(maxxana) + besoin d'un petit raffraichissement?

Il était grand temps de quitter ma chambre d'hôtel, j'avais bien assez dormi comme ça. Le soleil tapait fortement, il était donc grand temps de faire un plongeon dans la piscine. Une petite douche, un short de bain Pull-In, lunette de soleil, j'étais opérationnel pour passez une bonne après-midi en compagnie de ce beau soleil. Je descendais en direction du hall d'un pas nonchalant, pour tout avouer j'avais la connerie facile en ce début d'après-midi. Je m'approchais alors de la piscine, c'était juste splendide comme ambiance, la plage non loin de la, de jolies filles, je ne pouvais rêver mieux. Je posais ma serviette sur un transat avant de passer devant une tête familière.. Juliana ? Bingo, je venais de trouver une belle proie, je comptais bien lui faire regretter sa séance bronzette autour de la piscine. La prochaine fois, elle choisirais d'aller se dorer la pilule sur la plage, quoique, même sur la plage je serais capable de lui mener la vie dure. Un sourire diabolique aux lèvres, je prenais mon élan pour enfin faire une jolie bombe près du bord afin de bien éclabousser la jeune femme qui semblait éperdument détendu sur son transat. Je sortis alors ma tête de l'eau, plutôt fier de moi.

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Le soleil, l'été, la piscine et tous les biens faits que nous apportaient cette saison. J'étais en train de me prélasser sur un transat, comme à mon habitude. Là, c'est définitif. J'adore la Floride et Key West. Ainsi donc, un cocktail à la main, les yeux fermés, allongée sur un transat, les écouteurs dans les oreilles, je profitais de mon été comme ça se doit. Je n'observais même pas les hommes qui pouvaient passer. Je ne faisais même pas attention à ceux qui voulaient attirer mon regard. Pour une fois, je ne me préoccupais que de moi. Enfin... Comme toujours mais bon. J'aurais pu aller à la plage, mais je n'avais pas envie de me bouger jusque là-bas en fait. Et puis, c'était toujours plus sympa la piscine et un peu plus calme. Soudain, je sentis de l'eau asperger tout mon corps. Je criais alors avant d'enlever mes écouteurs, ouvrir les yeux et rechercher le coupable avec furie. Bordel, qui était le petit con qui avait osé me faire ça?! Un gosse je parie! Non mais ils pouvaient pas garder un oeil sur leur mioche, ces parents ?! Et personne ne sautait dans une piscine! Tu parles d'une éducation! C'est alors que je vis le sourire mesquin de Maxxie. Je lui jetais un regard noir. J'aurais dû m'en douter. Je me levais alors et d'un pas rageur, je me dirigeais vers lui. « Bordel Lansky, je peux savoir c'est quoi ton problème?! Tu voyais pas que je profitais du soleil?! » Je ne savais pas pourquoi mais ma main me démangeait vraiment sur le coup...

Je me retenais de rigoler en me pinçant la joue, c'était tellement jouissif de la voir hurler comme une dinde parce qu'elle avait reçu trois gouttes d'eau. Je levais les yeux vers elle quand celle-ci s'approchait de l'eau.. « Bordel Lansky, je peux savoir c'est quoi ton problème?! Tu voyais pas que je profitais du soleil?! » Je faisais mine de rien, genre -je n'ai rien fais de mal-. Je passais alors une main dans mes cheveux mouillé afin d'y enlever le surplus d'eau et les remettre un peu en place, regardant Juliana avec un sourire innocent, le genre de sourire agaçant pour son interlocutrice qui était persuadée que c'était lui derrière tout ça, elle n'avait pas tord après tout. « Oooh Rock and fever, je ne t'avais pas remarqué dis donc ! » Dis-je d'une mine plutôt amusée, j'adorais la voir énervé, ça la rendait craquante. Rock and fever ? C'était le surnom que je lui avais attribué une fois avoir entendu son nom de famille, elle n'aimait pas ça, c'était le but finalement. « Tu n'aurais pas grossi toi ? » Je la regardais de haut en bas, évidemment je rigolais, mais je savais pertinemment que les filles détestait qu'on leurs dise ce genre de chose, ça m'amusais au plus au point.

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Des gamins, il y en avait vraiment partout et de tout âge. 21 ans et il agissait encore comme un gosse de 7 ans à faire chier son monde. Vraiment pitoyable. Oui, je détestais vraiment Maxxie, c'était physique. Il avait vraiment le don de me rendre hors de moi alors que j'arrivais toujours à contrôler mes petites crises de colère. Sauf avec lui. Je ne savais vraiment pas ce qui me retenais de le gifler. Sans doute parce qu'il était dans l'eau et que moi, je voulais rester sur la terre ferme. « Oooh Rock and fever, je ne t'avais pas remarqué dis donc ! » Je me mis à grincer des dents en entendant ce surnom totalement débile qu'il m'avait donné. En plus de me foutre de l'eau partout, il osait écorcher mon nom! Il ne savait vraiment pas à qui il avait à faire celui-là. « Tu n'aurais pas grossi toi ? » Là, je n'y tins plus, tout simplement. Je lui sautais alors au cou, rentrant complètement dans l'eau. J'avais la sale envie de l'étranger comme ça. « Ta gueule le pauvre! Comment oses-tu, ne serait-ce que poser tes sales yeux sur moi! Je vais te les crever si t'oses encore me regarder! » Et je devenais vulgaire en plus. Vraiment, il était le seul à me mettre dans cet état, juste par de petits commentaires de rien du tout...

