Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityELYS ◭ « you're the woman of my life but i'm too proud to say i love you »
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


ELYS ◭ « you're the woman of my life but i'm too proud to say i love you »

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Eliah & Emrys

Une après-midi à la plage de la ville qui était censée être un moment drôle, de drague en solitaire mais pourtant, presque totalement naze du coté drague à cause d'une petite chipie nommée Natalina. Néanmoins, je devais dire que c'était chou quand on comprends pourquoi elle fait ça mais surtout, heureusement qu'elle l'a fait parce que franchement, à part faire ça pour oublier Eliah et nier l'évidence, ça me servait à quoi de draguer toutes les nanas de la plage ... Bizarrement, je suis partagé sur les effets de l'arrivée de la petite brunette pour gâcher mon coup tout à l'heure. Je marche tranquillement vers l’hôtel et pénètre dans le hall. Je passe devant la réception et tourne vers les ascenseurs, il y a peu de gens ce qui n'est pas étonnant car il n'est pas tard mais je suis un peu trop tourmenté pour rester sur la plage alors j'attends l’ascenseur, histoire de rentrer me foutre sur la terrasse et me bloquer dans mes noires pensées. Soudain, je sens une présence à mes cotés et un regard noir se poser sur moi, c'est elle ... Eliah. Faut il être aussi cruel avec moi, là-haut ? Pourquoi la foutre là, maintenant ... à mes cotés ? Je me racle la gorge. Je ne sais pas quoi faire alors pour le moment, je ne bouge pas mais ces regards me troublent. On monte alors dans l’ascenseur.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le destin. Cette force qui fait parfois très bien les choses mais parfois qui s'acharne sans savoir pourquoi.Voilà la pensée qui lui vint à l'esprit quand ,lorsqu'elle arriva à hauteur des ascenseurs , elle se retrouva à côté de la personne qu'elle voulait à tout prix ne pas croiser ou ne pas voir de tout le Summer Camp.C'était les vacances et les vacances sont faites pour oublier tout ce qui nous prend la tête pendant l'année , oublier tous nos problèmes ... Enfin normalement , parce que ses problèmes, elle avait du mal à les oublier en ce moment et ça n'allait pas s'arranger si le destin lui rappelait la cause de ses problèmes : l'homme de sa vie Emrys. Jamais elle n'aurait pensé pouvoir aimer et détester un homme à tel point et vivre ces deux émotions contradictoires en même temps. Elle l'aimait, ça elle en était sûre et certaine : il n'y avait que lui , rien que lui , toujours que lui dans son coeur et dans ses pensées et tout ce qu'elle voulait, c'était retrouver l'homme dont elle était tombée amoureuse , retrouver leur complicité , retrouver leurs moments de tendresse, ressentir à nouveau ses mains sur son corps ... Ce qu'elle se demandait c'était où était passé l'homme qui savait mieux que personne la rassurer et lui donner confiance en elle ? Où était passé l'estime et le respect qu'ils avaient l'un pour l'autre ? Mais de l'autre, elle le détestait.Oui, le détester.Le détester de la faire souffrir comme cela et de finalement jouer avec elle. Ce que pourtant lui lui reprochait. Tout ce qu'elle voulait c'était lui péter la gueule et ne plus jamais le revoir de sa vie. Vraiment. Parce que à chaque fois, elle ressortait énervée et blessée de leurs conversations.Alors comme ça, elle était fausse ... Si c'était ce qu'il pensait alors c'était ce qu'elle allait être au moins comme cela, il n'aurait pas tort. Entendre ces quelques mots lui avait brisé le cœur au point de se remettre en question et de douter d'elle même : était elle si fausse