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Are you afraid? pv. Sammy J. Carpenter

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« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Aujourd'hui est un jour comme tous les autres. Le soleil s'est levé, comme tous les jours. Le ciel est bleu/grisâtre, comme tous les jours, les oiseaux chantent, comme tous les jours depuis des millions d'années. Il faut se rendre à l'évidence, la vie n'est qu'une succession d'évènements plus ou moins importants qui font ce que nous sommes. Quelle monotonie. Mais après tout, pourquoi changer une équipe qui gagne, hein ? Une vie monotone n'est pas intéressante, qui a envie de vivre la même chose chaque jour pendant toute une vie ? Ne mentez pas, personne n'a envie d'une telle chose. Il faudrait être fou pour vouloir vivre dans la monotonie. A telle heure je me lave les dents, à telle heure je mange, à telle heure je fais ma lessive... Non ! Le mieux, c'est l'imprévu. Un peu de nouveau dans notre vie, ça ne peut pas faire de mal. Les rencontres permettent ce genre de chose. Drake est un garçon qui vit dans le présent sans se soucier de l'avenir. Pour lui, chaque jour est prétexte à de nouvelles expériences plus ou moins enrichissantes. Se lier d'amitié, faire de nouvelles rencontres, ce n'est pas ce que le jeune homme souhaite. Loin de là. C'est un garçon associable et prudent qui se méfie de tous les gens qu'il croise. C'est comme ça, il n'y peut rien, c'est dans sa nature. Il y a quelques jours de cela, Drake a rencontré une jeune fille très étrange.

FLASHBACK

Voilà quatre heures que Drake est levé, actuellement, il est huit heures. Oui, on peut dire que c'est un lève tôt. Il a le sommeil très léger et il a beaucoup de mal à s'endormir étant donné qu'il a toujours beaucoup... d'idées en tête. Le jeune homme marche dans les couloirs sans se soucier des regards que l'on peut poser sur lui. C'est un garçon bien étrange au coeur solitaire et beaucoup de personnes s'interrogent quant à sa réputation, il est inconnu de tous sauf des membres de sa maison et de quelques privilégiés à qui il a décidé d'accorder quelques pourcents de sa confiance... Il marche sans s'arrêter, il n'a pas de but précis, il veut juste se... se détendre, voilà, c'est le mot. Le problème quand on marche sans vraiment regarder où on fout les pieds ce que soit on marche dans une merde de chien, soit on bouscule une personne ou on se fait bousculer. Dans ce cas, c'est Drake qui se fait bousculer. Arrivée de nulle part, une jeune fille lui rentre dedans, elle manque de tomber mais finalement, retrouve son équilibre. Leurs regards se croisent, on peut lire dans ses yeux bleus qu'elle a peur de lui. Elle se redresse et part limite en courant sans même prendre la peine de s'excuser. Le jeune homme ne comprend pas mais trouve ça amusant, faire peur, c'est ce qu'il préfère par dessus-tout. Il s'en amuse. Une chose est sûre : il va falloir lui poser des questions.

