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(flashback) castiel# where did i go wrong, i lost a friend.

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WERE DID I GO WRONG.
I LOST A FRIEND.
« Va-t-en ». Une partie de moi souhaitait plus que tout au monde quitter cette pièce et ne plus jamais y remettre les pieds. Ça me faisait chier de le voir aussi indifférent, aussi déconnecté et aussi peu respectueux et gratifiant de l'importance qu'il occupait à mes yeux, même aujourd'hui. Et même si j'avais envie de l'envoyer chier une deuxième fois et de partir pour ne plus revenir, une autre partie de moi ne voulait pas franchir cette porte. Je ne voulais tout simplement pas le laisser comme ça, en plan. Moi qui m'était mis en route vers la porte que j'avais précédemment empruntée, je me stoppa net et fit demi-tour pour lui faire face à nouveau. Sans doute serait-ce la dernière fois. D'une voix presque inaudible - comme si j'allais me mettre à pleurer, et pourtant - je pris la parole. « Tu sais pourquoi je veux toujours régler les choses ? Pourquoi je ne suis pas capable de simplement m'en aller, en claquant la porte aussi fort que je l'ai bûché pour entrer ? Tu sais pourquoi j'suis venu après que tu m'aies raccroché à la figure ? Parce que je peux pas accepter d'te laisser comme ça une deuxième fois. Si j'te laisse comme ça, à la dérive et que dans deux mois j'apprends qu't'es mort d'une overdose, je l'accepterai pas ! » finis-je, dans un souffle court. Je secoua la tête pensant que même si je venais de lui dire cela, ça ne changerait absolument rien. « Mais t'en a rien à foutre. ».


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where did i go wrong,
i lost a friend

Il se leva de mon lit et marcha vers la porte. Je croyais que cette fois c’était bon, qu’il s’en irait et me laisserait tranquille avec mes problèmes. Mais non. Il se retourna et me regarda droit dans les yeux. Je déglutis, anticipant la suite. « Tu sais pourquoi je veux toujours régler les choses ? Pourquoi je ne suis pas capable de simplement m'en aller, en claquant la porte aussi fort que je l'ai bûché pour entrer ? Tu sais pourquoi j'suis venu après que tu m'aies raccroché à la figure ? Parce que je peux pas accepter d'te laisser comme ça une deuxième fois. Si j'te laisse comme ça, à la dérive et que dans deux mois j'apprends qu't'es mort d'une overdose, je l'accepterai pas ! » Ces paroles me touchaient. Vraiment… Mais j’étais encore aussi incapable de m’exprimer qu’auparavant. Je ne pouvais pas lui dire que ça me donnait envie de chialer. Je ne pouvais pas lui dire que j’avais envie d’le serrer dans mes bras et tout oublier. Et je n’pouvais certainement pas lui dire qu’il me manquait terriblement. À la place, je me levai et marchai vers la porte de ma chambre le cœur lourd dans ma poitrine. « Mais t'en a rien à foutre. » J’avais mal. Et pourtant… j’ouvris la porte.

Charlie & Castiel 2.0

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WERE DID I GO WRONG.
I LOST A FRIEND.
Il se leva, passa à côté et moi et se dirigea vers la porte. Dans un silence absolu, il l'ouvrit. Signe que, malgré tout mes efforts, malgré toutes mes démarches, il refusait d'en entendre un mot de plus. Il refusait de lâcher prise, d'abandonner. Et moi, d'un pas lent, toujours en le fixant droit dans les yeux, je quitta la pièce. Je l'entendis fermer la porte derrière moi et je mis un temps avant de repartir. Une partie de moi espérait qu'il l'a ré-ouvre en criant « c'est des blagues ! » et qu'on se fasse ensuite un high five. Je pris une grande inspiration, la gorge noué et l'estomac tout à l'envers. J'avais vraiment envie de pleurer et même si ça fait gonzesse, je n'avais pas peur de l'admettre. Je commença donc à marcher lentement jusqu'à la sortie de sa maison et regagna ma chambre. J'étais tellement déçu. Déçu de moi, de lui, de son attitude, de mon attitude. De tout ça. De la vie, quoi. Je fouilla dans mes tiroirs jusqu'à ce que j'y trouve mon fameux contenant. Il ne restait qu'une pilule. C'était LA pilule qu'il me fallait. Je la mis sur ma langue, l'avalant ensuite et me laissa tomber sur mon lit. De quoi oublier mes maux.


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