que cela ? Mais, toutes ces interrogations et cette blessure, elle allait devoir les masquer derrière une armure d'orgueil et de froideur pendant quelques instants. Car , si elle avait bien pensé à faire demi-tour, prendre les escaliers ou attendre le prochain ascenseur , il était au final hors de question de changer ses plans pour lui.Pourquoi le ferait-elle ? Elle n'avait rien à se reprocher. La tête haute sans même daigner lui accorder un regard – ou alors juste des regards assassins et méprisants , voire hautains - , elle monta dans l'ascenseur le bousculant en le faisant bien sûr exprès au passage pour faire son chemin jusqu'au fond de l'ascenseur où elle s'adossa contre la paroi bien décidée à laisser régner le silence.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le silence glace tous notre environnement comme peu à peu, il atteint mon corps, refroidissant chacun de mes membres pourtant je ne veux pas que ça arrive mais la voir, me regarder ainsi me tue, me fait mal, me pétrifie. Je tente de résister à un énervement et ce n'est pas dur car au fond, je sais que j'ai tord, que j'ai été horrible et que m'énerver ne ferait qu'aggraver la situation. Je ne suis pas dans la meilleure des positions et cette fois, le mauvais, c'est moi. Je la regarde du coin de l’œil, elle tente surement de me tuer de ses yeux qui me regardent comme si j'étais un meurtrier, un assassin, un voleur venu la cambrioler et ayant ouvert son enveloppe charnel pour lui briser son cœur. Je savais maintenant, depuis notre dernière dispute, que j'avais la possibilité de l'avoir mais ma peur m'avait fait refusé, lui faire croire que je ne l'aimais pas, que je ne voulais pas d'elle alors qu'en fait, j'étais juste apeuré et trop fier. Je sentais la froideur du silence parcourir mes veines puis venir froler mon cœur avant de le serrer. Un souffle qui faisait mourir mon cœur peu à peu et son regard m'envoyait comme des tirs en plein dans la poitrine. Ça me tuait de la voir me regarder ainsi et elle semblait bien décider à ne pas me parler, à rester coller contre la paroi de l’ascenseur sans bouger, seulement en me brulant de son regard de feu. Je la regardais toujours, très discrètement, tentant de ne rien laisser paraitre, qu'elle s'imagine que moi aussi je l'ignorais. C'était incroyable comment l'attente pouvait etre longue pour qu'il démarre et le pire c'est que cet hôtel ne manquait pas d'étage et pour le confort il allait doucement pour ne pas brusquer ces passagers. Je reluquais ces jambes si longues et fines, ses hanches si bien marquées, son ventre plat, ses courbes si parfaites, son cou que je voulais embrasser, son bouche sur laquelle je voulais poser mes lèvres, son menton et son nez si bien dessinée et ses yeux laissant apparaitre toute sa bonté, un miroir dans lequel j'apprenais à me voir meilleur pourtant aujourd'hui, je ne pouvais plus voir que la haine qu'elle éprouvait pour moi dans cette lueur qu'habituellement, j'aurai pu aimer. Alors comme un automatisme, je me jetais à l'eau tant ça me faisait pleurer de l'intérieur et je la plaquais contre la paroi, posant mes lèvres contre les siennes pour lui offrir un baiser comme je ne lui en avais presque jamais donné, montrant toute la force de mes sentiments, de mon manque ... de mon amour et dans un souffle, quand j'enlevais mes lèvres de siennes, je murmurais ; Je suis désolé ... tellement désolé ! La voix brisée par la honte que j'éprouvais face à mon comportement mais aussi, à l'émotion que son baise me faisait éprouver. Tant de choses s'étaient produite en à peine une minute, lorsque mes lèvres avaient touchées les siennes : J'avais repris vie !

