme si c'était un véritable échec. Tu m'as retrouvée, apparemment t'as toujours su où j'étais. Mais pourquoi maintenant ? Tu veux tout détruire pour que je revienne, c'est ca, Lou ? T'aurai du revenir avant, alors. Pourquoi t'as attendu, que j'refasse ma vie pour revenir à la surface ? Tu veux détruire ce que j'ai entrepris, pour m'avoir rien qu'à toi ? Non. Non, ne réponds pas. J'm'en fous, j'veux pas savoir... Je te regarde, finalement. Au diable les bonnes résolution, la fidélité promise. Tu m'attires indéniablement. Je ne contrôle plus vraiment mes gestes, face à ton regard. Tu frissonnes quand je te touche, brûles-tu autant d'envie de me retrouver, comme avant, ou serait-ce la simple excitation du moment qui te pousse à un tel vertige ? Tu souris enfin, le sourire angélique qui m'avait rendu un peu accro à toi, il y a sept ans. Le sourire craquant de la fille craquante, voilà ce que je disais de toi.. " Exactement. Tu en as assez vu toi ? " Je lâche finalement un sourire vers toi, avec un sourire presque complice et remplis d'envie. J'crois que j'ai besoin d'une piqûre de rappel... Je te colle à moi, j'ai besoin de ce contact, finalement. Je te lance mon sourire ravageur, celui qui t'a rendu folle de moi, tu te souviens ? Je pose finalement mes lèvres sur les tiennes, doucement la première fois, puis avec plus d'envie. Tu vois, j'ai cédé, Lou. J'ai cédé devant toi. Une nouvelle fois.
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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.

Quatre ans. Quatre putains d'années sans rien. Sans chaleur humaine. Sans baiser, sans caresse, sans frissons. Rien. Le vide absolu. Le sexe n'avait plus de sens sans elle. Sans Gwen. D'ailleurs celle-ci augmente à nouveau la température de la pièce en retirant sa chemise. Son débardeur est encore de trop... Ton regard quitte ses yeux pour balayer son corps. De nouveau tatouages parcourent sa peau... Mon dieu, qu'elle est séduisante. Tu meurs à petit feu alors que du bouts des doigts tu effleures son bras. L'ancienne Gwen s'éloigne de plus en plus. Heureusement que la nouvelle est plus attirante encore. Tu es si faible. Si faible face à l'avalanche de sensations que te procure ce simple touché. Tu essayes d'affronter ce plaisir si redoutable mais plus tu te débats plus tu t'enfonces et ton léger toucher se transforme de plus en plus en caresse. Tu succombes, tu ne ressembles plus trop à toi en cet instant. Tu es fatiguée de résister. Tu veux qu'elle agisse maintenant. Qu'elle crève autant que toi sous l’accablant plaisir qui bientôt s'emparera de vous. Tu gagnes de plus en plus ce jeu de séduction, ce jeu de résistance à l'autre. Qui va perdre pour de bon ? Qui va se laisser prendre au piège ? Qui va céder en première ? Pas toi, non. Tu es déjà trop faible pour perdre. Ca t'anéantirait pour toujours. Et puis, c'est au tour de Gwen de perdre maintenant, elle a déjà tant de victoire par rapport à toi. A elle de goûter l'échec. Tu es ignoble au fond. Tu veux sa perte autant qu'elle a voulu la votre à l'époque. Elle a tiré un trait sur vous, alors tu veux tiré un trait sur son présent. Tu veut la ramener dans le passé, à l'époque où elle était tienne. " T'aurai du revenir avant, alors. Pourquoi t'as attendu, que j'refasse ma vie pour revenir à la surface ? Tu veux détruire ce que j'ai entrepris, pour m'avoir rien qu'à toi ? Non. Non, ne réponds pas. J'm'en fous, j'veux pas savoir..." Tu veux répondre. Tu vas répondre. Tu veux qu'elle comprenne