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young bodies in motion (shade)

2 participants
Alexis Davinson

Âge : 23
Lieu de naissance : rosslare harbour, un coin d'l'irlande. juste un mois là-bas avant d'rejoindre boston.
Quartier d'habitation / Colocation : un studio mal rangé dans le quartier de broadway, south boston.
Situation sentimentale : célibataire. si elle s'passionne des autres, c'est l'attachement qu'elle a du mal à créer. c'est médiocre, mais ça lui cause pas tant d'tord que ça.
Études / Métier : bosse à plein temps chez mcdonalds, à faire du son sur les bips chiants, à juger les clients malpolis. compte tiktok à côté pour partager sa musique.
Date d'inscription : 29/10/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : il.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 3f6d433aad3d36bfbeaadaf258d42a3d
Faceclaim : gracie abrams.
Crédits : depraysie (ava), polaroid papers (profil)
Multicomptes : neo & sanho.
Description (1) :
i'm so tired that I might
quit my job, start a new life
young bodies in motion (shade) - Page 2 3fTkp0oy_o
and they'd all be so disappointed
who am I if not exploited ?
. —

Description (2) :
what about us ? —
valentina ; meilleure amie, amour d'sa vie
shade ; déni d'attachement, adoration toxique
mj ; copain d'conneries, 0.5 neurone
wes ; ami proche, d'bons délires
belle ; amie, la sauver des pigeons
kyro ; copain du chaos
paxton ; prophète, promesse du duo chaotique
jordan ; ami, total opposé


RPS en cours :

what about all the plans ? —
Warnings : vulgarité, anxiété, adoption, tabagisme, consommation de drogues, animosité envers les riches, alcool, relation familiale mauvaise, dégradation de biens publics, sexe.
RPS : 27
Messages : 1069
Préférences de jeu
veritas
Alexis Davinson
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t176951-alexis-davinson-gracie-abrams#8801739Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t173980-neo-sanho-alexis-repertoire-rps#8804486Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t176975-alexis-davinson-fiche-de-liens#8804325Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t176978-meetsachussets-vinxis#8804432
tw : vulgarité.
@Shade R. Crowley -- passion frénétique des mots. des idées à la con servies comme l'plus grand des génies. l'sérieux sur le bout de langue, s'rétracte au goût insolent et acide d'un ananas encore peu mûr. y'a l'esprit qui s'ouvre, les pieds qui foutent l'camp du canapé. sur l'sol, éviter l'bordel qui se prosterne à mes pieds comme l'peuple embrasse les pas suffisants. un symbole qui rencontre le désordre, sans aucune porte d'sortie. tout prend sens dans cet amas d'conneries. et lui, il suit tous mes délires. c'est à comprendre comme il boit tout l'reste, comme il se suffit des grandes causes que j'préfère quand la réalité pollue trop l'espace. ça m'fait marrer, les suppositions, les idées délurées d'me voir l'bouquin virtuel en mains. les touches massacrées pour un peu d'bon sens. ouais. les normes bouffonnes d'l'envoyer au beau milieu de l'océan. tu sais j'pense que bob est bourré d'agents chimiques, pour pas gonfler au contact d'l'eau. mais j'crois que y'a une théorie comme quoi il est une éponge de mer, et que c'est pour ça qu'il gonfle pas. juste il ressemble à une éponge de cuisine, mais du coup ça fait clairement sens. mais clairement, l'ananas est juste exploité, surexploité, poussé à ses pires retranchements juste pour se conformer à l'idée d'une société marine. grands thèmes vaincus à chaque fois que j'vais scander ces rues pour l'peu de reconnaissance, à presque m'foutre derrières les barreaux pour autant d'conviction. mais après il s'fait poète, au grand sacrilège qu'il prononce à haut voix dans la maison des blasphèmes et des horreurs. t'as déjà bouffé une pizza hawaïenne en pleine foncedalle ? c'est un des meilleurs trucs. l'contraste parfait entre l'sucré de la sauce tomate, du salé des pepperonis, l'côté doux du fromage et là t'as le jus de l'ananas, ce côté un peu piquant. j'te jure, c'est un délice. révoltant plaisir, sentir l'délice dans l'fond de la gorge, ça creuse presque la dalle dans l'fond du bide.après j'cause, d'une société aux allures parfaites. l'extinction d'un monde dans l'sursit, poèmes sur l'sens de la communauté, l'humain au centre, choyé, l'socialisme à sa source. lui, il a lâché, mais j'continue d'balancer ma politique, l'nez fourré dans mes affaires. en plus d'être mon disciple préféré ? eh, je vois pas l'problème à ce que tu gouvernes avec moi. et tu sais quoi ? je trouve que le verbe gouverner nique toute ma vision. je veux une société basée sur l'droit de parole. je veux juste entraîner c'mode de vie, aucune règle, aucune contrainte, tout l'monde peut causer, prendre des décisions. t'sais y'aura genre des grosses réunions, et on pourra tous causer. l'discours simple, vouloir abattre les contraintes, celles qui empoisonnent, enferment dans cette espèce d'image déraillée. m'suffire d'une société qui mérite à entendre sa voix éclater pour une paix. y'a le sujet qui change, l'regard ancré dans l'sien. pas lâcher, ça fait pas flipper. y'a juste l'ombre d'un petit sourire, ou c'est plus grand. une chaleur qui me bouffe les entrailles, l'impression que c'est trop vif pour être ressenti de manière contrôlée. j'ai besoin de laisser ma marque dans c'monde. j'ai été lâchée dedans, y'a bien une raison. marquer les esprits, qu'on me haïsse des semaines après, qu'on me maudisse, place publique où j'serais lynchée d'pensées. j'approche encore, bout d'ananas repris, comme si j'étais l'sujet de l'expérience du soir. y'a un truc de joueur dans le regard, une espèce d'impatiente. tu veux signer où ? t'as l'droit de signer où tu veux. à lui, pour tout ce qu'il veut. chercher l'paquet de clope, rouvrir la fenêtre, y grimper, pour avoir la sensation d'vide en pression dans l'dos. l'cul sur le rebord de la fenêtre, jambes s'balancent dans l'vide quand j'allume la nicotine adorée. j'kiffe réinventer le monde avec toi, tu l'sais ? pure sincérité. parce que putain ce qu'il fait du bien, shade, la seule réalité voulue jusqu'à ce que ça m'ronge comme une maladie incurable.
(Alexis Davinson)
Shade R. Crowley

