(flashback) (+ emrys) two can play this game

two can play this game (+ emrys)

Il avait tout intérêt à revenir vers moi. Et puis, je savais aussi qu'il n'en avait pas fini avec ce jeu, pas tant qu'il me rendra complètement folle. Parce qu'il était bien trop tentant, il fallait vraiment que je prenne sur moi pour ne pas céder à ses lèvres, ses yeux, son corps. Et jusque là, j'avais toujours réussi, mais qui sait... Sauf que je ne voulais vraiment pas perdre, alors je me retenais, de toute mes forces. Je voulais qu'il revienne vers moi, mais d'un côté, je savais aussi que plus il serait proche, moins j'aurais le courage de le repousser encore et encore. « Humm ça se pourrait ... » Il continuait son chemin dans la piscine. Je ne le prenais pas mal, je savais qu'il faisait tout pour se laisser désirer et c'était vraiment bien réussi. « Quoique j'ai tendance à penser que j'ai plus peur de ne pouvoir résister à ton corps ma beauté ... » Tout de suite, un sourire malicieux s'afficha sur mes lèvres tandis qu'il revenait doucement vers moi. Lentement mais sûrement. Et finalement, il se retrouva devant moi, me prit par les hanches, me soulevant par la même occasion. Tout de suite, j'enroulais mes jambes autour de sa taille et je me laissais guider. Je me retrouvais alors contre le bord de la piscine, lui collé à moi. « Parfois ... nous sommes dans des positions si ... huuum ... alléchantes .... vois-tu ! » Tout de suite, je vins poser une main dans le creu de sa nuque, remontant pour venir caresser ses cheveux tandis que mes doigts remontaient doucement sur son torse. Je me collais un peu plus, rapprochant mon visage du sien avant de tourner ma tête. « Ça donne envie, n'est-ce pas? » Je venais de lui souffler ces quelques mots au ceux de son oreille avant de frôler le lobe avec mes lèvres. C'était le point sensible de la plupart des hommes, je le savais. Doucement, je descendais ma bouche, frôlant son cou, ses épaules, sans les poser dessus. « Que dois-je faire pour que tu cèdes, dis-moi? »

Ses mains dans ma nuque, ses jambes autour de moi, je sens mon désir monter pourtant je ne pense qu'à Eliah. Je devrais tout stopper ; dire qu'on arrive à quelques choses de trop loin mais je ne le veux pas, je ne peux pas. Je souris, fier et sexy à la manière d'un don juan. Je ne veux qu'une chose ; jouer de mes charmes, jouer avec mon amie. Juliana colle son corps contre le mien, ses mains montent plus vers ses cheveux, les caressant d'un geste presque trop enivrant. Je souris de joie, de désir et de plaisir alors que ses doigts se retrouvent sur mon torse, le frôlant dans des caresses qui me rendent fou et soudain, elle se remet à parler, cherchant un moyen de plus m'exciter, murmurant au creux de mon oreille : « Ça donne envie, n'est-ce pas? » Je colle mes mains sur ses fesses d'une manière flagrante comme pour la provoquer mais aussi la soutenir maintenant qu'elle se retrouve accrocher à moi. La dénommée Juliana frôle alors de sa bouche le lobe de mon oreille et je me sens vibrer tandis que peu à peu, elle descend dans mon cou arrivant à mon épaule pour me dire, relevant très peu la tete, quittant de très peu mon épaule ; « Que dois-je faire pour que tu cèdes, dis-moi? » Un sourire carnassier, je laisse l'une de mes mains sous ses fesses tandis que mon autre main la frôle d'abord au cou avant de faire glisser un de mes doigts entre ses deux seins puis sur son ventre si plat. Je donne un petit coup de bassin et en adressant un regard à la limite de la perversion, je lui dis : Céder à quoi ? ou pour faire quoi ? Je passe doucement ma langur sur mes lèvres, terriblement provocateur. Je laisse ensuite ma main rejoindre l'autre sous ses fesses, me faisant un plaisir à les laisser là. Nous sommes toujours collés contre la paroi de la piscine, son dos y est collé et je sens ce pouvoir sur la jeune femme, le fait qu'à présent, elle est coincée comme sous mon emprise et notre grande amitié ; je l'oublierai presque tout comme je choisi d'oublier Eliah en cet instant malgré que cela est compliqué vu mon amour pour elle ... pourtant elle, elle a bien choisi de continuer son service pour Humberto plutôt que moi alors elle ne peut se plaindre. Je ne sais pas vraiment quoi penser de cet instant et je ne plus trop quoi penser tout court, juste que je profite comme si c'était la dernier fois que j'étais célibataire, et que c'est la dernière fois que je peux jouer, tout tenter. Je bouge mon bassin d'une façon suggestive, gardant ce regard plein de perversion dans l'unique but d'agir sur notre plaisir. Nous sommes comme seul dans cette immense piscine alors que pourtant, autour, trop de monde ; Avoue, tu aimes ... tout ça Julia ? Dis-je d'une voix suave.

