TG INTRIGUE - CREEPY HALLOWEEN

L’ambiance est cadencé par la foule et la musique qui se dégage des basses. Pour autant, cela ne t’empêche nullement de remarquer l’état d’anxiété de @Rosalia Jimenez . Tu sais que ce qu’elle a vécu le soir de votre rencontre n’arrange rien à la situation quand bien même elle remonte au galop. « Allez, allons chercher ce fameux verre ! ». Tu la considères d’un petit clin d’oeil lorsque des bruits assourdissants fusent un peu partout. Tu observes les alentours jusqu’à ressentir des vibrations puis des secousses assez violentes qui font perdre l’équilibre à la jeune Jeminez. Tu rattrapes son corps mais pas assez rapidement car sa tête heurte avec force le sol. Tu jures entre tes dents, la soulevant dans tes bras tandis que tu murmures avec force son prénom. Rien, strictement rien ! Alors que tu sembles suivre la voie de la sortie, aiguillé par les pompiers et la voix des personnes effrayés, une douleur violence vient heurté ton bras gauche. Tu jures une énième fois, en fermant les yeux avant de te reprendre car tu dois tirer Rosalia de là.

Soirée Halloween pour sa fille, petite déjà au lit après avoir regardé un film avec sa mère : Hocus Pocus. Phoebe allume la télévision et zappe les chaines voyant le drame dans l'entrepôt. Elle ne perd pas une minute, appelle sa baby-sitter habituelle qui n'est autre que. sa voisine à quelques maisons de là, une demoiselle de seize ans. Elle sera payée double, c'est le deal pour cette demande tardive. Mais le travail appelle Phoebe, elle va écrire un article sur ce drame peut-être qu'elle fera le buzz. Arrivée sur place les secours sont déjà présents, elle entend des cris, elle voit des personnes affolées courir partout, des journalistes sont déjà présents, ceux des grandes chaines. Se mordillant la lèvre, elle veut récolter des avis, des ressentis des personnes présentes. Prenant en photo les lieux, elle cherche une âme solitaire qu'elle pourrait secourir et dont elle pourrait soutirer des informations.

tenue ☾ C'est @Roman H.-Abbott qui a dit à Theodora qu'il y avait une soirée dans cet entrepôt abandonné. De base elle voulait passer un moment avec @Gustin Mahoney, devant un film d'horreur ou autre mais il faut croire qu'elle en a décidé autrement. Désireuse de se montrer au bras de son chéri, elle a choisi leurs costumes assortis, elle en diablesse et lui en diable. Les deux amants des enfers de sortie, et les regards prêts à fuser dans leur direction. Prenant directement un cocktail avec un oeil à l'intérieur à leur arrivé, les deux amoureux se mettent dans l'ambiance. Theodora danse avec son chéri, l'embrassant avec ardeur et passion, se fichant du regard des autres. Mais la soirée prend alors une tournure étrange, elle qui croit aux fantômes depuis Halloween d'il y a quelques années, elle est anxieuse et ne veut pas revivre les mêmes épreuves. "Ils ont quoi ces débiles ?" demande t-elle a Gustin, tandis que des personnes commencent à gesticuler de façon bizarre tout autour d'eux, comme s'ils étaient en transe, possédés. Theodora comprend vite qu'ils sont sous l'emprise de la drogue, accro à l'ectasy cela n'a pourtant pas ses effets là.. Puis un tremblement à lieu, Theodora regarde son petit ami, la panique envahit ses yeux, elle vient lui serrer fort la main "C'était quoi ça ?", mais ils sont vite séparés par la panique, des personnes commecent à courir en tout sens, comme si la drogue n'était plus dans leur organisme.. Theodora ne voit plus, elle veut s'échapper, partir à toutes jambes et se met à crier "GUSTIN !", mais aucune réponse. Elle se retrouve bousculée, puis est projeté à terre, impossible de se relever. On la piétine, on l'écrase, elle hurle sous la douleur, constatant qu'elle a plusieurs membres cassés. Impossible de se relever, plus aucune force. C'est donc ça le karma.

Toujours vêtue de son costume pour la soirée, Thea s'est rendue immédiatement sur place quand elle a entendu ce qu'il s'est déroulé. Elle s'en veut d'avoir laissé @Milo Musat seul chez @Nicola Rockefeller et d'avoir abandonné rapidement la soirée de cette dernière, mais l'urgence qui se profile nécessitera autant de personnel médical que possible. Si Thea ne travaille plus à l'hôpital depuis un moment, son aide sera nécessaire, elle le sait. Après avoir abandonné son chapeau de sorcière à l'arrière de sa voiture, elle gare celle-ci où elle peut et attrape son kit de secours avant de se rendre, aussi rapidement que les talons qu'elle a mis pour la soirée lui permettent. "Hey, où est-ce que je peux aider ?" demande-t-elle quand elle tombe sur une tête connue. Elle acquiesce à son ordre et se rend au triage pour aider à évaluer les urgences ou les gens qui peuvent être mis en attente. L'odeur de la fumée est asphyxiante et elle remonte rapidement son tee-shirt sur son nez pour se protéger. La nuit va être longue... Elle s'attache rapidement les cheveux dans un chignon qui ne ressemble pas à grand chose, se désinfecte les mains et enfile des gants avant d'aller s'occuper des premiers patients. "Hey, vous pouvez me décrire vos symptômes s'il vous plaît ?"