Âge : 23
Lieu de naissance : Des origines danoises, anglaises, irlandaises & allemandes de la part de son père biologique, North. Nationalite américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : City center
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Cuisinier dans le restaurant familial de sa mère adoptive qui sert aussi pour une mafia italienne dans laquelle il est le localiseur, celui gère de mettre des membres en sécurité, de les faire traverser des États.
Date d'inscription : 15/06/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Poisonous, elle.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 Tumblr-df37d5d2adb0d1d7f67b64f52ff0146f-6c9fbad1-500-gif
Faceclaim : Gauge Burek
Crédits : Hell & sombrelune, stevie (polaroid papers) pour le profil
Multicomptes : Khol, Ravi & Leone
Description (1) : young bodies in motion (shade) - Page 2 37a5bdf9ee4d68409ca1f3bf12af2ae8a9d03afd

don't say thank you or please
I do what I want when I'm wanting to
young bodies in motion (shade) - Page 2 Images?q=tbn:ANd9GcRRg_C94SPKbXNQMCm62u1We4co1pOkecO0Fg&s young bodies in motion (shade) - Page 2 7ea1bc4a361f9497d53adaa89c1e846b young bodies in motion (shade) - Page 2 81c68c4499b19b5d8fb1b380cce083ba
the whole point of us being here is
to be ourselves
. —

Très jeune, tu as été confié à une famille, censée t’offrir un refuge d’amour, mais au lieu de la tendresse promise, ce sont des cris qui ont vite rempli l’air, puis des coups qui se sont imprimés sur ta peau et dans ton âme. Les ombres de cette enfance tumultueuse se sont enfoncées en toi, si profondément qu’aujourd’hui encore, leurs échos résonnent, éveillant en toi la terreur du moindre murmure trop brusque, du moindre cri. Puis, il y a eu cette rencontre : à douze ans, dans un modeste restaurant italien, un sous-chef t’a tendu la main, te guidant vers une chaleur simple et honnête. Entre les épices et le métal de la cuisine, il t’a offert une bouffée de paix, une oasis où tu n’étais plus ce gamin perdu mais un être à part entière. La propriétaire du restaurant a, elle aussi, perçu en toi cette solitude farouche, et elle a su t’accueillir, finissant par te donner cette place dans sa vie, t’accordant la famille que tu n’avais jamais eue. C’est là, dans ce refuge, que tu as grandi, devenant non seulement un jeune homme débrouillard mais un maillon dans la grande chaîne secrète de la mafia, apprenant l’art de disparaître et de protéger ceux que la vie contraint de fuir. Pourtant, malgré cette loyauté, ce passé rugueux a laissé en toi un vide, un abîme que tu as tenté de combler dans l’illusion de l’amour. Cet amour que tu as cru saisir était en réalité un piège, un filet de mots doux qui, au lieu de te guérir, t’a une fois encore plongé dans l’abandon. Désormais, l’attachement te terrifie, et tu préfères te perdre dans les bras d’inconnus, dans le tourbillon de la nuit, où la fête et l’oubli t’enveloppent. Là, dans ces plaisirs passagers, tu trouves une échappatoire, craignant moins la brûlure d’un verre ou le fracas d’une musique trop forte que le silence désespéré qui s’installe après.

Description (2) :
what about us ? —
North ; père biologique
Cornelius ; frère adoptif
Jaël ; Ex (relation éphémère), aujourd'hui confident.
Perceval ; Mentor (piano)
Ange ; Sexfriend, drogues & confidences.
Seoho ; Seras-tu mon petit lapin blanc?
Alexis ; Délire humain, attachement toxique fou.


Description (3) :

What about all the plans ? —
— Ange & co (tg) ; fading light
— Seoho ; I guess I'll go on bein a fool
— pseudo ; titre du rp

Warnings : abandon, violence familiale, abus verbal, abus physique, maltraitance infantile, manipulation, dépendance affective, rupture, toxicité relationnelle, dépendance aux substances, usage de drogues, autodestruction, traumatisme lié à l'enfance, marginalisation, exploitation de la vulnérabilité, image de soi détériorée, abus émotionnel.
RPS : 31
Messages : 1125
Préférences de jeu
veritas
Shade R. Crowley
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
tw : vulgarité, tabac, drogues.
@Alexis Davinson -- Tu restes figé, l’ananas toujours dans ta main, une ironie douce-amère se tordant dans ton sourire. Elle bouge, rapide et chaotique, une énergie brute qui déborde, prête à inonder tout ce qui l’entoure. Elle a cette manière de transformer le moindre détail en épopée délirante, et toi, t’es là, scotché à chaque mot comme si c’était une drogue que t’avais pas encore décidé de refuser. Tu te laisses tomber sur une chaise, les coudes sur la table, le menton calé dans ta paume. Tout chez elle hurle un mélange de désordre et de certitude. Elle pourrait être un génie ou une foutue tempête – et tu sais plus vraiment ce que tu préfères. Peut-être les deux à la fois. Tes yeux glissent sur le bordel autour de vous, un bordel qui ressemble étrangement à ce que t’as dans la tête. C’est peut-être ça, au fond, qui te fascine autant. Elle reflète tout ce que t’essaies d’éviter, tout ce que t’essaies de noyer sous des couches d’indifférence et de cynisme. Mais avec elle, ça marche pas. Elle détruit chaque mur que tu poses, éclate chaque foutue barrière avec ses idées absurdes et sa manière d’être si crue, si brutale. Tu le ressens, ce foutu ouragan, et t’as beau savoir qu’il va te détruire, t’arrives pas à détourner le regard. Tu passes une main dans tes cheveux, ton souffle s’échappant dans un rire sans joie. Parce qu’au final, t’es là, coincé dans cette spirale toxique qu’elle alimente autant que toi. Deux désastres qui s’attirent, qui se dévorent, et tu sais que ça va mal finir. Mais t’es incapable de lâcher.Ton regard revient sur elle, toujours dans son délire frénétique, et toi, t’es là, à penser que peut-être, c’est exactement ce que tu mérites.