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Là, je me sentais vivante, au meilleur de ma forme, à jouer encore et encore avec cet homme, qui, je le savais parfaitement, ne sera jamais à moi. Nonobstant cette constatation, je continuais à le charmer, le tenter, juste pour voir cette lueur de désir dans ses yeux. Il était mon sexe toy de la journée et je n'allais pas le lâcher de si tôt. J'avais planté mes griffes de Sphynx sur son corps, et j'allais y laisser une trace, le tatouage de mes caresses. Ses mains posées sur mes fesses, il vint en passer une dans ma chevelure aussi blonde que certaines princesses de Disney. Notre relation n'avait rien de chevaleresque, et encore moins notre situation. Elle pouvait même choquer les âmes aussi sensible que celle de la vierge. À cet instant, mon coeur semblait jouer le gigue en délire. Cette scène pourrait sembler totalement ubuesque quand on connaissait le réel enjeux de tout cette mascarade. Bienvenue au carnaval de nos coeurs. Son coup de bassin me fit frissonner et je sentais cette envie de le posséder monter. C'était dangereux, j'allais me faire prendre à mon propre jeu. Qui pisse contre le vent se rince les dents... « Céder à quoi ? ou pour faire quoi ? ». Je le voyais s'humidifier les lèvres. Je mordis alors la mienne, mon regard descendant sur sa bouche avant de remonter vers ses yeux. « Ne me dis pas que tu ne ressens pas cette tension sexuelle qu'il y a entre nous, parce que je ne te croirais pas du tout. » Et je passais ma langue sur le lobe de son oreille, le mordillant une nouvelle fois. Mon souffle dans son cou, je venais caresser son dos du bout de mes ongles. Et à nouveau, il me provoquait tout ce désir en bougeant son bassin. Je vis de même, collant bien ma poitrine contre son torse. Moi aussi, je savais jouer comme ça. Avoue, tu aimes ... tout ça Julia ? Je vins lui mordiller la peau de son cou, mes doigts continuaient de se balader sur son corps avant d'aller lui pincer les fesses. Et là, je gémis doucement, comme pour lui prouver ce plaisir qu'il me donnait. « Mmmmh... Pas toi peut-être?... » J'haletais doucement. Ok, je sentais que j'allais vraiment avoir besoin de libérer toute cette frustration sexuelle qui me prenait. Et puis, si je ne trouvais pas, ne dit-on pas que le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main.

