Taylor V. Foster
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
PEOPLE ARE STRANGE
Les yeux sur les différents formulaires, je conserve un petit sourire sur mes lèvres. Y a la rareté, dans notre aparté. Et dans le silence qu’il a laissé après avoir été congédié. Une rencontre éphémère qui ne changera pas les cours de nos vies. Il reprendra le sien, et je tâtonnerai dans le mien. Puis maintenant, je me contente d’attendre le prochain. De me demander à quelle humeur je vais devoir me heurter, est-ce qu’il sera capable de me faire oublier – comme ce monsieur O’Connell – la longueur de cette journée. Balayera mon aigreur, mon envie de café, et atténuera celle d’opérer.
Et dans mon dos, je sens la présence de ma prochaine victime, alors je soupire, une réaction de seconde que je m’accorde avant de répéter le même numéro. Mais mon intention de confirmation d’identité est avortée, « Pas là pour juger, juste pour piquer. » Jared, je fronce les sourcils, suppose qu’il a omis quelque chose, « Pas d’interprétation des résultats. » C’est bien ce que j’avais affirmé, et je ne comprends pas ce qu’il pourrait me reprocher. Je reviens sur mes pensées. Sur le fait que j’ai pu trouver agréable notre entrevue. En fait, il n’est qu’un chieur de plus. Insatisfait. D’avance, je suis fatiguée. « Alors comment vous prouver que je suis bel et bien négatif, » les sourcils, je me retourne vers lui. J’ignore comment réagir. Si j’ai entendu ce qu’il me fallait entendre. Si c’est la réalité.
Ce qui se cache derrière ses mots, c’est une mauvaise idée, je suis un très mauvais choix, et surtout, je sais, que je ne suis jamais le premier. Les cœurs, je préfère les réparer au sens propre, pas au figuré. Et pour le reste... Avec un patient, c’est délicat. Même s’il ne l’a été que durant une courte durée, n’est-ce pas ? J’essaie de bien me comporter, depuis que je suis rentrée. Qu’on se le dise ; ce n’est pas un succès. Je vais d’ailleurs le prouver ; « Excusez-moi ? » l’amusement, voilà ce qui résonne le plus dans ma voix. Je suis comme ça. Je joue, malgré moi. « J’ai peur de mal comprendre. » que je lui précise, même si, on le sait tous les deux, je crois, que j’ai parfaitement compris. Je n’y peux rien, ça me titille de jouer avec lui. Il faut qu’il fasse mieux, s’il espère obtenir une sortie.
Et dans mon dos, je sens la présence de ma prochaine victime, alors je soupire, une réaction de seconde que je m’accorde avant de répéter le même numéro. Mais mon intention de confirmation d’identité est avortée, « Pas là pour juger, juste pour piquer. » Jared, je fronce les sourcils, suppose qu’il a omis quelque chose, « Pas d’interprétation des résultats. » C’est bien ce que j’avais affirmé, et je ne comprends pas ce qu’il pourrait me reprocher. Je reviens sur mes pensées. Sur le fait que j’ai pu trouver agréable notre entrevue. En fait, il n’est qu’un chieur de plus. Insatisfait. D’avance, je suis fatiguée. « Alors comment vous prouver que je suis bel et bien négatif, » les sourcils, je me retourne vers lui. J’ignore comment réagir. Si j’ai entendu ce qu’il me fallait entendre. Si c’est la réalité.
Ce qui se cache derrière ses mots, c’est une mauvaise idée, je suis un très mauvais choix, et surtout, je sais, que je ne suis jamais le premier. Les cœurs, je préfère les réparer au sens propre, pas au figuré. Et pour le reste... Avec un patient, c’est délicat. Même s’il ne l’a été que durant une courte durée, n’est-ce pas ? J’essaie de bien me comporter, depuis que je suis rentrée. Qu’on se le dise ; ce n’est pas un succès. Je vais d’ailleurs le prouver ; « Excusez-moi ? » l’amusement, voilà ce qui résonne le plus dans ma voix. Je suis comme ça. Je joue, malgré moi. « J’ai peur de mal comprendre. » que je lui précise, même si, on le sait tous les deux, je crois, que j’ai parfaitement compris. Je n’y peux rien, ça me titille de jouer avec lui. Il faut qu’il fasse mieux, s’il espère obtenir une sortie.
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Taylor V. Foster)
I'm sorry, gotta leave before you love me