Tu la regardes, un mélange de fascination et de résignation planté dans le creux de tes traits. Les mots continuent de couler, chaque phrase un fragment d’un chaos organisé que t’essaies vaguement de suivre. Y’a quelque chose de presque tragique dans cette théorie tordue sur Bob et l’ananas martyr. Une absurdité qui te percute plus que ça ne devrait.   Tu balances l’ananas dans ta main, le poids du fruit étrangement familier, et tu te rends compte que t’as jamais pensé à ce qu’il pourrait représenter. Peut-être parce que toi aussi, t’es un putain d’ananas dans un monde marin. Pressé, déformé, foutu dans un rôle qui te ressemble pas, mais que t’acceptes quand même parce qu’il faut bien tenir le coup.   Un rire bas t’échappe, le genre qui sonne creux, presque moqueur. "Alors c’est ça, hein ?" tu murmures pour toi-même, le regard fixé sur le fruit. "Exploité jusqu’à la moelle, jusqu’à ce qu’il se transforme en une foutue blague." Tu souffles, secoues légèrement la tête. "C’est beau, vraiment."  Tu relèves les yeux vers elle, toujours perchée quelque part entre la folie douce et la clairvoyance cruelle. Elle parle de pizza hawaïenne avec une passion qui ferait rougir les saints, et toi, t’écoutes, comme d’habitude, incapable de t’en détourner. Une pizza ? Sérieusement ? Mais ça colle, ça aussi. Tout chez elle est un contraste qui te fait mal et qui te fascine.   "T’as raison," tu lâches enfin, la voix rauque, un sourire amer sur les lèvres. "C’est ça, le truc." Ce putain de contraste. Doux et piquant. Salé et sucré. T’arrives pas à le détester parce que c’est trop… parfait dans sa contradiction. Tu te redresses un peu, poses l’ananas sur la table comme un symbole grotesque d’un truc qui te dépasse. "Mais tu sais quoi ? On est tous des pizzas hawaïennes dans ce bordel. Mal aimés par défaut, dévorés par ceux qui savent pas ce qu’ils veulent vraiment. Et au final, y’a rien d’autre à bouffer, alors on prend ce qu’on trouve." T’as pas envie de creuser plus loin. Parce que tu sais que si tu t’arrêtes, si tu réfléchis trop, tu vas te noyer dans un délire encore plus grand que le sien. Et pour une fois, c’est toi qui détournes le regard, juste pour éviter de voir ton propre reflet dans ce bordel qu’elle incarne si bien. Tu la fixes, son délire vibrant dans l’air comme une chanson qui s’accroche. Une société sans contrainte, sans règles, juste des voix qui s’élèvent et se répondent. C’est beau, presque noble. Mais c’est surtout une illusion, un truc trop parfait pour exister dans le bordel du monde réel.  

T’appuies sur la table, le poids de ses mots résonnant en toi d’une façon que t’aimes pas trop admettre. "Une société où tout le monde cause et décide, hein ?" tu lâches, un sourire en coin, mais sans moquerie. "T’es trop optimiste. Ou trop foutue pour voir que la plupart des gens veulent juste qu’on leur dise quoi faire. Ils crèveraient de peur avec ce genre de liberté."   Elle se déplace, vivante, brûlante, reprenant un bout d’ananas comme si c’était un sceptre. Tu la regardes s’installer sur le rebord de la fenêtre, ses jambes dans le vide, la cigarette entre ses doigts. Tout en elle crie la contradiction, l’équilibre fragile entre l’abandon et l’urgence de vivre. "Signer où je veux, hein ?" Tu te redresses, la voix rauque, comme un écho au poids de l’instant. "Alors laisse-moi réfléchir… Peut-être sur ton bras, comme une promesse qu’on tiendra jamais. Ou sur ton putain d’ananas, pour qu’il ait au moins un rôle symbolique." Ton regard la suit, l’ombre de son sourire, sa sincérité brute qui frappe là où ça fait mal. "T’sais," tu continues, plus bas, presque pour toi-même, "c’est ça qui rend le truc réel, non ? On réinvente le monde à chaque connerie qu’on balance, mais c’est jamais pour y croire vraiment. C’est juste pour survivre à la journée, à la nuit. Jusqu’à ce que ça nous bouffe."   Un silence, brisé seulement par la petite lueur rouge de sa clope. Tu t’approches, le bout de l’ananas toujours en main, et t’installes à côté, laissant tes jambes pendre à ton tour. "Mais ouais, Alexis. Je kiffe réinventer ce putain de monde avec toi. Même si c’est qu’un mirage." Tu prends une bouchée d’ananas, le goût acide presque apaisant, et relèves les yeux vers elle, un sourire étirant doucement tes lèvres. "Allez, prophétesse. Dis-moi, c’est quoi la prochaine utopie qu’on va ruiner avant la fin de la nuit ?" Tu ris, mais y’a pas d’humour dedans, juste du venin, juste cette douleur qui suinte à chaque mot. "Parce qu’on sait tous les deux que c’est des conneries. J'suis pas là pour changer le monde. J'suis là pour le regarder brûler. Et toi… toi, tu es assez folle pour allumer l’allumette avec moi."
(Shade R. Crowley)



   
Lose control
Something's got a hold of me lately. No, I don't know myself anymore. Feels like the walls are all closin' in and the devil's knockin' at my door. I lose control. Problematic. Problem is I want your body like a fiend, like a bad habit. Bad habits hard to break when I'm with you. Yeah, I know, I could do it on my own, but I want that real full moon black magic and it takes two. Problematic Problem is when I'm with you, I'm an addict and I need some relief, my skin in your teeth. Can't see the forest through the trees, got me down on my knees, darlin' please.
Alexis Davinson

Âge : 23
Lieu de naissance : rosslare harbour, un coin d'l'irlande. juste un mois là-bas avant d'rejoindre boston.
Quartier d'habitation / Colocation : un studio mal rangé dans le quartier de broadway, south boston.
Situation sentimentale : célibataire. si elle s'passionne des autres, c'est l'attachement qu'elle a du mal à créer. c'est médiocre, mais ça lui cause pas tant d'tord que ça.
Études / Métier : bosse à plein temps chez mcdonalds, à faire du son sur les bips chiants, à juger les clients malpolis. compte tiktok à côté pour partager sa musique.
Date d'inscription : 29/10/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : il.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 3f6d433aad3d36bfbeaadaf258d42a3d
Faceclaim : gracie abrams.
Crédits : depraysie (ava), polaroid papers (profil)
Multicomptes : neo & sanho.
Description (1) :
i'm so tired that I might
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who am I if not exploited ?
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Description (2) :
what about us ? —
valentina ; meilleure amie, amour d'sa vie
shade ; déni d'attachement, adoration toxique
mj ; copain d'conneries, 0.5 neurone
wes ; ami proche, d'bons délires
belle ; amie, la sauver des pigeons
kyro ; copain du chaos
paxton ; prophète, promesse du duo chaotique
jordan ; ami, total opposé


