Ah non! Barbie s'est encore cassé un ongle?

Wow ! J'avais pas encore fait de conneries. Exploit de ma part! Bon d'accord, la soirée drogues, alcool, joints et musique très forte ne rentrait pas dans la catégorie présente, puisque je n'étais pas moi-même au moment où j'avais décidé de me vider de ma peine et de mes souffrances intérieures. Pour fêter cet exploit, comme je me le disais si bien, je voulais non pas aller me prendre quelques verres au bar et danser jusqu'à deux heures du matin, mais plutôt marcher un peu, explorer les lieux. Parce que oui, ça ne faisait pas très longtemps que nous étions arrivés en Floride, et je comptais bien connaître tous les recoins possibles des lieux pour m'amuser et passer du bon temps au cours de ces deux mois de vacances bien mérités. Je sortais donc de l'ascenceur que j'avais pris pour m'éloigner de ma chambre, et me retrouvais dans le hall d'entrée, près de la réception. Je faisais quelques sourires et signes de main à ceux et celles que je connaissais et qui passaient pas là, et ignorais ceux que je connaissais et qui ne m'aimaient pas ou que je n'aimais pas. Justement, parlant de quelqu'un dont la haine était réciproque, je vis une blonde, Miss Barbie Prétentieuse comme j'aimais bien l'appeler, un peu plus loin devant moi. Je me rappelle bien l'épisode du bal. Mon nez et mon oeil se rappelaient très bien de son poing. Je détestais cette fille. Pas parce qu'elle m'avait frappé, mais parce qu'elle puait le rose vernis, autant que le bleu shtroumphfs, si vous voyez ce que je veux dire. Je la connaissais pas, mais je la détestais. Comme je voulais faire perdurer cet exploit que j'avais, je préférai faire demi-tour, espérant qu'elle ne m'ait pas vue.

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Le Summer Camp, je sentais que ça allait être un super bon truc. J'appréciais déjà pas mal mon équipe, mais aussi le fait d'être à un autre endroit qu'à Cambridge. On était en Floride quoi, la mer était super belle, les endroits aussi. On avait vraiment de la chance. Ça faisait quatre jours que le Summer Camp avait débuté, et ça avait bien commencé. En plus d'être sous-chef de mon équipe rose, j'étais avec Marshall, Victoria et Constance mes meilleurs amis. Bon y'avait pas Candice, ce qui m'attristait mais elle était chef de son équipe et j'étais contente pour elle. J’espérais juste que y'avait pas mes ennemis pour tout gâcher. En parlant d'une, Dixie. La fille qui nous avait aspergé de bière Apple, deux profs et moi. J'avais passé l'après-midi à me préparer, alors voir qu'on avait tout gâché alors que je connaissais même pas cette fille, ça m'avait vraiment énervé déjà que j'étais pas très calme lors de cette soirée, elle venait d'intervenir juste après une dispute. En échange, elle avait reçu un coup dans son nez et son oeil, j'estimais qu'elle le méritait. Sur un coup de tête, je pris une grande respiration et courrait vers elle, elle venait de faire demi-tour pour je ne sais quelle raison juste après m'avoir vu. On voulait m'éviter ? Je n'étais pas vraiment d'accord puisque je comptais lui parler à un moment ou un autre. Je l'arrêtais en me mettant devant elle. On peut parler.. ?

Dixie P. Hawson a écrit:
Ah non! Barbie s'est encore cassé un ongle?

