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Are you afraid? pv. Sammy J. Carpenter

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« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Les évènements prenaient une tournure assez étrange. Il y a quelques minutes encore, Drake était entrain de blesser la jeune fille aussi bien mentalement que physiquement en la bloquant contre le mur et en lui serrant les bras de telle manière à ce que la circulation de son sang s'arrête. Et là, il venait de l'embrasser et elle répondait à son baiser comme si de rien n'était tout en se blottissant dans ses bras. Pour tout dire, le jeune homme s'attendait à être repoussé mais ce ne fut pas le cas, loin de là. Oh non, ne vous inquiétez pas, rien ne prenait le dessus sur le jeune garçon. Tout ça était précisément calculé, il savait parfaitement qu'elle ne pouvait pas le repousser indéfiniment. Elle avait besoin de réconfort après ce qu'il venait de se passer et c'était tout à fait normal. Son cerveau, dans un état de peur extrême avait besoin de se sentir protégé et quoi de mieux que les bras d'un homme pour être consolée ? Rien. Bref, Drake avait honteusement profité de la situation à des fins plus que malhonnêtes. Franchement, jamais il n'avait regretté ce genre d'acte. Dans un sens, il profitait de la jeune fille et il n'avait aucun doute que tout ça irait au-delà d'un simple baiser. Pour tout dire, elle n'était pas vraiment moche. Oh bien sûr, c'était loin d'être son type mais quand on réfléchit à deux fois et qu'on a le choix entre elle ou sa main, on la choisit elle. Le jeune homme esquissa un petit sourire à cette pensée. Lorsqu'elle releva la tête, elle aperçut que le jeune homme saignait encore du nez et que c'était loin d'être bénin. Pas de quoi s'affoler mais vous savez comment sont les filles, n'est-ce pas ? Toujours à s'inquiéter pour un rien. Sur ce point, toutes les femmes se ressemblent et c'est pas faute de leur dire que ce n'est pas une raison valable pour s'inquiéter, ça ne marchera pas. « Désolée… apparemment, je suis une femme plutôt forte eh… » dit-elle en murmurant doucement, l'air gênée par la situation. A l'aide du mouchoir dont le jeune homme s'était servit pour essuyer le visage de la jeune fille, elle essuya sa bouche et son nez puis jeta le torchon par terre. Elle en profita pour s'occuper de son épaule, elle n'avait rien et le jeune homme n'en souffrait pas mais bon, il se laissa faire comme pour lui inspirer confiance. Si il la rejetait, elle le prendrait sans doute mal ou s'affolerait croyant que c'est plus grave que ça ne l'est. Lorsqu'elle arrêta de lui tripoter l'épaule, elle s'allongea sur le sol et replia ses jambes sur elle-même. Elle avait l'air fatigué. Drake n'avait pas de solution pour lutter contre cette fatigue mais il pouvait la maintenir éveillé. De toute évidence, ils n'allaient ni boire ni manger pendant... au moins vingt-quatre heures. Il fallait donc penser à autre chose. Le jeune homme se mit à marcher de long en large dans la pièce qui venait de devenir leur prison et se mit à réfléchir. Il n'y avait pas de fenêtr ni d'autres portes. Au-dessus de cette salle, il devait sans doute en avoir une autre mais impossible d'y accéder par le plafond. Ils étaient bel et bien coincés ici. Le jeune homme s'imagina la tête des ouvriers quand ils les verront tout deux dans cette pièce, l'un avec le nez en sang et l'autre avec les coudes abîmés et les habits en lambeaux. Ce serait comique, sans aucun doute. Finalement, le jeune garçon s'arrêta de réfléchir pour rien et s'approcha de Sammy. Il s'assit à côté d'elle et l'observa. Il allait s'excuser. Ce n'était pas sincère, bien entendu mais ça, elle ne le saurait jamais. « Je suis désolé. - dit-il dans un souffle - Je suis un garçon très étrange et plutôt spécial et vu la façon dont j'ai agi il y a quelques minutes, je comprends mieux pourquoi tu as peur de moi. Je suis loin d'être quelqu'un de fréquentable. Alors, désolé. » dit-il en esquissant un grand sourire à l'adresse de la jeune femme (ici). Il voulait lui faire croire qu'il était sincère, qu'il s'en voulait pour ce qu'il venait de faire.
