Home sweet home | Erza

Adam D. Haster &Ezra alek Sullivan

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J'avais décidé de partager mon petit nid douillet. De une, car il coûtait assez cher et de deux, car si je pouvais avoir de la compagnie, se serait mieux non ? J'avais donc laissé une petite annonce sur une des "panneaux affichage" de Harvard : Appartement en colocation à louer. Salon/salle à manger lumineuse. Cuisine a l’américaine 2 chambres, 1 WC, 1 douche/ baignoire. 500$ par mois tout compris (sauf nourriture évidement). Si vous êtes intéresser demander mes coordonnée au surveillant. j'avais donc donnée mon numéro de téléphone, et mon adresse pour mon/ma futur colocataire. Apres le petit déjeuné, j'avais décidé comme un grand de faire le grand ménage, pour montrer tout le potentiel de mon appartement : le sol était en lino -plus facile a nettoyer- la luminosité s'imposait dans toute la pièce et le dernier, mais pas des moindres, il était à 10 minute a pied de Harvard, et est en pleine ville ce qui permet d'aller facilement en ville. J'enlevais toute trace visible, de mon passage de mon petit déjeuné et admirais mon travaille : oui c'est pas tout les jours que je fais le ménage comme ça ! Je m'attaquais à la salle de bain après mettre mis un jean et un the shirt, avec écris subtilement en noir like a boys : je voulais le/la mettre dans le bain, tout de suite. J'avais prévue quelques règle de cohabitation, aux cas où. Ayant finis le ménage de l'appartement, je decidais de regarder la télé, en attendant le nouveaux venue. Il me fallut que quelques vingtaine de minutes et j'entendis la sonnette "déja ?". Je parcourus la salle en sautillant comme une biche j'ouvris la porte et passais ma tête : "Bonjour, c'est pour la visite ?"

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

Vivre sur le campus, ça me semblait être une évidence pure et dure, ce n'était pas pour moi. Okay ouais, c'est bien beau de vivre avec les camarades de classe, de vivre en communauté et tout le bordel. J'ai vraiment une tête à vouloir faire copain copain avec les gens ? Je ne crois pas non ! Du coup, forcément, il faut que je me trouve un appartement et bien que ma mère et mon beau père aient chacun un boulot, et que j'aimerais avoir un appartement carrément classe, je ne me vois pas me prendre la tête avec un truc super grand. Et puis.. Pourquoi pas un coloc, en plus de ça. Et c'est assez facilement que je repère l'annonce de ce type. Bon bah ouais, une nana, c'est cool mais un mec aussi. Je ne suis pas difficile de toute façon.. Un trou reste un trou. Bordel.. Non, pas sûr que j'ai envie de me taper le mec avec qui je pourrais être amené à vivre. Vive l'ambiance en plus de ça. Je ne suis pas sûr que ça me branche. Mai sbon, ce n'est pas le moment de penser à ça puisque de toute évidence, il faut que je trouve un lieu où vivre. Ouais, ma mère aimerait que je reste à la maison. Mais bordel, elle est où mon intimité hein ? Donc bah voilà, je demande les infos au surveillant et, ni une ni deux, je file vers l'appartement en question. Je n'aime pas perdre mon temps et en l'occurrence, si je viens à trouver l'appartement nul à chier, autant que cela se passe vite. Je frappe doucement à la porte, glissant aussitôt mes mains dans mes poches. Je m'en fous un peu, de faire bonne impression de toute façon. Ce n'est pas non plus comme si ça pouvait m'intéresser. Quand il ouvre la porte, je remarque qu'il a une belle gueule. Une belle gueule de gay aussi. Bah quoi ? Je suis bisexuel, pas débile ni aveugle, je sais reconnaître les plans potentiels. Et là, pour le coup, c'en est un ! « Ouais. C'est possible de visiter aujourd'hui ? Je sais pas s'il fallait appeler avant.. Je suis assez pressé ». Autant le dire, j'apprécie mon beau père, mais l'entendre régulièrement se taper ma mère, ce n'est pas pour moi. Et me taper mes camarades de bahut, tout le temps, non merci. Donc.. Pas trente-six milles solutions.