la douleur que tu as ressenti la première, la deuxième, la troisième et la quatrième année sans elle. Elle doit comprendre avant que tu pardonnes. Car tu pardonneras, tu lui pardonnes toujours tout... Un baiser et tout est oublié. Faible. Non. Tu ne dois pas pardonner aussi facilement. " Tu es partie pour une raison. J'étais trop fière pour revenir vers toi alors j'ai attendu. Quatre ans. Quatre année sans rien faire, j'ai juste mis pause à ma vie pour que tu reviennes mais tu n'es jamais revenue. Alors quand j'ai appris pour la bombe, je me suis dit que c'était la bonne excuse pour revenir. " Tu regardes Gwen droit dans les yeux. Oui, quatre ans à attendre. Un arrêt sur image, une pause. Plus rien. Et surtout pas d'autre personne, la solitude pour mieux se rappeler. Et c'est tout. Pourtant la vie te fait ravaler toute ces conneries et te balance le besoin sexuel en pleine face. Ce besoin si profond qui naît chaque fois que tu la vois. Et elle enfonce le clou avec son foutu sourire. Ce putain de sourire complice et plein de d'envie. Tu en rougis presque tellement il t'a manqué et tellement il t'allume. Tellement il t'excite. Un putain de sourire, t'excite, c'est dire si tu as envie. " J'crois que j'ai besoin d'une piqûre de rappel...  " Son corps vient se coller à toi... Bordel. C'est une explosion. Tu pousses un léger soupire de satisfaction alors que ton corps retrouve sa place près du sien. Ses courbes s'harmonise à nouveau aux tiennes. Tout est parfait, tout. En fait, non. Maintenant que son sourire ravageur traverse son visage ça l'est. Puis encore plus lorsque tes lèvres rencontre les siennes. Si tu étais en enfer à l'instant, tu es maintenant au paradis. Elle cède devant toi, comme avant quand tu revenais sans arrêt vers elle. Tu prends son visage entre tes mains, réclamant plus qu'un simple baiser timide. Tu es folle, folle d'elle. Complètement dingue. " C'est suffisant ou plus ? Ou je me tais aussi ? " Tu te tais. C'est mieux. Ta main droite glisse le long de sa joue pour aller se glisser dans son dos, sous son débardeur. Comme avant. Ce cercle infini tournera-t-il encore longtemps ? Tu l'espères oui. Oh oui.
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Quatre années sans te donner de nouvelles, quatre ans à profiter de cela pour aller voir d'autres femmes. Si je sais ce que tu as vécu, pendant tout ce temps ? Non, je n'en sais rien. Si je veux le savoir ? Je ne sais pas. Si tu veux me le dire, Lou, je t'écouterai. Si toi, tu seras prête à savoir toutes les filles qui sont passées dans mes bras, je ne pense pas, vraiment. La liste serait longue, trop longue à ton goût, j'en ai conscience, ne te méprise pas. Quatre ans à coucher avec des filles différentes presque tous les soirs, ca en fait un paquet, tu ne pourrais pas le supporter, donc tu ne sauras rien de ces conquêtes que tu penseras comme des tentatives pour prendre ta place. Mais au juste, quelle est ta place dans ma vie ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Si je suis perdue, c'est de ta faute, je le savais, avant. Tes doigts sur ma peau, c'est comme la caresse d'une plume sur une eau calme, c'est doux, gracieux, agréable. C'est aussi agréable que l'époque où je prenais ma dose pour aller bien, avant l'overdose. Et pourtant la sensation est étrange. Tes doigts sur moi, c'est un tas de souvenirs qui reviennent, aussi agréables soient-ils. Que me veux-tu, Lou ? Tu veux que je perde un peu plus, au jeu que j'avais fixé, au jeu que tu as