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Honnêtement, il pensait quoi ? Qu'elle allait l'accueillir avec un grand sourire comme si de rien n'était , comme si ils étaient les meilleurs amis du monde ? Non mais allo quoi ? Non, il méritait que ce silence pesant et ses regards assassins (qui quand ils glissaient sur son corps si sexy -qui lui avait appartenu et qu'aucune autre fille qu'elle n'avait le droit d'approcher - devenaient plus tendres. Quoi ? Y'a pas que les mecs qui ont le droit de mater ?!) . Elle ne voulait surtout pas à avoir à croiser son regard. Et il n'avait surtout pas intérêt à la regarder ou à parler. Oui, elle était d'humeur massacrante.Et si il se mettait à parler, c'était décidé : elle le couperait tout de suite parce que parler, c'était impossible , ils avaient déjà essayé et à chaque fois, ça empirait la situation.De toutes façons , comme il lui a répété plusieurs fois qu'il n'en avait plus rien à faire d'elle , cette mauvaise ambiance tendue ne devait pas l'affecter plus cela. De toutes façons, elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait lui offrir de plus. Elle avait encore en travers ses paroles blessantes , des paroles qui se répétaient sans cesse dans sa tête et qui à chaque fois lui briser le cœur et ses espoirs. Elle avait bien compris ce qu'il lui a dit la dernière fois : elle aurait beau se justifier toute sa vie, lui demander pardon encore et encore , il ne la croirait jamais. Alors à quoi bon se battre contre une peine perdue d'avance ? Elle n'irait pas jusqu'à dire que cette situation lui faisait plaisir. Bien au contraire ... Elle regrettait qu'ils en soient arrivés à ce point là tous les deux. Comment avaient-ils pu laisser leur estime descendre aussi bas après s'être aimé aussi fort ? Une réponse : leur orgueil ! Putain d'orgueil ! Elle savait que ça ne tenait qu'à rien et pourtant, elle ne voulait plus à avoir à faire le premier pas ... et comme lui de toutes façons ne voulait plus rien avec elle. Alors que l'espoir était au plus bas -et qu'elle ne s'y attendait pas mais alors pas du tout - , ses lèvres viennent se plaquer contre les siennes. Et comment dire ce qu'elle ressentit pendant cette minute , pendant ce baiser ?  Un baiser digne d'une scène mythique et romantique du cinéma. C'était comme si le temps s'était arrêté l'espace d'un instant , tout comme son cœur et ses pensées. En un simple baiser, il s'était emparé de son cœur, de son corps et de tout son être. Sentir ses lèvres contre les siennes. Mon dieu ce qu'elle avait attendu ce moment ! Ce moment de vérité car elle y trouva la réponse qu'elle cherchait depuis longtemps : il l'aimait toujours. N'est-ce-pas qu'il l'aimait toujours ?! Car avec la fin de ce baiser était arrivé le temps des questions et à nouveau le temps du doute. C'était quoi ça ? Une pulsion ? Il était désolé. Désolé de l'avoir embrassé ? Désolé de l'avoir blessé ? Elle le connaissait tellement – enfin à une époque elle aurait pu prétendre – le connaître tellement bien pour savoir que ce simple mot lui coutait ... Merde reprend toi, tu es une Caldeira. Ça ne peut pas être aussi facile. Elle hésitait entre le gifler ou l'embrasser à nouveau pour ressentir à nouveau ce qu'elle venait de ressentir ... « Joue pas avec moi Emrys » murmura-t-elle comme un avertissement, comme une menace , son regard planté dans le sien ne voulant pas briser ce lien qui semblait si fort et si fragile à la fois alors qu'ils étaient encore si proches l'un de l'autre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais eu cette pulsion non regrettée pourtant car oui, je voulais le faire. Mon corps avait bien réagi face aux troubles que ses regards assassins faisaient sur moi. Je ne pouvais pas supporter d'avoir un si négatif regard sur moi venant de sa part, les autres, je m'en fichais, c'était rare quand je me préoccupais de l'avis des gens, mais le sien m'importait beaucoup trop ... Du coup, la seule solution que j'avais trouvé au delà des mots, c'était d’emprisonner ses lèvres avant de tenter, de me forcer à me faire violence pour m'excuser. Bien sur, elle le prit directement mal, ne