FLASHBACK


Le jeune homme est assit par terre, dans le Grand Hall. Tout le monde le regarde, en même temps, on évite de s’asseoir par terre surtout quand il y a un banc à côté. Il regarde le sol, ce n'est pas forcément très intéressant mais il n'a rien d'autre à faire. Il n'a pas cours. Depuis sa rencontre avec cette jeune fille au regard apeuré, il vient tous les jours s’asseoir ici dans l'espoir de l'apercevoir. Perdre espoir ? Lui ? Non, jamais. Il relève la tête et observe les environs, que des élèves au regard abruti. Il esquisse un petit sourire, mon Dieu, qu'ils ont l'air bête... C'est alors qu'il l'aperçoit. Il ne l'a vu que quelques secondes auparavant et pourtant, son visage est gravé dans sa tête. Doucement, il se lève et se met à marcher derrière elle. Elle n'a pas l'air d'avoir remarqué sa présence. Alors qu'elle passe devant une salle en rénovation, Drake en profite pour lui prendre le bras, ouvrir la porte et la traîner dans la salle vide. Des bouts de pierre son par terre, sans doute pour la rénovation. Elle manque de trébucher, il la tire sur le côté pour qu'elle évite de se faire mal mais si ça aurait pu être drôle. Le jeune homme l'observe et se met devant la porte pour la bloquer. Elle a l'air pire qu'effrayée, il sourit. C'est marrant. Il la regarde, la fixe. Quelle attitude adopter ? Il ne faut pas qu'il paraisse méchant, il faut qu'il gagne sa confiance pour qu'elle puisse se confier sans crainte. Il connaît son prénom, lors de leur rencontre mouvementée, elle a fait tomber son portefeuille. « Sammy, - dit-il en esquissant un petit sourire et en prenant une voix chaleureuse - C'est bien comme ça que tu t'appelles, non ? - il sort le portefeuille et l'ouvre puis le tend à la jeune fille - C'est écrit sur l'étiquette. Tu l'as fais tombé lorsque nous nous sommes rencontrés... tu sais, il y a quelques jours. - Elle est loin de la porte, il est plus rapide, elle ne pourra pas s'enfuir, il se décolle donc légèrement de la porte - Tu ne t'es même pas excusée alors que tu m'as... poussé. Je ne t'en veux pas, tu avais l'air... effrayé. - il esquissa un petit sourire qu'il cacha très rapidement - Pourquoi ? Je fais donc si peur ? » dit-il en la regardant droit dans les yeux, la gentillesse était fausse mais il était bon acteur.
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Drake Ҩ Sammy
« Obstacles are like wild animals. They are cowards but they will bluff you if they can. If they see you are afraid of them... they are liable to spring upon you; but if you look them squarely in the eye, they will slink out of sight. »


Les journées au sein de l’université passaient toujours à une vitesse fulgurante. Des nouvelles rencontres tous les jours et des évènements toujours plus inattendus. Pas étonnant quand il y a des milliers d’élèves dans un même établissement scolaire vous direz, on ne peut quand même pas s’attendre à tous les connaître. Certains passent inaperçu alors que d’autre non… Pas tous pour les mêmes raisons, certains sont bruyants et sociales, c’est souvent ceux qu’on remarque en premier, ensuite vient ceux qui jouent aux dures, ceux-là non plus on ne les manque pas. Il y a par contre un garçon dans cette immense université, qui, sans raisons précises à capter l’attention de notre rouquine. Sans savoir exactement pourquoi, sa présence la dérange. Une pression au cœur, une froideur grondant jusque dans ses veines. Le souffle court, le noir total, une peur inexplicable, paralysante envahit son être tout entier, seulement à la vue de ce garçon.

Elle l’a vu passé une fois dans un couloir, pas un mot, pas un regard, mais le mal était fait. Sans raisons apparentes, son cœur lui dictait de ne jamais s’approcher de cet être à l’air si froid et distant. Seulement ce qui arriva, arriva, un matin, alors que Sam’ marchait dans un couloir en lisant distraitement un message texte qu’elle venait de recevoir, elle bouscula quelqu’un, sans le vouloir, évidemment. L’impact fut tel que la rouquine trébucha et faillit tomber. Elle se rattrapa à la dernière minute, s’accrocha aux épaules solides du garçon. Elle se leva et retrouva enfin son équilibre, alors qu’elle allait s’excuser de sa maladresse matinale, son regard accrocha celui qui se trouvait être la source de son malaise. Un éclair de peur passa dans son regard bleu électrisant, un choc la paralysa tout entière, des frissons d’effroi naquirent sur chaque centimètres de sa peau, de sa chaire brûlante. Une sueur froide glissa le long de son dos alors qu’elle disparaissait presqu’en courant au bout du passage.

Depuis cet incident, elle ne le revit plus, tant mieux. Sa réaction l’avait perturbé, déstabilisé même. Elle ne comprenait pas la source même de cette peur incontrôlable de ce garçon qui n’avait pourtant jamais rien commit pour motiver cette panique, cette agitation qui prenait la jeune femme dès qu’elle le voyait. Si sa mère était encore là, elle aurait sans doute trouvé le moyen d’expliquer une telle frayeur. Mais, elle n’était plus… C’était à Sammy de trouver ces réponses. La réponse à ses questions ne contenait qu’un seul mot, un mot qu’elle connaissait déjà. Ce mot était l’instinct. Cette force incontrôlable qui nous poussait à se protéger, à éviter tout ce qui pourrait mettre notre vie, notre bien-être en danger… L’instinct était plus fort que tout et sans éclaircissement nous dictait d’agir de tel ou tel façon sans jamais nous donner la moindre interprétation de nos actes. C’était comme ça et c’était tout.