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Drake Ҩ Sammy
« Obstacles are like wild animals. They are cowards but they will bluff you if they can. If they see you are afraid of them... they are liable to spring upon you; but if you look them squarely in the eye, they will slink out of sight. »


J'étais toujours couchée sur le sol froid, tout fait de ciment. L'esprit perturbée, mélangée et torturée. Je n'avais pas la force de tenter de démêler cette situation ou encore même de seulement l'analyser. Chaque muscle de mon corps étaient douloureux et chacun de mes nerfs étaient tendus, me donnant l'impression que j'étais sur le point de casser, brisé, exploser en un million de petits morceaux. Le corps tremblant, les nerfs en feu, je ressemblais sans doute à un petit animal blessé en quête de chaleur pour me coucher en boule et m'endormir pour toute la vie. Lui, la source de tout ce qui venait de se passer, le roi de ma souffrance, se levait et commençait à déambuler dans la pièce, je le voyais à peine, les paupières trop lourdes, se refermant sur cette aventure si peu commune, cette épisode digne de roman dramatique, pas de la réalité d'une étudiante de vingt ans en médecine à Harvard. Mes paupières tombaient, couvrant mes yeux, les protégeant de cette sombre pièce, m'aidant à m'évader le plus loin possible dans mes songes. À cet instant précis, j'aurais absolument tout donner pour me transformer en superhéroïne des bandes dessinées ou encore mieux, en espionne doté d'une force surnaturelle qui aurait sus quoi faire en ce genre de situation qui aurait fait partie de son quotidien, mais non, j'étais simplement la petite Sammy Jane, l'orpheline souffrant de sa solitude et toujours hanté par son passé de camée qui tentait désespérément à s'en sortir en étudiant en médecine dans l'une des universités les plus prestigieuse du monde. Jusqu'à maintenant tout se déroulait plutôt bien, qui aurait pu pensé qu'un tel accrochage pourrait survenir. Alors que mon esprit divaguait, je sentis la présence de Drake à mes côtés, une présence terrifiante mais à la fois rassurante. J’entrouvris les yeux et le vit, là, assit à mes côtés, il avait l'air d'avoir du remords. Il me regardait, il prit alors la parole et dit dans un souffle ; « Je suis désolé. Je suis un garçon très étrange et plutôt spécial et vu la façon dont j'ai agi il y a quelques minutes, je comprends mieux pourquoi tu as peur de moi. Je suis loin d'être quelqu'un de fréquentable. Alors, désolé. » Il esquissa alors un sourire. Je baissai les yeux. Je m'appuyai sur mes bras et m'hissai, afin de m'asseoir en face de lui. Je n'arrivai pas à le regarder dans les yeux, je me sentais si coupable, je l'avais jugé sans le connaître. Ce qu'il m'avait fait était assez épeurant, mais ça aurait pu être pire, et tout avait été causé à la base par ma faute.Si je n'avais pas eu peur de lui si naïvement, peut-être n'aurait-il jamais agi ainsi. Je l'avais poussé, sans le vouloir, à agir d'une façon assez terrible, mais il était en colère et avait perdu le contrôle... cela pouvait arriver à tout le monde. Qui plus est, suffisait d'un regard sur moi pour voir que les blessures extérieur qu'il m'avait commit étaient loin d'être grave. Je m'en remettrais bien vite. Je pris donc la parole d'un chuchotement doux : « ce n'est pas grave, je n'aurais pas dû te juger comme je l'ai fais... Tout est de ma faute après tout! » Inconsciemment, je tentais de le rendre innocent, et diminuer l'importance de ses actes, me faire croire à moi même que ce qui venait de se passer n'était pas si grave et que je n'avais aucune raison de me plaindre. D'un autre côté, je n'avais tout simplement pas la force d'affronter ce qui venait de se passer, j'acceptais ses excuses, le pardonnait et voulait simplement passé à autre chose. Et puis, je sentais une force rassurante lorsque j'étais auprès de lui. J'avais eu si peur, peur à en mourir, donc me trouver dans un tel état de calme était grisant. Il n'était vraiment pas mon genre de garçon, mais son baiser m'avait tout de même rassurer, réchauffer. Je ressentais encore de la méfiance, mais pourtant, je baissais ma garde...
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