comprenant pas, ne voulant pas y croire et je me sentais désolé presque comme un petit garçon déçu qu'on ne le croit pas mais je ne pouvais lui reprocher car quelques temps avant, c'était moi qui ne l'avait pas cru et j'étais meme allé tellement loin que ces regards avaient été noir comme jamais, me brisant le cœur. Elle s'était directement exclamé que je ne devais pas jouer avec elle et je me reculais légèrement pour plonger mes yeux dans le siens, tentant de me mettre dans la bonne configuration, celle du Emrys qui sait quand il ne faut pas reculer, ne pas faire le con meme si j'étais tiraillé et que ça me faisait autant mal de reculer que de faire un pas vers elle car mon amour était presque aussi fort que pouvait être mon orgueil ou mon refus d’être vulnérable pourtant en cet instant, je sentis son effet sur moi plus fort que tout, mon amour trop grand et je rangeais ma fierté, reprenant tout de suite, ne la lâchant pas des yeux, ma main attrapant la sienne avec poigne pour qu'elle ne puisse se séparer de moi : Je ne joue pas ! C'est dur à croire pour toi, mais je ne joue pas, je ne joue plus ... Je baissais la tête, honteux mais ma voix était douce, on aurait presque dit un film à l'eau de rose ; Tu ne devrais meme pas être étonné Eliah ... si j'ai été un sale con l'autre fois, c'est juste parce que ... ouais je suis un con qui a peur, qui s'la joue à la Darcy et toi, tu es mon Élisabeth Bennet ... J'avais légèrement souris et levais les yeux face à la débilité de ma phrase pourtant je savais que son coté fleure bleu allait lui faire aimer ma comparaison, ce clin d’œil à un tel chef d’œuvre, c'est vrai que nous étions un peu Darcy & Bennett sauf que je n'étais pas officiellement riche. Mon cœur battait pour elle plus fort que tout pourtant j'avais peur, je n'osais pas, j'avais peur de me livrer, d'oser avouer que je l'aimais à en crever et que si elle y consentait, je finirais ma vie dans ses bras depuis le premier jour où mes mains l'ont touchés, où mes yeux l'ont caressés de la tête aux pieds ...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bien sûr qu'elle était étonnée , elle ne s'attendait pas à cela , à ce qu'il lui ouvre son coeur alors qu'encore la dernière fois, il ne lui avait laissé aucun espoir. Elle pensait juste que ce moment n'arriverait jamais.Il ne jouait pas avec elle.Non , ce n'était pas dur à croire ... Enfin si ... Enfin non. Pourquoi le ferait-il ? Son coeur ne doutait pas de sa sincérité parce qu'elle le lisait dans son regard, dans ses yeux qui ne le lâchaient pas. Il était sincère.Si elle n'écoutait que son coeur, elle pardonnerait tout rien que grâce à ce regard. Un regard qui pour une fois dans lequel elle n'avait pas l'impression de voir refleter la haine mais au contraire l'amour , tout ce qu'il ressentait pour elle.Elle aurait pu se défaire de son emprise et pourtant, elle ne fît rien : elle se faisait prisonnière volontaire.Mais, voilà , la petite voix dans sa tête qu'on appelle la raison l'appelait à la prudence , à se protéger ,  protéger son coeur et ne pas se lancer à corps perdu dans quelque chose dont elle ne savait pas où ça les mènerait. Elle avait toujours été une femme de raison plus qu'une femme qui se laisse aller aux appels de son coeur. Mais là , face à l'homme qu'elle aimait et qu'elle croyait avoir perdu à tout jamais, elle ne savait pas qui écouter entre son coeur et sa raison. Tout était différent ... Alors qu'elle avait toujours été dans le contrôle d'elle-même , à la simple référence à Orgueil et Préjugés – un livre qu'elle avait lu et relu - elle ne put s'empêcher de retenir un petit rire , sa tête venant se caler impulsivement , le temps d'un instant,contre son torse avant de reculer, laissant apparaître l'esquisse d'un sourire qui se dessina spontanément sur son visage et brisa aussitôt cette  carapace de froideur quand leurs yeux se croisèrent à nouveau « J'ai toujours été plus Bridget Jones que Elisabeth Bennett » La version moderne d'Orgueil et Préjugés. Et dans les faits, c'était vrai. Les situations sociales inversées. La comparaison avec Darcy était plutôt juste , il avait une personnalité aussi complexe que Darcy. Une complexité qui énervait par moment mais en même temps, l'avait toujours intrigué et même attiré.Mais, tant mieux, elle avait toujours aimé les choses compliquées , les défis ... Son regard s'était fait sans le vouloir plus doux, plus tendre ce qui contrastait bien avec les regards noirs forcés qu'elle avait pu lui lancer.