Adam D. Haster &Ezra alek Sullivan

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J'avais ouvert la porte de mon appartement propre comme un sous neuf et là. Un mâle. Un beau mâle. Un très beau mâle ! Un très très beau...Bon c'est bon on a compris Haster ! Je secouais la tête pour me remettre les idée en place et ouvris plus grande la porte pour qu'il voit l'entré et lui souriais doucement pour l'inviter à entré avant de dire avec gentillesse : "Bien sur ! Aucun problème ! Je viens a peine de finir de rangé . Rentre." J’emboîtais le pas derrière lui en lui expliquant que j'étais seul depuis une petit moment, et que, le coût devenait trop élève pour une seul personne. Je lui disait mon noms et mon prénoms. Je lui présentais le salon et salle a manger qui venait quasi tout de suite après l'entré. Je pivotais vers la gauche pour lui présenter la cuisine où il restait un peu de thé et de café, que je lui proposerais un peu plus tard.car le jeune homme avait l'air un peu pressé, je lui montrait la chambre dont il y avait qu'un chevet en bois massif, un lit avec des draps blanc, et une énorme commode. Je refermais la porte et continuais l’exploration en montrant les toilettes -qui j'avais récuré pendant deux heures la veilles hein- et la salle de bain, j’espérais qu'il ne regarde pas la poubelle, car il y avait encore un préservatif usé et je n'avais pas eu le temps -ou l'envie- de la vider. Nous arrivions enfin dans ma chambre, tout les mur était remplie de photo de Harvard, de carte postal, des photos de festivals, on pouvait remarqué tout mes instrument dans différentes malle en cuir et mon synthé' aux sol on voyait des livres de tout sorte, un peu éparpillé partout : "J'ai pas eu le temps pour cette salle là... Bon en même temps, tu va pas passer ta nuit et en même temps je te dit temps mieux... Tu risquerais de te faire mal." Et devant le double sens que pouvait avoir ma phrase, je rougis involontairement. Et me retournais pour l'emmener vers la salon pour l'inviter a s'asseoir tout en prenant du café et lui proposer :"Tu veux du café ? Ou du thé ?"

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

L'avantage avec mon physique et mon attitude, c'est que les gays ont grave tendance à me foutre la paix. Je sais, c'est con à dire mais j'ai parfois l'impression qu'ils sont trop collants, dès le moment où ils savent qu'ils ont leurs chances avec toi. Du coup, cela ne se voit pas et.. Je peux tous les tromper. Je me demande quel tête il fera, celui-là, quand il saura que je suis bi. En tout cas, il est plutôt beau, comme mec. Et je ne peux assurément pas nier ce genre de chose. « Oh tu sais, tu pouvais laisser comme c'était hein. Je ne suis pas très rangement ». Ouais c'est ça Ezra, évite de marquer des points avec le mec qui est censé décider si oui ou non, il veut bien que tu partages son appartement, vas y, enfonce toi. Mais bon, je préfère ne pas me prendre la tête pour aussi peu de chose, parce que je vois vraiment mal en quoi est-ce que ça pourrait bien m'être utile. Je préfère ne pas avoir à me tracasser pour aussi peu de chose. Et puis.. Si le fait que je ne sois pas un pro du rangement le dérange, c'est que je ne suis pas non plus fait pour vivre ici non ? Ca me paraît plutôt logique. En tout cas, je le laisse me faire visiter. Je ne dis pas un mot, me contentant d'écouter ce qu'il me dit. Je n'ai pas trop la conversation facile, je sais, ça peut faire de moi quelqu'un de super chiant par moment. Mais je ne suis pas du genre super bavard alors.. Je me soigne, bien sûr hein, j'essaie de faire en sorte de parler, je fais de mon mieux mais ça ne veut pas dire que ça marche très bien. Disons que.. C'est pas évident, d'une certaine manière. La chambre qui me serait réservée est sympa, et je ne peux pas nier le fait que l'appartement l'est vraiment. Quand il me fait visiter sa chambre, je dois bien avouer que pour le coup, je m'en fous, ce n'est pas l'endroit que je visiterais. Quoique.. Enfin ça dépend de la situation qu'il pourrait y avoir entre nous ahah.. La déco est sympa, je vois qu'il est musicien alors on devrait être en mesure de plutôt ben s'entendre. A sa petite réplique, je me mets à rire, il est marrant mais.. Dans une relation, ce n'est jamais moi le mec qui ait mal. A bon entendeur. Bon, après, je me doute que ce n'est pas ça qu'il voulait dire, mais bon, ça reste marrant. Du coup, un sourire en coin se dessine sur mon visage. « Ca pourrait être toi qui a mal tu sais.. ». Je laisse planer le doute, alors que je sors de la pièce, sans un regard en arrière, m'imaginant l'air surpris qu'il doit se taper. « T'as pas plutôt un truc frais ? ». Ouais parce qu'il fait un peu trop chaud dehors pour un café.

