(TG DUDLEY) - ravenwood haunted maze

@Lena Castiglia se décide de passer devant vous accompagnée de ses deux acolytes. Tu fronces les sourcils quand elle passe devant toi sans un regard. T’as pas le temps de pester intérieurement que @Belle Perry apparaît à tes côtés. Elle passe devant toi et ni une, ni deux tu la rattrapes ; —  Déclare les bonbons, Mercredi. Sans gêne, tu piques quelques bonbons moelleux de sa main que tu fourres dans ta bouche. Les orbes qui ne se décollent pas de la main de @Baer Sadler et celle de Lena entrelacées, tu attrapes @Belle Perry par le bras en disant :  —  Viens on avance Avec l'intention de briser la chaîne en poussant Belle entre Lena et Baer.  — Y'a une citation italienne qui dit Sei abbastanza grande perché ti tengano per mano. Toises Lena avant de regarder droit devant toi : — Ça veut dire tous les chemins mènent à Rome en gros. Tu sursautes légèrement en voyant une petite ombre passer à toute vitesse devant toi, disparaissant presque aussitôt dans les hautes herbes — J'ai rêvé où y'a un gros truc noir qui vient d'passer à la vitesse de l'éclair là ? Trop gros pour être une souris, probablement un rat.

Trad italienne : Tu es assez grande pour qu'on te tienne la main.
Emplacement : Dans le labyrinthe avec le petit groupe.
Résumé : Amore avance avec le groupe, Attrape Belle par le bras pour la placer entre Baer & Lena et continue d'explorer les champs.

In

parmi les retardataires, les phares de ta voiture qui s’éteignent en se rangeant en seconde file. recherches des billes des têtes familières sans grand succès, préférant aussitôt s’enfoncer dans les champs aussi terrifiants puissent-ils être. mais le gosier sec se fait bien trop vite ressentir sans rien avoir sous la main ; au travers du labyrinthe tu t’avances, trouvant cette victime parfaite de ta sauvagerie puisque de la bouteille dans ses mains tu t’empares en poussant un cri pour l’effrayer, le sourire provocateur aussitôt plaqué sur le visage.

emplacement : labyrinthe
résumé : anthea crie sur un camarade pour l'effrayer en tentant d'attraper la bouteille qu'il tient dans sa main avant de mourir de soif

Charles se hâte sur la route, il a changé de costume deux fois avant de choisir le bon. D'abord il s'est déguisé en vampire, mais finalement il a enlevé la cape, puis devant le miroir, il manquait quelque chose.. Alors il s'est changé non pas en chauve-souris mais il a enfilé le costume d'Alex dans la série Buffy Contre les Vampires, militaire, il a juste laissé son maquillage de vampire, ça lui donne un petit style bien particulier. Charles s'est dépêché, il a garé sa voiture comme tout le monde, laissant les feux de position. Peu de personnes sont encore rassemblés devant l'entrée, s'il y avait eu un feu de camp pour sûr il y aurait plus de monde. Il rencontrera bien quelqu'un en route, se dit-il en entrant dans labyrinthe. Le Branson attrape à l'entrée une bouteille d'eau de vie au sirop d'étable et s'avance entre les feuilles de maïs. Il a le temps de boire quelques gorgées seulement lorsque soudain un cri ressemblant à celui d'un écureuil, une demoiselle (@Anthea Oppenheimer), lui attrape la bouteille et le regarde, sourire provocateur. "Hey ma bouteille !", qu'il dit n'ayant pas eu peur, plutôt dégouté de ne plus avoir à boire, mais une idée lui vient : "On la partage ? Et on partage la route ?" Propose lui de partager ton lit aussi, tiens.


Emplacement : dans le labyrinthe
Résumé : Charles est entré dans le labyrinthe seul avec une bouteille. Anthea arrive et la lui prend.

confiance proche de zéro. regard furibond préférant se concentrer sur les reproches qu'il allait faire à @Lena Castiglia plus tôt que l'environnement qui l'entourait. si tu gagnes cent dollars c'est pour nous trois que baer maugrée dans sa barbe en lançant un regard à la stalkeuse aka @Amy Rockefeller qui semblait complètement aligné avec lui. tout ça était une mauvaise idée. il parait que toute bonne idée commençait avec une mauvaise idée, mais là ça semblait juste être une extrème mauvaise idée. en plus amy avait raison avec les cris que tous ses camarades faisaient ça rendait la situation encore plus flippante. entendant des voix derrière lui le gamin retournait son visage pour voir @Amore Morelli et @Belle Perry leur coller au cul. ça rendait ses chances de survis plus grand alleluia. se faisant écarter de lena par belle. opales qui semblaient encore plus effrayer quand amore expliquait qu'il a vu un truc passer. putain on va tous mourir voilà; moi j'dis que c'était juste ton imagination qu'il répondait point convaincu. voilà maintenant il voulait tenir la main de quelqu'un parce que les doigts de lena commençait à lui manquer. et dire que @Nour Sharp lui avait dit qu'elle était douée pour ça, elle n'était même pas avec lui.