Hakuna Matata!; Je ne devais pas me faire de soucie pour ma chère Eliah tant que c'était de l'amusement comme elle, un peu avec son Humberto alors je continuais mon jeu avec la belle demoiselle qui rêvait de faire de moi son sexe toy vu son regard ce moment précis. Je me sentais comme un dieu grec, je devais l'avouer ... Elle me bouffait du regard et je faisais de meme mais je savais que ce n'était que du désir et de l'envie totalement ... humain rien de plus tout était clair en moi. Elle se mit alors à son tour à me provoquer par la parole et me montrer encore plus son intérêt ; « Ne me dis pas que tu ne ressens pas cette tension sexuelle qu'il y a entre nous, parce que je ne te croirais pas du tout. » Alors qu'elle venait de remonter vers mes yeux pour plus me regard, je sentis sa langue sur mon lobe avant qu'elle le morde doucement, me faisant trembler de désir, ce n'était pas bon signe quand ça commençait à partir comme ça surtout que je ne devais pas trop dépasser les bornes quand meme. Mon objet commençait légèrement à se tendre et à se lever dans mon caleçon ce qui n'arrangeait rien. Néanmoins, totalement pommé, j'ai continué dans mon jeu, incapable de me résigner à stopper ce jeu si dangereux pour nous deux mais surtout pour moi de ce que je connaissais de la vie de mon amie. Elle suivait mes mouvements de bassin, montrant son désir pour moi et son excitation face à mon petit jeu puis j'avais reprit en la provoquant par les mots, lui demandant si elle aimait ça, l'affirmant presque. Je sentais ses mains baladeuses et elle m'aracha un hoquet de surprise lorsqu'elle pinça mes fesses. A cet instant, tout changea et j'eus un rire étrange avant de penser très fortement qu'elle commençait réellement à yoyoter sec de la touffe ! C'était pas sexy du tout sur le coup mais je tentais d'oublier tout ça. Elle se reprit en main et je regardais ses Boobs à la Nabila qui ne manquait guère de me faire montrer plus haut dans mon désir. Son petit gémissement mefit sourire et sa réponse plus encore : « Mmmmh... Pas toi peut-être?... » Un sourire narquois et fier sur le visage. Je déposais un baiser au coin de sa lèvre comme pour la faire encore attendre, sachant que je devais pas aller vraiment plus loin mais qu'elle n'avait pas à le savoir. Je caressais ensuite doucement sa poitrine sous l'eau par dessus son maillot d'un simple coup de doigt très doucement, juste fait de frôlement, meme pas de réelles caresses avant de la lâcher d'un coup avant de reculer comme attendant qu'elle revienne me chercher. Définitivement joueur. Huuum ... je n'ai pas dit que j'aimais, ni que je détestais ... Un sourire toujours si provocateur. Elle était rester contre le mur et je ne pouvais résister à la belle, un coup de main sur ma tète digne d'un canon du cinéma, un sourire et hop, j'entrais sous l'eau, en mode sous parrain jusqu'à arriver à son niveau et remontrer coller contre elle, frôlant de mon nez et de ma bouche chaque partie de son corps jusqu'à me retrouver front contre front avec elle. Je suis sur que tu rêves d'une chose que tu t'imagines obtenir de moi, là tout de suite, n'est-ce pas ? Je la sentais bien la tension sexuelle mais allais-je faire en sorte qu'on excause nos envies ? Surement pas. Oui, un jeu, jusqu'au bout.

