the start of something new ( enzion )

T'aurais peut-être dû te taire. Qu'est-ce qui t’as pris d'ouvrir ta bouche, toi aussi ? En même temps… Tu la fermais rarement, alors t'aurais peut-être dû voir la chose venir. C’est sa première réaction qui te sortait de ton état alors que t'étais concentré sur énumérer tout ce que tu avais observé d’Enzo jusque là, essayant de lui trouver quelque chose de mieux que juste faire les yeux doux. Des qualités, il en avait, fallait juste les lui montrer. Mais peut-être que c'était trop. Trop et trop tôt. T'avais pas réfléchi à plus que ça, tu pouvais être si sincère parfois que ça en était déconcertant. Tu levais tes yeux au ciel dans un rire à sa réponse. « Wow, t'es vraiment un mec. » Pour retenir vraiment la pire de toutes les qualités citées, se concentrant sur le moins important. Mais quand on parlait appareil génital, vous étiez tous pareil, l’égo qui prenait le dessus, et l’abstraction de tout autour. Le sourire qui s’étirait dans le coin de ton visage, tu le regardais, l'air malicieux. « Tu sais… Ma chambre est juste au dessus… » Et Minjae qui était au même étage que toi ne revenait pas avant le neuf septembre. Restait Hyeon qui était au deuxième étage… Mais tu pouvais essayer de contenir tes bruits. Pour Enzo. Tu lui offrais ensuite un petit sourire, hochant doucement ta tête. « Mh. Faisons ça alors. » Et t'étais content. Qu'il se sente assez à l'aise pour tenter de nouvelles expériences avec ta personne. Ne pas avoir peur de se sentir débile ou jugé de vouloir essayer des trucs. Et que toi aussi, de ton côté, tu veuilles la même chose avec lui. Lâche un rire alors qu'il parle de couronne - et tu te voyais déjà bien avec, l'image d’un vrai roi lion. Ou… princesse lion pour Enzo. « Et toi tu serais quoi ? Mon bouffon ? » Tu éclatais de rire, arquant un sourcil en le regardant, voulant juste l’emmerder. Tu venais ensuite le provoquer légèrement en posant ta main sur sa cuisse, puis en caressant celle-ci, avant de la retirer. Pas tout de suite… Vous aviez un film très important à finir après tout. Et le voilà qu'il demandait déjà un baiser après votre chanson, comme une récompense pour s'être donné à fond et avoir retenu les paroles, mais tu lui rappelais que c'était un film Disney Channel - les baisers, très peu pour eux. Tu riais à sa remarque et à sa moue boudeuse. « J’te dis juste ce qu'il en est. J’pensais que tu voulais qu'on suive leurs traces. » Même si, vu tout ce que vous aviez fait durant le Summer Camp, c’était déjà raté si vous vouliez leur ressembler. Alors tu te rapprochais de lui, comme innocemment, le corps qui disait oui mais la bouche qui disait presque non - et tu pouffais à ses mots. « Comment ça ? J’vois pas de quoi tu parles. » Tu soufflais contre lui, alors que ses mains venaient enfin se poser sur toi, une sur ta cuisse et l'autre sur ta joue. La tension qui était palpable alors que vos regards ne se lâchaient pas et c'est lui qui finissait par combler les quelques millimètres qui séparaient vos lèvres. Tes yeux qui se fermaient après les siens, ton bras libre qui entourait sa taille, tu répondais au baiser, lentement, savourant l'instant, laissant ta langue se frayer un passage et communiquer avec la sienne. Frisson qui parcourait ton corps alors que c'est lui qui à présent venait caresser l'intérieur de tes cuisses, tu le laissais faire, lâchant un petit soupir d'aise contre sa bouche avant de récupérer ses lèvres. Tu finissais par glisser tes mains, prenant son visage en coupe, et tu venais déposer deux-trois baisers de fin sur ses lèvres. « Si tu continues… J'vais pas pouvoir m'arrêter. »
@Enzo Angermann