Je ne sais pas vraiment pourquoi je m'acharnais sur Juliana, c'était plus fort que moi, j'ai ce besoin de la voir me traiter de tous les noms, de la voir froncer le nez quand elle est en colère. On avait une relation unique, voir improbable.. Malgré tout le mal que je lui souhaitais à chaque fois, je ne pouvais m'empêcher de coucher avec. Je la regardais alors bondir sur moi, je fis alors les gros yeux car elle semblait vraiment en colère. Je sortis la tête de l'eau, la cherchant du regard, je me méfiais d'un éventuel coup de poing dans la figure. « Ta gueule le pauvre! Comment oses-tu, ne serait-ce que poser tes sales yeux sur moi! Je vais te les crever si t'oses encore me regarder! » Dit-elle, envahi par la colère. J'avais un sourire amusé aux lèvres, elle était convaincu que j'étais pauvre, il en était tout autre sur mon compte en banque. Je préférais qu'elle pense que j'étais fauché comme les blés, si ça pouvait lui faire plaisir. « Tu pourras être dans une rage abominable quand seulement te reviendra à l’esprit le souvenir diffus de l’obscène séduction du cruel biélorusse qui t'a entraîné dans une chambre d’hôtel de Cambridge et ensuite a sauvagement pénétré tout tes orifices de ta petite personne, avec son membre non circoncit tout frétillant ! » Je la regardais avec une mine d'enfant qui s'amusait de la situation, j'avais toujours pour habitude de sortir des phrases descendant tout droit du cerveau d'un mec sous acide.. ça m'amusais. « Et seulement là je comprendrais ta petite crise d'hystérie.. » Je savais pertinemment qu'elle détestait que je lui parle de ça parce que pour elle, coucher avec son pire ennemi était une chose qu'elle n'avait pas pu contrôler.

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Je ne comprenais vraiment pas ce qui m'arrivait, pourquoi est-ce que je me mettais toujours dans un état pareil. Sans doute parce que je savais qu'il m'attirait physiquement et que c'était vraiment impensable pour moi que je le sois. Bon d'accord, il était vraiment craquant mais il était aussi tout ce que je détestais. Pauvre et impertinent, le genre de gars qui ne savait pas où était sa véritable place. Et ça m'énervait. Alors je m'emportais un peu trop facilement. Je n'aurais pas dû plonger comme ça, tête baissée. J'aurais dû garder mon calme comme je le faisais la plupart du temps. Mais non, devant lui, je n'y arrivais pas, tout simplement. Et voilà que je me retrouvais à l'eau, avec la terrible envie de lui faire ravaler son sourire, de lui arracher les yeux de ses orbites. « Tu pourras être dans une rage abominable quand seulement te reviendra à l’esprit le souvenir diffus de l’obscène séduction du cruel biélorusse qui t'a entraîné dans une chambre d’hôtel de Cambridge et ensuite a sauvagement pénétré tout tes orifices de ta petite personne, avec son membre non circoncit tout frétillant ! » Non, il avait osé. Je n'avais jamais voulu tomber entre ses griffes, j'avais fait une terrible erreur ce jour-là, à laissant parler mon désir au lieu de mon cerveau. Et je le regrettais infiniment -ou peut-être pas en fait. J'étais totalement dégoûtée qu'il puisse sortir ce sujet ainsi. Et dégoûtée d'avoir céder à cette horrible tentation surtout. « Et seulement là je comprendrais ta petite crise d'hystérie.. » Non, je ne pouvais pas lui donner raison, il fallait que je me calme. Il n'en valait vraiment pas la peine. Mais alors que je me disais ça, je ne m'étais même pas rendue compte que je m'étais accrochée à lui de face, plantant mes ongles dans la peau de son dos. « Je t'interdis de parler de ça. Je t'interdis même d'y penser. Ne crois pas que ça arrivera à nouveau, ce n'était qu'une erreur. Il ne s'est jamais rien passé entre nous, et encore moins dans une chambre d'hôtel, tu m'as bien comprise?! » Comme pour nuancer mes mots, je descendais mes mains, le griffant par la même occasion. Je me fichais pas mal de lui faire mal ou de lui laisser une trace, je voulais juste qu'il comprenne.

