( ethan ) âmes enlacées.

@Ethan Meyers — La nuit s'installe doucement à la Dudley House, et je suis là, assise sur le rebord de la fenêtre de ma chambre, regardant à travers les volets entrouverts. Le ciel est d'un bleu profond parsemé d'étoiles éclatantes, et l'air est imprégné du parfum sucré des fleurs du jardin en contrebas. Ça fait plusieurs jours maintenant que nous nous sommes évités, perdus dans une énième dispute qui a laissé nos cœurs écorchés. Pourtant, ce soir, je l'attends, le cœur battant d'anticipation mêlée d'appréhension. Nos échanges houleux résonnent encore dans ma tête, mais sous la surface tumultueuse de nos querelles, je sens toujours ce lien indéfectible qui nous relie, comme un fil invisible mais solide. Lorsqu'il franchit enfin le seuil de ma chambre, une lumière chaleureuse semble briller dans l'obscurité. Son regard rencontre le mien, et je vois dans ses yeux la même lueur troublée que la mienne. Une brise légère fait doucement flotter les rideaux, et alors que je me lève pour le rejoindre, des flashs de notre nuit ensemble me submergent. Corps qui se redresse, l'observe. — Je déteste tes absences, le vide que tu laisses.

@Pandora Nephalem — Une journée au bord de l’eau en parfaite compagnie, cette amie que tu connaissais depuis maintenant si longtemps. Tu savais qu’elle n’était pas au plus haut de sa forme et le meilleur moyen pour elle était de s’échapper d’ici. Tu la comprenais et c’est pour ça que tu la laissais partir, tu ne pouvais rien faire d’autre pour l’aider. Une après-midi à rire et à finir dans l’eau, des magnifiques coup de soleil et tu continuais cette soirée avec elle, ta meilleure amie. Cette femme qui arrivait autant à te rendre heureux comme à te rendre dingue avec simplement des paroles. Le feu et la glace, blanc et noir, ça décrivait totalement ta relation avec elle, très tumultueuse, mais avec beaucoup d’amour. Peut-être un peu trop ? Ce qui faisait qu’à la moindre notion d’une autre personne, le coeur s’emballe, le sang ne fait qu’un tour et les disputes s’envolent. Tu ne les comptais plus à force, tu laissais juste le temps faire et les jours passaient, sans aucune nouvelle, sans aucun message. Après une longue douche, tu enfilais tes vêtements pour te rendre à la Dudley dans le but de la retrouver et passer un peu de temps avec elle. Tu garais ta voiture sur le parking arrière, finissant le trajet à pied. Ainsi tu pouvais réfléchir à tout ces derniers moments dont cette soirée, une énorme bêtise et tu disais ne pas te souvenir de ce moment charnel partagé avec elle. Pourtant, c’était bien ancré dans ta tête et tu n’arrivais pas à l’oublier et passer au-delà de tout ça. Léger soupire s’échappait de ta bouche, tu poussais la porte de sa chambre, posant ton regard sur la jeune femme. « Je n’aime pas quand on est en froid. » finissais-tu par souffler doucement. La prenant dans tes bras, sentir son parfum et sa présence, entendre sa respiration. Tu posais doucement ta tête contre la sienne, fermant un instant les yeux. « J’espère que tu es prête, mais j’ai bien besoin de crème sur l’ensemble de mon corps. » rigolais-tu, faisant allusion à ces nombreux coups de soleil.