T'essayais de pas paraître bizarre lorsqu'il te disait ce qu'il pensait de toi, avant de finir par rebondir sur une vanne, comme le besoin urgent de changer un peu le sujet, tu ne savais pas quoi répondre à ce qu'il venait de dire sans avoir l'impression d'être trop intense. que veux-tu, j'pense avec ma teub, comme la plupart des mecs. Et même si c'était pas réellement la vérité, ce n'était pas si grave, si ? Bon, d'un côté il savait bien que t'étais un gros romantique, tu ne lui avais jamais caché cette partie de ta personnalité, à quoi bon de toute façon, tu savais très bien que ça allait finir par te rattraper dans tous les cas. MAIS. me dit pas des trucs comme ça toi. Parce que tu risques de pas le laisser regarder son film après, il abuse sérieusement. Bon, en même temps, t'as l'impression d'être un ado de 16 ans quand t'es avec lui, du genre à pas savoir gérer tes hormones. ton bouffon ? j'serais ton prince, voyons. Comment il n'avait pas pu penser directement à ça, vraiment ? Tu comprends pas pourquoi. T'as pas la tête d'un bouffon, bien que tu sois toujours en train de faire le con, il faut l'avouer. Bon, en y réfléchissant... il avait peut-être raison de te prendre pour un bouffon hein. Il tardait pas te donner le baiser que tu lui avais demandé, tellement long que tu finissais par lui kidnapper ses lèvres, baiser qui se voulait intense et passionné à la fois, comme besoin de faire passer le message que tu n'arrivais pas à faire passer avec l'aide des gestes, beaucoup plus facile que des mots. et ce serait mal, tu penses ? Parce que toi tu meurs d'envie de plus, tout le temps, avec lui. Tu glisses une main dans ses cheveux, regarde autour de vous. on pourrait.. mettre sur pause et reprendre tout à l'heure ? Bon, si vous faites ça à chaque fois qu'une micro envie vous traverse l'esprit, vous risquez de mettre deux jours à regarder un film d'une heure trente mais c'est correct. j'crois que j'ai déjà très envie de toi.. Que tu disais, regard qui se lançait vers ton entrejambe gonflé. Ouais bah c'est pas ta faute hein.
@Lion Whitaker

« Ouais… J'imagine que je n’te verrais pas figurer sous le hashtag notallmen. » Tu répondais dans une moue triste, secouant doucement ta tête pour accentuer le drame dans tes gestes et ta réaction - alors que tu savais qu'au fond, et même si votre relation était beaucoup basée sur le sexe, ce n'était pas totalement vrai. Peut-être même qu'il pensait moins avec sa teub que toi, c'était pour dire. « J’t’indique juste. J’te dis un peu comment est la maison puisque c'est la première fois qu’tu viens. T'es pas obligé d'en faire quelque chose… » Tu dis doucement, sourire bien trop innocent pour être vrai à l'appuie, avant d'hausser tes épaules comme si tu ne tentais pas du tout de le chauffer petit à petit. Tu lâchais ensuite un rire, mordant ta lèvre inférieure. « Mon prince ! Évidemment. Où avais-je la tête ? Pourquoi n'y ai-je pas pensé de suite ? Hm... T'es vraiment sûr le rôle de bouffon ça t'intéresse pas ? » Soyez tous prêt pour La princesse et le bouffon, le nouveau film Disney qui allait sortir et faire fureur dans tous les cinémas du monde. A vrai dire, tu comprenais son attrait pour être ton prince, tu voulais juste le voir dans un rôle où il serait un peu plus à ta merci. T'imaginais que c'était dans ta nature de versatile ça, tu ne pouvais pas juste rester le soumis de service, t'as besoin des deux côtés dans une relation. Tu répondais ensuite à son baiser, te laissant entraîner par son rythme, les sens en éveils alors que tu n'arrivais jamais à garder tes mains pour toi-même pendant très longtemps avec lui. Alors que tu tentais de calmer les choses, tu finissais par lever tes yeux vers lui à ses mots, tes doigts autour de son visage qui caressaient doucement sa barbe. « J’pensais qu'on avait convenu que rien n’était mal… » Tu murmurais, tes yeux qui se fermaient légèrement alors que sa main glissait dans tes cheveux. « Mais Troy… » Tu lâchais en zieutant un instant la télévision, fausse plaintive pour tenter de vous rediriger vers le droit chemin - sans aucune conviction de ta part pourtant. High School Musical était ta religion, mais c'était difficile d'y rester focalisé quand tu avais quelqu'un de si intéressant à tes côtés, chez qui tu avais envie de dévouer toute ton attention. Tes yeux qui se reposaient sur lui, baissant le regard jusqu'à son entrejambe, petite inspiration en voyant le tissu déjà tendu. Ta main qui se reposait sur sa cuisse, remontant lentement, caressant tout autour de son entrejambe sans jamais le toucher. « Je peux voir ça… Ce serait si dommage de te laisser dans un tel état pour la prochaine heure… » Tu commentais, ta main venant cette fois-ci agripper son paquet à travers le pantalon, les lèvres qui attaquaient lentement son cou. « Et je peux être beaucoup de choses… Mais pas un monstre. » Tu finissais, tes doigts venant doucement le caresser au dessus du tissu, sentant le poids sous ta main, ta langue venant tracer un chemin de la base de son cou jusqu'à son lobe. T’en oublierais presque que tu étais dans ton salon.
@Enzo Angermann