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Quelle idée quand même de jouer à ce jeu. Nous passions tous les deux pour le sexe toy de l'autre et ça nous plaisait. On se rendait tous les deux comptes qu'on commençait à avancer un peu trop dangereusement, qu'on allait un peu trop loin, que bientôt, on franchirait le point du non-retour. Je ne voulais pas pourtant, je ne cèderais pas à la tentation. Mais elle était vraiment forte, elle me prenait par les tripes et je n'avais qu'une envie, les assouvir. Je sentais qu'il fallait que je me trouve une autre proie pour y planter mes crocs, comme ceux d'un vampire -mais pas à la twilight ou d'une vipère; pour y déverser pour mon poison venimeux. Je le sentais se tendre et un sourire malicieux s'afficha ses mes lèvres. Quand je le vis approcher son visage du mien, je ne pus empêcher un sourire vainqueur de s'afficher, mais quelle ne fut ma déception quand il ne m'embrassa qu'au coin de la bouche. Je savais pourtant qu'il l'avait pas l'intention de céder, et ça me frustrait. Je ne savais pas ce qui l'empêchait de se laisser aller. Peut-être avait-il une copine? Dans ce cas-là, pourquoi continuait-il? Oh et puis, je m'en fichais pas mal qu'il en ait une ou non, du moment qu'il pouvait me divertir, c'était le principal. Ses caresses me fit frissonner, par contre, je ne compris absolument rien à ma vie quand soudain, il se détacha de moi. Quoi, il ne voulait plus jouer? Une moue boudeuse s'afficha de suite sur mon visage. Ah non, il n'avait pas le droit de me faire ça! « Huuum ... je n'ai pas dit que j'aimais, ni que je détestais ... » Sur le coup, je fronçais les sourcils. Ce n'était définitivement pas la réponse que j'attendais et ça me frustrait totalement. Tant pis, s'il ne voulait plus jouer, j'allais pas me gêner pour aller voir ailleurs. Il croyait quoi, qu'il serait le seul à pouvoir me distraire peut-être? Il glissa ensuite dans l'eau et je soupirais. C'était quoi son nouveau délire maintenant? C'est alors que je le sentis frôler mon corps de tout le long. What? Je croyais qu'il ne voulait plus jouer? Nonobstant, mon fort intérieur se mit à jouer le gigue en délire. Et voilà que maintenant, nous étions collés front contre front. « Je suis sur que tu rêves d'une chose que tu t'imagines obtenir de moi, là tout de suite, n'est-ce pas ? » Alors là, ce n'était plus du jeu. J'haussais les épaules. « P'têtre bien que oui, p'têtre bien que non. » Et à mon tour de me dégager en me déplaçant. Et je me défis de son étreinte. J'aimais peut-être joué mais je voyais bien que ça ne menait à rien. Et il m'avait chauffé tellement que je bouillonnais de l'intérieur, pire qu'un radiateur. Du coup, je n'avais vraiment qu'une envie, aller me défouler avec quelqu'un d'autre vu qu'il ne voulait pas.

Juliana, beauté fatale, amie fatale. Je la regardais de mes yeux de petits garçons qui voulaient profondèment l'avoir. En quelques longues minutes, tout avait changé, je devais l'avouer ; de simples provocations habituelles, je devenais beaucoup plus désireux de l'avoir dans mon lit pourtant je n'étais plus réellement seul et pourtant, elle ne le savait pas ... je pouvais faire quelques choses mais je devais pas ... oh grand nom ! j'aimais trop Eliah mais pourtant, mon objet disait bien son désir pour la belle blonde qui me faisait face et avec qui je jouais la repoussant presque autant que je jouais pour l'avoir. Elle semblait ne pas apprécier au bout d'un temps que je joue la girouette. Fronçant les sourcils face à mes déclarations étranges, je m'étais presque frotté lascivement contre elle avant de parler de choses sérieuses. Je la vis hausser les épaules puis s’éloigner de moi en me disant ; « P'têtre bien que oui, p'têtre bien que non. » Rien que cette réponse me fit bouillonner et m’excita plus encore. Je la bouffais des yeux pensant dans un coin de ma tête à ma princesse mais incapable de résister à son corps de rêve et aux appels que son pseudo refus faisait sur moi. Machinalement, je m'avançais vers elle, reprenant rapidement ma place à ses cotés pour l’empêcher de nous séparer de nouveau. Comme un spasme, je ne m'étais senti perdre le contrôle et hop, je l'emprisonnais entre mes bras, posant mes lèvres sur les siennes, violant l'entrée de sa bouche pour y fourrer ma langue d'un coup d'un seul sans demander son avis, sachant qu'elle n'y verrait surement aucun inconvénient. En l'embrassant pourtant alors que Jules montait bien haut dans mon boxer, je ne pouvais m’empêcher d'entendre raisonner dans ma tete : ELIAH. ELIAH. ELIAH. Plus de respiration, ma langue cherchait la sienne au plus vite comme un manque, une grande envie. Mes yeux se fermaient comme si je savais que c'était elle mais que je voulais la mélanger à ma belle Eliah pour me sentir moins coupable ; me cacher la vérité. Reprenant ma respiration seul u petit "hum" de plaisir sorti de ma bouche et je repris de plus belle avant de reculer comme reprenant mes esprits d'un coup. D'un air interrogatif, comme pommé ... je lui dit : Je n'aurais pas du hein ? Oui, un putain de pommé, c'est ce que j'étais.