« Peur de ? » Elle avait envie, besoin de l'entendre , juste le laisser parler pour une fois.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je la sentais dans le doute, pourtant si accroché à mon regard. C'était étrange mais à la fois, je la sentais prête à me pardonner comme à me claquer pourtant elle avait dans un premier temps caler sa tête contre mon torse, puis se reculant après ma remarque sur le célèbre roman, elle s'était reculé pour m'offrir un sourire qui avait relevé mon cœur encore un peu en un rayon de joie. J'eus un léger rire bien timide car j'étais bien trop honteux pour me lâcher lorsqu'elle m'annonça qu'elle s'était toujours plus vu Bridget Jones que Elizabeth Bennet. Je baissais la tête à nouveau, sentant que j'allais devoir rester dans les instants confidences pour qu'elle me fasse confiance, me pardonne et que je me devais de faire un effort, si je la voulais, si je voulais que la femme de ma vie, le reste car au fond de moi, je le sentais ; sans elle, ma vie n'était plus possible ! Néanmoins, comme pour m'encourager, ces regards noirs furent très vite contrastés par de regard très doux qui me firent osés de relever le regard mais je n'étais pas plus fière pour autant surtout qu'elle appuya sur le mot peur me demandant des explications, ce qui me rendait tout timide encore plus parce que je savais que j'allais devoir me bouger et ça me coutait. Je gardais une once de fierté en facade, on pensait que c'était toujours le Emrys à la Darcy en façade mais à l'intérieur, je tremblais carrément de devoir parler de ce que je pensais, de mon ressenti, de mes sentiments. Prenant une profonde respiration, je reprenais d'une voix simple mais légèrement brisé par moment par le stresse ; Je ne veux pas souffrir, ça fait quelques temps voir quelques années enfin depuis qu'on est plus ensemble que je refuse de souffrir comme j'ai souffert lorsque tu m'as quitté ... Je baissais de nouveau la tête, car oui, j'avoue me sentir si vulnérable, ça me faisait limite mal, je détestais ça bien qu'on me disait qu'il fallait parfois l’être, c'était naturel ... j'en étais incapable enfin je le pensais, ce qu'on pouvait dire de sur ; incapable de le supporter réellement mais l’être oui car ici, je l'étais : Je t'aime Eliah ... mais j'ai peur de pas être fait pour toi, de souffrir et de te faire souffrir cette fois car ça m'a changé ... je n'étais pas bien formidable mais je pense que je suis devenu pire ... J'avais envie de pleurer, comme un petit garçon,mais je gardais tout et je le cachais au mieux, je n'avais meme pas pu lever les yeux pour lui dire je t'aime tant j'étais mal.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il lui ouvrait enfin son cœur. Avec toujours son petit côté à la Darcy qu'elle détestait autant qu'elle adorait,c'est vrai. Si fort, si fier mais si vulnérable à la fois.Quand elle était tombée amoureuse de lui, c'était aussi bien pour ses défauts que ses qualités.C'était pour tout ce qu'il était.Il lui disait enfin ce qu'elle avait besoin d'entendre. Besoin pour pouvoir espérer à nouveau et pour pouvoir croire à nouveau que rien n'était perdu entre eux.Ce qu'elle lui demandait,elle se doutait et sentait que ça n'était pas évident , voire contre-nature de sa part et elle lui était reconnaissante pour tous les efforts qu'il faisait pour elle. Depuis le jour où elle l'avait quitté,elle ne pensait pas que ce moment puisse arriver un jour. Même si au fond d'elle, si elle se fiait uniquement à son cœur, elle savait. Elle savait que c'était lui , qu'il n'y avait que lui et qu'il n'y aurait que lui. Surtout,elle ne voulait que lui.Lui pour tout le reste de sa vie.Contrairement à ce qu'il affirmait -et à ce que son père affirmait-, il était celui qu'il lui fallait. Maintenant,elle le savait,elle en était