désolé pour cette grosse déception, tu vas pouvoir t'en remettre tu penses ? Ton regard qui se fait plus tendre, comme si tu prenais vraiment au sérieux sa déception, commence à comprendre que Lion est finalement un très bon acteur et que tu  ne dois clairement pas tout prendre au sérieux. Bon, faut dire que t'es pas du genre à tout prendre premier degré aussi hein, ça aide pas mal à être raccord. ooooh.. je vois, ouais. c'est vrai que tu m'as même pas fais une visite de l'appartement, où sont tes bonnes manières, Lion ? Tu secoues la tête de gauche à droite de manière bien trop dramatique pour paraître sincère. tu penses vraiment que j'ai une tête de bouffon, MOI ? tu ne vois pas la grâce qui se dégage de moi ? Tu lances de gros yeux, tout en le regardant. Vraiment.. Comment il ne peut pas remarquer que t'es la définition même du roi ? Clairement en synonyme il y a ton nom dans le dictionnaire, suffit de bien savoir regarder. Lion qui faisait comme s'il trouvait Troy plus intéressant que toi, foutaise, tu ne le sais que trop bien. T'es bien plus sexy que ce lycéen prépubère quand même. Baiser que tu finissais par lui imposer en quelque sorte, avant de rire à ce qu'il vient de répondre à la proposition que tu lui avais faite. t'es vraiment trop généreux, tu le sais ça ? Et sa main qui se faisait baladeuse, tu te mords la lèvre inférieure en le laissant faire, langue qui parcours ton corps, te procure un frisson et un petit gémissement que tu ne peux retenir bien longtemps. Il sait comment y faire pour te rendre complètement dingue.. j'ai la chance que tu ne sois pas un monstre, hum. Tu ris légèrement. bébé.. va falloir qu'on monte, pour pas qu'on se fasse surprendre, tu sais.. Parce que même si tu t'en fous un peu, flemme d'être coupé en pleine action, clairement. tu m'fais visiter ta chambre, du coups ? Demande qui sonne comme une supplication, tu vas pas tenir bien longtemps avant de lui sauter dessus, c'est certain.
@Lion Whitaker

