(basiggy) - le goût des nuages

@Basile Lawson — soleil qui commençait doucement à se coucher. lumières oranges qui se reflétaient sur les vagues. l'air marin qui venait doucement lui chatouiller les narines. paysage de carte postale. à vouloir en prendre pleins les yeux, à graver volontairement ses souvenirs dans sa mémoire. c'était si beau que twiggy refusait d'oublier le moindre détail. c'était la première fois depuis longtemps qu'elle se sentait vraiment bien dans sa peau, qu'elle se sentait ok avec la direction que prenait sa vie. l'age de la maturité peut-être. lèvres qui s'incurvaient d'un sourire en voyant un crabe à coté de ses pieds. bien que la gamine était dans une robe légère il faisait pourtant encore chaud. le sable bouillonnait sous ses pieds alors que l'ingénue marchait tranquillement sur la plage à la recherche du spot parfait. elle avait repéré au loin des tables de pique nique, et avait entre ses mains deux pizzas. envoyant un message à basile elle s'installait.

@Twiggy Jenson — Je suis en pleine partie de beach-volley, le sable chaud sous mes pieds, le bruit des vagues en arrière-plan. Le soleil commence à descendre, et les lumières dorées et orangées inondent la plage, créant une atmosphère presque irréelle. Je viens de frapper la balle quand mon téléphone vibre dans ma poche. Un sourire se dessine sur mes lèvres en voyant le nom de Twiggy s'afficher. Je mets fin à la partie en faisant signe à mes nouveaux amis, me dirigeant vers la douche de la plage pour me débarrasser du sable et de la sueur. L'eau fraîche coule sur ma peau, me rafraîchissant instantanément. Tandis que je laisse l'eau glisser le long de mon corps, je pense à elle, à ce sourire lumineux qui illumine chaque instant passé en sa compagnie. Elle m'a dit qu'elle s'était installée quelque part sur la plage avec deux pizzas. Rien que l'idée de la rejoindre, de partager ce moment simple mais tellement significatif, me remplit de joie. Je me sèche rapidement et enfile un t-shirt léger avant de me diriger vers le spot qu'elle a repéré. Alors que j'avance sur le sable encore chaud, je la repère au loin. Elle est assise à une table de pique-nique, ses cheveux légèrement agités par la brise marine, sa robe légère épousant délicatement ses formes. Le soleil couchant illumine ses traits, la transformant en une véritable vision de beauté. C’est un moment de calme parfait, de ceux qui semblent suspendus dans le temps. Je m'approche d'elle en silence, savourant cette vue de carte postale, gravant chaque détail dans ma mémoire. Quand j'arrive à sa hauteur, elle lève les yeux vers moi, un sourire radieux se dessinant sur ses lèvres. — Hey, dis-je en m'asseyant à côté d'elle, posant un léger baiser sur sa tempe. — Tu as trouvé l'endroit parfait.

@Basile Lawson —moue qui étirait ses lippes alors qu'elle attendait une réponse de celui qu'elle pouvait maintenant prénommer son (petit ami). princesse onirique qui n'aimait pas attendre. jambes croisées sur le banc alors que la demoiselle était assise sur la table. prestance silencieuse. accompagnées des vagues, l'ingénue observait  le soleil se coucher. hey ça fait longtemps qu'elle s'amusait à dire. de cette malice qui habitait ses opales. contente de le retrouver. sourire qui venait éclaircir son visage. de cette joie qui venait pétiller l'intérieur de son coeur, à y faire venir naitre des papillons dans son bide. c'est qu'à ce stade on va finir pas devenir de parfaits inconnus qu'elle soulignait en se retournant pour mieux l'observer. à trouver à leur rythme comment passer du temps ensemble, et du temps seul. équilibre qu'ils commençaient à maitriser. j'ai même pas le droit à un vrai baiser, faut qu'je me couche sur la table à la belle au bois dormant pour être digne de ton amour? qu'elle accentuait d'un ton un brin dramatique en s'allongeant en arrière, fermant les yeux. c'est qu'elle le voulait son prince charmant.