subtilement gagné en revenant vers moi ? " Tu es partie pour une raison. J'étais trop fière pour revenir vers toi alors j'ai attendu. Quatre ans. Quatre année sans rien faire, j'ai juste mis pause à ma vie pour que tu reviennes mais tu n'es jamais revenue. Alors quand j'ai appris pour la bombe, je me suis dit que c'était la bonne excuse pour revenir. " Tu m'as finalement dit ce que je ne voulais pas savoir. Putain, pourquoi tu ne m'écoute jamais ? T'as rien fait, pendant ces quatre années sans moi ? Mais, comment c'est possible ? Tu me regardes dans les yeux, je ne détourne pas le regard, je comprends bien. Pourquoi mettre ta vie en pause pour moi, alors que j'me tapais un tas de filles pendant ce temps ? La bombe...c'te putain de bombe qui m'a collée sur un fauteuil roulant pendant trois mois... Je ne dis plus rien, je ne veux pas jouer les victimes, j'en ai assez vu. Je ne veux pas de ta pitié, Lou. J'ai déjà eu celle de mes potes, de ma soeur, ne rajoute pas la tienne, je t'en supplie. Mais tu finis par rougir face à mon sourire complice, je vois bien qu'il anime une flamme en toi, que tu es satisfaite par ce simple sourire, ce sourire que tu n'avais pas vu depuis quatre ans, ce sourire que tu as vu quelques fois, après des moments intimes entre nous, ou bien ce sourire qui voulait dire que j'avais à nouveau envie de jouer avec toi, de me jouer de toi, en fait. Comme cette fois, surement, mais ce n'est plus les mêmes règles, Lou. Cette fois, c'est différent. Si on me voit avec toi, il y aura des conséquences. Des conséquences qui avant aurait pu ne pas m'ébranler comme elles pourraient le faire désormais. Ton corps contre le mien, ce souvenir de toi qui me revient. Un cercle vicieux que j'apprécie toujours autant. Je t'aime, moi non plus. Tu m'aimes, moi, je ne sais plus. Si je t'ai aimée un jour ? Peut-être, je ne sais plus, peut-être un peu, pour revenir tant de fois vers toi. Non pas parce que tu étais la première, non, c'est différent. Tu m'as marquée, à ta façon. Je t'ai marquée à vie, tout simplement. Mes lèvres sur les tiennes, j'ai cédé, j'ai perdu une nouvelle bataille de cette guerre à laquelle on s'adonne depuis si longtemps. " C'est suffisant ou plus ? Ou je me tais aussi ? " Je ne te répondrais pas, non. Tais-toi, profitons. Je te ferai taire. Je te fais taire, t'embrassant à nouveau, l'excitation étant à son paroxysme lorsque tes mains me touchent, passent sous mon débardeur, comme avant. Je passe mes mains sous ton haut, tu vois. Ce soir, je suis à toi, pour toi. Et toi, tu seras toujours à moi, c'est le deal. Je t'entraîne vers mon lit, pour passer un énième moment à nous.
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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.

Tu sais qu'elle n'est pas toi. Que tu es son jouet, son passe-temps. Sa première mais pas sa dernière. Il y aura toujours une foule de conquête derrière toi.. Mais peu importe puisqu'elle revient vers toi. Puisqu'elle revenait vers toi. Sondépart, cet abandon a mis un terme à tout ça. Toutes tes peurs ont exploser au grand jour. Une rupture, une faille dans ta jolie armure. Elle a toujours été plus. Plus que tout, mais l'inverse à un gout amer. Tu dégustes ce léger toucher, comme les premiers rayons de soleil après un hiver éprouvant. Tu dégustes ta victoire, le sourir éclatant face à la lumière. Gwen a perdu, les rôles s'inverse. Tu es victorieuse alors que l'échec la submerge. Tu voudrais crier ta joie, crier que c'est fini. Que tout