« Une montagne insurmontable … Mais je suis fort. J'arriverai à m’en remettre. » Tu finissais par lui dire, la voix pleine de conviction, le poing qui se serrait, et la détermination dans ton regard, celle d'un homme qui ne reculait devant rien et qui ne se laissait surtout pas abattre par les épreuves de la vie - on verra si tu sauras te comporter de la même manière devant tes devoirs à rendre à la rentrée. « … C'était totalement fait exprès. Je savais que si je commençais à te faire visiter la maison, on aurait même pas commencé le film du tout. » Tu lui avouais dans un petit rire, grimaçant légèrement, commençant à très bien vous connaître lorsque vous étiez dans la même pièce. Et peut-être qu'avec quelqu'un d'autre t'aurais commencé à te poser des questions, peut-être même à te dire que c'était un peu bizarre et que cette personne ne semblait vraiment ne vouloir que t’utiliser pour baiser. Mais c'était Enzo, et malgré cette grande attirance qui vous dominait la plupart du temps, tu savais aussi que vous aviez une complicité immédiate qui chassait ces doutes. « Enzo… Tu devrais regarder mes vidéos de toi en train de dormir. Tu verras que gracieux n'est pas vraiment l’adjectif qui te correspond le mieux. » Tu lui lâchais en riant devant ses gros yeux choqués qui te regardaient. Et malgré la manière dont tu te moquais de lui, tu ne pouvais réprimer la lueur affectueuse qui brillait au fond de tes iris à la mention des facettes d’Enzo que tu avais pu voir en Sicile - même celles qui le mettait moins à son avantage. T'essayais à peine de vous rediriger vers le film, Troy qui devait se demander pourquoi tu n'étais plus si intéressé devant son histoire alors que tu connaissais pourtant les répliques par cœur, et le rictus qui prenait place en reposant tes yeux sur Enzo. « T'as raison… J'sais pas si tu mérites que je sois si généreux... » Tu murmurais pour l'embêter, avant de laisser ta main devenir un peu plus aventureuse, ton sourire qui s'élargissait à l'entente de son petit gémissement, en profitant pour mordiller légèrement son lobe avant d'embrasser sa joue. « C'est bizarre, t'avais pas ce genre de craintes quand on s'est fait surprendre sur le bateau… Je crois même que tu leur avais tous fait coucou… » Et évidement, les conséquences n'étaient pas les mêmes, et Enzo voulait peut-être que tes colocataires aient une bonne image de lui s'il souhaitait revenir à la maison sans trop de soucis ni de jugement. Tes lèvres qui finissaient par retrouver les siennes pour quelques secondes, avant d’hocher ta tête rapidement, attrapant sa main pour qu'il se lève du canapé une fois que tu t'étais levé. « Dépêche-toi. » Les jambes qui te dirigeaient vers les escaliers et tu montais au premier étage, sans lâcher Enzo. « Ici. Chambre de Minjae. Ne pas rentrer. Ici. La mienne. » Tu disais en lui montrant les deux chambre qui s’opposaient - histoire qu'il sache où se diriger pour les prochaines fois qu'il viendrait. Une petite voix dans ta tête te rappelait que tu avais dit à tes colocataires que vous resteriez dans le salon et ne monterait pas à l'étage, mais t’espérais qu'ils te pardonnent ce petit mensonge cette fois-ci. Tu finissais par ouvrir la porte de ta chambre, l'attirant à l'intérieur, avant de refermer la porte. « Bienvenue chez moi. » Tu disais dans un petit sourire, avant de glisser tes bras autour de son cou, faisant quelques pas pour qu'il se retrouve collé contre le mur de l’entrée, et tu venais retrouver ses lèvres avant qu'il ai réellement le temps d’apprécier ton sens du décor. Il avait déjà de la chance de ne pas être accueilli par un gros poster de Zac Efron. « Il va falloir.. Pas faire… Trop de bruits… » Tu murmurais entre plusieurs baisers, ton torse qui se collait au sien.
@Enzo Angermann

l'homme le plus fort du monde, c'est vrai. Tu viens tapoter doucement ses cheveux pour le pat pat, histoire de te foutre un peu de lui, comme toujours. T'es un gros gamin Enzo, malgré que tu commences à être un petit papi, la trentaine dépassée. t'as pas confiance en moi, j'prends note. Tu le fusilles du regard, prenant un air faussement mélodramatique. Non mais, comment peut-il penser que tu n'es pas capable de garder ta teub dans ton pantalon en sa présence ? Quelle idée.. vraiment, tu comprends pas d'où il sort tout ça. Il doit commencer à perdre la tête, ouais, ça doit être ça. Et là, il fait mention des vidéos qu'il a de toi, tu secoue la tête, dans le déni le plus total. j'vois pas du tout de quoi tu parles. j'suis trop mignon quand je dors, c'est toi qui t'en rend pas compte, la perfection t'aveugle, c'est tout. Tsss, il est bien culotté celui-là. Tension sexuelle qui s'installe rapidement, tu ne cherches pas à la chasser, cela ne sert à rien, tu sais qu'elle finira vite par revenir alors.. autant passer à l'acte tout de suite pour enfin pouvoir penser à autre chose, non ? non mais j'rigole hein, je mérite totalement que tu sois si généreux. Parce que t'es un amour avec lui en permanence, ça va de soit. ouais mais tes colocs, j'risque de les croiser souvent tu vois.. Pas vraiment le même genre de problème du coups. Main qui vient se mettre dans la sienne, te laisse entraîner jusqu'à sa chambre, profite pour mater son fessier dans l'escalier, autant profiter de la vue qui s'offre à toi après tout. Il te fait visiter rapidement, acquiesce d'un hochement de tête ce qu'il te dit. T'entres dans sa chambre, essaye de regarder un peu l'environnement avant qu'il ne vienne t'embrasser à nouveau, impossible d'admirer la décoration de la pièce. toujours silencieux. Que tu murmurais avant de rire contre ses lèvres, tes mains qui venaient attraper ses fesses, petite pression que tu mettais dans ce contact.
@Lion Whitaker

