(orphée & baer) laisse les étoiles nous parler

( tw ; ràs)
rire qui s'échappait de ses lippes, lui qui avait dévoré les livres d'harry potter pendant son enfance ne connaissait que trop bien la référence.  -ouai désolé ça va être dur de vivre avec une telle déception maintenant. après si tu veux j'prends un vieux bout de bâton en guise de baguette et on fait un test. qu'il articulait avec un sourire malicieux. il en était capable. de se retrouver comme un con dans un parc à tester tous les bâtons du coin pour trouver le magique. il l'avait déjà fait quand il était enfant. le résultat avait été non concluant.  -ok chelou que tu m'parles de ses mains; genre ça t'excite des mains abimées? . qu'il quémandait amusé. vraiment pour lui arracher trois mots sur un mec c'était perdu d'avance -- @Orphée Sarehenes

( tw ; ràs)
avec baer dans les pattes, t'savais bien que ce genre de référence serait vite comprise. moue déçue qui s'installe sur la figure. – franchement, j'suis dégoûtée, tu m'vends du rêves puis plus rien... avant d'poser tes yeux sur lui, sourire amusé qui s'étend d'chaque côté de tes joues. – vas y teste, pour voir ?, après tout, qui n'tentait rien..
t'mords doucement la lèvre, en pouffant légèrement de rire, vraiment ouais, la description la plus éclatée, mais toi même, ignorant quoi savoir dire de cette relation. – un peu fétichiste ouais..., riant doucement. tu t'étais arrêtée sur c'détail qui avait été évoqué avec l'principal intéressé. pas du genre à t'confier de toute façon, toujours peur d'trop en dire, des choses qui n'seraient pas réciproques par exemple. -- @Baer Sadler

( tw ; ràs)
avec orphée ça avait toujours été ( facile ) de parler de tout, de rien. sans avoir trop de sujets en particulier, parce qu'ils pouvaient facilement trouver des histoires à raconter dans les nuages ou les flaques de pluie. - j'te vends pas du rêve genre est ce que c'est ma faute si la magie ça existe pas? après dans mon imagination ça marche c'est le principal qu'il articulait avec une moue enfantine accroché au visage. puis s'il avait une baguette magique ça serait pas une voiture qu'il ferait voler, nan. lui il l'utiliserait pour avoir une bonne note à l'école et devenir riche. on s'en fout des autres, des pauvres, de l'humanité y'en aurait que pour sa gueule les maths étaient simples.- vasy je juge pas chacun son truc, pour des gens c'est les pieds toi c'est les mains ok. qu'il rigolait dans un vague haussement d'épaule. - tant que le mec n'est pas un gros connard c'est good qu'il rajoutait doucement. -- @Orphée Sarehenes

( tw ; ràs)
riant doucement à ses paroles, il avait ce don de rendre les choses légères, continuant, l'enthousiasme palpable. – ouais après avec un peu d'imagination tout est possible, tu ferais quoi toi, en premier, si ça existait ? que tu demandes finalement en posant ton regard sur lui, quelques instants, alors que la route défilée toujours sous les roues de ta voiture. – chacun ses préférences hein... mais ouais, ça raconte une histoire j'trouve.., les mains abîmées t'entendait. secouant la tête, sonny n'avait rien du connard. – j'suppose que oui, qu'tu lâchais pourtant incertaine. -- @Baer Sadler

( tw ; ràs)
froncement de sourcil. réflexion intense de son encéphale. - genre si j'avais des pouvoirs magiques? j'espère de un qu'ils seront cool à mon effigie qu'il s'exclamait avec un sourire enfantin. genre voler ça serait cool mais en même temps de se prendre un pigeon dans la gueule pas ouf. même chose tu contrôles l'électricité chez toi les plombs vont sauter tout le temps pas ouf qu'il expliquait cette fois ci un peu plus de déception dans la voix. un peu à l'image de la série the boyz. chaque pouvoir avait ses emmerdes. - du coup j'sais pas trop mais devenir riche ça serait bien et toi? qu'il demandait à son tour avec un grand sourire. de toute façon tard la nuit la seule chose à faire s'était de réinventer le monde. - t'inquiète je vais plus te poser des questions gênantes sur lui qu'il ricanait en bougeant les sourcils d'un air entendu.-- @Orphée Sarehenes