@Ethan Meyers — Ses pas résonnent doucement dans ma chambre, chaque pas un battement contre mon cœur qui tambourine dans ma poitrine. Je le regarde, ses yeux cherchent les miens, et je sens mon souffle se bloquer légèrement. Ethan, mon ami, mon confident, celui qui m'a sauvée de mes démons à maintes reprises, se tient devant moi avec cette lueur dans les yeux que je connais si bien. Il me prend dans ses bras, et malgré moi, je me sens fondre un peu. Sa chaleur me réconforte, son parfum familier me ramène à tant de souvenirs partagés. Je laisse ma tête reposer contre la sienne, savourant cet instant de proximité qui semble si précieux après tant de jours de silence. — Moi aussi, tu sais., lui réponds-je doucement, mes mots presque étouffés par l'émotion. Je suis tentée de lui dire à quel point il m'a manqué, combien son absence a creusé un vide que je n'ai pas su combler. Mais les mots restent en suspens, car nous avons toujours eu cette habitude de laisser les gestes parler pour nous. Quand il fait allusion aux coups de soleil, je ne peux m'empêcher de sourire malgré moi. — Tu es incorrigible, répliqué-je avec une pointe de taquinerie dans ma voix. C'est ça que j'aime chez lui - sa capacité à alléger l'atmosphère, même dans les moments les plus tendus. Mais derrière notre apparente légèreté, je sens que quelque chose pèse encore entre nous. Cette nuit dont nous prétendons ne pas nous souvenir, mais qui hante nos pensées. Je me mords la lèvre inférieure, hésitante à aborder le sujet. Mais avant que je puisse trouver les mots, la peur me gagne. — Retire tes fringues, je vais te soulager.

@Pandora Nephalem — Tu n’es pas du genre à te prendre la tête, tu évites toujours les embrouilles mais avec elle, c’était différent. À chaque fois les discussions finissaient mal et les tons augmentaient jusqu’au point de ne plus parler. Tu revenais souvent le premier, mais peut-être qu’un jour tu arrêteras de revenir. Tu tenais à elle, tu ne pouvais pas dire le contraire mais où étais tu prêt à aller pour elle ? Tu l’avais aidé pendant ses moments les plus difficiles. Tu as toujours été une petite oreille attentive et tu tentais en vain de lui donner des bons conseils, mais la jalousie et la possessivité prenaient parfois trop le dessus sur cette relation. Quelques messages envoyés et tu avais accepté de la rejoindre ou du moins, tu n’avais pas vraiment eu le choix. Moment imposé, tu l’avais rejoint dans sa chambre. Elle aurait pu venir chez toi, ça aurait été plus calme et plus simple, mais tu respectais son choix et son envie. Des vêtements assez basiques qui retrouvaient ton corps, un peu rouge suite à ta sortie de l’après-midi. C’était ça de vouloir faire le beau et ne pas se protéger, tu allais vite le regretter quand l’heure du sommeil sera arrivée. Tu avais franchi le seuil de la porte, le regard posé sur cette jeune femme. Longue amitié qui avait connu un autre tournant, mentant pour ne pas mettre en danger cette relation. Pourtant, tu te rappelais de chaque minute, chaque seconde de ce moment charnel. Du plaisir, tu en avais pris et tu ne pouvais pas dire le contraire. Mais il était mieux de ne pas recommencer, il serait trop tard pour faire marche arrière. Tu la prenais dans tes bras, habitude qui ne disparaissait pas et ce, malgré les nombreuses disputes. Tu savais que ce n’était qu’une dispute parmi tant d’autre et que ça ne changerait certainement jamais. Ton regard se plongea un instant sur la jeune femme. Rigolant à ses paroles et haussant doucement les étoiles. « Tu sais que dis comme ça, j’ai pas l’impression que tu me parles de la pommade. » content de ta connerie, tu enlevais doucement ton haut et ton short. Elle t’avait déjà vu plus d’une fois en boxer et même nu, tu n’avais plus rien à cacher. « Je suis prêt à souffrir ! » petite moue boudeuse, mais tu l’avais bien cherché. Tu ne pouvais que t’en prendre à toi, la prochaine fois tu prendrais de la crème solaire avec toi.