@Twiggy Jenson — Je m'approche d'elle, et avant même d'arriver, je vois cette moue adorable qui étire ses lèvres. Twiggy n'aime pas attendre, c'est quelque chose que j'ai appris rapidement. Elle a cette impatience douce, cette énergie qui la pousse à toujours vouloir être en mouvement, à jouer, à taquiner. Mais c'est aussi ce qui la rend tellement vivante, tellement elle. Elle est contente de me retrouver, je le vois dans ce sourire qui illumine son visage, dans cette joie sincère qui semble pétiller dans son regard. Je m'assois à côté d'elle, mais avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle continue sur le même ton, un peu dramatique, un peu espiègle. Ses mots sont légers, mais il y a une part de vérité dans ce qu'elle dit. Nous apprenons encore à trouver notre équilibre, à passer du temps ensemble sans nous étouffer, à être seuls sans nous éloigner. Et puis, elle lâche la phrase qui me fait sourire, ce mélange parfait de taquinerie et de désir. Elle s'allonge sur le dos, fermant les yeux, jouant parfaitement son rôle de princesse en attente de son prince. Je ris doucement, amusé par sa théâtralité, mais aussi touché par cette demande implicite de tendresse. Elle sait jouer avec les mots, avec les gestes, et je tombe à chaque fois dans son jeu avec plaisir. Je me penche sur elle, mes mains se posant de chaque côté de sa tête sur le sable, mes lèvres se rapprochant doucement des siennes. — Si c'est un vrai baiser que tu veux, princesse, alors un vrai baiser tu auras, murmurai-je, ma voix douce mais teintée d'une promesse. Je laisse mes lèvres effleurer les siennes, d'abord doucement, un simple frôlement, avant de l'embrasser plus profondément. C'est un baiser qui dit tout ce que je ressens pour elle, tout ce que les mots ne peuvent parfois exprimer. Un baiser pour répondre à sa demande, mais aussi pour lui rappeler que je suis là, vraiment là, pour elle. — Et voilà, dis-je avec un sourire malicieux, — est-ce que ça répond à tes attentes, mademoiselle Belle au bois dormant ?

@Basile Lawson — princesse qui se laissait emporter par son propre jeu. parce que ça la faisait bien rire, parce que c'était facile. parce que ça lui donnait une énième excuse de pouvoir goûter à nouveau à ses lèvres. ça faisait longtemps qu'il n'y avait plus de règles entre eux. tentation et séduction étaient encore des mots qu'ils pouvaient utiliser pour définir leur relation. tout sauf des adjectifs plus sérieux. et la douce ingénue était bien là, entre la mer, et son baiser. lèvres qui venaient charmer le reste de son corps, alors que sa langue venait titiller la sienne. palpitant qui s'emballait un peu plus dans sa poitrine. hum j'sais pas pour un prince charmant je m'attendais à mieux qu'elle s'amusait à répondre alors que espièglerie animait ses paroles. l'observant lui et son si beau visage. lui et ses fossettes. lui et son sourire. j'pense que si j'étais la belle au bois dormant je me serai pas réveillée pour ça. qu'elle décidait encore une fois d'en rajouter parce qu'elle avait un humour débile, un humour bien à elle. et que cette situation l'amusait un peu trop.

@Twiggy Jenson — Elle se laisse emporter par son propre jeu, cette princesse qui, au fond, ne demande qu'à prolonger ces instants de complicité. Je vois son sourire étirer ses lèvres, cet amusement qui brille dans ses yeux, et je ne peux m'empêcher de rire doucement avec elle. Entre nous, il n’y a plus de règles, seulement ce jeu constant de tentation et de séduction, un équilibre parfait entre légèreté et intensité. Je sens son baiser se prolonger, ses lèvres charmer le reste de mon corps, sa langue venant titiller la mienne. Mon cœur s'emballe un peu plus à chaque seconde, pris dans le tourbillon de sensations qu'elle provoque en moi. Mais c'est elle qui brise le silence, avec cette espièglerie typique qui la rend si unique. Elle me regarde avec cet éclat de malice dans les yeux, observant chaque détail de mon visage, comme si elle savourait chaque instant. Je feins une expression de fausse déception, jouant le jeu avec elle. — Ah, vraiment ? Eh bien, il semble que je doive m'entraîner un peu plus pour être à la hauteur de tes attentes, princesse. Elle continue, son rire léger perçant l'air doux de la soirée. Je ris à mon tour, touché par son humour débile, comme elle aime l'appeler. Mais c’est ce côté d’elle que j’adore, cette capacité à rendre chaque moment léger et drôle, même au milieu de nos jeux de séduction. Je me penche à nouveau vers elle, mes mains encadrant son visage. — Tu sais, dis-je doucement, mes yeux plongés dans les siens, — je suis prêt à te donner autant de baisers que nécessaire jusqu'à ce que tu te réveilles, pour de vrai cette fois. Je l'embrasse à nouveau, mais cette fois-ci, avec une intensité nouvelle, un mélange de passion et de tendresse. C’est un baiser qui dit tout ce que les mots ne peuvent parfois exprimer. Un baiser pour lui montrer que je suis ici, vraiment présent, avec elle, dans ce moment parfait que nous partageons. Quand je me redresse, je vois cet éclat particulier dans ses yeux, un mélange de satisfaction et d’amusement.