Bref, cela faisait quelques jours que Sam’ n’avait pas aperçut le jeune homme, dont elle ignorait tout jusqu’au prénom. Elle était plutôt apaisée par cette absence, comme si un poids avait été enlevé de ses épaules. Elle ne se sentait plus aussi oppressé que lorsqu’il était présent. Les journées passaient donc, sans encombres, jusqu’à ce matin, où un évènement imprévu se produisit. Elle marchait dans le hall la tête dans les nuages, se dirigeant vers un cours quelconque, sans se soucier des étudiants autour d’elle. Elle ne fit pas attention à la source de ses cauchemars assit en tailleur dans le coin de la pièce. Ce dernier l’observait progresser dans la pièce sans bouger. Sammy, elle, vaquait à ses occupations. Alors qu’elle passait devant une salle de rénovation, une main se referma sur son chétif bras et sans comprendre ce qui se passait fût tiré vers la salle inutilisable. Elle leva la tête et réalisa que celui qui l’empoignai, celui qui avait refermé sa main autour de son frêle membre tel une poigne de fer n’était autre que celui qui avait hanté ses pensées ses derniers jours. Elle suivait malgré elle, chancelante, le jeune homme qui l’attirait dans la salle. Sentant ses poumons se resserré, comme asphyxié, sa vision s’embrouillait, elle se sentait mollement trébucher sur des bloques de ciment qui traînait sur le sol, sans pourtant opposé aucune résistance. La rouquine finit par reprendre quelque peu ses esprits et cherche aussitôt la porte de ses yeux bleus paniqué. Il est devant la seule sortie. Il posa sur elle un regard neutre et son visage jusque là dure et froid, changea pour une frimousse plus chaleureuse. La rouquine eut un mouvement de recul alors que se dernier prit la parole.

« Sammy, - dit-il en amorçant un rictus s’apparentant à un sourire qui se voulait chaleureux. Ce sourire aurait été esquissé par n’importe qui d’autre que la rousse y aurait cru. Mais là, sur le moment, une frayeur paralysait chacun de ses membres. - C'est bien comme ça que tu t'appelles, non ? – Il sortit le portefeuille de l’étudiante et le lui tendit. Dans un mouvement incertain, la rouquine le prit brusquement et recula de quelques pas. - C'est écrit sur l'étiquette. Tu l'as fais tombé lorsque nous nous sommes rencontrés... tu sais, il y a quelques jours. Elle avait en effet remarqué, mais jamais l’idée de le récupérer de lui était venue à l’esprit. Le jeune homme l’observa avec plus d’insistance et se décolla légèrement de la porte. - Tu ne t'es même pas excusée alors que tu m'as... poussé. Je ne t'en veux pas, tu avais l'air... effrayé. – Il eut un autre sourire qui disparut aussi rapidement qu’il s’était montré. - Pourquoi ? Je fais donc si peur ? » La rouquine secoua la tête en signe de négation sans exactement savoir pourquoi elle niait sa question alors qu’il était vrai qu’il l’effrayait comme jamais personne ne lui avait fait peur. D’une voix tremblante, la rouquine lui dit « Mais non, voyons, tu ne fais pas peur du tout… je ne vois pas ce qui a put te faire croire que j’étais effrayé, quoi que sur le moment, m’enfermer dans une pièce pour discuter n’est disons… pas la façon la plus chaleureuse d’aborder une conversation n’est-ce pas ? » elle eut un rire nerveux et recula encore de quelques pas, jusqu’à être stopper par le mur, elle s’adossa contre ce dernier et tenta d’esquisser un sourire rempli s’assurance. Elle ne devait pas lui montrer sa peur, de toute façon, il n’avait rien fait pour l’effrayer jusque là, si ce n’était que l’emmener ici. Sinon, il c’était montré plutôt gentil. Sam’ mit les mains dans ses poches pour sembler plus nonchalante et se força à regarder son assaillant dans les yeux. Elle s’obligea à arquer un sourcil et lui lança : « Et sinon, ya-t-il une raison particulière à ton kidnapping, c’est très inapproprié comme attitude - Elle regarda sa montre et continua sur le même ton faussement assuré – Je te signale que tu m’as mis en retard à mon cours, donc, je me demandais, comptes-tu me garder encore longtemps ici ? » La rouquine lui lança un regard de défi, malgré la peur qui la faisant trembler toute entière et croisa les bras sur sa poitrine.