va redevenir comme avant mais non. Tu ne peux pas. Tu t'es déjà assez menti comme ça, non ? Ca ne sera plus jamais comme avant, jamais. Vous avez tiré un trait sur le passé en laissant le temps passé. Tu l'as regarde. Elle aussi le sait; elle a fait trop de choses pour que tu oublies. Quatre ans c'est long. Elle n'a pas attendu que pour une fois ce soit toi qui revienne et non pas elle. Il t'en a fallu du temps pour comprendre putain Lou. Tellement de temps, trop de temps. " Pourquoi mettre ta vie en pause pour moi, alors que j'me tapais un tas de filles pendant ce temps ? La bombe...c'te putain de bombe qui m'a collée sur un fauteuil roulant pendant trois mois... ". Tu aimerais être en colère mais tu n'y arrives pas. Tu as été bien conne à attendre mais bon. C'est ça l'amour pas vrai ? Être con, très con et aime ça en plus. Et tu as aimé ça pas vrai ? L'aimer ? Tu l'aimes tellement. Encore, et encore. Ce cercle ne prendra jamais fin car jamais elle ne t'aimera et jamais tu ne cesseras de l'aimer. C'est comme ça c'est foutu d'avance. Tu ne t'énerves pas mais elle ne te fait pas non plus pitié. Quelque part, elle a été opunie par ce fauteuil. Quelque part, c'est ça qui vous a à nouveau réunie. " Tant mieux. Moi j'ai baisé personne. ". Ta voix est neutre. A quoi bon mentir ? A quoi bon essayer. Tu n'aurais jamais pu toucher une autre fille qu'elle et pire encore. Jamais tu n'aurais laissé quelque d'autre marquer ton corps qu'elle. Tu es à elle, entièrement et pour toujours. Elle le sait. Oh oui, gwen sait à quel point tu es dépendante d'elle. Peut-être est-ce ça qui lui plait tellement en toi, hormis ta beauté. Ce sentiment de sécurité qui vous enveloppe, cette assurance que jamais tu ne la laisseras. Jamais tu ne l'abandonneras. " Bien fait pour ta gueule, si t'étais restée avec moi, tu aurais éviter trois mois assise. " Tu lâches même un rire après cette phrase puérile. Tu sais que ca va lui plaire. Pas de pitié, pas de politiquement correct. Rien, juste la vérité. Tu n'as pas changé sur ce point, toujours franche. Toujours honnête, il y en a marre de ces foutues courbettes. Son sourire qui signifie que la partie n'est pas encore fini. Lou tu as peut-être gagnée une bataille mais pas la guerre. Tu le sais, cela se voit lorsqu'elle fond sur tes lèvres .Overdose. Prise non accidentelle de la quantité supérieur supportable par ton organisme de ta drogue. De ta Gwen. La mort de ton esprit lorsque vos corps se rejoignent. Ta mort totale lorsque ses mains passent sous ton haut, lorsque ses lèvres réclament plus encore les tiennes. Mort complète lorsque tu touches enfin son lit, son corps venant surplomber le tien. Ton coeur bat à la chamade, ta respiration se fait haletante, tes pupilles se dilatent, ta température augmente encore, ton cerveau envoit des impulsions partout dans ton corps, tes muscles se tendent alors que de tes glades jaillissent des sécrétions. Putains de symptôme. Putain d'envie. Le sexe est une drogue, et avec Gwen c'est une véritable overdose que tu vis. Et puis, ne dit-on pas que l'orgasme est une petite mort ? Tu es d'accord avec ce crédo, surtout lorsqu'il s'agit d'elle. D'elle. Ton amour, ta vie, ta raison d'être. Tu lui retires son débardeur, cherchant le contacte physique le plus possible. Peau contre peau, plus de barrière. Tu retires précipitamment ton tee-shirt alors que tu mordilles ses lèvres. Bordel, vous enfin réunis à nouveau dans un même lit. Le jeu a repris, tu le sens et ca te plait tellement.