Revoir Miss Barbie dans un autre contexte que le bal, c'était vraiment bizarre. Avant le bal, je ne l'avais jamais vue, et après le bal, je ne l'avais pas recroisée. Heureusement, parce que je lui aurais dit ma façon de penser, avec un poing en plus pour me venger bien comme il faut. Mais là, on était en Floride, au soleil, où je pouvais m'amuser, fêter, oublier mes problèmes, bronzer, me baigner dans l'immense étendue d'eau turquoise qui faisait rêver tout le monde, et voilà, quoi, j'avais pas envie de m'engueuler avec une Cabot qui se rangeait du côté des Eliot et qui allait pleurer si elle se cassait un ongle. Pas le goût de le faire ici c'est une chose, mais l'envie était et serait toujours présente, c'était le cas de le dire, je pouvais pas me le cacher. Soudainement, alors que je faisais demi-tour, j'entendis quelqu'un venir rapidement dans ma direction, derrière moi. Peut-être quelqu'un de pressé, après tout. Je ne m'arrêtai que lorsque je vis, devant moi, dans ma face, Blue-Ivy elle même. On peut parler.. ? Je croisai les bras sur ma poitrine, légèrement exaspérée. Elle me voulait quoi, maintenant? Pourquoi elle me parlait? Pour faire son spectacle et se rendre intéressante? Peut-être bien, ce serait fort plausible, venant d'elle, à ce que j'avais vu il y a quelques temps. Elle avait même réussi à causer du tort à Gwen, une amie à moi, avant le Summer Camp. « Parler? Parler de quoi? Et... tu veux parler comment? Avec ta bouche, comme tout le monde, ou avec tes poings? » Petite référence au bal, ici. J'attendis qu'elle me réponde, très sérieuse face à elle.

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Parler? Parler de quoi? Et... tu veux parler comment? Avec ta bouche, comme tout le monde, ou avec tes poings? je levais les yeux au ciel, en comprenant sa référence au bal. Avec ma bouche. dis-je en croisant les bras. Je serai sûrement pas venue la voir en tant normal, mais j'avais envie de tirer les choses au clair. On allait peut-être pas devenir amies mais je voulais au moins ne pas faire dans les coup de putes et je voulais pas gâcher mon été à cause d'histoires de gamines. J'sais qu'on est pas parti sur de bonnes bases, pas bonnes du tout même. Et j'm'excuserai sûrement pas pour ce que j'ai fait, je pense que si une fille que tu ne connais pas vient détruire ta robe, ta coiffure et ton maquillage, tu vas pas lui offrir des roses. J'ai peut-être réagi trop impulsivement mais j'étais déjà énervée après une dispute. Bon je vais pas chercher à me justifier de quoi que ce soit, j'ai mes tords dans cette histoire et tu en as aussi. Bref, je pense que pour toutes les deux il serait mieux de mettre toutes nos histoires de côté. Ça nous permettra de passer un bon été sans se lancer des regards noirs ou à se faire des coups pour une quelconque vengeance. Je pense que tu sais maintenant que s on tente quelque chose contre moi je ne resterai pas sans rien dire. Enfin bref j'te propose en quelque sorte une petite trêve, pas de coups de putes, pas d'insultes, pas de regards méchants. Tu peux accepter ou refuser, c'est comme tu veux mais je pense que comme moi tu voudrais passer de bonnes vacances. je repris ma respiration après ce petit speech et passais ma langue sur mes lèvres.

Ah non! Barbie s'est encore cassé un ongle?

Je n'eus même pas le temps de m'éloigner pour partir et disparaître de sa vue qu'elle me rattrapait presque à la course en me lançant un discours énorme. Je ne pus qu'écouter. Elle me sortit un truc tellement long et étrange venant de sa part que ça me semblait faux. Devrais-je la croire pour ce qu'elle disait? Selon moi, ça sortait tout droit de la bouche d'une poupée qui voulait paraître bien et qui cherchait à avoir le pouvoir dès qu'elle en aurait l'occasion. Oui, Blue-Ivy cherchait probablement à avoir la position de force dès qu'une gue-guerre se créerait entre nous deux de nouveau, afin que les gens soient de son côté. C'est pas comme ça qu'on fonctionne avec moi, Barbie! Mais bon, il fallait bien que je joue le jeu, que je fasse la gentille, celle qui acceptait cette espèce de trève qui ne durerait pas nécessairement longtemps - tout dépendamment de comment l'autre agirait. - « Ouais, d'accord. J'suis d'accord pour qu'on arrête d'se faire chier, ou qu'on arrête plutôt de se lancer de ces regards noirs constamment, mais moi non plus je m'excuserai pas pour ce que j'ai pu faire. Quoi, c'était bien marrant, et mérité. Donc voilà. Mais bon, je t'avertis tout de suite... pour l'été, j'fais rien, mais il n'en reste pas moins que je ne te porte pas dans mon coeur, Barbie. » Je passai une main dans mes cheveux en haussant les épaules, un petit sourire en coin. Connaissant un peu son caractère, je savais qu'elle allait soit me lancer une pique aussi, ou soit se fermer la gueule et...me frapper. Qui sait? Je prenais le risque, même si ce que j'avais dit ne valait en rien un coup d'poing.