RPS en cours :

what about all the plans ? —
Warnings : vulgarité, anxiété, adoption, tabagisme, consommation de drogues, animosité envers les riches, alcool, relation familiale mauvaise, dégradation de biens publics, sexe.
RPS : 27
Messages : 1069
Préférences de jeu
veritas
Alexis Davinson
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t176951-alexis-davinson-gracie-abrams#8801739Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t173980-neo-sanho-alexis-repertoire-rps#8804486Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t176975-alexis-davinson-fiche-de-liens#8804325Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t176978-meetsachussets-vinxis#8804432
tw : vulgarité, drogue, anxiété, incendie.
@Shade R. Crowley -- l'corps inerte, l'inimaginable. l'besoin de mouvement, que l'monde s'arrête pas autour pour m'jeter les horreurs que j'persiste à vouloir fuir. combattre pour m'aveugler. m'échapper dans l'peu de mauvais qui m'offre un bien. aux adieux d'l'utopie, c'pourtant elle que je dépeins quand une oeuvre chaotique, au semblable de l'abstrait qui avoue, sur sa petite plaque, les idées renversées. d'peinture j'ose niqué les murs, les mots qui crient c'qui veut être tu, une main sur la gueule et l'corps enfermé derrière les barreaux, relâché l'dégoût dans l'regard. jamais rien pour m'arrêter, jamais rien pour m'garder prisonnière. mouvement créé,  c'est juste moi, grimpe sur les meubles qui menacent de s'effondrer sous un poids qui vaut plus rien. grignoté par les délires, les abus, l'vilain qui roucoule dans les veines. et au milieu d'ce foutoir, y'a le délicieux. c'pas sain non plus, y'a du laid dans cette scène. deux gamins paumés, qui s'retrouvent au point d'chute. l'vide menace, ouvre sa tronche béante, prêt à avaler c'qu'il reste de nous. juste l'illusion d'chair, un truc qui bat et s'défonce contre les parois d'une poitrine mal éduquée. c'est le soucis, avec lui, un truc qui s'met à gerber un rythme infernal, résonne jusqu'aux oreilles. infernal c'bruit que j'pourrais aligner sur une bande son, à hurler les paroles écrites hier, l'esprit défoncé, les larmes qui ont creusés mon visage. ce soir je l'écris à l'oral, c'est gravé sur mes lèvres, aucune pancarte pour appuyer les arguments. nés pour être usés, mis au monde pour être écrasé sur l'poids d'une totalité grotesque d'règles. nous offrir la liberté pour s'jouer de nous, factice l'petit peuple qui s'croit important. délire sur l'dessin animé que je consomme à grande dose, mais ça fait sens, parce qu'il partage, renchérit. juste un putain d'individu qui finit par hocher la tête sagement, parce que tu lui fais croire que c'est c'qu'il mérite. c'est vrai, regarde. il fait quoi au juste ? il lui montre qu'il a de l'intérêt, qu'il fait les choses bien, il est récompensé. lavé, joliment décoré, il s'prend un : ce que c'est bien d'être de retour à la maison. une tape sur la tête, bon garçon, mais c'est juste pour lui cacher l'fait qu'il est usé, c'est qu'un putain d'égoïsme. s'voir dans l'usage, petit pion d'ce foutu régime que j'dois endurer tous les jours. gentille petite employée, félicitée chaque fin du mois, paie ronde, nourrit l'compte bancaire avant d'être écoulé d'toutes ces merveilles qui m'asservissent. toujours victime d'un système. jamais l'plein droit d'vivre, jamais maître, c'est qu'une putain d'illusion, un mensonge d'plus à gober. et la suite, c'est sûrement l'même reflet. les mal aimés, les pourris laissé sur l'côté. les regards malveillants, les bâtards en soif d'supériorité. bouffe lâchée, c'est juste qu'un putain de sacrilège, un changement qu'on veut pas vivre quand c'est trop dérangeant, d'laisser la place à quelque chose d'autre. et j'le sens là, la respiration coupée, la boule dans la gorge, d'sentir que la réalité revient trop m'faire vriller. on en est pas tous. défis les codes. franchis les limites. défonce toi les poumons à hurler qu'ça va mal. là, tu seras une pizza hawaïenne. rien d'plus que ce qu'on veut pas voir, entendre. humiliation, dénigrement, un beau mélange pour te réduire à rien. rien d'plus, c'est pas élargit l'sujet, quand ça commence déjà à m'faire regretter d'avoir chopé l'paquet de clope et pas l'sachet d'weed posé sur le canapé. morceau d'fruit vite avalé, peau lancée dans l'bol sur la table. c'est dans l'vide que j'vais m'asseoir, le cul posé sur le rebord de fenêtre. vertigineuse ascension, l'étage immense, s'écraser serait fatal. je suis peut-être optimiste, ou peut-être que j'm'autorise à faire une pause des fois, histoire d'pas finir par péter le plomb de trop. l'regret du simple tabac, allumé, bouffée immonde. vouloir changer d'puis des mois. les yeux s'paument dans l'vide, en-dessous des pieds, y'a les bienheureux. inconscients, s'foutent du chaos. signe-le où tu veux, j'te donne mon corps entier si ça t'chante. à lui, c'est mon âme que j'donne, signe avec le diable, peu importe l'mal. il confesse, c'beau, d'refaire l'erreur à chaque fois. c'beau, de corriger les incohérences, en rajouter dans c'beau mélange d'malheur. rien qu'un sourire en réponse avant d'cracher les dernières taffes, d'écraser l'mégot contre l'mur à côté. des fois j'me dis que brûler, ça serait la solution. détruire pour rebâtir, mais j'pense que l'espèce humaine est assez stupide pour recommencer les mêmes merdes. oser l'regard vers lui, c'trop sérieux, mais je peux pas y échapper. j'suis assez folle pour m'inclure dedans. quitte à l'vivre, autant finir comme eux, la gueule fière parce qu'on a réussit. pas savoir c'quoi la pensée, l'fond derrière. putain j'aurais dû rouler, c'est trop sérieux là. m'marrer. tenter d'échapper à ce que je veux fuir. redevenir comme plus tôt, légère, sans craindre d'me noyer dans l'enfer.
(Alexis Davinson)
Shade R. Crowley

