( ethan ) âmes enlacées.

@Ethan Meyers — Je sens le frisson parcourir ma peau lorsque la main d'Ethan presse doucement ma cuisse, un geste familier qui réveille en moi des sensations entremêlées de désir et de nostalgie. Ses mains caressent ma peau comme si elles avaient toujours suivi les courbes secrètes de mon corps, comme si chaque centimètre carré était un territoire exploré et conquis. Son regard, profond et captivant, m'attire irrésistiblement. Nos yeux se rencontrent dans une intimité troublante, comme si nos âmes communiquaient à travers ce lien indéfectible qui nous unit malgré les tempêtes. Mes doigts glissent lentement sur son torse, suivant les lignes musclées et les contours familiers, une danse féline et joueuse qui réveille les souvenirs d'une passion passée. Je m'approche doucement de son bas ventre, une caresse audacieuse qui électrise l'atmosphère déjà chargée de tension entre nous. Un sourire malicieux se dessine sur mes lèvres alors que je sens sa réaction, son souffle qui s'accélère légèrement, ses yeux qui brûlent d'une lueur que je connais bien. — Ethan, , murmurai-je d'une voix à la fois douce et autoritaire, laissant planer dans l'air un défi implicite, une invitation à céder au désir qui crépite entre nous. La tension qui entoure la pièce est palpable, comme une promesse suspendue dans le temps, un équilibre fragile entre retenue et abandon. Nos corps vibrent à l'unisson, captifs de cette attraction irrépressible qui nous pousse à franchir les frontières que nous avons érigées. Nous sommes des danseurs sur une scène privée, échangeant des regards brûlants, des touches insouciantes qui dessinent des courbes invisibles dans l'air. Dans cet instant suspendu, nous jouons avec le feu de nos désirs refoulés, prêts à céder à la tentation qui danse entre nous comme une flamme vivace dans la nuit. — Donne-moi un ordre, Ethan, susurrai-je, un défi déguisé en invitation, mon regard plongeant dans le sien avec une intensité troublante. Dans cet échange silencieux, nous savons tous les deux que nous sommes à la merci de cette connexion intense, prêts à abandonner toute prudence pour nous perdre dans le tourbillon de nos émotions.

@Pandora Nephalem — Cette tension était de plus en plus présente et ce n’était pas forcément pour te déplaire. Pourtant le lendemain de ce plaisir charnel, tu t’étais promis de ne jamais recommencé. Pas avec elle, tu ne pourrais pas supporter si tu venais à briser cette amitié pour une histoire de sexe. Clairement, en ce moment même, tu ne te voyais pas vivre sans elle, même si les nombreuses disputes pouvaient être lassante, tu avais besoin de voir son visage, son sourire et lire ses messages à tout heure du jour comme de la nuit. Elle était sur toi, son corps contre le tien, ses mains qui glissaient contre ton torse, étalant la crème sur ta peau rougie par le soleil. Ton regard planté dans le sien, ta main qui se pose sur sa cuisse, tes doigts glissants sur sa peau. Tu te rendais de ce que tu faisais et que tu glissais sur une pente bien dangereuse. Tu arrêtais de suite les mouvements, pour attraper son visage entre tes mains « Je ne te donnerais pas d’ordre, je ne veux pas faire de chose que je vais regretter derrière. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu ne savais pas comment elle allait le prendre, tu espérais simplement qu’elle n’allait pas te faire la gueule. Tu tenais trop à elle pour recommencer comme la dernière fois, surtout que cette fois-ci, l’alcool n’était pas présente…

@Ethan Meyers — Je ressens une piqûre douloureuse dans ma poitrine, un écho sourd à travers chaque mot prononcé par Ethan. Ses mains qui se retirent doucement de ma peau, ses yeux qui cherchent les miens mais n'y trouvent pas l'élan passionné qu'ils espéraient. Je comprends, dans un instant cristallisé, que notre danse intime n'est qu'une mélodie pour moi, tandis qu'il la voit comme une simple improvisation, agréable mais éphémère. Les souvenirs de nos rires complices, de nos confidences nocturnes et de nos regards chargés de sens résonnent dans mon esprit, comme des étoiles brillantes soudainement obscurcies par les nuages. J'ai cru en une connexion qui transcenderait l'amitié, une fusion d'âmes que je sentais vibrer à chaque contact, à chaque regard échangé. Mais maintenant, ses paroles résonnent comme des barrières dressées entre nous, des limites que je n'ai pas vu venir. Je m'étais laissée emporter par l'élan de nos étreintes, par la douceur de ses gestes familiers, ignorant peut-être les signes qui auraient dû me prévenir de cette fin prévisible. Je me redresse doucement, rassemblant mes émotions dans un silence brisé par le crépitement de mes pensées tourbillonnantes. Je veux lui dire que je comprends, que je respecte ses limites et ses choix. Mais chaque mot se coince dans ma gorge, étouffé par le poids de la déception silencieuse. Les fissures dans mon cœur se dessinent lentement, des fissures que je savais fragiles mais que j'avais espéré voir se transformer en une trame solide, tissée de complicité et de désir partagé. Maintenant, je réalise que je suis seule dans cette attente, mes rêves de nous deux flottant comme des bulles de savon, éphémères et insaisissables. Je lui offre un sourire triste, un dernier regard où se mêlent gratitude pour ce que nous avons partagé et acceptation pour ce que nous ne serons jamais. Allongée à côté de lui, j'observe le plafond je dois briser le silence. — Tu restes dormir ici cette nuit ?