J'aimais beaucoup Lenalee, même si j'avais peur de ne pas la connaître aussi bien que je l'aimerais, nous ne passions pas assez de temps ensemble, enfin, je veux dire, à discuter, comme de vrais amis et c'était quelque chose qui manquait à notre relation, je m'en rendais compte et je ferais mon possible pour que l'on s'exprime, même si ce n'était qu'un prélude à de futurs ébats entre nous. Parfois, une image valait plus que mille mots, et un sourire de Lenalee valait plus qu'un million de mots qu'elle pourrait me donner. J'aimais qu'elle m'embrasse, j'aimais qu'elle dépose ses lèvres dans mon cou, j'aimais qu'elle caresse mon torse, qu'elle me touche, qu'elle me donne de grands frissons. Je n'étais pour le moment que son amant, mais je voulais plus, peut-être étais-je gourmand, mais je désirais plus. Amis, cela voudrait dire que nous passerions des moments à discuter, à rire, à regarder la télé, en tout bien tout honneur, même si nous pourrions aussi coucher ensemble. Pour le moment, on ne faisait que cela.
Elle dégagea mon pantalon de mes jambes, avant de venir me couvrir de baisers. La commissure des lèvres, la machoire, le lobe de mon oreille qu'elle mordilla légèrement, avant que mon cou ne reçoive mille baisers, tandis qu'elle caressait toujours mon torse. Je frissonais de toute part, mais j'étais aussi très excité, elle avait du le sentir et même le voir, en baissant la tête, j'imagine. Elle me retira mon dernier vêtement, avant de jouer avec moi. Elle frôlait ma virilité, elle ne faisait que me faire que plus bouillonner de plaisir encore. Elle se recula, et retira sa nuisette, ne gardant qu'un thong, qui laissait apparaître des fesses qui me faisaient toujours autant baver, par leur perfection. Nos langues se retrouvèrent, alors qu'elle venait se coucher sur moi à nouveau. Je retournais la demoiselle, et vint me mettre au dessus d'elle. Je vins embrasser ses lèvres, son cou, je mordais le lobe de son oreille, avant de descendre et de gater sa poitrine de baiser. Puis, je descendis, déposant de nombreux baisers sur ses cuisses, frôlant son thong mais sans le retirer ni le toucher, la demoiselle se cambrait sous les baisers que je lui donnais, avant que je ne me décide à lui retirer son dernier vêtement. Je me re-couchais à côté d'elle, l'intimant qu'elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait de moi.