@Orphée Sarehenes — gamin qui se tenait le long des quais. nuit silencieuse alors que la lune semblait le charrier. lui et sa solitude. il était peut-être deux heure du matin. peut-être trois heure. il en savait trop rien. parce qu'on lui avait toujours dit que les étoiles et la nuit donnaient conseil. mais bordel il avait beau observer le ciel et ne voyait pas de réponses ni d'élucidation soudaine lui éclairer le chemin. fait chier qu'il souffle dans la nuit. énervé de pas trouver ce qu'il cherchait, bien qu'il ne savait pas non plus ce qu'il cherchait vraiment. tout en contradiction. prenant son téléphone il décidait de contacter une des rares personnes qu'il espérait voir encore debout et qui lui changerait les idées.
(Baer Sadler)
éternel recommencement. jour sans fin. à voir les minutes défiler on se demande à quoi ça sert de vivre si notre temps est compter. à ce moment là , autant attendre non? attrendre quoi j'sais pas ( exactement ). que quelque chose se passe. n'importe quoi.