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« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Elle prétend ne pas avoir peur de moi et pourtant, encore une fois, ses yeux disent le contraire. Elle ment et c'est évident, elle est pétrifiée, elle a peur et n'importe quel idiot pourrait le voir. Je ne sais pas pourquoi mais j'aime ça, j'aime lui inspirer ce sentiment. C'est presque jouissif. J'esquisse un petit sourire à ses paroles, si elle croit que je vais lâcher l'affaire aussi facilement, elle se trompe, de toute évidence. Elle avait reculé jusqu'au mur et ce n'était pas forcément la meilleure des idées qu'elle ait pu avoir. Franchement, vous êtes enfermés avec une personne qui vous inspire la crainte, qui reculerait contre un mur ? De cette façon, elle s'est piégée elle même. Je soupire. J'observe son visage, ses lèvres, elles tremblent. Je penche légèrement la tête et croise la tête, plongeant mon regard dans le sien. Elle arque alors un sourcil comme si elle voulait paraître en colère ou je ne sais quoi... quelque chose contraire à de la peur. « Et sinon, ya-t-il une raison particulière à ton kidnapping, c’est très inapproprié comme attitude - dit-elle avant de regarder sa montre et d'utiliser un ton faussement assuré pour continuer - Je te signale que tu m’as mis en retard à mon cours, donc, je me demandais, comptes-tu me garder encore longtemps ici ? » finit-elle. Me prenait-elle pour un idiot ? Elle n'était pas douée pour la comédie de toute évidence. Ce qu'elle venait de dire me fit littéralement éclater de rire. Mon Dieu, c'était juste... énorme.

Doucement je décroise les bras et m'approche d'elle, elle aurait pu continuer à reculer mais ça risquait d'être dur à moins d'être un fantôme et de traverser le mur. Arrivé à sa hauteur, il l'observa en souriant. « Tu es mauvaise comédienne, tu sais. - dis-je en continuant de sourire - La peur se lit dans tes yeux et si, comme tu le dis, tu n'étais pas effrayée, pour as-tu reculé jusqu'au mur ? » J'ai raison et elle le sait. J'observe le moindre de ses mouvements, le moindre de ses tremblements. J'espère sincèrement pour elle qu'elle va répondre à mes questions avec toute la sincérité possible. Je racle ma gorge et lui tourne le dos, me dirigeant vers la porte. Je l'ouvre. « Tu es libre de partir si l'envie t'en prends. - dis-je en la regardant droit dans les yeux, je ne sais pas si mon regard est doux ou froid et sincèrement, je m'en contrefiche. - Je n'ai pas envie de te faire du mal et encore moins d'avoir des problèmes avec l'administration. Je veux juste que tu répondes sincèrement à mes questions : Est-ce que je te fais peur ? Si oui, pourquoi ? » déclarais-je d'un ton interrogatif et quelque peu pressant. Je n'étais pas vraiment patient et ça risque de finir mal si elle continue à s'obstiner ainsi. Je soupire et jette un coup d'oeil à la jeune fille puis referme la porte. Non, je n'ai pas envie qu'elle parte, je veux qu'elle me donne satisfaction et je suis prêt à y passer la journée et la nuit si il le faut. Je m'approche à nouveau d'elle, doucement sans brusquer les choses. Je m'adosse au mur à côté d'elle et jette un coup d'oeil, va-t-elle fuir à nouveau ?
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Drake Ҩ Sammy
« Obstacles are like wild animals. They are cowards but they will bluff you if they can. If they see you are afraid of them... they are liable to spring upon you; but if you look them squarely in the eye, they will slink out of sight. »


