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i'm gonna love the hell out of you
I'm gonna love the hell out of you
Take all the pain that you're going through
I'll bring you heaven if that's what you need
'Cause you've always loved the hell out of me
Take all the pain that you're going through
I'll bring you heaven if that's what you need
'Cause you've always loved the hell out of me
Dimanche 7 avril 2024
Deux semaines. Cela fait officiellement deux semaines que Charlie est rentrée de Miami pour Spring Break, deux semaines qu’elle et Lewis se sont mis officiellement en couple et qu’ils tentent l’aventure. C'est quelque chose de nouveau pour la brunette et lorsqu’elle se réveille seule, dans son lit trop froid, elle ne peut s’empêcher de penser à Lewis et au fait que son corps chaud blotti contre le sien lui manque. Bien sur deux semaines ce n’est rien sur le courant d’une vie, ça ne représente qu’une infime partie des mois et des années qui représente une vie, mais pour Charlie c’est une nouvelle étape. Elle n’a jamais été avec qui que ce soit et elle a l’impression que tout ce qu’il se passe avec Lewis lui donne envie de continuer. Elle n’a jamais voulu être en couple et puis il a débarqué dans sa vie pour tout chambouler, pour le plus positif. Un sourire aux lèvres en pensant à l’ancien militaire, elle attrape son portable et lui envoie un simple message (deux semaines avec un petit cœur), juste pour lui faire comprendre qu’elle pense à lui. Elle vient caresser la tête de Bucky qui ronronne contre elle et sort de son lit pour aller se faire couler un long café. Depuis sa première panique il y a des semaines, Lewis et elle ont à peine passé plus de deux jours séparés à part pour son voyage à Miami. Si ce n’est pas elle qui reste chez lui, c’est lui qui vient passer la nuit. C’est comme si ils ne peuvent plus se passer l’une de l’autre. Elle enfile un pull que Lewis a laissé chez elle et prend une respiration alors que son odeur emplie ses narines, la faisant sourire davantage. Oui, ce n’est pas simple, mais il la rend heureuse, plus heureuse qu’elle ne l’a jamais été. Il découvre peu à peu ses pires côtés, mais au lieu de s’enfuir comme elle le pense, il s’accroche et se rapproche, faisant gonfler le cœur de Charlie à chaque fois. Elle croque dans son toast de beurre de cacahuètes quand elle entend frapper à la porte. Elle fronce les sourcils, jette un regard à l’heure qui affiche 9h32 et elle se dirige vers la porte.
Charlie s’est réveillé de tellement bonne humeur qu’elle en a presque oublié Lucia et la lettre qu’elle a laissée chez elle il y a quelques semaines. Elle a presque oublié jusqu’à ce que la porte s’ouvre sur sa mère. Immédiatement, le sourire de Charlie disparaît et son corps entier se tend, ses murs se relèvent et son alarme interne se met en route. Instinctivement, elle reste devant la porte, à bloqué le barrage pour rentrer chez elle. Qu’est-ce que tu fais là ?” Demande-t-elle, tentant de prendre un ton confident alors que son cœur s’accélère dans sa poitrine et qu’elle a l’impression que chaque cicatrice de cigarettes sur son ventre est en feux. “Je viens discuter.” Aka je viens demander l’argent que je t’ai demandé dans la lettre. Charlie secoue la tête et commence à refermer la porte, mais Lucia ne se laisse pas faire. Elle bloque la porte, la pousse ouverte et pénètre dans l’appartement sans un mot. Elle jette un regard autour d’elle, passe sa main sur un meuble comme pour y détecter la poussière avant de lancer un regard à Charlie qui lui fait comprendre sa déception sans même qu’elle n’est à prononcer un mot. “Je suppose que tu as eu ma lettre. J’ai besoin que tu me donnes de l’argent. Pour le traitement.” Lucia n’a pas l’air malade, pas du tout et il ne faut pas longtemps pour que Charlie remarque les marques rouges de piqûres fraîches sur les bras de sa mère. Non, elle n’est pas malade, pas d’un cancer comme elle le dit en tout cas, mais elle a replongé. Charlie l’a assez vu dans cet état pour comprendre. “J’ai pas d’argent à te donner.” Dit-elle en tentant de garder sa confidence alors que tous ses sens lui disent de se mettre à courir, à appeler Lewis. “T’as pas d’argent pour moi, mais tu en as assez pour avoir un machin sur pattes.” Lucia montre Bucky du menton alors que les chatons à le dos rond, sentant clairement la détresse de Charlie et la menace qu’est Lucia. “Tu vis ta vie ici, et tu vas me laisser mourir à petit feu. Je suis ta mère, j’ai tout sacrifié pour toi.” La gorge de Charlie se serre, son estomac se noue et elle a envie d’être malade. Lucia n’a rien fait d’autre que de faire sa vie un enfer, et pourtant elle est incapable de répondre…