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Combien de fois, suis-je revenue vers toi, Lou ? Combien de fois suis-je revenue, en trois ans ? J'ai oublié. J'ai oublié certaines choses, le jour de mon overdose. Mais toi, je ne t'ai pas oubliée. Comme je n'ai pas oublié certaines personnes qui ont marqué ma vie ces quatre dernières années, certaines personnes qui sont mortes, par choix, ou lors de cet attentat qui fut une véritable boucherie. Le chaos. Le néant absolu, qui a suscité tant de vague médiatique, qui a déployé tant de flics, de pompiers, de pleurs, de solitudes et de dépressions. Pourquoi ce fou furieux a t'il fait sauté tant de vie, en faisant sauter le campus ? Mais dans tout ca, j'ai eu une pensée pour toi. J'étais persuadée que j'allais mourir, ce jour là. J'étais persuadée que j'allais mourir aussi, le jour de mon overdose. Le jour où Apple m'a noyée, aussi. En même pas un an, j'ai vu la mort me saluer trois fois, sans pour autant m'attirer dans ses draps blanc, dans son obscurité effrayante. J'ai eu peur, ces trois fois là, quand même. Et j'étais seule, terriblement seule, comme souvent. Personne pour m'épauler, personne pour me dire que tout allait s'arranger. Au fond, j'aurai aimé que tu sois là, un peu. Je ne sais pas pour quelles raisons, mais je voulais au moins voir quelqu'un pour qui je comptais vraiment, à cette époque là. Mais regarde nous, on ne sait même pas ce qu'on est, à l'heure actuelle, Lou. Sommes-nous amies, de simples connaissances ? Je ne sais plus, aide moi. Après tout, c'était peut-être fait exprès, pour que je comprenne que la rédemption s'achète. Et toi aussi tu me le fais comprendre. " Tant mieux. Moi j'ai baisé personne. " Je fuis rapidement ton regard, comme si j'avais commis un crime. Ce n'est pas un crime que d'aller de l'avant. " Bien fait pour ta gueule, si t'étais restée avec moi, tu aurais éviter trois mois assise. " Je lâchais un léger rire, comme quoi t'as pas changé, t'es toujours ma Lou, malgré tout. Mon regard se repose dans le tien, ton regard azuré qui est si beau. Tu voulais m'garder près de toi, en fait. Mais on refait pas le passé. Tu es celle qui méprise, celle qui m'aime, parfois trop fort. Surement trop fort. Mais j'aime ca. J'aime que tu m'aimes, j'aime presque te voir souffrir pour moi, parce que je me sens importante, je me sens irremplaçable. C'est pour ca que finalement, je m'abandonne à nouveau à toi. Enfin, il n'y a pas que cela. C'est parce que c'est toi et qu'entre nous, ca a toujours été comme ca. Un cercle vicieux, entre l'amour et un je ne sais quoi. On est là, sur mon lit. Tu retires mon débardeur et ton t-shirt par la même occasion, dans une telle précipitation. Peau contre peau, un éternel refrain qui nous tiraille à chaque fois. Mes lèvres parcourent chaque parcelle de ta peau, comme une délicieuse friandise qui m'avait manqué durant mon enfance. Je veux te sentir contre moi, Lou. Comme avant.
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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.

" Tu voulais m'garder près de toi, en fait. Mais on refait pas le passé. ". La flèche transperce ton coeur de part et d'autre. Touché et en plein dans le mille. A quoi bon essayer de cacher la vérité. Tu as toujours été une mauvaise menteuse devant Gwen, tu as toujours été un véritable livre ouvert. Et tu l'es toujours. Elle a changé, ton âme soeur, beaucoup. Alors que toi tu es toujours la même, tu es toujours sa Lou prêt à tout pour elle. Même à souffrir et à crever. De toute façon, sans elle t'es déjà morte alors bon. Ce n'est pas un sacrifice énorme, cela serait plutôt une délivrance. Tu ne peux imaginer la vie sans elle. Même le fait d'essayer de l'imaginer te donnes la migraine. A l'intérieur, ca tourne, ca tourne. Ca te donne la gerbe mais tu rien y faire. Pour te calmer tu te concentre sur son rire, ce rire si enchanteur et sensuelle à ton oreille. " Tu as fait une grosse erreur mais je te pardonne. Tu peux rester avec moi pour le futur " Tu ris légèrement mais le rire se coince dans ta gorge. Blague ou espoir ? Ou les deux ? Ou aucun ? Promesse, envie...   Tu l'aimes, tellement. Trop, mais trop c'est jamais assez avec elle. Tu la veux plus encore. Tu l'aimes, et ca te détruis. Tu l'aimes tellement que tu finis par la détester de te rendre si faible. Si dépendante. Alors une fois de plus, tu cèdes. Tu décèdes entre ses bras, sur son lit. Ses lèvres sur ta peau... Toi qui étais si pressée à l'instant, tu veux maintenant que cette douce torture ne prenne jamais fin. Ton corps se cambre lorsque le refrain reprend de plus belle. Tu caresses du bout des doigts son corps nue, à la recherche de l'attache de son soutien-gorge. Douce délivrance de se sentir à nouveau sienne, de se sentir à sa place. Une de tes mains s'empare de ses cheveux, la tirant vers toi et à nouveau, tu t'empares de ces lèvres. Ces lèvres tant convoités et qui enfin sont à nouveaux tiennes. Même si ce n'est que pour une nuit, tu t'en rends bien compte. Cependant le jeu est comme ça, et il faut en savourer toutes les nuances. Et tu savoures encore et encore lorsque enfin elle entrouvre ses lèvres. Oh oui... Putain qu'est ce que tu l'aimes.