J’ai beau feindre ne pas avoir peur, feindre l’assurance et le détachement, il voit clair dans mon jeu, je le sens, je le vois. Lui, indifférent, froid, distant, rien ne semblait l’atteindre, rien ne semblait lui déplaire dans cette frayeur qui me glaçait jusqu’au sang, au contraire il semblait s’en régaler. Comme d’un vampire devant la pulsion alléchante du sang d’une jeune vierge. Je continue tout de même mon jeu, s’en lassera-t-il peut-être, et à ce moment il me laissera sortir. C’était de naïves illusions qui me prenaient en cet instant, je n’étais pas stupide, avoir prit le risque de m’emmener ici pour me laisser sortir sans réponse, ça jamais. Je continuai tout de même non jeu, lorsque j’eu finis ma phrase teinté d’une arrogance feinte, il éclata littéralement de rire. Un rire à glacé le sang. Soudainement, il décroisa les bras et s’avança jusqu’à moi. Je tentai de reculer, mais mon dos était déjà contre le mur, bloquant toute chance de m’échapper à son regard tout aussi paralysant que sa poigne de fer. Mes mains se placèrent automatiquement le long de mon corps, contre le mur, comme si je tentais de le poussé de toute mes forces pour le faire reculé et mettre un peu plus de distance entre moi et ce jeune homme si terrifiant. « Tu es mauvaise comédienne, tu sais. La peur se lit dans tes yeux et si, comme tu le dis, tu n'étais pas effrayée, pour as-tu reculé jusqu'au mur ? » Les tremblements amplifièrent, je baissai la tête pour ne pas avoir à le regarder dans les yeux. Il avait parfaitement raison et je le savais. Reculer jusqu’au mur avait été une erreur, un réflexe tout simplement humain de s’éloigner le plus possible d’une présence malsaine promettant silencieusement notre malheur et notre affliction. Je serré mes lèvres tentant de faire cesser ses tremblements incessables. Je prenais de plus en plus grande respiration, sa présence m’accablait, me tourmentait, faisait revive le souvenir de ses comptes épeurant qu’on nous lisait autour du feu et qui nous empêchait de dormir des semaines et des semaines entières, seulement cette fois, ce n’était pas un compte, c’était un être réelle qui me procurait un affolement tel que je n’arrivais plus à contrôler la moindre de mes pensées. Même la tête penché, le regard fuyant, je sentais ses deux yeux à lui posé sur le dessus de ma tête, immobile, satisfait de voir mon corps ne devenir qu’un chiffon qu’on pouvait brutaliser sans remords, sans peur de représailles. Soudainement, contre toute attente, il racla la gorge, s’éloigna de moi, me laissant ainsi respirer plus aisément et ouvrit la porte de la pièce. « Tu es libre de partir si l'envie t'en prends. Je n'ai pas envie de te faire du mal et encore moins d'avoir des problèmes avec l'administration. Je veux juste que tu répondes sincèrement à mes questions : Est-ce que je te fais peur ? Si oui, pourquoi ? » Toute la peur accumulé depuis les quelques minutes qui m’avaient semblé interminable s’estompèrent en une seule action, celle d’ouvrir la porte et de permettre de partir. Mon regard se baladait entre le sien et la porte, je n’avais qu’une envie, détalée comme un lapin. Mais il continua, il voulait absolument avoir ses réponses, mais savoir qu’il ne me ferait pas de mal me rassurait quelque peu, comme un faux espoir que je me faisais. Je ressentais cette peur, mais j’essayais inconsciemment de l’enterré sous ses paroles semi-rassurante. Seulement, je ne savais pas quoi lui répondre. Je restais alors adossé sur le mur, chercher à trouver une réponse qui pourrait être satisfaisante. Seulement, il referme la porte. Mes sourcils se froncèrent et mon visage se brisa en une expression dépité. J’avais innocemment crue que j’allais sortir de cette