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Spoiler:

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Ouais, d'accord. J'suis d'accord pour qu'on arrête d'se faire chier, ou qu'on arrête plutôt de se lancer de ces regards noirs constamment, mais moi non plus je m'excuserai pas pour ce que j'ai pu faire. Quoi, c'était bien marrant, et mérité. Donc voilà. Mais bon, je t'avertis tout de suite... pour l'été, j'fais rien, mais il n'en reste pas moins que je ne te porte pas dans mon coeur, Barbie. me répondit-elle en faisant la belle, à toucher ses cheveux et un petit sourire. La pauvre, elle savait pas que je pouvais faire la même chose, mais qu'entre nous deux la vraie peste c'est moi. On avait pas dit plus de piques.. Mais sinon, t'inquiètes pas, c'est réciproque. répondis-je simplement. Pas besoin de monter en pression pour rien, après tout il me suffisait juste de repenser au coup de poing que je lui ai donné en plein visage pour me calmer. N'empêche que c'était épic, mais j'avais pas trop compris pourquoi elle ne s'était pas vengée. Enfin, c'est une mather qui d'après ce que j'ai vu n'est pas sage du tout. Elle avait peut-être compris que ça n'allait jamais se finir sinon ? Parce que si elle se vengeait, bien sûr j'allais le faire aussi et ainsi de suite. Coups bas sur coups bas, sachant que je ne manquais pas d'imagination en matière de méchanceté. Mais il fallait que je me calme un peu, et arrêter de me faire trop d'ennemis. Ca pourrait me nuire par la suite. Juste une chose, je t'incite pas à le faire hein, mais pourquoi tu t'es pas vengée après mon coup de poing ? Tu vas pas me faire croire que t'avais pas que ça à faire. personnellement, une fille qui me colle un coup de poing, que je sois en tord ou pas dans l'histoire, elle s'en prend une aussi. Mais je ne regrettai quand même pas.

J’étais pas une fille méchante. Rancunière, peut-être, mais pas méchante. En réalité, ça dépendait des situations. Présentement, j’étais méchante parce que j’en voulais à cette garce de Cabot qui m’avait pété le nez et m’avait anéanti l’œil le temps d’environ deux semaines. D’autres fois, j’étais simplement rancunière, ou jalouse, ou triste, ce qui me rendait irritable. Mais là, je ne faisais pas ma garce. Ni ma bitch. Je jouais à la belle petite fille sage qui n’avait rien à se reprocher, même si je savais qu’asperger cette Cabot et quelques Eliot par la même occasion au bal avait été l’un des meilleurs moments de cette année maintenant terminée à Harvard. On avait pas dit plus de piques.. Mais sinon, t'inquiètes pas, c'est réciproque. Je lui offris un faux sourire, sarcastique bien comme il faut et pas sincère pour un sou, comme toute réponse. Après tout, que pouvais-je répondre? Ça me faisait juste rire intérieurement. Moi, je n’avais rien à me reprocher. Elle, si. C’était pas de ma faute si elle avait choisi la mauvaise confrérie en arrivant à Harvard et qu’elle était née du mauvais pied. Ouais, moi il m’arrive de me lever du mauvais pied, mais elle, cette Blue-Ivy alias Barbie Girl était NÉE du mauvais pied. Pauvre Barbie, j’avais presque pitié d’elle! Juste une chose, je t'incite pas à le faire hein, mais pourquoi tu t'es pas vengée après mon coup de poing ? Tu vas pas me faire croire que t'avais pas que ça à faire. Un grand sourire apparut sur mon visage, laissant découvrir mes dents parfaitement blanches. J’haussai les épaules, ne perdant pas toutefois mon sourire. Qu’attendait-elle que je dise? Ça me faisait juste rire, encore une fois, je la trouvais tellement pathétique. Je répondis, tout bonnement, en haussant une nouvelle fois les épaules : « Pourquoi je me suis pas vengée? Mmh.. parce que toi, ta réputation s’est terminée là, alors que moi je l’ai pas perdue. Oh! Mais si, t’as une réputation… La Barbie des Cabot et des Eliot : quelle belle famille soudée! Enfin bref, je me suis pas vengée parce que si je le faisais, t’aurais pleuré. Et j’supporte pas de voir des poupées pleurer.