Adam D. Haster &Ezra alek Sullivan

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J'avais fait voir toute les pièces de mon petit nid à Ezra... Je crois que c'est ça. J'esperais de tout mon cœur, que ce ne soit pas un hétéro parce que me voir en pleine partis en l'air, merci bien ! Bon bref passons. J'avais montrer toute les pièces au jeune homme qui me parut l'air mi-intéressé par mon explication. Je ne perdis pas courage, lors de la présentation de ma chambre et que je fit planer de fasson douteuse, une phrase qui faisait référence à mon bordel qui pourrait être digne d'une bombe d'Hiroshima et qui a été compris comme une blague salasse. Je sortis rapidement de la pièce et excisais un sourire gêné à Erza, lorsqu'il expliquait que se serait plutôt moi qui aurait mal. Je rougissais encore plus. Je l'emmenais vers le salon qui me permettre de plus connaitre mon "futur colocataire", je lui proposais avec gentillesse une boisson chaude mais il me fit remarqué que vue la chaleur, une boisson fraîche serait plus approprié, certes. Je nous apportais une bière avec des sous de verre afin d'éviter de tâcher la table basse en bois massif. Je bus une gorgée et soupirais de soulagement et m'assis dans le fauteuil individuel en fasse de lui :"Alors... Ezra c'est ça ? Alors je préfère te prévenir, je suis pas ce qu'on appel un prédateur gay" je ne ramène pas un homme différent, chaque soir et ni départs en l'air toutes les nuits. Je suis pas encore un guerrier du sexe." je préférais que les chose soit claire, avant tout chose avant de poursuivre d'une voix calme : "Alors. J'ai des petites questions; est ce que tu fume ? Car si c'est le cas, tu vis ta vie,certes. Mais comme nous serons deux, tu ne feras pas à même l'appartement mais au bord d'une fenêtre ou sur la mini terrasse. Hum, si tu emmènes des personnes ici, pour plus que de jouer aux monopoly... Si tu vois ce que je veux dire... Tu me préviens ? Que je mette mes boules quiets aux cas où.Sinon, il faudra me dire, si tu veux reste içi, quand est ce qu'on fait a mangé a tour de rôle et des courses ect.. On s'organiseras." Je parlais beaucoup et j'avais les mains qui gigotait partout -il devrait plus savoir ou mettre sa tête le pauvre garçon ._. *SBAM*- je bue une nouvelle gorgée en attendant les réponses du jeune homme. Attentif.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