#libre

Comme toujours, la soirée se passe bien entre Haley et Knox. Leur relation est fluide et ils n'ont jamais trop besoin de réfléchir à quoi se dire pour avoir des choses à se raconter. Aucun des deux ne soupçonne une seconde de l'explosion qui va retentir quelques secondes plus tard lorsqu'ils s'embrassent pour se séparer quelques minutes, le temps que Haley aille soulager sa vessie. Elle rougit, bien sûr, aux remarques de leurs potes qui les entourent, mais sans moque au fond. Par le plus grand des hasards, elle croise le regard de @Horace Dawson sur le chemin, sourit automatiquement avant de remarquer de qui il est accompagné. Malgré le déguisement, il lui semble que cette jeune femme ressemble bien à l'une de celle qu'il avait accompagné au bal d'Harvard en 2021. Elle soupire doucement mais tâche de garder son sourire et lui fait un petit signe de la main avant d'accélérer le pas vers les toilettes. Elle n'a cependant pas le temps de les atteindre que l'explosion retentit, faisant trembler les murs autour d'elle. Par réflèxe, elle se retourne, sans vraiment réaliser ce qui se trame. Les battements de son cœur s'accélèrent et tétanisée par la peur du mouvement de foule qui est créé, elle ne parvient pas à bouger du mur contre lequel elle n'avait même pas réalisée qu'elle s'était refugiée. Du regard, elle cherche une tête familière, Knox, Horace, ou un autre de ses amis mais elle ne voit que des inconnus courir de dos vers la sortie, tandis que ses jambes à elle, refusent tout simplement de fonctionner. Haley ne réalise même pas que sa vessie s'est vidée sur elle-même et cherche à réactiver ses jambes, sans succès.

#libre

tw : drogue
TENUE Tout dans un seul lieu. Mes orbes filtrent, elles filtrent que tout est fait pour que la soirée dérape, et que j’merde forcément à un moment. Mon affection divisée sur plusieurs cœurs, tous réunis entre ces quatre murs. Rajoute une ambiance tendue, sûrement dûe principalement aux agités autour de nous. L’instinct diablotin me souffle de préparer rapidement ce joint, histoire de nourrir les filtres voyez-vous. Et puisqu’ils sont bien en place, j’hésite pas, ma partenaire d’emmerdes, @Astra Rothschild à tirer sur une de tes nattes pour venir mordre ton inférieure. Probablement même qu’on dansera, et qu’on en aura rien à foutre de ces apathiques qu’on bouscule de nos mouvements. Ta bouche que j’retrouve à la moindre occasion, comme une vieille habitude dans nos nuits d’Halloween. Avide et brûlante. Cette fois-ci, pas de cache cache dans un château. On pourra être monstrueux dans l’anonymat de la foule. Mais, vous savez, les filtres ça n’tient qu’un temps. Quand j’me détourne pour reprendre une bouffée toxique, j’croise le regard d’@Haley Stryder. Les entrailles se contractent. Les doigts faiblissent autour des hanches de l’alliée, les lèvres retiennent la fumée ; j’ai l’air incroyablement con, à agiter mes doigts dans un salut ridicule et expirer quand la brune détourne le regard. Gamin pris en flag de conneries. Sauvé par une explosion ; j’n’en demandais pas tant. L’attention se tourne, dans un parallèle parfait avec le reste du monde autour, vers l’origine du bruit. J’crois que le cône chute sur le sol, doigts relâchés, alors que l’autre main se resserre autour de la silhouette féminine. Faudrait courir, je crois. Mais j’suis pas bon en timing, alors j’reste planté à n’pas saisir si le spectacle offert est allé trop loin, ou si c’est vraiment le monde qui merde. Ce genre d’infos, ça a du mal à s’frayer un chemin dans ma candeur. Alors, le timing, donc. En retard, pas assez rapide, pas dans la bonne direction, le corps trop grand, pas assez épais, j’me prends une, deux personnes, un groupe, deux, un troupeau de flippés qui n’voient pas qu’ils percutent un type qui chancèle. J’vous dirais bien qu’un type comme moi qui tombe, ça se voit ; mais absolument pas. J’t’ai lâché Astra, mais j’te jure que j’ai lutté jusqu’au dernier. La silhouette au sol, je protège mes traits, de mes coudes, mes doigts refermés comme ils peuvent ; puisque les pieds faisant de moi un tapis, j’me rendais compte que ces phalanges étaient les plus précieuses de mon corps. Celles qui dessinent. Minutes interminables, on s’vautre sur mon cadavre, trébuche, et j’suis même pas foutu d’avoir la vie qui défile devant mes yeux. Tous les neurones dispos, attendant le moment, la faille dans le troupeau, pour se relever, la douleur évincée par l’adrénaline. Gosse acharné à gratter toute la vie qu'on lui accordera. J’regarde mais j’vois rien si ce n’est un bordel désorganisé. “ASTRA ?” J’t’ai lâché, mais j’ai pas dis que j’abandonnais. Je reviens toujours.  