Tu venais lui tirer la langue alors qu'il tapotait tes cheveux - t'aimais ça habituellement, aucun soucis avec ça, mais là c'était clairement pour se moquer de toi - et tu venais éclater de rire à sa prochaine remarque, alors que ses yeux te fusillaient. Tu venais vite entourer son cou de tes bras, secouant rapidement ta tête, le corps qui tremblait toujours sous la plaisanterie. « Mais noooon. Enzooooo. T'as pas compriiiiiis… C'est de nous dont j'ai pas confiance. » Tu finissais par dire avec un grand sourire fier - après tout, c'était la vérité. Autant il était toujours partant pour laisser les choses déraper entre vous… Autant de ton côté c'était exactement pareil. T'avais envie de le toucher, tout le temps, et tu te demandais à partir de combien de temps ce genre de comportement s'essoufflerait. Mention des petites vidéos que tu as prises de lui durant l’été, et il niait fortement tes observations. Tu pouffais de rire, levant tes yeux au ciel devant tant de narcissisme. « Heeey. J'ai dit que tu n’étais pas gracieux. Rien à voir avec ta bouille. » Parce que oui, malgré tout, il restait mignon. Il n'avait pas totalement tort. Difficile de l'avouer de vive voix, mais c’était tout simplement la vérité. Nouveau roulage d’yeux quand il disait qu'il méritait que tu sois généreux, et un petit sourire se frayait un passage, arquant un sourcil en le regardant. « Je vois… Ça veut dire que tu comptes venir squatter hebdomadairement cette année ? » Tu demandais, amusé, avant de l’emmener avec toi à l'étage de la maison, là où se trouvait les deux premières chambres - dont la tienne. Une fois à l'intérieur de celle-ci, tu ne perdais pas de temps pour retrouver ses lèvres, avant de soupirer d'aide contre celle-ci lorsque tu le sentais agripper tes fesses. Tu le suivais dans ses mouvements, le laissant avancer jusqu'au lit sans briser le contact, laissant ton dos retrouver ton matelas avant qu'il se mette à califourchon sur toi - et t'aimais ce contact, le fait de sentir son poids sur toi, alors que ses lèvres attaquaient ton cou. « Comment ça se fait que t’aies tant envie, c’est de voir Zac Efron ça t’a chauffé ? » Tu riais dans un murmure alors que tu inclinais ta tête pour lui laisser plus de champ libre sur ton cou, tes mains de baladant sous son t-shirt pour caresser sa peau. Tu venais rapidement l'aider à enlever ton t-shirt, finissant par en faire de même pour le sien.
@Enzo Angermann

ouais ouais c'est ça, essaye de te rattraper comme tu peux. En vrai tu t'en fous complètement, vu que dans tous les cas, il semble prendre du plaisir à dormir à tes côtés et c'est clairement tout ce que tu retiens. baaah.. ouais, ça pose un problème peut-être ? T'as l'intention de prendre un peu plus de place dans sa vie, s'il te laisse la prendre bien entendu. Tu ne le forceras jamais à faire quelque chose qu'il n'a pas envie de faire, t'as bien trop de respect pour lui pour ça. T'es pas un goujat, t'es un homme bien, tu penses l'être en tout cas. Chambre que tu découvres pour la première fois, Lion qui ne te laisse pas le temps d'admirer la décoration avant de capturer tes lèvres. Bon, t'auras certainement tout le temps d'admirer la déco après avoir calmé ces pulsions entre vous. Tu finis par l'amener vers le lit, te mettant à califourchon sur lui, vous n'avez clairement pas de temps à perdre. peut-être bien que c'est ça, ouais. Que tu réponds pour le taquiner, même si tu te doutes bien qu'il sait que ce n'est clairement pas ça. C'est plutôt toutes les petites avances qu'il a pu te faire. Comment as-t-il pu penser que tu allais rester de marbre alors qu'il caressait ta cuisse ? Non mais, c'est mission impossible pour toi.
@Lion Whitaker

Tu le regardais un petit instant, comme zieutant ses expressions du visage, juste pour voir s'il était vraiment sérieux ou s'il y avait une part de blague dans ses mots. Lorsque tu n’en trouvais aucun, tu laissais échapper un petit sourire, ta main qui agrippait la sienne. « Absolument aucun problème, non. » Tu lui répondais sincèrement. Une fois dans la chambre, tout s’accélèrait. Il venait à califourchon sur toi, ses lèvres dans ton cou, et tu lâchais un petit rire à sa réponse.
@Enzo Angermann

@Lion Whitaker