J'ai presque envie de rire, lorsqu'il se met à me dire qu'il n'est pas un prédateur sexuel ou je ne sais pas quoi. S'il ne ramène pas quelqu'un tous les soirs, tant mieux pour lui, je ne compte pas sur mon colocataire pour ramener du monde tous les soirs, et je compte encore moins sur lui pour qu'il. . Me dise ce genre de chose. On ne se connaît même pas et il essaie de se défendre d'un truc que je n'ai absolument pas abordé avec lui quoi. J'y comprends pas grand chose mais j'aimerais bien que l'on m'explique deux minutes pourquoi il me dit un truc pareil. Enfin bon, en tout cas, une chose est sûre, je n'arrive vraiment pas à comprendre pourquoi il me balance un truc pareil. Mais bon, bah, je ne vais pas non plus en faire toute une histoire, s'il a envie de parler, très bien. « Euh okay, je t'avoue que c'est pas trop le genre de sujet que je me voyais aborder le premier jour tu vois.. Au niveau de ton cul, tu fais ce que tu veux hein ». Bon, je ne veux pas me montrer impoli mais je m'en fous quoi. Enfin bref, quand il me demande si je fume, j'ai vaguement l'impression qu'il va être relou. Certes, le respect de chacun, c'est normal, faut apprendre à pas faire n'importe quoi et à faire en sorte que tout le monde s'entende bien. Mais bon merde quoi. Après, je ne suis pas un mec chiant, je sais être conciliant et honnêtement, je cherche juste un coin où dormir ? Je suis loin d'être un mec qui passe son temps chez lui et tout ça. J'aime bouger, et du coup.. Ouais, je ne risque pas de rester là encore et encore, à tourner en rond. Donc ouais, je peux bien faire ça quoi. Je laisse un blanc s'installer alors que je bois une gorgée de ma bière. Y a des dessous de verre en plus.. Je crois que ce mec va péter un plomb si j'emménage. Ca va être marrant. « Je fume mais ouais, je peux le faire à la fenêtre. C'pas vraiment un problème. Je peux comprendre que l'odeur ne plaît pas forcément. Surtout que je ne fume pas que des clopes.. Bref. Sinon, je ramène souvent des gens. Mais t'as pas trop de soucis à te faire. Après, je peux pas te prévenir à l'avance quoi.. Fin jsais pas, il va de soit que j'en sais rien. Je peux pas prévoir. Pis c'est pas très grand ici, si je ramène quelqu'un, tu le sauras. C'est uen colocation de bonne entente non ? Si je te préviens à chaque fois, j'vais avoir l'impression d'être chez mes parents ou pire, chez les flics ». Oui voilà. Autant le briefer. Je ne suis pas un gars facile moi, m'voyez.

Adam D. Haster &Ezra alek Sullivan

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Ok. Je ne vais pas dire pour la troisième fois, que j'avais fait visité mon appartement à un jeune homme dont l'humeur était entre le sarcasme et le foutage de gueule envers moi. Vous avez lue ? Tres bien. Je l'avais donc prévenue quelques règles de base (cigarette, ménage,ect...) en lui emmenant un rafraîchissement et oui avec des dessous de verre : de une car cette appartement était déjà meublé et donc j'essaye de le laissé, a peu près propre. Sinon ma caution allait en prendre un sacré coup ! Je lui demandais si il fumait ,et, celui ci m'affirmais qu'il fumait plus que des blondes... Bon après c'est ça vie ! Je n'est pas le droit d’interférer de comment doit être ses poumon à la fin de ça vie. Je lui souris avant de continuer pour le rassurer :"Non mais je comprend... C'est un peu stupide comme règle ! De tout façon , je vous entendrez rentrer. Bref, sinon l'appartement ne plait en lui même ?" je bus une autre gorgée et entendit ma sonnerie, je m'excusais et courus vers ma chambre, pour essayer de vainement le trouver -il était sou un caleçon chupachups, classe hein ?- je répondis. C'était une des surveillantes de Harvard, qui m'expliquait que deux ou trois des élèves était intéressé par mon annonce, dont une fille. Je lui expliquait que je faisais visité et que je n'avais pas fait mon choix. Je la remerciais et repartis dans le salon et m'excusais encore avant de reprendre : "désole. C'était une des surveillantes qui m'expliquait, qu'il y avait d'autre élève sur le coup." je bus les dernière goûte et le mis dans un sac a verre -te penche pas trop, on va voir ton cul Haster :loukas:

- avant de retournée vers lui.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

Bien sûr qu'il nous entendra rentrer. Ce n'est pas non plus comme si son appartement était un palace et qu'il n'allait pas être dans la capacité de nous entendre quoi. Donc ouais, quand je viendrais avec une nana, ou un mec, ça va de soit, il devrait être parfaitement en mesure de m'entendre et de deviner que quelque chose se passe. Quoi que l'on puisse bien en dire, de toute manière. Enfin bon, pour le reste, il est absolument hors de question pour moi de me prendre la tête pour aussi peu de chose. Ca ne servirait à rien quoi. Cela va de soit. En dehors de ça, je ne peux absolument pas nier que l'appartement me plaît bien, et puis ce mec n'a pas l'air d'être si chiant que l'on peut bien le croire, donc j'imagine que ça devrait pouvoir le faire. « L'appartement me plaît oui. Rien à redire. ». Je sais qu'il faudrait sans doute que j'arrête de dire de la merde. Cela n'a rien de facile, mais je fais ceq ue je peux, et oui, je suppose que c'est le plus important. Je me perds doucement dans mes propres pensées et je sais que ça va me foutre dans la merde, d'une certaine manière quoi. Mais ça m'amuse, et il est hors de question pour moi de dire le contraire. C'est sans doute mieux. Quand il répond au téléphone, je suppose tout de suite que c'est un appel pour son appartement, une offre pour lui dire que l'appartement plaît ou ce genre de chose. Moi ça me plaît bien quoi. Et du coup, j'aimerais que l'appartement ne vienne pas à me passer sous le nez, je le prendrais quand même carrément trop mal, quand j'y pense. Du coup, quand il revient, je me dis que je dois à tout prix me bouger. Pis il a un bon cul quand même.. ahah. « J'aimerais l'appartement. Je sais que tu vas devoir le faire visiter, mais moi il me plaît bien.. Je suis sûr que l'on pourrait bien s'entendre ». Je lui lance un regard qui en dit long. Je ne suis pas con, je mets toutes les chances de mon côté.