pièce, seulement il avançait vers moi d’un pas lent, comme pour faire durer la peur qui comme un coup de masse m’avait frappé de nouveau. Mon cœur battait à toute allure, mon regard était fixé sur la porte fermé et si inaccessible. Il s’adossa sur le mur à côté de moi, calme, aussi froid qu’une statut de marbre. Mon corps était secoué de tremblement, il avait recommencé avec encore plus d’ardeur que précédemment. Je tentai de me glisser sur le côté afin de mettre de la distance entre nous, mais bien vite je fus coincé dans le coin de la pièce, aussi vulnérable qu’une petite souris devant un chat sauvage. J’évaluai la situation, je n’étais vraiment pas en position de force. Le jeune homme me dominait d’au moins une tête et demie et se trouvait entre moi et la porte. Je pris une grande respiration et d’une voix tremblante je lui dis : « Peur… ce n’est pas exactement le mot que j’utiliserais, je dirais plutôt… Que je ne te fais pas confiance, voilà tout… mais de la peur, il serait surfait de penser cela voyons, tu ne m’as donné aucune raison d’avoir peur, n’est-ce pas ? » J’eus un autre rire nerveux alors que j’essayai d’avancer lentement et sans bruit vers la porte. Il était plus près de moi, mais j’étais plus petite, donc plus rapide n’est-ce pas ? Lorsque j’eus terminé ma phrase, je serré mon portefeuille et me mit à courir, tentant de traverser la pièce et d’atteindre la porte. Elle n’était qu’à quelques mètres de moi, mais dans une telle situation de détresse, j’avais l’impression qu’elle était à des kilomètres, les jambes tremblantes, le corps aussi tendu qu’un ressors, les larmes me montèrent aux yeux sans que je n’aie pu les contrôler.
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« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Ainsi donc, le mot peur n'est pas vraiment celui qu'il faudrait employer. Se cherchait-elle des excuses ? De toute évidence. Je la trouve étonnamment drôle, allez savoir pourquoi. Je crois, tout simplement, qu'elle essait de faire croire à une assurance qu'elle n'a pas. Après, ce n'est que mon avis. J'ai toujours eu un don pour analyser le comportement des gens et le sien était très révélateur : elle avait peur. Je l'effrayais pour des raisons inconnus. J'ai un côté plutôt mystérieux et insaisissable. Pourtant, elle ne m'a jamais parlé et je ne l'ai jamais croisé avant ce jour où elle m'a bousculé. En plus d'avoir peur, elle était nerveuse. Son rire à la suite de son explication le prouva. Mon Dieu, c'était presque jouissif de faire d'elle une de mes principales victimes. J'ai hâte de voir comment va évoluer la situation. Un évènement se produisit. Elle se mit à courir en direction de la mort, trébuchant sur les graviers qui jonchaient le sol. Elle était inconsciente. Elle voulait s'enfuir sans me donner de réelle réponse ? Sammy n'était décidément pas au bout de ses surprises avec moi. Le fait qu'elle préfère s'enfuir plutôt que de me répondre commence à m'énerver sérieusement. Je n'ai pas vraiment de patience aujourd'hui, je ne suis pas d'humeur à pardonner. Et encore moins à une personne comme elle. Comparé à moi, elle paraît tellement... insignifiante. J'esquisse un sourire. Elle a beau être techniquement plus rapide que moi vu sa petite taille, j'ai de plus grandes jambes et je parcours la même distance qu'elle en moins de temps. Je cours derrière elle et passe de justesse devant elle pour bloquer la porte. J'esquisse un petit sourire satisfait. (un peu comme ça le sourire) Je soupire. Elle est idiote et c'est irrémédiable de toute évidence. Je la regarde et ne perd pas une miette de ses réactions. Ses lèvres tremblent et de toute évidence, elle a réellement cru qu'elle allait s'en tirait.