@Ethan Meyers — Je le regarde franchir le seuil de ma chambre, ses pas résonnant doucement sur le sol. Ethan, celui qui a toujours été là, même dans nos moments les plus sombres et tumultueux. Son regard rencontre le mien et je sens une onde de soulagement m'envahir, mêlée à une pointe d'incertitude. Nos disputes, si fréquentes, semblent toujours laisser derrière elles une trace profonde dans nos cœurs. Il s'approche de moi et m'enlace, comme s'il voulait effacer toutes les tensions qui nous ont séparés ces derniers jours. Je sens son corps chaud contre le mien, et malgré moi, je me sens apaisée par sa présence rassurante. C'est comme retrouver une partie de moi-même que j'avais perdue dans nos éclats de voix et nos silences pesants. Sa remarque pleine d'humour me fait esquisser un sourire, même dans cette atmosphère chargée d'émotions retenues. — Tu sais bien qu'avec toi, les choses ne sont jamais tout à fait comme elles paraissent, lui réponds-je avec un léger rire, cherchant à alléger l'atmosphère tendue entre nous. Il enlève ses vêtements, révélant une peau rougie par le soleil, et je ne peux m'empêcher de sourire devant sa désinvolture. Ethan a toujours eu cette capacité à prendre les choses avec légèreté, même quand les circonstances ne le permettent pas. Je le regarde, le cœur serré d'une tendresse mêlée d'inquiétude. — Je suis désolée pour tout ça, Ethan, murmurai-je finalement, mes doigts caressant doucement sa joue. — Je ne voulais pas que ça devienne aussi compliqué entre nous. Ces disputes... c'est comme si on ne savait pas comment se parler sans se blesser. Mes yeux cherchent les siens, espérant y trouver une réponse à nos tourments silencieux. — Je sais pas exprimer ce que je ressens, combien tu comptes pour moi... je suis excessive je le sais, mais je suis sincère t'es mon autre j'ai besoin de toi. Je m'arrête, ma main toujours posées sur sa joue, cherchant à transmettre toute la tendresse et la sincérité de mes sentiments à travers ce contact simple mais révélateur. Dans son regard, je lis une histoire commune faite de hauts et de bas, de rires et de larmes, de moments partagés qui ont tissé entre nous des liens indéfectibles. Peut-être que, malgré tout, nous sommes destinés à traverser ces épreuves ensemble, à apprendre à nous comprendre et à nous aimer malgré nos imperfections et nos différences. Le toucher ravive cette flamme de l'autre soir, ce besoin de l'avoir contre ma peau. L'envie qu'il me touche à nouveau.

@Pandora Nephalem — Le temps avance et tu te rapproches de plus en plus du moment que tu n’oses pas imaginer. La fin de tes études sera dans un peu plus d’une année et à ce moment là, tu prendras ton envol pour commencer ta vie professionnelle. Malgré le fait que tu faisais une spécialisation pour faire plaisir à ton père, tu savais qu’au fond de toi tu partirais sur le terrain. Reporter de guerre, c’était au centre de l’action qu’il fallait être et non pas dans un bureau derrière un écran. Alors, tu n’imaginais pas ce moment où tu quitterais tout le monde, partant pour quelques mois, sans aucune promesse de revenir. Ce moment, dans le fond, tu le repoussais encore un peu et principalement pour elle. Tu ne savais pas comment ce petit bout de femme pourrait le prendre. Elle qui était tellement attachée à toi et inversement, malgré ces nombreuses disputes, ces débats et ces moments de creux, tu l’appréciais et tu ne voulais pas le blesser. Parfois tu pouvais être violent dans tes paroles, c’était ça ta force, tu n’avais pas besoin de te battre car généralement tes paroles suffisaient amplement. Le problème, c’est que tu n’allais jamais en demie-mesure même avec elle, tes paroles dépassaient de temps en temps tes pensées. « Tu n’as pas tord sur ce côté-là. » laissais-tu glisser doucement de ta bouche. Tu avais fait en sorte de détendre l’atmosphère restant toi-même, une personne de base très joyeuse, naturelle et sans prise de tête. Tu enlevais tes vêtements comme elle te l’avait demandé, te retrouvant en simple boxer face à elle. Chose qui ne te choquait pas, ce n’était pas la première fois et certainement pas la dernière fois que ça allait arriver. Sa main qui glissait le long de ta joue, ton regard qui se plantait dans le sien. « Je suis également désolé pour mes paroles. » avouais-tu. Tu haussais doucement tes épaules suite à sa phrase « C’est possible qu’on ne sache pas communiquer correctement. » où trop d’amour refoulé pour que ça puisse fonctionné. Un léger sourire se glissait sur tes lèvres et de tes mains tu venais entourer son visage, déposant un délicat baiser sur son front. « Oublions ça et avançons. » proposais-tu calmement, profiter jusqu’à la prochaine tempête.