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Malgré mon mouvement pour m'éloigner de lui, je remarquais toujours son regard noir rempli de désir à mon égard. Et mon égo était vraiment à son comble. J'aimais tout ça, ce jeu, savoir qu'un homme comme lui voulait m'avoir dans son lit. Parce que bon, Emrys n'était certainement pas l'homme le plus moche de toute la terre. Il était un winthrop aussi, un de ces hommes que toutes les filles voulaient avoir. Et lui, il me voulait. Je suis canon aussi, c'est normal. Nous étions beaux ensembles, mais bon, je ne voulais rien de plus avec lui de toute façon. Juste l'avoir dans mon tableau de chasse. Finalement, il revint face à moi et avant que je ne puisse dire un mot, il m'emprisonna dans ses bras et plaqua ses lèvres sur les miennes. Alors là, si je m'attendais à ça. Il venait totalement de céder à ses désirs d'homme et ma déesse intérieur était en train d'éclater de joie. Le baiser se fit rapidement fougueux, nos langues s'enroulant dans une danse endiablée. Je me collais à peu plus à lui, passant mes doigts dans ses cheveux, profitant de ce contact qui n'avais absolument rien d'innocent. Juste sauvage. Et à bout de souffle, il s'éloigna tandis que je rouvrais les yeux. Un soupir de plaisir mais aussi de frustration s'échappa de mes lèvres. Je voulais plus. « Je n'aurais pas du hein ? » Je lui jetais un regard interrogateur avant de me rapprocher doucement de lui, enroulant ensuite mes bras autour de sa nuque. Un sourire innocent s'afficha alors sur mes lèvres. « Pourquoi ça? » Et cette fois-ci, je fis le premier pas en venant plaquer mes lèvres sur les siennes.

Alors que nos corps se fondaient presque, se frottaient lègèrement l'un contre l'autre. Nos lèvres s'étaient collés pour un baiser interdit, un baiser non amoureux mais totalement ... sensuel. J'aimais cette bouche, j'aimais ce corps, mais pas cette fille d'un véritable amour pourtant je ressentais le besoin de saisir ma chance de lui offrir des baisers et pourquoi pas plus qu'un simple baiser sensuel pourquoi pas une nuit de plaisir mais c'était sans penser à ma belle avec qui rien n'était officiel pour la cause d'un simple homme ; un dénommé Humberto. Je devais rester célibataire aux yeux de tous pourtant je ne l'étais pas alors comment devais-je réagir ? ça me faisait perdre la boule pourtant je savais que j'aimais réellement Eliah mais j'étais un homme, un vrai, un de ceux qui sans etre en couple officiellement ne peuvent garder tous leur désir pour eux. Je liais ma langue à la sienne pour une danse fiévreuse, touchant son corps fin avec désir, perdant la tete plus encore à chaque instant avant de me séparer d'elle, pensant trop à ma femme. Je reculais, lui posant la question, perdue si c'était une erreur. Sa réponse fut simple : « Pourquoi ça? » Et cette fois, c'est elle qui plaqua ses lèvres sur les miennes mais je reculais de nouveau pourtant montrant à la jeune femme dans mon regard que mon désir était très fort pour elle : Je ... c'est rien d'officiel mais il y a cette fille avec qui je suis enfin Julia c'est compliqué ... j'ai envie de toi mais t'es mon amie, mon désir ... rien de plus et je veux pas aller au delà de notre jeu en te mentant ... ou quoi ! Aucun sentiment dans ma voix, juste un état de perdition.