@Basile Lawson — avec ( l u i ) tout était si facile. son sourire, ses mots, ses lèvres twix ne savait vraiment pas ce qu'elle préférait. c'était un cocktail dangereux qui l'a foutait à chaque fois un peu plys à terre elle et son petit coeur. comme si soudainement tout avait un sens. — n'hésite pas à prendre tout ton temps, j'aime bien quand tu t'entraines sur moi qu'elle s'exclamait ses opales dévorant ses lèvres. il était si beau. il était sien. son parfum se mélangeant parfaitement au sel de la mer. tu sais quand tu m'parles comme ça , j'te crois. je sais que tu m'embrasseras le temps qu'il faudra. parce que quand je suis avec toi mon coeur décède un peu plus à chaque fois. et toi t'es là, toujours là pour le réanimer. supplice immoral alors que basile l'embrassait à nouveau. de ce baiser de passion. celui qui lui donnait des papillons dans l'fond du bide. celui qui lui rappelait qu'elle avait bien fait, de se lancer avec lui. — tu sais j'aime bien quand tu m'embrasses comme ça. qu'elle admet dans un souffle en se relevant à son tour. — peut-être parce que tu m'as manqué; ou peut-être parce que j'ai une hallucination soudaine. qu'elle avoue toujours à demi mot, toujours avec cette pointe d'humour qui évite de rendre les choses si sérieuses.

@Twiggy Jenson — Avec elle, tout semble si naturel, si évident. Twiggy, comme je l’appelle parfois, a cette capacité à rendre chaque moment magique, léger et pourtant profond. Quand elle me regarde avec ces yeux qui dévorent mes lèvres, j'ai l'impression que tout a un sens. Son sourire, ses mots, tout d'elle est un cocktail enivrant qui me fait chavirer à chaque fois. Et quand elle me parle, je sens son cœur, aussi fragile qu’il est fort, battre en écho avec le mien. Je ris doucement, incapable de résister à son charme. Elle est tout ce dont j’ai besoin et plus encore. Je l’embrasse à nouveau, incapable de me retenir, et ce baiser est tout ce que je veux lui offrir. Une promesse, une tendresse enveloppée de passion. Elle me dit souvent que son cœur faiblit un peu plus à chaque fois que je l’embrasse, mais je suis là pour le raviver, pour le faire battre encore plus fort. Elle le sait, et je le sais aussi. Ces mots, dits avec cette pointe d’humour qui la caractérise, résonnent profondément en moi. Elle a ce don de rendre tout plus léger, même les choses les plus sérieuses. Elle sait que je serais là, quoi qu'il arrive, et ces paroles, bien que teintées de malice, ne font que renforcer ce lien que nous partageons. Un lien que je chéris plus que tout. Je l’embrasse encore une fois, plus intensément, plus profondément, comme pour lui montrer, sans un mot, à quel point elle compte pour moi. Ses lèvres contre les miennes, c’est comme si tout se mettait en pause. Le monde autour de nous disparaît, ne laissant que nous deux, enveloppés dans cet instant parfait. cette éternelle pointe d'humour qui adoucit toujours la moindre émotion. C'est sa façon de ne jamais trop s’exposer, mais je connais désormais cette barrière fragile qu'elle met entre elle et le monde. Je la regarde, mes doigts glissant doucement dans ses cheveux, un sourire étirant mes lèvres. — Tu n’hallucines pas, Twiggy. Je suis là. Et crois-moi, je ne compte pas disparaître de sitôt. Je l’attire à nouveau contre moi, laissant nos fronts se toucher, savourant cette proximité, cette intimité qui grandit chaque jour un peu plus.  — Toi, tu m’as manqué. Chaque minute sans toi me semble plus longue que la précédente. Alors, si j’ai l’air un peu trop intense, un peu trop passionné, c’est peut-être parce que je suis en train de rattraper tout ce temps sans toi. Nous restons là, enlacés, le bruit des vagues en fond, la nuit tombée autour de nous, mais tout semble tellement lumineux. Avec Twiggy, je suis prêt à vivre chaque moment pleinement, à savourer chaque baiser, chaque éclat de rire, chaque souffle partagé. Parce que ce que nous avons est précieux, et je ne le laisserai jamais filer.