sûre. C'est quand on perd quelque chose de précieux qu'on se rend compte de l'importance qu'il a dans notre vie. Il lui avait fallu passer par ce sentiment de perte pour comprendre à quel point elle tenait à lui.Depuis quelques jours, elle était sûre de ce qu'elle ressentait.Il lui rappela à nouveau qu'il avait souffert de son départ. Chaque fois qu'elle entendait cela, elle ressentait la culpabilité accompagnée des regrets et presque de la honte de ne pas avoir su suivre la bonne décision il y a deux ans,d'avoir laissé la situation se détériorer ainsi sans rien faire. Ouai, ça, elle n'en était pas fière.Mais,ce je t'aime, rien que ces trois mots, sept lettres suffirent à lui renverser le coeur.Comme si elle s'était arrêtée de penser , arrêtée à ces quelques mots si magiques, si précieux surtout sortis de sa bouche que jamais elle n'aurait cru pouvoir entendre.Comme voulant immortaliser ce moment dans sa mémoire et prenant le temps de réaliser que tout cela n'était pas un rêve; que cette fois-ci c'était la réalité ... Elle ne put empêcher ce sourire qui s'esquissait sur son visage à chacune de ses paroles, à chaque mot prononcé alors qu'elle retenait ses larmes d'émotion. S'avançant vers lui,sa main vint caresser son visage relevant son regard vers le sien  « Non , je t'interdis de penser cela » Elle ne pouvait pas le laisser dire cela de lui parce qu'intérieurement, elle savait que c'était faux. «Je suis prête à prendre le risque de souffrir car je sais maintenant que tu es celui qu'il me faut , celui que j'aime et toujours aimé. Et l'homme que j'aime ne peut être que formidable à mes yeux »  Bizarrement, sa voix était si douce, si posée, si sûre de ce qu'elle affirmait.«Et puis je suis pas parfaite non plus. Entre toi et moi, c'est plus à moi de te demander pardon »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Incapable de lever les yeux vers elle tant j'avais honte d’être si vulnérable et si mal de dire ce genre de chose comme ça d'un coup. ça me rendait si étrange ! Je la regardais discrètement, du coin de l’œil : sa beauté m'éblouissait. Face à mes paroles, ma belle, mon Elizabeth se mit à sourire et m'en décrocha un par le soleil que son sourire pouvait être. J'avoue que j'étais incapable de lui résister et ma déclaration n'avait rien arrangé : je me sentais irrévocablement attachée, incapable de repartir sans avoir dit qu'elle était à moi, ma copine à moi, ma femme à moi, ma petite amie en somme à nouveau. Soudain, ses mains relevèrent ma tête, elle caressait ma joue, me regardant de ses yeux de biche. Elle ne voulait pas que je pense des choses négatives sur moi et arrivait limite à me faire rougir en me disant ça avec tant de tendresse. Mon cœur battait comme jamais, je me sentais comme une fille. Comme pour reprendre de la contenance, je toussais légèrement, raclant ma gorge et me remettant bien droit, profitant tout de meme du contact de sa main contre ma peau tandis qu'elle continuait à parler, d'une voix douce, elle déclarait elle aussi sa flamme. Les yeux rond, j'écoutais ça, n'arrivant presque pas à croire ce que j'entendais ; j'étais son homme, celui qu'elle aimait, qu'elle avait aimé et qu'elle voulait aimé quitte à souffrir. Je crois que l'on aurait presque pu me prendre pour un poisson vu mon expression d'étonnement. Je n'osais pas reprendre la parole, j'écoutais simplement sa voix douce me parlait, m'enivrait peu à peu. Elle se disait imparfaite et faisait à son tour un repenti, j'eus un sourire timide, nous trouvant aussi pathétique l'un que l'autre bien que les choses me faisaient sourire. Je reprenais, posant une main dans son cou avant de caresser sa cheveulure pour l'embrasser de nouveau. Touchant ses lèvres, je me sentais trembler d'amour. Liant mes lèvres aux siennes, je passais la barrière pour que nos langues se rejoignent et partent dans une danse endiablée pourtant je l'écourtais, séparant simplement nos lèvres, collant nos fronts l'un contre l'autre, parlant doucement : Je t'aime tellement ... pourtant, j'en suis désolé mais je ne veux pas te partager avec ce mec, Eliah ! Je me reculais alors d'elle. Fixés dans notre monde, nous n'avions meme pas remarqué que l'ascenceur était arrivé à l'étage demandé et comme personne n'était monté, il était très vite reparti à celui du dessus où je devais m’arrêter, moi. Je sortais de l’ascenseur, attendant qu'elle me suive ou parte après cette phrase ; j'avais besoin d'explication, de comprendre pour savoir ce que nous étions à présent. Je veux être avec toi ! J'avais dit cela de l'extérieur de ascenseur tandis que la jeune femme de mes rêves était encore dans la cage argenté surement déboussolé, un peu comme moi, face à ce baiser si vite écourté par mon pessimisme.