J'ai eu plusieurs propositions pour Halloween et celle qui a retenu mon attention fut celle-ci. La soirée à l'entrepôt. Je savais que beaucoup de personnes y seraient et @Theodora Pasquier a insisté pour y aller. Toujours à la dernière minute, heureusement qu'elle a pris le temps de nous fournir des costumes. C'est presque ironique d'enfiler la peau du diable. C'est comme si ce déguisement n'en n'était pas vraiment un. Avec la pforzheimer à mes côtés pour Halloween, je me sens plus machiavélique que jamais. La soirée se passe bien, on croise certaines personnes mais je dois dire qu'on ne fait pas trop attention aux autres. C'est elle et moi. Et rien autour. On vit notre plus belle soirée, là où la barrière entre la vie et la mort est une couche très fine. Theo me lance une remarque quand on s'intéresse enfin à ce qu'il se passe autour de nous. " je sais pas ce qui leur prend. " que je dis intrigué face au comportement suspect des autres personnes. Puis tout à coup, tout va très vite. Une explosion. Un brouhaha, des débris, des cris, des corps qui s'affalent au sol. La main de Theodora dans la mienne puis l'instant d'après, je ne sens plus ses doigts. " THEO ! " j'entends son cri mais ne le retrouve pas. Des gens me bousculent et je me fais emporté dans la foule, à reculer de quelques mètres. J'arrive enfin à reconnaitre le déguisement rouge et la chevelure blonde, gisant sur le sol. Là où les gens ne la voient même pas. " dégagez putain ! " je les pousse de toutes mes forces et j'attrape Theo par la taille pour la mettre en position assise et la protéger en me servant de mon dos comme bouclier.

tw: crise d'angoisse;

voilà, encore une fois, c'est l'signe que tu dois rester terrée chez toi aimee. t'es pas faite pour les soirées de ce genre. chat noir que t'es, t'as apporté ta malchance ici. tu perds vite @Olympia Wolford du regard. t'as voulu aller chercher à boire, tu t'es retrouvée au bar pendant un moment, ça trainait, tu râlais et une fois les boissons servies, incapable de retrouver ta pote. boisson bu d'un seul trait, tu gardes néanmoins celle de pia dans une main. ouais, parce que deux boissons dans chacune des mains, c'est trop, t'en aurais foutu partout. quelques minutes plus tard, t'as abandonné. tu la retrouveras pas. les gens sont agités ce soir, t'es à deux doigts d'la crise d'angoisse aimee. t'en a même sifflé le deuxième verre. incapable de lui envoyer un mess pour la joindre, ça capte que dalle. long qui soupire qui s'échappe, tu penses à rejoindre les toilettes. ouais deux verres d'alcool bu en même pas dix minutes, ça fait gonfler la vessie. tu te lèves, prenant une grande respiration. tu vas devoir affronter ces hystériques. mais ta vessie prête à exploser l'emporte. go. quel soulagement. vraiment, vous connaissez cette sensation hein ? la vessie qui s'vide. on se sent.... légère. puis, c'est l'explosion. vraiment ? machinalement, tu t'accroupis à terre dans ta cabine de toilettes - t'avais eu le temps de te rhabiller dieu merci -, places tes paumes de mains de part et d'autres de ton crane. mâchoires serrées, les yeux fermés, tu te fous dans un coin. les secondes passent, et t'es toujours crispée à terre; c'est le noir, mais tu sens que la foule s'agite. ya l'sol qui tremble sous tes genoux. les larmes coulent. ta tête te fait horriblement mal. mains qui sont tellement crispées, qu'elles en tremblent. t'as peur de réouvrir les yeux. peur de c'qui se passe dehors. l'myocarde qui manque d'exploser. et les minutes passent. ton corps semble lâcher. impossible de te relever. tu t'accoudes à la cuvette des chiottes, essayant de prendre appui dessus pour te relever, mais en vain, tes jambes lâchent et tu te retrouves de nouveau coincée entre la cuvette et la cloison des toilettes. cri d'angoisse qui s'échappe, les larmes qui continuent de couler et les nerfs qui prennent le dessus. tu tapes un grand coup dans la porte qui s'ouvre avec fracas. et tu t'mets à ramper jusqu'à la porte de tes toilettes, te relèves en forçant autant que tu le peux. une fois debout, t'essayes de te rendre dans l'grand couloir. et plus tu avances, plus c'est le chaos. regarde autour de toi, criant le prénom de ton amie ( @Olympia Wolford ), tu sais même pas si elle est encore dans l'coin.