emplacement : dans le labyrinthe
résumé : avec amore, belle, lena, et amy. un truc vient de passer à coté deux. baer panique et veut qu'on lui tienne sa putain de main. (merci amore krkr)

quelques pas dans le labyrinthe que @belle Perry venait nous rejoindre. sourire à la pique balancée par la co capitaine des cheers. - le costume c’est juste pour pecho. réplique balancée à la volée. l’regard qui s’attarde quelques secondes sur @amore morelli . assez entouré pour pas flipper. lève les yeux au ciel dans un soupir, les azurs qui retombent sur @baer Sadler qui balance les diagnostiques. [color=‎ =  justement. j’vais te balancer le premier, comme ça j’aurais l’appart pour moi toute seule.[/color] serre un peu plus fort la main de mon coloc. celui que j’ai aucune envie de changer dans l’fond. tourne la tête pour regarder en arrière avant de me recentrer sur @amy rockefeller . - j’crois qu’ils vont tous faire la même blague.. autant s’y habituer. aux cris. aux bruits qui sortent de nul part. les doigts qui se délient de baer par la silhouette poussée de belle. amore derrière, capte l’italien qui coule en venin de ses lèvres. jalousie qui fait doucement sourire. les orbes qui glissent sur la silhouette de dos. - fais gaffe belle.. à tout moment il peut te laisser en plan et partir en courant. pas assez fiable. le pique caché sous l’ironie. - tu rêves. j’vais me payer un vrai McDo avec ta part. répondu à @baer sadler qui réclame son dû. - reviens, j’suis en manque de chaleur humaine et t’es trop loin. reprends le pique de début de soirée.

le démon ici, c’est toi. l’assèchement bucal qui éveille ton esprit de survie pour s’emparer à la volée de cette bouteille pourtant déjà dans les mains d’un autre (@charles branson). le sourire provocateur que tu revêts pour lui mettre le seum, finalement surprise qu’il s’énerve pas. t’hausses les épaules nonchalamment, t’occupant d’abord de t’enfiler une bonne gorgée avant de répondre : « vas-y. mais si t’en bois plus que moi, j’te casse les dents. » la menace lancée avec le sourire. « si t’hurles comme une fillette, j’te jette aux loups par contre, j’te préviens. » rien que ça, ouais.

emplacement : labyrinthe
résumé : vole la bouteille de charles, accepte sa proposition et le menace

Charles se rend compte qu'il a beau être à la Dudley depuis un moment, il ne connait pas tant que ça les membres de sa confrérie.. À part @Astra Rothschild (simplement parce qu'ils sont liés) et @Scott Guerin.. il a récemment matché avec des nanas qui sont elles aussi à la Dudley mais à part ça.. il ne s'est jamais réellement mélangé et il faut que ça change. En commençant avec la voleuse de bouteille (@Anthea Oppenheimer), rentrant dans le jeu de la demoiselle il lui lâche "Si tu me casses les dents, j'te rase la tête." Charles sait ô combien les cheveux féminins sont précieux, mais c'est de l'humour bien sûr et il accompagne ses dires par un sourire. Sourire qui se transforme en rire lorsqu'elle émet l'idée qu'il puisse avoir peur. "Moi ? Hurler comme une fillette ? C'est plutôt toi qui risque de crier oui !" Reprend la bouteille et boit de nouveau une gorgée avant d'ajouter "Au fait, moi c'est Charles." Désireux de mettre un prénom sur un visage.


Emplacement : dans le labyrinthe
Résumé : Charles fait connaissance avec Anthea.

et la belle @Ollie Browns qui arrive vers toi, le joint aux bouts des doigts. fous toi de ma gueule, t'as le même. le même chien. la même saucisse en taille réduite et qui cours dans tous les sens. le corps poussé à l'intérieur. carcasse qui passe avant les autres, jeté en avant par @Clea Boehringer. pas vraiment la peur au ventre, toi. plus flippé par les autres que les esprits torturés de maïs ici. tu t'engoufres avec elles dans les végétaux (@Ollie Browns @Amarillys Boehringer). le téléphone sorti de la poche pour s'en servir comme lampe. putain, on voit vraiment rien. le bras qui repousse les feuilles flétris devant toi. et toi t'esquive de peu l'immense toile d'araignée sur votre chemin.

emplacement : dans le labyrinthe
résumé : poussé par clea, dans le labyrinthe avec ollie et ama

frisson qui commençait à lui parcourir l'échine lançant des regards suspicieux autour de lui. prêt à se cacher derrière lena si un mec méchant débarquait avec une tronçonneuse. cool ça sera le mcdo de mon enterrement qu'il soufflait à sa colocataire (@Lena Castiglia) pas qui se laissaient entrainer. à suivre de trop près le groupe. se mettant un peu au centre comme ça il se ferait pas bouffer ni par l'avant ni par derrière. c'était les maths de la survis. question de chance. ouai mais t'auras besoin de tes deux mains pour défendre le groupe qu'il articulait tout en ramenant ses doigts dans la main de lena. arrivant à une intersection ils avaient le choix d'aller à gauche ou à droite. on prend quel chemin? vous voulez vous séparer? qu'il demandait au reste du groupe (@Amore Morelli @Belle Perry @Amy Rockefeller) .
emplacement : dans le labyrinthe
résumé : avec amore, belle, lena, et amy.

l’audace de le menacer en ayant piqué sa bouteille, plutôt satisfaite du répondant qu’il (@charles branson) t’offre malgré le sourire que tu ferais volontiers disparaître de son visage s’il venait à trop te tenir tête. « la seule chose qui m’fait crier c’est l’plaisir. » que tu lances du tac au tac sans ne serait-ce même qu’une once d’hésitation. t’as ce sourire provocateur toujours collé aux pulpeuses, le laissant reprendre sa bouteille en le fixant, prêt à le fusiller s’il la termine. « anthea. mais tu peux m’appeler thea. » un signe de tête pour appuyer tes propos avant de reprendre la bouteille dont tu bois une nouvelle gorgée en reprenant la marche. « t’as l’même nom qu’mon grand-père, c’est trognon. » absolument pas mais vu l’âge moyen des porteurs de son prénom, ça pourrait être le cas, non ?

emplacement : labyrinthe
résumé : se déplace avec charles