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Pourquoi je me suis pas vengée? Mmh.. parce que toi, ta réputation s’est terminée là, alors que moi je l’ai pas perdue. Oh! Mais si, t’as une réputation… La Barbie des Cabot et des Eliot : quelle belle famille soudée! Enfin bref, je me suis pas vengée parce que si je le faisais, t’aurais pleuré. Et j’supporte pas de voir des poupées pleurer. elle avait quoi avec le mot Barbie/poupée ? Elle rageait peut-être de ne pas être une belle blonde. Non parce que quand on la voyait, on ne pouvait penser qu'à une fille vraiment bizarre avec ses cheveux crasseux, pour être vraiment polie. Elle montrait toutes ses dents blanches, que j'aurai bien cassé le soir du bal. Mais bon, vous comprenez, je ne pouvais pas m'occuper de tout le visage même si ça aurait été avec plaisir. Ma réputation s'est terminée là ? Je ne crois pas non. Je suis juste la fille qui défend ses amis. Figures toi que la présidente Anya est ma cousine, et Candice ma meilleure amie. Tu ne crois tout de même pas que j'allais laisser une fille faire mal à Candice ? A ma place, si tu aurais vu une fille toucher à ta meilleure amie, tu la laisserais faire ? Je ne pense pas non. Alors ne fais pas la gentille fille toute sage. après tout elle ne connaissait rien de l'histoire et elle s'était permise de venir rajouter son grain de sel, vraiment folle celle-là. Puis connaissant les mathers teeeellement soudés, ils s'y seraient mis à plusieurs pour venger une des leur. Après t'être donnée en spectacle pour te faire remarquer, je pense que rendre la monnaie de sa pièce aux personnes qui t'avaient frappées n'aurait pas été plus grave. Tu faisais déjà pitié au bal, alors une connerie en plus franchement.. répondis-je avec un petit sourire. Elle m’insupportais déjà, je ne sais pas si j'allais pouvoir tenir bien longtemps.