Deux semaines. Cela fait officiellement deux semaines que Charlie est rentrée de Miami pour Spring Break, deux semaines qu’elle et Lewis se sont mis officiellement en couple et qu’ils tentent l’aventure. C'est quelque chose de nouveau pour la brunette et lorsqu’elle se réveille seule, dans son lit trop froid, elle ne peut s’empêcher de penser à Lewis et au fait que son corps chaud blotti contre le sien lui manque. Bien sur deux semaines ce n’est rien sur le courant d’une vie, ça ne représente qu’une infime partie des mois et des années qui représente une vie, mais pour Charlie c’est une nouvelle étape. Elle n’a jamais été avec qui que ce soit et elle a l’impression que tout ce qu’il se passe avec Lewis lui donne envie de continuer. Elle n’a jamais voulu être en couple et puis il a débarqué dans sa vie pour tout chambouler, pour le plus positif. Un sourire aux lèvres en pensant à l’ancien militaire, elle attrape son portable et lui envoie un simple message (deux semaines avec un petit cœur), juste pour lui faire comprendre qu’elle pense à lui. Elle vient caresser la tête de Bucky qui ronronne contre elle et sort de son lit pour aller se faire couler un long café. Depuis sa première panique il y a des semaines, Lewis et elle ont à peine passé plus de deux jours séparés à part pour son voyage à Miami. Si ce n’est pas elle qui reste chez lui, c’est lui qui vient passer la nuit. C’est comme si ils ne peuvent plus se passer l’une de l’autre. Elle enfile un pull que Lewis a laissé chez elle et prend une respiration alors que son odeur emplie ses narines, la faisant sourire davantage. Oui, ce n’est pas simple, mais il la rend heureuse, plus heureuse qu’elle ne l’a jamais été. Il découvre peu à peu ses pires côtés, mais au lieu de s’enfuir comme elle le pense, il s’accroche et se rapproche, faisant gonfler le cœur de Charlie à chaque fois. Elle croque dans son toast de beurre de cacahuètes quand elle entend frapper à la porte. Elle fronce les sourcils, jette un regard à l’heure qui affiche 9h32 et elle se dirige vers la porte.
Charlie s’est réveillé de tellement bonne humeur qu’elle en a presque oublié Lucia et la lettre qu’elle a laissée chez elle il y a quelques semaines. Elle a presque oublié jusqu’à ce que la porte s’ouvre sur sa mère. Immédiatement, le sourire de Charlie disparaît et son corps entier se tend, ses murs se relèvent et son alarme interne se met en route. Instinctivement, elle reste devant la porte, à bloqué le barrage pour rentrer chez elle. Qu’est-ce que tu fais là ?” Demande-t-elle, tentant de prendre un ton confident alors que son cœur s’accélère dans sa poitrine et qu’elle a l’impression que chaque cicatrice de cigarettes sur son ventre est en feux. “Je viens discuter.” Aka je viens demander l’argent que je t’ai demandé dans la lettre. Charlie secoue la tête et commence à refermer la porte, mais Lucia ne se laisse pas faire. Elle bloque la porte, la pousse ouverte et pénètre dans l’appartement sans un mot. Elle jette un regard autour d’elle, passe sa main sur un meuble comme pour y détecter la poussière avant de lancer un regard à Charlie qui lui fait comprendre sa déception sans même qu’elle n’est à prononcer un mot. “Je suppose que tu as eu ma lettre. J’ai besoin que tu me donnes de l’argent. Pour le traitement.” Lucia n’a pas l’air malade, pas du tout et il ne faut pas longtemps pour que Charlie remarque les marques rouges de piqûres fraîches sur les bras de sa mère. Non, elle n’est pas malade, pas d’un cancer comme elle le dit en tout cas, mais elle a replongé. Charlie l’a assez vu dans cet état pour comprendre. “J’ai pas d’argent à te donner.” Dit-elle en tentant de garder sa confidence alors que tous ses sens lui disent de se mettre à courir, à appeler Lewis. “T’as pas d’argent pour moi, mais tu en as assez pour avoir un machin sur pattes.” Lucia montre Bucky du menton alors que les chatons à le dos rond, sentant clairement la détresse de Charlie et la menace qu’est Lucia. “Tu vis ta vie ici, et tu vas me laisser mourir à petit feu. Je suis ta mère, j’ai tout sacrifié pour toi.” La gorge de Charlie se serre, son estomac se noue et elle a envie d’être malade. Lucia n’a rien fait d’autre que de faire sa vie un enfer, et pourtant elle est incapable de répondre…
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