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we could call it even (enola)

2 participants
Ford Fletcher

Âge : 38
Lieu de naissance : so long, london. dans l'espoir de l'avoir quitté pour toujours.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un condo lumineux et confortable. à temps partiel dans un domaine hanté en banlieue de la ville
Situation sentimentale : work first, son téléphone jamais fermé, jamais déconnecté.
Études / Métier : assistant personnel de wendy witter, ayant vendu son âme au diable.
Date d'inscription : 01/07/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : saturday (elle)
Icon : we could call it even (enola) - Page 2 Ny4DFgV
Faceclaim : ben barnes
Crédits : (ava) lilie.
Multicomptes : nope
Description (1) : we could call it even (enola) - Page 2 39e2b013e8d496a6157dc55dcbf8bb75

Warnings : grossesse, mention d'avortement, abandonnement parental, alcool, drogue, abus de médicaments avec prescription, violence physique et émotionnelle par un parent, nyctophobie, décès d'un proche (vieillesse)
RPS : 34
Messages : 48
Préférences de jeu
veritas
Ford Fletcher
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t172157-ford-fletcher-ben-barnesRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t172679-ford-fletcher-repertoire-rps
we could call it even

12 décembre 2022

boston

tw :


Ford tente de s'intéresser à la jeune femme qui lui fait face, si ce n'est pour pouvoir dire à Betty qu'il a essayé de lui donner une chance. « J’sais pas, changer le monde, une connerie du genre. » Ford hausse un sourcil, réalisant que clairement, ils vivent dans des réalités parallèles. Cet espoir, ce romantisme, cet optimisme, ça le dépasse franchement. Il peut facilement s'imaginer une jeune Enola, des rêves plein la tête, le coeur sur la main. Ford est beaucoup trop pragmatique, ayant éradiqué ces tendances dès son plus jeune âge. Oh, et c'est toujours à l'agenda ? demande Ford, presque certain que la blonde cache encore ses espoirs pas très loin sous ses découragements récents.

Le nez dans son thé, Ford est conforté par le liquide ambré de son pays. Le sujet commun des habitudes américaines semblent une fondation plus solide de conversation. Au moins, il ne risque pas de froisser Enola de ses convictions sur l'amour et le mariage. « Ca c’est bien vrai. Mais pour vous répondre, je ne sais pas si ça me plaît, disons que … c’est un boulot comme un autre. Je ne suis pas encore tout à fait à l’aise. Je prends mes marques, même si j’ai grandi entre ses murs. » répond Enola. Ford lui souhaite de trouver ses encrages, de ne plus être à la dérive dans sa propre vie, mais il est évident qu'ils sont incompatibles à ce point. Ford préfèrerais être chez lui pour ordonner ses habitudes et tenter de trouver le sommeil. Betty est une dame comme pas deux, mais Ford doute grandement de ses capacités d'entremetteuse. « Et vous ? Votre vie ? Des projets ? » La grande question. Si Ford refuse de parler de son passé, le futur semble un sujet moins pointu. Je suis présentement assistant personnel d'un CEO ayant hérité de beaucoup trop d'argent et déconnecté de la réalité. Ça ne fait aucune différence dans l'univers mais ça paie pour le nécessaire.  Ford hésite à ajouter qu'il y est particulièrement efficace et expérimenté, ce serait vrai, pas que ça risque de faire bonne impression chez la blonde. Ford en profite pour ouvrir le menu en face de lui, ayant déjà étudié l'ouvrage sur le site internet de l'établissement plus tôt aujourd'hui. Peut-être que son geste encouragera Enola à faire de même, qu'ils puissent commander, manger et terminer la soirée de platitudes en sachant très bien qu'ils ne donneront pas suite à ce rendez-vous. J'ai entendu dire que le steak et les fruits de mer sont excellents. Vous avez des restrictions alimentaires ? demande l'anglais. Si la jeune femme est végétarienne, les choix seront limités, mais pas impossibles.
(Ford Fletcher)


old wounds still hurts
Find me alone at midnight Inside my mind, trying to get things right.
Enola Parker