@Ethan Meyers — Dans le silence feutré de ma chambre, ses mots résonnent comme une douce mélodie, empreints de cette sincérité qui touche mon cœur en plein vol. Ethan, avec toute sa fougue et sa franchise, admet ses faiblesses tout en offrant une olive branch. Ses gestes, toujours empreints de cette affection sans fard, me rappellent pourquoi malgré tout, il reste ancré dans le paysage mouvementé de ma vie. Je sens la chaleur de ses mains entourer mon visage, ses doigts caressant doucement mes joues comme pour effacer les traces des mots durs échangés. Son baiser délicat sur mon front est un doux murmure d'apaisement, une promesse muette de tourner la page sur nos querelles passées. Un sourire timide naît sur mes lèvres alors que je plonge mon regard dans le sien, cherchant à y lire l'avenir incertain qui nous attend. — Oui, oublions, souffle-je doucement, sentant un poids s'élever de mes épaules. — Avançons ensemble, un pas à la fois, en faisant fi des tempêtes qui pourraient encore s'abattre sur notre chemin. Les mots, si souvent enclins à blesser, trouvent enfin leur chemin vers une entente tacite, où nos cœurs parlent un langage plus vrai que celui de nos discours parfois maladroits. Nous sommes faits de contradictions et de passions enflammées, mais aussi d'une tendresse inattendue qui unit nos âmes malgré les tourments. Je prends doucement ses mains dans les miennes, ressentant chaque ligne et chaque cicatrice qui racontent notre histoire commune. — Allé allonge toi, je vais t'en mettre. Je le laisse sinstaller et je me met a califourchon au dessus de lui. Un déjà vu a nouveau. Creme que je viens etaler sur sa peau.

@Pandora Nephalem — Ton coeur qui bat lentement, ton regard qui visualise ce qui t’entoure et qui se pose enfin sur la petite blonde face à toi. Des retrouvailles après des jours sans un message, sans un échange. Comme toujours, des disputes qui viennent fragiliser cette relation petit à petit. Des retrouvailles, mais pour combien de temps ? A vrai dire, tu n’en savais que trop rien, surtout après la proposition de ton amie à se joindre à ce fameux road trip. Comment Pandora le prendrait ? Certainement très mal et c’est bien pour ça que tu n’allais pas lui en parler pour le moment. Malgré tout, ça te faisait du bien de la retrouver, de pouvoir sentir son corps contre le tien, cette présence, tu en avais besoin. Même si tu ne le disais pas forcément, elle était importante à tes yeux. Petite princesse, douce et fragile qui se cachait derrière une facette, un coeur de pierre et un caractère bien trempé. Tu hochais simplement la tête quand elle accepta de mettre ça de côté. Un léger sourire qui se dessinait sur ton visage, illuminant celui-ci. « Je suis d’accord. » autant profiter des bons moments tant qu’il y en avait, avant qu’une prochaine tempête vienne obscurcir le paysage. Ses mains qui se posent contre les tiennes, cette sensation de déjà vu, agréable sensation, mais que tu devais chasser de tes pensées. « A vos ordre. » soufflais-tu en te moquant légèrement, prenant place sur son lit, la laissant s’installer sur toi. Ton palpitant qui s’emballe légèrement en sentant ses mains glisser le long de ton corps. « Je ne dis pas non à ce que tu prennes soin de moi, plus souvent. » laissais-tu glisser entre tes lèvres avec une pointe de malice.