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Tu n'as pas changé, moi oui. Je ne suis plus l'insouciante, la fille qui brûle sa vie par les deux bouts, qui vit à cent à l'heure. J'essaye de me calmer, j'ai compris tellement de choses. Et pourtant, face à toi, mes vieux démons reviennent me hanter, tu reviens me hanter. Une vieille chanson qui se remet à jouer, toujours la même rengaine à chaque fois qu'on se retrouve. Ca a été pareil, pendant les trois années où on était ensemble, à quelques ruptures près. Je revenais, tu me disais que tu m'aimais, que j'étais ton présent et ton avenir. Pour moi, tu n'étais que le passé et le présent, sans rêver du moindre avenir car je ne savais pas de quoi le lendemain se ferait. J'avais sans doute raison, au fond. Je n'ai jamais su ce que l'avenir me réservait. La preuve, j'aurai jamais pensé voir la mort si souvent, ni même découvrir l'existence d'une soeur jumelle. Je te découvre triste, cette fois. T'as jamais été aussi triste que maintenant. " Tu as fait une grosse erreur mais je te pardonne. Tu peux rester avec moi pour le futur " Tu tentes d'en rire, mais quelque chose te retient, je le sais, Lou. Tu sais certainement ce que je vais te répondre. Mais pourquoi me donnes-tu le pardon ? Qu'ai-je à me faire pardonner ? ...Ca ne s'fait pas comme ca, Lou... Non, ce n'est pas comme cela que ca fonctionne. Il y a une personne en plus de toi, je ne peux pas te promettre l'avenir sans passer par elle d'abord. Et puis, que vais-je dire à Ocyllie ? Salut, j'te présente Lou, ma première copine, ou la fille avec qui j'pourrais te tromper ? Non, je ne lui dirais rien de cela, pas maintenant. Je n'ai encore rien fait, pourtant les tentations sont grandes, à Harvard. Les tentations sont grandes, face à toi. Je ne devrais pas, pourtant je le fais quand même, quitte à me faire surprendre. Je suis au dessus de toi, caressant ta peau de milles baisers alors que tu cherches à retirer mon soutien-gorge. Le tien, je le détache quand tu te cambres, je profite de cette occasion, pour une fois. Je te touches, je te sens contre moi, comme avant. T'as vu, comme je suis faible face à toi, Lou ? J'ai jeté au diable tout ce que j'avais pour toi. Tu veux récupérer mes lèvres, je te les offre, entrouvrant mes lèvres pour t'embrasser langoureusement, détachant sauvagement ton short. J'ai envie de toi, Lou. Tellement.
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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.