Âge : 23
Lieu de naissance : Des origines danoises, anglaises, irlandaises & allemandes de la part de son père biologique, North. Nationalite américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : City center
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Cuisinier dans le restaurant familial de sa mère adoptive qui sert aussi pour une mafia italienne dans laquelle il est le localiseur, celui gère de mettre des membres en sécurité, de les faire traverser des États.
Date d'inscription : 15/06/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Poisonous, elle.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 Tumblr-df37d5d2adb0d1d7f67b64f52ff0146f-6c9fbad1-500-gif
Faceclaim : Gauge Burek
Crédits : Hell & sombrelune, stevie (polaroid papers) pour le profil
Multicomptes : Khol, Ravi & Leone
Description (1) : young bodies in motion (shade) - Page 2 37a5bdf9ee4d68409ca1f3bf12af2ae8a9d03afd

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the whole point of us being here is
to be ourselves
. —

Très jeune, tu as été confié à une famille, censée t’offrir un refuge d’amour, mais au lieu de la tendresse promise, ce sont des cris qui ont vite rempli l’air, puis des coups qui se sont imprimés sur ta peau et dans ton âme. Les ombres de cette enfance tumultueuse se sont enfoncées en toi, si profondément qu’aujourd’hui encore, leurs échos résonnent, éveillant en toi la terreur du moindre murmure trop brusque, du moindre cri. Puis, il y a eu cette rencontre : à douze ans, dans un modeste restaurant italien, un sous-chef t’a tendu la main, te guidant vers une chaleur simple et honnête. Entre les épices et le métal de la cuisine, il t’a offert une bouffée de paix, une oasis où tu n’étais plus ce gamin perdu mais un être à part entière. La propriétaire du restaurant a, elle aussi, perçu en toi cette solitude farouche, et elle a su t’accueillir, finissant par te donner cette place dans sa vie, t’accordant la famille que tu n’avais jamais eue. C’est là, dans ce refuge, que tu as grandi, devenant non seulement un jeune homme débrouillard mais un maillon dans la grande chaîne secrète de la mafia, apprenant l’art de disparaître et de protéger ceux que la vie contraint de fuir. Pourtant, malgré cette loyauté, ce passé rugueux a laissé en toi un vide, un abîme que tu as tenté de combler dans l’illusion de l’amour. Cet amour que tu as cru saisir était en réalité un piège, un filet de mots doux qui, au lieu de te guérir, t’a une fois encore plongé dans l’abandon. Désormais, l’attachement te terrifie, et tu préfères te perdre dans les bras d’inconnus, dans le tourbillon de la nuit, où la fête et l’oubli t’enveloppent. Là, dans ces plaisirs passagers, tu trouves une échappatoire, craignant moins la brûlure d’un verre ou le fracas d’une musique trop forte que le silence désespéré qui s’installe après.

Description (2) :
what about us ? —
North ; père biologique
Cornelius ; frère adoptif
Jaël ; Ex (relation éphémère), aujourd'hui confident.
Perceval ; Mentor (piano)
Ange ; Sexfriend, drogues & confidences.
Seoho ; Seras-tu mon petit lapin blanc?
Alexis ; Délire humain, attachement toxique fou.


Description (3) :

What about all the plans ? —
— Ange & co (tg) ; fading light
— Seoho ; I guess I'll go on bein a fool
— pseudo ; titre du rp

Warnings : abandon, violence familiale, abus verbal, abus physique, maltraitance infantile, manipulation, dépendance affective, rupture, toxicité relationnelle, dépendance aux substances, usage de drogues, autodestruction, traumatisme lié à l'enfance, marginalisation, exploitation de la vulnérabilité, image de soi détériorée, abus émotionnel.
RPS : 31
Messages : 1125
Préférences de jeu
veritas
Shade R. Crowley
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
tw : vulgarité, tabac, drogues.
@Alexis Davinson --T’es là, calé sur le rebord de cette fenêtre, l’air un peu trop frais contre ta peau. La ville en bas continue de bouger, de s’agiter, comme si elle voulait te rappeler qu’elle te dépasse, qu’elle te broiera tôt ou tard. Mais toi, t’en as rien à foutre. T’as décidé de t’autoriser un moment. Juste une pause. Le sachet traînait encore sur la table, à moitié oublié, et t’as pas réfléchi plus longtemps. Tes doigts ont trouvé leur rythme, roulant avec une précision presque automatique, comme si ton corps savait exactement ce qu’il voulait pendant que ta tête était ailleurs. La clope que t’avais allumée avant a fini écrasée contre le mur, et maintenant, c’est ce joint que tu tiens entre tes doigts.  

T’approches la flamme, la chaleur venant lécher l’extrémité. Une première taffe. Putain, ça brûle. T’étouffes à moitié, et ça te tire un sourire. Un vrai, cette fois. Pas le genre forcé ou amer, mais un truc qui te détend vraiment. Tu te laisses aller contre le cadre de la fenêtre, ta tête basculant légèrement en arrière. La fumée s’échappe doucement de tes lèvres, emportant avec elle une partie du poids que tu traînes depuis… trop longtemps. Le monde devient un peu plus flou, les bruits un peu plus lointains.T’as pas besoin de tout ce bordel qui cogite dans ton crâne. Pas ce soir. Pas maintenant. Le joint passe de ta main à tes lèvres, encore et encore, et le temps semble se plier, s’étirer dans tous les sens. Les pensées qui t’envahissaient tout à l’heure se mélangent, deviennent un brouillard agréable, presque confortable. Le vide sous tes pieds te paraît moins effrayant. T’es pas en train de te noyer ce soir. T’es juste là, suspendu quelque part entre le chaos et le calme, et pour une fois, ça te suffit. T'as tiré encore une fois, la fumée emplissant tes poumons, et là, ça t'a frappé. Cette conversation, ce truc sombre et sérieux qui pesait sur l'air, c'était pas ce que t'avais en tête au départ. T'as jeté un regard vers l'intérieur, comme si t'avais besoin de te rappeler pourquoi t'étais là.  