@Ethan Meyers — Je sens le battement de mon cœur s'apaiser lentement à mesure qu'Ethan se tient devant moi, son regard captant chaque détail de notre retrouvaille. Des jours de silence brisé par nos retrouvailles, chaque instant chargé d'une tension palpable mais aussi d'une familiarité réconfortante. Malgré nos disputes, il y a cette connexion indéniable qui nous lie, une force magnétique qui nous ramène toujours l'un vers l'autre.Ses mots résonnent doucement dans l'air, un accord tacite pour mettre de côté nos différends et se perdre dans le moment présent. Un sourire éphémère danse sur mes lèvres alors que je prends place à ses côtés, mes mains trouvant naturellement leur chemin le long de son dos, cherchant à apaiser les tensions accumulées. Chaque caresse est une invitation silencieuse à la réconciliation, mes doigts explorant la texture familière de sa peau, marquée par les émotions de notre passé tumultueux. Je laisse mes gestes parler là où les mots ont échoué, laissant mes sentiments s'exprimer à travers chaque contact, chaque effleurement. Ses yeux, d'un bleu profond, captent les miens dans une étreinte silencieuse, où nos cœurs se comprennent sans avoir besoin de phrases. Je me perds dans la chaleur de son corps sous mes mains, mon esprit tourbillonnant de souvenirs et d'émotions mêlées. Il est à la fois mon remède et ma tentation, celui qui apaise mes tourments tout en ravivant mes désirs. Lorsqu'il murmure avec un soupçon de malice, mes lèvres s'étirent en un sourire espiègle. — Je suis à tes ordres, réponds-je doucement, mes doigts continuant leur danse légère sur sa peau, explorant chaque centimètre avec une tendresse mêlée d'une envie troublante. — Ta peau est si douce. souffle-je, ma voix se mêlant au murmure de la nuit qui enveloppe nos émotions entrelacées.

@Pandora Nephalem — Des retrouvailles, de la tendresse, de l’amour, de la proximité. C’était souvent comme ça après la tempête, le moment de calme et de creux. Là où la guerre s’est arrêtée le temps d’un instant et tu ne pouvais pas dire le contraire, c’était agréable. Tu l’appréciais cette femme, tu donnerais tout pour qu’elle soit heureuse, mais ce n’était pas tout les jours évidents. Tu le savais, tu avais ta part de responsabilité dans tout ça et tu tentais de travailler là-dessus. Faites l’amour et pas la guerre, peut-être que tu devrais prendre au mot ce dicton. En tout cas, aujourd’hui tu venais la voir dans un esprit de paix et profiter de ce moment. Dissiper toutes les tentions et repartir sur une bonne note, c’était ce qui allait se passer puisque tu avais besoin de ses talents pour diminuer les coups de soleil. Après ce moment de tendresse, te voilà allongé dans son lit, prêt à serrer les dents quand elle passera à certains endroits plus sensibles que d’autres. « Il ne faut pas me le dire deux fois ça ! » grand sourire qui s’affiche sur ton visage. Elle n’était pas prête si elle se lançait dans ce genre de jeu, tu allais lui en faire voir un paquet. Ses doigts qui glissaient sur ta peau, tu devais l’admettre, ça restait tout de même très agréable, voir même un peu trop. Des souvenirs d’une nuit qui se glissaient dans ta tête, cette même position dans le même endroit. Ton regard qui s’accrochait au sien pour tenter de ne pas penser à d’autre chose, pas maintenant, c’était beaucoup trop dangereux. « Si tu savais le nombre de crème que je mets pour obtenir ce résultat. » tu n’étais jamais sérieux et d’un côté, c’était certainement mieux. Ta main se posa sur sa cuisse « Toi aussi ta peau est douce. » tu caressais son derme avec le bout de tes doigts, ton regard qui cherchait chaque émotion de la jeune femme.