( tw ; ràs)
phares qui fendent l'obscurité, projetant des ombres irrégulières sur les trottoirs  vide de boston, moteur qui ronronne, régulier, présence familière dans la nuit. à travers les vitres, les rues défiles, vides, comme si la ville elle-même dormait. co-pilote qui dénote, brille de son énergie enfantine, comme si tout ça n'était qu'un terrain de jeu. secoues la tête à ses paroles, alors qu'les pupilles ne quittent pas la route, sa simplicité t'apaises, peut-être raison qu'tout serait plus facile, mais la vie c'est pas ça, tu l'sais bien. rire qui s'échappe, – sûr qu'le pigeon serait pour ta gueule..., légèreté qui s'installe. – ouais puis t'ferais sauter les plombs h24 chez toi, t'imagines l'bourbier, ça serait chiant.. même riche, c'pas si fou... tu serais coincé dans une prison dorée, t'l'as jamais entendu, qu'l'argent ne faisait pas l'bonheur. toi c'que tu voudrais, ce serait échapper à tout ça, à tout ce monde qui t'entoure, à toute la merde dans laquelle tu baignes constament. – moi j'crois, que j'voudrais juste être libre, c'est un peu c'qu'on fait ce soir, comme quoi t'vois, y a pas besoin d'magie des fois..., même si ce soir, ça n'durera pas. coup d'oeil vers l'ami à côté d'toi, sourire adressé doucement. alors que le silence agréable s'installe, pas besoin d'mots parfois pour remplir l'espace, juste la route et la nuit. birses le silence, voix qui taquine. – si j'me prends un pigeon, tu payes. -- @Baer Sadler

( tw ; ràs)
gamin qui laissait le paysage nocturne l'emporté. les rues éclairés, quelques riverains mais personne pour s'aventurer trop loin. de loin on aurait pu croire à des ombres de cadavres. y'avait que des gens louches ou fous pour sortir si tard. c'est ce que lui avait toujours répété sa mère. des gens dangereux. peut-être que c'était vrai. mais baer aimait bien ce calme paisible. de laisser le temps au temps. de ne pas se retrouver dans la précipitation.bien évidemment que le pigeon ça serait pour ma gueule. qu'il admettait dans un soupire. gamin qui n'était jamais dans le bon timing. capable de marcher dans la seule merde de chien à dix kilomètres à la ronde. un brin trop rêveur, un brin trop perdu pour faire réellement attention. j'sais que l'argent ne fait pas le bonheur mais genre si j'pouvais effacer mes prêts bah ça y ressemblerait bien. déjà que je paye mon loyer un mois sur deux à lena, j'dis pas non tu vois? qu'il expliquait dans un vague haussement d'épaules. de quoi le rendre plus libre, de quoi le faire dormir dans son lit sans s'prendre une putain de crise d'angoisse. être libre ? tu vas nous faire un remake de into the wild? que le mioche ricanait. bon film, triste fin. mais baer comprenait que trop bien ce que son amie disait. regarde déjà la route pour éviter tout type d'animal qu'il répondait évasivement -- @Orphée Sarehenes

( tw ; ràs)
rires qui s'éteignent lentement alors que le moteur de la voiture ronronne comme un chat paresseux, la nuit, cocon d'obscurité troublé par les lumières de la ville qui scintillent au loin. dernier coup d'oeil vers les étoiles, esprit qui flotte encore dans la magie des rêves qu'ils ont esquissés. – t'sais..., ton léger dans la voix, – peut-être qu'la magie est pas si loin qu'on croit, j'veux dire, t'finiras sûrement pas les atteindre, tes rêves. tourne la tête vers baer, sourire aux lèvres, malice presque contagieuse. tu te penches légèrement en avant, la main effleurant le volant, comme si tu pouvais en faire jaillir de la magie d'un simple geste. – pour l'instant, y a juste à profiter de la balade. qu'tu lançais dans un clin d'oeil, vous enfonçant un peu plus dans la nuit. -- @Baer Sadler