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une ado qui vit son premier amour. Perdue entre timidité , passion et maturité à la fois.Timidité due à la situation qui les poussait à dévoiler leurs sentiments. Passion parce que ça a toujours été passionnel entre eux (la force de leurs sentiments et de leurs disputes en témoigne) .Maturité parce qu'elle était sûre de ce qu'elle ressentait et pour une fois de ce qu'elle voulait : récupérer ce qui lui avait appartenu ,  ce qu'elle avait perdu , ce qu'elle n'avait jamais voulu/pu remplacer parce que unique et irremplaçable et que maintenant qu'elle l'avait retrouvé, le garder précieusement près d'elle pour ne plus jamais avoir à le perdre. Voilà comment elle se sentait. Et autant dire que ouai, elle se trouvait ... pathétique, ridicule. C'était exactement le mot.Tout cela , tous ces mots, se dévoiler ainsi , ce n'était tellement tout simplement pas eux , ils n'avaient jamais été ce genre de couple. Et pourtant, entendre ces précieux mots la remplissaient de bonheur.C'était donc ça le bonheur , aimer ?Elle pourrait passer le reste de sa vie à les entendre et même à les répéter tellement tout lui semblait être une évidence maintenant. Chacun de ses sourires, même timides, était une victoire , lui qui se défendait sous son armure d'arrogance , d'orgueil ... Être dans ses bras , sentir son regard posé sur elle et ses baisers dont elle ne se lasserait jamais... C'était tout ce qu'elle voulait.Etre avec lui. Juste cela.Bien sûr qu'elle voulait être avec lui.C'était comme un rêve . Un magnifique rêve où tout était trop parfait. Et tout rêve a son réveil.Parfois un réveil brutal. La réalité finit toujours par vous rattraper et compliquer les choses qui paraissaient si simples , si faciles en rêve et surtout si ils n'étaient que tous les deux.D'ailleurs, il lui fallu un petit moment de réflexion avant de comprendre où il voulait en venir et de réagir à son tour redoublant à son tour de pessimisme « C'est là le moment où tu vas me dire que tu me détestes ... » alors qu'elle s'avançait vers lui , hésitante car craignant sa réaction mais en même temps, avec cette volonté de le rassurer sur la sincérité de ses sentiments « Je t'aime et je veux être avec toi , n'en doute jamais mais ... » Oui le mais fatidique tombe toujours. Mais en même temps, elle ne se voyait pas continuer à lui cacher la vérité. Si ils devaient repartir sur des bases saines, elle lui devait des explications. Les explications qu'elle s'était refusée à lui donner la dernière fois.Elle baissa les yeux un instant avant de replonger son regard dans le sien, prenant le temps de chercher les mots les plus appropriés pour définir la situation , situation qu'elle avait du mal à définir : « Quand je te disais que c'était pas ce que tu croyais avec Humberto , c'était vrai ... Enfin je veux dire entre lui et moi, y'a rien.C'est un ami qui a besoin de moi et  à qui je rends un petit service»  Si on peut appeler ça comme cela.« Mais, je te promets que c'est juste une question de temps ». Elle se rendait tout à fait compte que ce qu'elle lui demandait , accepter de la voir s'afficher avec un autre , était complément fou. D'ailleurs, elle ne savait pas si elle serait capable d'en faire autant. Qui accepterait cela , même par amour ... « Et j'ai toujours aimé la clandestinité » chuchotant à son oreille , son ton se faisant plus séductrice prenant sa main l'attirant vers elle. Un moyen d'échapper aux explications ? Oui , c'est vrai.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)