Ma réputation s'est terminée là ? Je ne crois pas non. Je suis juste la fille qui défend ses amis. Figures toi que la présidente Anya est ma cousine, et Candice ma meilleure amie. Tu ne crois tout de même pas que j'allais laisser une fille faire mal à Candice ? A ma place, si tu aurais vu une fille toucher à ta meilleure amie, tu la laisserais faire ? Je ne pense pas non. Alors ne fais pas la gentille fille toute sage. Oulala, mais c’était la cousine d’Anastasiya, la présidente de la Eliot House? Ça, je ne savais pas. Mais ce n’est pas ce qui allait m’effrayer, non plus. Je serais qui pour avoir peur? Oh, c’est vrai, elle m’avait pété le nez et l’œil au bal, mais ça ne voulait pas dire que j’allais prendre mes jambes à mon cou chaque fois que je la croisais, oh que non. Au contraire, ça me faisait même rire, à présent. Elle était pathétique, et ça se voyait, se croyant forte, au-dessus de tout le monde parce que sa cousine était la présidente de l’élite d’Harvard et sa meilleure amie était l’une des célèbres Eliot, tout aussi pathétique qu’elle. « Oh oh oh… T’es de la famille royale? Mais alors… ça explique tout! Mon Altesse, permettez-moi… » Je me penchai en effectuant le geste de la révérence, puis me relevant finalement avec un petit tour de bras pour lui démontrer que j’étais à ses ordres, quoi que c’était en rigolade, bien sûr. Je redevins un peu plus sérieuse. « Ah non mais sérieux, tu crois que c’est ce qui me fait peur? C’est ton amie Candice qui a commencé la scène du bar au bal, pas une Mather. On peut-être une réputation de drogués-saoulons-fumeurs excessifs et bagarreurs, c’est pas nous qui se prenons pour des rois. Vous vous attirez la sympathie de tout le monde parce que vous êtes exemplaires, mais dès que les gens ont le dos tourné, vous faites exprès pour jeter tout le monde dans le gouffre. Et c’est nous les pathétiques? C’est nous, les Mather, qui se donnons en spectacle? Ha-ha! Laisse-moi rire encore une fois. Eh merde! Après tu dis que c’est moi qui fait pitié! Tu t’es vue? À suivre tout le monde comme un p’tit chien de compagnie en te donnant un air de «je suis la reine du monde». Calme le dedans de ta culotte, ma chérie, parce que là-dessus, c’e sera jamais moi qui aura tord, peu importe ce que tu diras. » Aucune expression n’apparut sur mon visage. Ni haine, ni sourire : rien. J’avais juste dit ce qui était vrai, la vérité, la réalité, et elle pourrait réagir comme elle voudrait, j’avais raison.

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Oh oh oh… T’es de la famille royale? Mais alors… ça explique tout! Mon Altesse, permettez-moi… je savais pas si je devais rire. En tout cas elle faisait bien pitié avec son ton ironique. Ah non mais sérieux, tu crois que c’est ce qui me fait peur? C’est ton amie Candice qui a commencé la scène du bar au bal, pas une Mather. On peut-être une réputation de drogués-saoulons-fumeurs excessifs et bagarreurs, c’est pas nous qui se prenons pour des rois. Vous vous attirez la sympathie de tout le monde parce que vous êtes exemplaires, mais dès que les gens ont le dos tourné, vous faites exprès pour jeter tout le monde dans le gouffre. Et c’est nous les pathétiques? C’est nous, les Mather, qui se donnons en spectacle? Ha-ha! Laisse-moi rire encore une fois. Eh merde! Après tu dis que c’est moi qui fait pitié! Tu t’es vue? À suivre tout le monde comme un p’tit chien de compagnie en te donnant un air de «je suis la reine du monde». Calme le dedans de ta culotte, ma chérie, parce que là-dessus, c’e sera jamais moi qui aura tord, peu importe ce que tu diras. là par contre, je pouvais pas m'empêcher de rire. Il y a une différence entre défendre ses amis et être un chien. Mais tu ne dois pas être assez intelligente pour comprendre. comme si elle défendrait jamais sa meilleure amie, peu importe ce qu'elle ferait. J'aimais pas qu'on fasse du mal à mes amis et c'était tout à mon honneur. Fallait pas qu'elle rage maintenant. Ne me mets pas dans le même sac qu'eux. Tu ne les connais même pas en plus de ça. Tu parles de p'tit chien ? Mais c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Tu n'aimes pas Eliots parce que tes copains les autres mathers ne les aiment pas. Tu es allée les défendre comme un petit chien lors du bal. Mais eux, est-ce qu'ils t'ont défendue ? Hmm.. non. Alors sur ce point, tu n'as absolument rien à dire. Tu me fais plus pitié qu'autre chose. Je ne me suis jamais prise pour la reine du monde, je suis simplement allée défendre mes amis. Rien de plus normal. Si défendre ses amis et aussi se défendre c'est se prendre pour la reine, alors tous tes amis se prennent pour des rois.

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