Et là, tu te marres doucement. Ouais, c'est ça, la connerie, le délire. T'as lâché dans un souffle, presque pour toi-même : "Putain, on est partis trop loin. C'était pas ça le plan, hein ?"La fumée continue de flotter autour de toi, et un sourire un peu plus large se dessine sur ton visage. T’appuies ton dos contre le mur, te laissant glisser un peu plus bas, les pieds toujours dans le vide." Sérieux, c'était censé être quoi ? Un trip tranquille, pas un débat philosophique sur la vie et la mort. J'veux dire, où est passé l’idée d’un délire façon Alice au pays des merveilles" Tu tires une autre taffe, un rire nerveux t'échappant en même temps. "Genre, on aurait dû se demander si on allait croiser un putain de lapin blanc ou s'il y avait une reine de cœur prête à nous couper la tête. Pas tout ce… ce truc là. "Tu fais un geste vague avec ta main libre, comme pour chasser l’ambiance trop lourde. Tes pensées commencent déjà à dériver, et t’imagines la scène. Toi, courant derrière un lapin géant avec une montre, ou discutant avec une chenille bien trop perchée sur un champignon. L’image te fait sourire encore plus.  " Sérieux, imagine. Un thé avec le Chapelier fou, des tasses qui volent, et nous, on s’pose la vraie question : c’est quoi le sens de tout ça ? La réponse, c’est rien. C’est juste de délirer." Ton rire devient un peu plus fort cette fois, sincère. T’as pas envie de te noyer dans des pensées trop sérieuses ce soir. Pas alors que t’as un joint entre les doigts et que tout pourrait être beaucoup plus simple.Tu relèves la tête, prenant une grande inspiration avant d'expirer lentement." Ouais. Faut qu’on retourne là, dans ce bordel absurde. Parce que sérieux, la vie, c’est juste ça. Un foutu délire à la Alice au pays des merveilles. Et si c’est pas ça… alors c’est qu’on le fait mal".  
(Shade R. Crowley)



   
Lose control
Something's got a hold of me lately. No, I don't know myself anymore. Feels like the walls are all closin' in and the devil's knockin' at my door. I lose control. Problematic. Problem is I want your body like a fiend, like a bad habit. Bad habits hard to break when I'm with you. Yeah, I know, I could do it on my own, but I want that real full moon black magic and it takes two. Problematic Problem is when I'm with you, I'm an addict and I need some relief, my skin in your teeth. Can't see the forest through the trees, got me down on my knees, darlin' please.
Alexis Davinson

Âge : 23
Lieu de naissance : rosslare harbour, un coin d'l'irlande. juste un mois là-bas avant d'rejoindre boston.
Quartier d'habitation / Colocation : un studio mal rangé dans le quartier de broadway, south boston.
Situation sentimentale : célibataire. si elle s'passionne des autres, c'est l'attachement qu'elle a du mal à créer. c'est médiocre, mais ça lui cause pas tant d'tord que ça.
Études / Métier : bosse à plein temps chez mcdonalds, à faire du son sur les bips chiants, à juger les clients malpolis. compte tiktok à côté pour partager sa musique.
Date d'inscription : 29/10/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : il.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 3f6d433aad3d36bfbeaadaf258d42a3d
Faceclaim : gracie abrams.
Crédits : depraysie (ava), polaroid papers (profil)
Multicomptes : neo & sanho.
Description (1) :
i'm so tired that I might
quit my job, start a new life
young bodies in motion (shade) - Page 2 3fTkp0oy_o
and they'd all be so disappointed
who am I if not exploited ?
. —

Description (2) :
what about us ? —
valentina ; meilleure amie, amour d'sa vie
shade ; déni d'attachement, adoration toxique
mj ; copain d'conneries, 0.5 neurone
wes ; ami proche, d'bons délires
belle ; amie, la sauver des pigeons
kyro ; copain du chaos
paxton ; prophète, promesse du duo chaotique
jordan ; ami, total opposé


RPS en cours :

what about all the plans ? —
Warnings : vulgarité, anxiété, adoption, tabagisme, consommation de drogues, animosité envers les riches, alcool, relation familiale mauvaise, dégradation de biens publics, sexe.
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Alexis Davinson
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t176951-alexis-davinson-gracie-abrams#8801739Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t173980-neo-sanho-alexis-repertoire-rps#8804486Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t176975-alexis-davinson-fiche-de-liens#8804325Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t176978-meetsachussets-vinxis#8804432
tw : vulgarité, drogue.
@Shade R. Crowley -- le vide absorbe, gueule en bas que l'rappel à la réalité est fatal. y'a une torpeur d'la cervelle, s'fout un coup de flippe à l'idée d'revoir le bancal et le désordonné. à celui qui devient les dernières heures, sonnées dans une farandoles d'cloches qui s'activent pour chanter au champ d'bataille d'nos corps pourris. on s'entasse, là en bas. à s'marcher dessus quand on doit fonctionne avec la terre rapide. elle tourne, manège, elle tourne, vicieuse. les bienheureux ont la gueule malheureuse, une tronche d'munch qui m'glace l'sang. c'est ça, l'angoisse d'la foule, ou d'l'air frais qui bouffe mes jambes nues. rien sur moi, juste le haut qui m'appartient pas, volé à un des gars que j'ai dû fréquente y'a un mois ou deux. un boxer qui a dû être chopé ailleurs qu'dans mes tiroirs, des chaussettes avec des bananes d'ssus. comme ça pourrait être plus mignon que l'impression d'se prendre une balle entre les deux yeux ? alors j'exerce encore du mouvement, rejoint d'nouveau le sol de l'appartement, à éviter la guitare qui s'tape sa meilleure nuit d'sommeil dans un coin. éviter d'me faire dévorer, c'est ça qu'il faut. l'aide pour rester éveillée dans l'monde que j'veux bâtir moi. parce que la destruction s'passe déjà, que y'a trop de sobriété pour savoir tenir l'coup. déjà mauvais, j'ai perdu depuis que j'suis née dans cette chambre d'hôpital dans un coin paumé de l'irlande. l'dire à personne, c'mieux de faire croire que j'suis une gamine d'boston. lui l'joint aux lèvres, il cause d'un dessin animé que j'bouffe sous l'trip de l'incroyable. couleurs adorées, j'pourrais faire convulser l'cerveau. c'est l'délire de tous. un sujet, ça part, des grandes discussions, jusqu'à ce que tu retombes les pieds sur terre. ça te mine le moral, alors tu fumes, et ça ira bien mieux. dernière réalité avant de revenir sur le rebord d'la fenêtre, un coup de panique dans le paradis. califourchon sur l'rebord, une jambe à l'extérieur, l'autre à l'intérieur. rouler, c'est ça qui calme. les doigts ont l'expérience, bientôt dix ans à m'occuper d'ça. stimulation d'la réussite. pourquoi y'a un lièvre fou qui m'cause ? techniquement, les biscuits qu'elle bouffe, c'est littéralement des space cakes. j'trouve ça dingue. c'est tassé, bien fait, petit bijou entre mes lèvres. flamme allume, et putain la première taffe est une divinité. ça fait révulser les yeux, c'est gardé dans la gorge un temps avant de cracher. j'voudrais m'retrouver dans midnight gospel. imagine putain t'es là, t'es dans des simulations. tu découvres les mondes, t'cause ta meilleure philosophie avec des inconnus, et t'as foutu dans ta merde une heure. truc d'dingue. à continuer d'consommer le bébé. aspirer, avaler, expirer. en rire, y'a toujours un truc pour faire marrer. j'crois j'kifferais aussi être cet épisode de rick et morty. anatomy park. imagine devenir minuscule, et t'es là dans un corps. une attraction pour découvrir le fonctionnement du corps. t'sais quoi ? je donnerais mon corps pour ça. une fois j'ai bouffé du pec citron, j'crois. fin j'ai léché sur ma lèvre. on me dit ça a fait des dégâts, c'est l'moment de le voir. m'rappeler de l'exacte conversation avant d'me marrer. avoir causé la destruction à l'intérieur, l'malheur serait beau à voir, à l'intérieur.
(Alexis Davinson)
Shade R. Crowley