@Basile Lawson — heureuse de pouvoir lui arracher des sourires. et puis ce son mélodieux, ce rire qui  venait faire bondir un peu plus son palpitant. paroles qui se voulaient rassurantes. et à chaque fois que basile soufflait des mots la gamine ne pouvait que y croire. peut-être un peu trop naivement; mais était ce si mal de vouloir se sentir aimé? de vouloir y croire? elle qui avait des doutes pleins le bide. pour une fois l'homme qui se tenait à coté d'elle arrivait à les rendre silencieux. parce que le jeune lawson aurait pu mainte fois lui briser le coeur mais malgré ses peurs infondées cela n'était jamais arrivé. —  fallait pas jouer au volley ball si tu voulais pas me quitter qu'elle arguait de cette voix si innocente alors que ses yeux déclaraient tout le contraire. —  mais du coup si tu veux prendre cette opportunité pour rattraper le temps perdu je suis jamais contre quand il s'agit de toi qu'elle venait lui susurrer dans le creux de l'oreille. voix douce de cette sensualité qui la définissait. heureuse de retrouver le contact de sa peau. — peut-être qu'on devrait avoir une règle de ne pas trop s'éloigner l'un de l'autre  qu'elle rajoutait en lui mordillant le lobe de l'oreille. ça serait mieux non? comme ça , cela serait tellement plus simple pour se retrouver. mais je sais que je peux rêver. parce que dans la réalité ça fonctionne pas comme ça.

@Twiggy Jenson — Son rire, ce son mélodieux, résonne encore dans l’air, et à chaque fois qu’il éclate, c’est comme si mon cœur bondissait un peu plus. Twiggy a ce pouvoir sur moi, celui de me faire sourire, de me faire rire, même dans les moments les plus ordinaires. Quand elle me regarde avec cette malice dans les yeux, je ne peux m’empêcher de penser à quel point je suis chanceux de l’avoir à mes côtés. Elle me taquine encore, avec cette voix innocente qui contraste si délicieusement avec le désir que je peux lire dans son regard. "Fallait pas jouer au volley-ball si tu voulais pas me quitter," dit-elle, ses yeux trahissant le jeu derrière ses mots. Je souris, amusé par cette petite pique. Elle sait que je reviendrais toujours vers elle, que même une partie de volley-ball ne pourrait jamais me tenir éloigné trop longtemps. Sa voix se faisant plus douce, plus sensuelle, alors qu’elle se penche pour me susurrer ces mots à l’oreille. Sa proximité me fait frissonner, et je sens mon cœur battre un peu plus vite, capturé par cette intimité que nous partageons. Ses lèvres frôlent mon lobe d’oreille, un mordillement léger mais chargé de promesses, et je peux à peine contenir le sourire qui s'étire sur mes lèvres. "Peut-être qu'on devrait avoir une règle de ne pas trop s’éloigner l’un de l’autre," ajoute-t-elle avec cette espièglerie qui la caractérise, comme si c’était une solution évidente, un rêve qui ne demande qu’à se réaliser. Elle a raison, ce serait plus simple. Mais dans le fond, je sais que ce qui rend chaque moment passé avec elle si spécial, c’est justement le fait que nous trouvons toujours notre chemin l’un vers l’autre, même après un bref moment de distance. Je glisse mes bras autour de sa taille, la rapprochant encore plus de moi. — Ça serait plus simple, oui, dis-je doucement, mon souffle caressant sa peau. — Mais parfois, c’est cette attente, ce léger éloignement qui rend chaque retrouvaille encore plus intense. Je sens ses mains se poser doucement sur mes épaules, sa chaleur se diffusant à travers ma peau. — Mais je te promets, je ne partirai jamais trop loin, murmurai-je en plongeant mon regard dans le sien, mes doigts effleurant doucement son visage. — Peu importe où je vais, je reviendrai toujours à toi. Parce qu’il n’y a nulle part où je préférerais être qu’ici, avec toi. Je l’embrasse à nouveau, mais cette fois, c’est un baiser plus lent, plus profond. Un baiser qui dit tout ce que les mots ne peuvent exprimer. Je sens son corps se détendre contre le mien, et pour un moment, le monde autour de nous disparaît, ne laissant que cette connexion entre nos cœurs et nos âmes.