La situation m'amusait au plus haut point, Juliana semblait me mépriser davantage quand je remettais sur le tapis notre partie de jambes en l'air.. Je vis dans ses yeux un regret, comme ci elle avait espérait que j'oubli cette scène, il m'en était impossible tout simplement. Nous étions alors à quelques centimètres l'un de l'autre, je redoutais un éventuel coup dans mes partie intime, j'étais persuadé que cette fille en était capable. Au lieu de ça, je sentis ses ongles s'enfoncer dans la peau de mon dos, je serrais fermement les dents.. « Je t'interdis de parler de ça. Je t'interdis même d'y penser. Ne crois pas que ça arrivera à nouveau, ce n'était qu'une erreur. Il ne s'est jamais rien passé entre nous, et encore moins dans une chambre d'hôtel, tu m'as bien comprise?! » Je la regardais fixement dans les yeux, essayant de faire abstraction de la douleur. Pour sur, j'allais avoir de jolies traces dans le dos, elle allait me le payer. Ses mains descendirent le long de mon dos et je pus sentir l'atroce sensation de ses ongles qui rayaient ma carrosserie. Je ne me démontais pas pour autant, des coups j'en avais reçu à la pelle dans ma vie, ce n'est pas de pauvres griffures qui allaient me faire perdre mon sourire malicieux. « Pourtant je me rappelle encore de tes petits cries, de tes pincements de lèvres, de ton corps qui en redemandait... Ce serait tellement dommage d'oublier ce moment, tu ne trouves pas ? » Je plantais mon regard dans le sien, me pinçant les lèvres avec un côté pervers, faisant mine de me rappeler de cette après-midi là.

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En le voyant serrer les dents, je souris de satisfaction. Comme quoi j'étais une vraie sadique, ça me plaisait de voir les gens souffrir, que ce soit physiquement ou mentalement. Ça me procurait une certaine puissance et ça, c'était un sentiment jouissif. Je n'étais pas une sale peste pour rien, j'aimais qu'on m'adule, qu'on m'admire et je ne supportais pas qu'on me contredise. Et là, ce que je ne supportais pas, c'est qu'il remette sur le tapis cette histoire que j'aurais voulu oublié. Et s'il n'oubliait pas, je le ferais oublier. Il souriait toujours et ça m'énervait encore plus. Il se foutait vraiment de moi, mais au plus haut point. « Pourtant je me rappelle encore de tes petits cries, de tes pincements de lèvres, de ton corps qui en redemandait... Ce serait tellement dommage d'oublier ce moment, tu ne trouves pas ? » En plus de ça, il osait y repenser là, maintenant?! Il me dégoûtait réellement. Je n'étais qu'à quelques centimètres de lui, je savais que je pourrais lui faire facilement regretter ses paroles. Et vu qu'il ne comprenait pas, tant pis pour lui. Je dégageais donc une main de son dos pour venir empoigner avec force ses parties sous l'eau. « Je t'ai dis d'oublier alors tu as tout intérêt à le faire. Tu ne voudrais pas que je te castre, n'est-ce pas? » Doucement, un sourire innocent s'étira sur mes lèvres et je pris soudainement une voix plus douce, une expression plus calme.

Je voyais son sourire se décomposer quand je lui rappelais comment elle s'était comporté pendant notre partie de jambes en l'air, je ne pus m'empêcher de jouir de la situation.. Oui parce que c'était bon de la voir regretter cette après-midi là. En y réfléchissant de plus près, elle devait vraiment en avoir gros sur le haricot d'avoir couché avec un ''pauvre'' connard qui semblait respirer plus de drogue que d'oxygène. Son visage se décomposait, le mien n'allait pas tarder à faire de même quand je sentis sa main empoigner mes parties. Mon souffle fut immédiatement coupé, je ne bougeais plus, d'ailleurs j'étais incapable de bouger. Je détestais cette fille, je détestais le fait qu'un mec puisse avoir un point aussi sensible que celui-ci.. oui, c'était certainement mon seul point faible. Je regardais fixement Juliana, d'un regard noir.. Elle me contrôlait, je ne supportais pas ça. « Je t'ai dis d'oublier alors tu as tout intérêt à le faire. Tu ne voudrais pas que je te castre, n'est-ce pas? » Je serrais d'avantage les dents, essayant de garder mon calme, dans tout les cas je n'avais que ça à faire. « Pas vraiment. » Dis-je, le souffle court. Je priais le ciel pour qu'elle me lâche un bonne fois pour toute.

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Je n'étais pas violente, il m'avait juste cherché et il m'avait trouvé. Par ce geste, je lui montrais de quel bois je me chauffais. On ne m'importunait pas sans conséquence. Je paraissais presque douce et gentille avec mon sourire et mon air innocent, alors que j'était le contraire. Ma main l'enserrait et je savais qu'il n'appréciait pas mon geste. Tant pis, c'est lui qui avait continué, je ne faisais que riposter à ma manière. « Pas vraiment. » Bien sûr qu'il ne voulait pas que je lui fasse du mal, il avait encore trop besoin de son objet pour le perdre. Mon sourire s'agrandit alors. J'enlevais ma deuxième main de son dos tandis que je relâchais doucement la pression de l'autre. Je vins alors tapoter sa joue, un sourire mesquin au visage. « Bon garçon. La prochaine fois, évites donc de me remettre en colère, d'accord? » À mon tour de me foutre de sa gueule, mais je ne lui faisais que donner un avertissement. C'était pour son bien. Je m'éloignais alors un peu de lui. Pas que ce rapprochement m'avait dérangé, mais c'était tout comme.

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