Âge : 23
Lieu de naissance : Des origines danoises, anglaises, irlandaises & allemandes de la part de son père biologique, North. Nationalite américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : City center
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Cuisinier dans le restaurant familial de sa mère adoptive qui sert aussi pour une mafia italienne dans laquelle il est le localiseur, celui gère de mettre des membres en sécurité, de les faire traverser des États.
Date d'inscription : 15/06/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Poisonous, elle.
Icon : young bodies in motion (shade) - Page 2 Tumblr-df37d5d2adb0d1d7f67b64f52ff0146f-6c9fbad1-500-gif
Faceclaim : Gauge Burek
Crédits : Hell & sombrelune, stevie (polaroid papers) pour le profil
Multicomptes : Khol, Ravi & Leone
Description (1) : young bodies in motion (shade) - Page 2 37a5bdf9ee4d68409ca1f3bf12af2ae8a9d03afd

don't say thank you or please
I do what I want when I'm wanting to
young bodies in motion (shade) - Page 2 Images?q=tbn:ANd9GcRRg_C94SPKbXNQMCm62u1We4co1pOkecO0Fg&s young bodies in motion (shade) - Page 2 7ea1bc4a361f9497d53adaa89c1e846b young bodies in motion (shade) - Page 2 81c68c4499b19b5d8fb1b380cce083ba
the whole point of us being here is
to be ourselves
. —

Très jeune, tu as été confié à une famille, censée t’offrir un refuge d’amour, mais au lieu de la tendresse promise, ce sont des cris qui ont vite rempli l’air, puis des coups qui se sont imprimés sur ta peau et dans ton âme. Les ombres de cette enfance tumultueuse se sont enfoncées en toi, si profondément qu’aujourd’hui encore, leurs échos résonnent, éveillant en toi la terreur du moindre murmure trop brusque, du moindre cri. Puis, il y a eu cette rencontre : à douze ans, dans un modeste restaurant italien, un sous-chef t’a tendu la main, te guidant vers une chaleur simple et honnête. Entre les épices et le métal de la cuisine, il t’a offert une bouffée de paix, une oasis où tu n’étais plus ce gamin perdu mais un être à part entière. La propriétaire du restaurant a, elle aussi, perçu en toi cette solitude farouche, et elle a su t’accueillir, finissant par te donner cette place dans sa vie, t’accordant la famille que tu n’avais jamais eue. C’est là, dans ce refuge, que tu as grandi, devenant non seulement un jeune homme débrouillard mais un maillon dans la grande chaîne secrète de la mafia, apprenant l’art de disparaître et de protéger ceux que la vie contraint de fuir. Pourtant, malgré cette loyauté, ce passé rugueux a laissé en toi un vide, un abîme que tu as tenté de combler dans l’illusion de l’amour. Cet amour que tu as cru saisir était en réalité un piège, un filet de mots doux qui, au lieu de te guérir, t’a une fois encore plongé dans l’abandon. Désormais, l’attachement te terrifie, et tu préfères te perdre dans les bras d’inconnus, dans le tourbillon de la nuit, où la fête et l’oubli t’enveloppent. Là, dans ces plaisirs passagers, tu trouves une échappatoire, craignant moins la brûlure d’un verre ou le fracas d’une musique trop forte que le silence désespéré qui s’installe après.

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Seoho ; Seras-tu mon petit lapin blanc?
Alexis ; Délire humain, attachement toxique fou.


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Warnings : abandon, violence familiale, abus verbal, abus physique, maltraitance infantile, manipulation, dépendance affective, rupture, toxicité relationnelle, dépendance aux substances, usage de drogues, autodestruction, traumatisme lié à l'enfance, marginalisation, exploitation de la vulnérabilité, image de soi détériorée, abus émotionnel.
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tw : vulgarité, tabac, drogues.
@Alexis Davinson --T'approches la flamme une nouvelle fois, le crépitement léger venant rompre le silence étrange de l’appartement. T'as pris une première taffe qui brûle un peu moins que la dernière, mais toujours assez pour t’arracher un sourire. La fumée s’échappe lentement de tes lèvres, danse un instant sous la lumière froide, avant de s’effacer. Tu t'enfonces un peu plus contre le mur, ton corps lourd, ton esprit à moitié ailleurs, suspendu entre les mots qu’elle balance et ce brouillard apaisant qui commence à s’installer. Ses phrases roulent dans l’air, ce mélange de chaos et de lucidité, comme si son cerveau s’amusait à jongler avec des images absurdes et des vérités brutales. T'écoutes, sans vraiment répondre, juste les yeux fermés un instant, à laisser ses mots te traverser. Des lièvres fous, des space cakes, Midnight Gospel, Rick et Morty, une putain d’attraction miniature dans un corps humain. T'imagines le bordel. T’imagines l’attraction, les bruits, les rires tordus d’une foule qui s’agite à l’intérieur d’un estomac en crise. Ça te tire un autre sourire, un peu plus franc cette fois.