Âge : 33
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : Beacon Hill, dans un appartement trop petit pour toutes ses plantes.
Situation sentimentale : Divorcée de son premier amour, lasse du second.
Études / Métier : Propriétaire d'un troquet
Date d'inscription : 09/06/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Leeloo. (elle)
Icon : we could call it even (enola) - Page 2 RuQIOr6
Faceclaim : Blake Lively
Crédits : oseftier ♥
Multicomptes : Haiwee, Wendy, Ellie, Miya; Taylor & Junior
Description (1) :
Et si la lumière s'éteint, on la rallumera demain.
we could call it even (enola) - Page 2 OII3Id2

Si j'étais ...

une plante ; une monstera variegata. un animal ; un félin. un élément ; l'eau. une saison ; l'automne. un sens ; le toucher. un pays ; la Thailande. un livre ; Little Women. un personnage ; Meg March. un mot ; Imagine. une chanson ; For blue skies - Strays Don't Sleep. un dessert ; un fraisier. une boisson ; un thé menthe une qualité ; la bienveillance. un défaut ; l'indécision. une émotion ; le désir.

we could call it even (enola) - Page 2 MPVY7Tp
Edgard, true love.

Description (2) :
It's my life...


Andrew → pnj, conjoint actuel, assez absent faute d'un travail prenant.
Jared → ex-mari, premier amour, affection encore présente.
Ace → client habituel, ami, prof de piano.
Ford → premier rdv officiel après son divorce, une catastrophe.
Jasper → ami de toujours malgré les aléas de la vie.

... it's now or never.

Warnings : préjugés - agent de protection rapprochée (ex mari) - divorce
RPS : 81
Messages : 416
Préférences de jeu
veritas
Enola Parker
est en ligne
WRECKED SOULS › waiting for a moment

WE COULD CALL IT EVEN

♪♫
| Boston | Restaurant
| 12 12 2022






Au regard qu’il lui lance, elle reste un tantinet perturbée. Elle sait bien que c’était des idéaux un peu idiots… Mais ce n’est pas nécessaire de le lui souffler en une œillade, quasiment condescendante. « Oh, et c'est toujours à l'agenda ? » Elle en sourit, parce qu’elle comprend que la question n’est pas sérieuse. Alors elle secoue le visage par la négative, de toutes les façons, elle ne croit pas que ce soit bien nécessaire de poursuivre sur le chemin de cette discussion.

Et quand elle tente de faire glisser le sujet sur lui, l’interroger sur ce qu’il fait et veut dans la vie, « Je suis présentement assistant personnel d'un CEO ayant hérité de beaucoup trop d'argent et déconnecté de la réalité. » Ca, ce n’est pas quelque chose qui la fait rêver, sans trop juger, « Ça ne fait aucune différence dans l'univers mais ça paie pour le nécessaire. » Elle imagine que oui, c’est ce qu’on appelle un travail alimentaire. Même si elle dodeline de la tête d’une façon entendue, elle se tait, elle a compris qu’il n’a pas envie de s’épancher, et quand il prend le menu entre ses mains, c’est pour l’achever. « J'ai entendu dire que le steak et les fruits de mer sont excellents. » Il lui en dira tant, elle sourcille en soupirant, « Vous avez des restrictions alimentaires ? » Alors ça, elle ne s’y attendait pas. C’est comme si elle allait faire un contrôle chez le docteur. Elle se mord sa lèvre inférieure, contient son agacement, et puis elle explose, forcément. « Ford, sur une échelle de un à dix, à combien vous avez envie d’être là ? » Parce que la question sur les allergies elle a fait descendre à deux celle d’Enola. « Un ? Zero ? » qu’il parte, elle ne le retient pas.

MADE BY @ICE AND FIRE.
(Enola Parker)




nola
But I always regret
the night I told you
I would hate you 'til forever