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Je ne comprenais vraiment pas comment il pouvait me refuser. Je veux dire... Regardez-moi! Je suis parfaite! Mais non, il s'était encore reculé alors que j'avais posé mes lèvres sur les siennes. Il se jouait de moi et ça m'énervait. Je le voulais là, vraiment. Et savoir qu'il me résistait, même si ça me frustrait énormément, ça me donnait encore plus envie de donner du mien. « Je ... c'est rien d'officiel mais il y a cette fille avec qui je suis enfin Julia c'est compliqué ... j'ai envie de toi mais t'es mon amie, mon désir ... rien de plus et je veux pas aller au delà de notre jeu en te mentant ... ou quoi ! » Je levais les yeux au ciel. C'est donc ça, une autre fille. Il l'aimait. C'est pour ça. Je comprenais maintenant. Sinon, comment il pourrait me refuser? Mais moi, je me fichais pas mal qu'il en aime une autre. C'était pas comme si j'étais genre, totalement folle de lui. Non, je le voulais parce qu'il se refusait à moi. C'est simple, c'est toujours comme ça. On veut toujours ce qu'on n'a pas... « Je me fiche que t'aime une autre. Je vois pas pourquoi tu me dis que tu me mens, je me doute bien qu'il n'y a rien entre nous. Mais comme ça n'a rien d'officiel, pourquoi tu ne te laisses pas tenter? Elle aussi doit bien s'amuser à côté. Sinon, vous auriez déjà officialisé votre relation. » C'est vrai non? Il n'avait donc pas à regretter ou quoi. Allez, laisse-toi tenter. Je m'étais à nouveau rapprochée de lui au fur et à mesure de mes paroles, levant la main pour venir caresser ses épaules, son cou, son torse.

Un regard, je voyais Eliah ressentant un amour fou pour elle, second regard, je voyais mon amie Juliana, une amie proche que je désirais mais pour qui je n'avais pas de sentiment, qui ne signifierait rien si j'allais plus loin mais étais-je assez fort, assez mauvais pour oser faire ça à ma belle ? Je m'étais stoppée nette de peur de faire une connerie, de me rater, que Julia voit autre chose aussi, je me sentais perdue. Je l'avais repoussé d'un coup rapide. « Je me fiche que t'aime une autre. Je vois pas pourquoi tu me dis que tu me mens, je me doute bien qu'il n'y a rien entre nous. Mais comme ça n'a rien d'officiel, pourquoi tu ne te laisses pas tenter? Elle aussi doit bien s'amuser à côté. Sinon, vous auriez déjà officialisé votre relation. » J'écoutais ses paroles, regardant le flou, incapable de me décider, incapable de savoir. On parlait comme ça librement alors que nous nous trouvions dans un lieu public, sur qui était entrain de se vider donc dans un espace presque privé pour nous de la piscine mais c'était trop bizarre. Je tombais dans ses yeux, buvant ses paroles, regardant sa bouche, voulant croquer ses lèvres, un instant pour ressentir encore l'objet de son désir se dresser pour elle. Un désir charnel intense que j'aimais ressentir mais mon cœur m'en empêcher ; tirailler, oui je l'étais. Elle se rapprochait de nouveau mais je ne trouvais plus la force de la pousser, je touchais de nouveau sa taille ; la serrant presque inconsciemment avec une douceur sensuelle. Je l'attirais en dehors de la piscine par le premier escalier, tirant son poignet, ne voulant toucher sa main, inconsciemment voyant cela comme un signe trop grand, trop loin ... trop tout. Je la tirais vers un endroit plus intimiste du lieu, toujours dans l'enceinte de la piscine privé de notre hôtel et je la collais contre le mur, embrassant son cou avec fougue, me laissant tenter à gouter sa peau. Je susurais à son oreille, essoufflé de désir : J'ai tellement envie de toi et ... Elle ... mais je ne continuais pas,emprisonnant ses lèvres en un simple instant pour lier nos langues pour une seule danse. Pendant ce temps, ma main glissait le long de son corps avec envie et un grand talent jusqu'à son bas ventre sur lequel je laissais mes doigts vagabonder en un petit effleurement doux, attendant qu'elle m'aide à ne plus faire l'enfant, à ne plus avoir peur de trahir celle qui était ma potentielle petite amie.

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