"Un parc d’attraction dans un corps," tu lâches finalement, la voix rauque d’avoir trop fumé. "Putain, c’est sûr qu’on finirait dans l’intestin. Le pire endroit, mais c’est là qu’tout s’joue, hein ? L'vrai cœur d'la machine, là où ça digère tout. Peut-être que c’est ça qu’on est. Juste des foutus mécanismes pour digérer tout c’qu’on bouffe, qu’ce soit d’la bouffe ou des pensées."  Tu tires une nouvelle taffe, plus longue cette fois, laissant la chaleur envahir tes poumons. T’as l’impression d’être un peu plus loin, plus léger, comme si la gravité pesait moins. "Midnight Gospel," tu reprends, un éclat joueur dans la voix. "Ouais, j’vois bien. Sauf qu’au lieu d’une putain de philosophie sur l’amour ou la mort, on part en live sur c’qu’on bouffe. Genre, quel goût aurait la réalité ? Sucrée ? Salée ? Ou un foutu mélange d’pec citron qui t’ravage l’intérieur ? J’sais pas… Mais t’sais quoi ? Peut-être qu’on s’en fout."  T'as éclaté de rire, un truc sincère, presque nerveux. T’avais pas besoin de la gravité de la réalité, pas ce soir. Pas maintenant. "T’imagines ça ? Nous, miniatures, dans ce bordel absurde ? On trouverait même pas d’place pour s'asseoir, trop occupés à éviter les chocs électriques du cerveau." Tu tournes la tête vers elle, son profil éclairé par la lueur vacillante de sa clope. "Toi, t’sais déjà comment ça finirait," tu continues, ton regard s’accrochant au sien. "Une putain d’explosion. Parce qu’évidemment, ça peut pas être autre chose qu’un bordel monumental."  

Le joint passe de tes doigts à tes lèvres. La fumée s’échappe doucement, et tu laisses tomber ta tête en arrière, contemplant le plafond comme si t’y voyais un univers entier. "Mais tu sais quoi ? T’as raison sur un truc. C’est ça qu’il faut. Détruire à l’intérieur pour reconstruire. Faire exploser les murs pour enfin foutre un peu d’air là-dedans. Alors ouais… ce soir, j’vote pour le chaos. Pas de lapin blanc, pas de reine de cœur. Juste nous, à foutre le bordel dans le seul endroit où on a encore un peu d’contrôle : notre putain d’imaginaire." Tu tires encore une fois, le rire toujours coincé dans ta gorge. Puis tu tends le joint vers elle, un geste simple, une invitation. Parce qu’au fond, tu sais que c’est exactement ça : un foutu voyage absurde, une descente dans l’inconnu, et un délire que vous partagez, le genre de truc qui fait que t’as pas encore sauté dans l’vide sous tes pieds.
(Shade R. Crowley)



   
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@Shade R. Crowley -- l'vide absolu, c'est ça qu'la puissante dose d'nicotine balance dans les veines. un subterfuge minable du bon sens, un échappatoire médiocre à une cervelle qui réclame la bonne émotion. manque de sérotonine, à quatre heures du matin. y'a d'la vie en bas, c'est juste l'horloge interne en décalé. à avoir quitté le boulot deux heures avant cette scène. l'temps d'un délire, je rejoue en boucle cet épisode d'rick et morty qui prône comme m'un de mes préférés. des gars en euphorie dans un corps qu'on a rendu intéressant. parce que dans les quartiers déphasés, il était rien d'autre qu'un mal aimé. clodo laissé dans un coin, l'mépris à lui jeter en guise de pièce dans un gobelet désintégré par la pluie et les larmes. lui, il cause. répond, c'est machinal, c'est juste l'expression qui s'affaire à comprendre ce qui se déroule dans mon cerveau. un mélange d'bons souvenirs, d'coup d'émotion joyeuse. j'sais pas si je souffle une moquerie, à sentir chaque sensation bouffer le bide. peur ? bide. anxiété ? bide. j'veux voir si l'truc que les gens appellent l'amour, ça s'passe aussi dans l'bide. cette chose qui s'allie à la nervosité, grouille comme d'vilaines vermines à l'intérieur d'entrailles en décomposition. j'veux entendre le cerveau hurler ses ordres pour que le corps fonctionne. je veux voir comme il se décharge d'certaines responsabilités en impliquant l'bide dedans. dans l'fond y'a une raison. sa bouche cause pas du tord, c'pas mensonger. cette fois y'a un rire, parce que ce souvenir lâchera jamais personne. c'putain de pec citron goûté rien qu'une fois, un rien qui a potentiellement niqué le système intérieur. si j'étais clancy, j'crois j'passerais ma vie à disparaître ailleurs. t'es jamais seul, quand t'es lui. tu vas vers les gens, tu bousilles leur monde, tu repars, tu recommences. t'as eu tes meilleures discussions avant la destruction. cercle infini. c'vicieux que pour les autres. sûrement une part d'égoïsme dans cette beauté dévastatrice. la trouille au bide d'plus savoir vivre la même vie un jour. rencontre, délire, destruction, on recommence la semaine d'après. un regard, encore l'synonyme d'un champ d'bataille. un simple sourire pour réponse, un nez plissé, histoire d'faire croire que l'idée est adorée. tout péter. donne l'joint plus tard, dans la confession d'ma voix d'sagesse. alors j'prends, gobe, plusieurs taffes. rien d'plus bon que ça. t'sais y'a cet album de pink floyd. the wall. t'as vu l'film ? on s'en fout écoute juste. à un moment, il fout tout en l'air. les murs. l'mal. c'est un pétage de plomb à son essence même. oublie l'côté j'te fous du totalitarisme au milieu. c'est un énorme trip. mais y'a ce truc de putain, j'suis en vie. plisser les yeux, plus savoir où j'veux en venir, l'cerveau a déjà tourné la page au beau milieu du paragraphe. juste envie que ça s'arrête. genre. stop la mise en cage, stop d'gueuler pour que ça serve à rien. faut agir mais putain j'ai l'impression qu'on est trop lâches encore pour vraiment faire bouger le bordel. ils défilent et nous on est là, à cracher dessus par haine. j'crève du jour où ça va changer. volonté d'abolir les barrières, d'ces courants qui en veulent à nos gueules esseulées. une nouvelle taffe, longue, s'imbrique dans les parois cachées d'l'intérieur. putain c'est ça, plus en pouvoir de la réalité. faut que je m'en échappe, pas traîner dans la vase plus longtemps que prévu.
(Alexis Davinson)

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