Adam D. Haster &Ezra alek Sullivan

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J'vais envoyé balader sa petit technique de charme pour arriver à m'amadouer. Je suis gay, certes, mais pas complètement con. Il acceptait avec joie ma proposition d'essaie, ainsi, les clefs de l'appartement que je lui mis dans les mains. Ne sachant pas trop quoi faire de mes dix doigts, mon ventre se mis a gargouiller, comme si on avait écorché une petit cochon dans un abattoir. Je soufflais et regardais ma montre : pile a l'heure, comme toujours à 11h56. je sourie à Ezra et passais à coter de lui,ce qui fit que nos épaule se bousculait un peu, punaise il était vachement musclé le jeune homme ! Je cherchais quelques chose de mangeable, pour le déjeuné : il me restait du riz ainsi que des œufs, des petit pois, et des lardons, oh et du bœuf, tient ! Je me relevais ma petit tête avec tout mes ingrédients en main, pour les déposée sur la table de ma... Notre cuisine -va falloir que je m’habitue- je pris une spatule a ma main avant de dire joyeusement : "riz cantonnais et bœuf au caramel, sa te dit ? Attend dans la salon, si tu veux le temps que je prépare tout ça." je commençais à battre mes œuf pour faire l'omelette, ce qui faisait un peu penser de dos, à une autre action moins romantique d'ailleurs mais bon... J'entendis la brouillard sffler et je le mis quand une casserole pour incorporer le riz. En a peine quelques minute le riz, l'omelette, l'herbe fraîche et le caramel embaumais déjà toute la pièce. Mon ventre grognais d'impatience. je jetais un coup d’œil à l'horloge 12h15, parfait. Je deposais les plats fumant sur la table basse et tout en regardant la télé je m'assis et servais Ezra avant de me servir moi même.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

Bon, okay, le draguer pour qu'il m'obtienne une petite place dans son appartement, je ne dois pas nier que ce n'est pas super fin et surtout, pas super bien joué quoi. Je dois probablement un peu lui taper sur les nerfs, quoi que l'on en dise. Je fais ce que je peux, de mon mieux et tout ça, mais ia ne veut pas dire que les choses sont si simples que ça, ce n'est pas du tout le cas, d'ailleurs. Disons juste que je fais de mon mieux, que je fais ce qu'il faut pour qu'il accepte de me prendre et que, d'une certaine manière, j'ai un peu l'illusion que ça peut marcher, bien que cela ne soit pas du tout le bon plan, j'en suis conscient. Donc bah ouais, je vais plutôt arrêter là et si jamais je viens à réussir à le draguer, je le ferais, mais si ça ne marche pas, tant pis hein. Ce n'est pas moi qui me prendrait la tête, de toute façon. Oui voilà. C'est aussi simple que ça. « Hum hum ». Je ne vois pas trop ce que je pourrais bien pouvoir dire à ce propos, et j'imagine que l'idéal, c'est de me taire, c'est si simple que ça. Par contre, je ne peux pas nier le fait que son histoire de période d'essai me plaît bien. Je ne suis pas trop douée pour ce genre de connerie, mais je sais malgré tout que je fais de mon mieux et j'estime que c'est le plus important, quoi que l'on puisse bien en dire. « Cette idée me tente bien oui. ». Et puis en plus, si au bout d'une semaine, ce mec me saoule, au moins, je pourrais prendre la fuite. Ce qui me semble.. Etre parfait, quoi que l'on en dise !

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