" ...Ca ne s'fait pas comme ca, Lou..." Bien entendu ca serait trop simple. Et vous n'aimez pas faire dans la simplicité. Vous aimez vous aimez, vous arrachez, vous désirez, vous écorchez. Jusqu'à la mort, jusqu'à l'anéantissement total de vos sens. Jusqu'à la destruction de plaisir et de la vie. Pourtant tu aimerais tellement lui prendre la main et partir loiçn. Loin d'ici, loin d'Harvard, loin des ces autres amantes. Juste toi et elle, comme avant. Mais Lou, avant c'est fini. Le passé, c'est le passé. C'est fini, terminé. Gwen a une nouvelle vie où tu n'apparais pas. Où tu n'as pas ta place, ou tu n'as plus ta place. Elle t'a balayé d'un revers de main pour reconstruire à neuf. " Ca peut se faire comme ça. C'est juste à toi de choisir. " Tu te mords la lèvre, tremblante d'un espoir fou. Complètement fou et sans futur possible. Tu sais qu'elle va te repousser, comme toujours. Tu es trop.. Trop. Trop toi, trop Lou la gamine accro à elle. Gwen l'a bien compris cette dépendance fatale qui t'attache à elle, elle en joue. Elle te torture. Elle se joue de toi, elle emmêle les files de ton esprit. De ton coeur. Gwen, stop. Stop, pars. Quoi ? Non reviens. Tu sers sa présence contre ton petit coeur. Ton tout petit coeur, masse pulpeuse. Terrible diathèse. Terrible amour. Abats organiques. Elle t'a battu au moment même ou ses lèvres ont touché les tiennes. Tout était foutu à l'avance. Toi, elle, vous. Ton coeur. Tu es faible face à elle dans se lit, mais contrairement à l'ordinaire tu n'es pas la seule. Non. Gwen aussi est faible, fragile entre tes doigts. Dans l'arène deux poupées de porcelaines se frappent, s’entre-tuent s'entrechoquent. Comme vos hanches lorsqu'elle détache sauvagement ton short. Votre baiser et langoureux, de tes lèvres s'échappent un léger soupire de plaisir. Tu te permet de lui en demander plus. " Encore. " C'est presque un ordre, presque. Mais ton ton est trop suppliant pour en être vraiment un. Tu remues légèrement, histoire de baisser ton short puis le retirer. Enfin, cette camisole est retirée. Une fini barrière retient désormais ton plaisir et tu sais qu'elle va bientôt être réduite en charpie. Elle va imploser en mille éclat comme ton désir auparavant. §Tu as envie d'elle, comme jamais. Tu sais que jamais tu ne seras rassasier d'elle, mais tu t'en moques. Tu sais qu'une fois le cercle redémarrer elle ne pourra plus fuir. Elle ne pourra plus te fuir. Bonne chance, Gwen.
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Tu es l'écorchée vive qui se complaît dans sa souffrance. J'ai tout fait pour que tu m'oublies, et rien. Tu es là, face à moi, plus faible que jamais, tu serais prête à vendre ton âme, pour retrouver un bout de moi. Tu te damnes seule, Lou. Pourquoi t'imposer tant de souffrance pour moi ? Non, continues, j'aime ca. J'aime quand tu souffres. Ça m'excite rien qu'à te voir danser à mes genoux, comme si ta vie en dépendait, comme si tu dépendais de moi. Tu dépends de moi, je le sais, j'en joue, j'en jubile. Arrêtes. Non, continues. Je veux que tu m'appartiennes encore. Égoïsme, égocentrisme. " Ça peut se faire comme ça. C'est juste à toi de choisir. " Non, ca ne se fait pas comme ca, je ne veux pas choisir. Pas encore, je ne sais pas. Arrêtes de me tourmenter, de te tourmenter. Ca a toujours été comme ca, Lou. Suis moi je te fuis, Fuis moi je te suis. Mais tu n'as jamais fuis, tu as toujours attendu sagement que je reviennes vers toi. Pourquoi fais-tu cela ? J'peux pas choisir, pas tout de suite. Je faiblis. Ca aurait été catégorique, avant. Mais c'est toi. C'est toi et je ne sais plus ce que je veux. Elle. Toi. Non. Vous. Je vous veux toutes les deux. C'est mal, n'est-ce pas ? Je n'ai jamais pu choisir, je n'ai jamais pu. Et je devrais choisir, mais ca m'est devenu impossible, depuis que tu es dans cette pièce. Je ne te repousses pas, tu vois ? Je ne peux juste pas trancher entre vous deux. Je suis faible, incapable de te résister. Comme si tu étais un appel charnel impossible à réfuter. Je ne sais plus qui je suis, quand tu es là, si faible et si attirante.

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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.

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