Je commence à m'approcher d'elle, elle recule. Je continue d'avancer sans me soucier de ce qu'il peut y avoir derrière. C'est alors que je la vois tomber en arrière. Elle a trébuché sur un bloc de pierre qui traînait. Drake ne prit même pas la peine de tenter de la rattraper, à vrai dire, la voir tomber était une grande satisfaction. Si elle était restée à sa place, elle n'aurait pas essuyé une cuisante défaite à la course et ne serait pas tombé en trébuchant sur un stupide bloc de pierre qui avait décidé de faire chier son monde. Elle était définitivement idiote, une abrutie comme il n'en avait jamais. Elle était maladroite en plus de ça. Je l'observe, elle n'a pas l'air morte. Après quelques secondes de réflexion, je décide de m'accroupir et je l'observe en souriant. De toute évidence, je lui fait perdre ses moyens. Peut-être qu'elle craque pour moi ! Haha, non, je crois qu'elle a surtout peur à s'en pisser dans le jean. C'est drôle, moi, ça me fait rire. J'éclate de rire et reste accroupit à ses côtés. Je reprends mon sérieux et plonge mon regard dans le sien alors qu'elle s'est un peu redressée (tête de drake). « Idiote. - dis-je froidement - J'ai essayé d'être gentil mais tu ne me laisses plus le choix. J'ai besoin de réponse et tu es la seule capable de m'en fournir. Depuis le début, tu me dis des choses stupides que tes yeux démentent. A chaque fois. - Je serre le poing - Je n'aime pas les menteurs. » dis-je d'un ton à en faire frissonner Voldemort.
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Je courais vers la sortie, trébuchant sur les déchets dû à la rénovation qui jonchait un peu partout sur le sol. Je n’étais plus qu’à une trentaine de centimètre de la porte lorsque je senti un courant d’air dernière moi et vit le jeune homme me dépassé et se mettre entre moi et la seule sortie de la pièce. J’étais confiné avec cette homme qui semblait bien déterminé à me faire parler. Seulement, je ne comprenais pas moi-même les raisons qui me poussaient à avoir si peur de lui. Comment pourrais-je lui expliquer mon comportement ? Il bloquait la porte, que pouvais-je faire ? Mon regard se promena sur le reste de la pièce, il n’y avait absolument rien pour m’aider à m’enfuir. Il esquissa un sourire empreint d’une satisfaction malsaine. Un frisson me glaça l’échine. Je me sentais atrocement vulnérable. J’avais réellement cru pouvoir m’en sortir, comme je devais sembler bête. Il fit un pas vers moi, son regard planté sur le mien. Je reculai, terrorisé, effaré. Comment avais-je pu arrivée ici ? Je ne connaissais même pas son nom et nous voilà ici. J’étais aussi vulnérable qu’un serpent coincé dans les serres d’un aigle affamé. Je fit un pas en arrière et puis un autre, mes mains tremblant comme feuilles en automne, soudainement, mon pied heurta quelque chose de très dure et avant que je ne puisse réaliser quoi que se soit, je chutais, tombais dans le vide. Mon corps tout entier percuta le sol, ma tête en dernier, m’aveuglant. Mon regard se brouilla, un cours instant, le noir m’engloutit tout entière. Comme si je tombais dans le vide. Cette sensation était à la fois effroyable et tellement rassurante. Dans le noir, je ne voyais pas le regard de marbre de l’étudiant. Mais je ne pu guère me réjouir, quelques secondes seulement avant que la lumière ne m’aveugle. Il est là, accroupit à mes côtés, un sourire dessiner sur son visage. Un sourire à donner froid dans le dos, un sourire digne des plus grands psychopathes de toute l’histoire de la planète. Ma tête me fait souffrir, ma camisole déchirée par l’impact des roches. La chair de mon dos est éraflée par le sol de la pièce, mes coudes sont en sang, pourtant mon regard ne se détourne pas de cet homme. Mon corps entier tremble comme jamais, je suis incapable de soutenir son regard pénétrant. J’ai l’impression qu’il m’analyse, qu’il me passe au rayon X. Je me relève un peu, m’appuyant sur mes coudes blessés. Les cheveux en bataille, les vêtements en lambeau et les coudes lacérés, je ferme les yeux sous la douleur. Il me regarde, son visage fit amplifier la peur qui régnait dans mon cœur, si seulement c’était encore possible d’augmenter un tel sentiment d’infériorité et d’insécurité. « Idiote. J'ai essayé d'être gentil mais tu ne me laisses plus le choix. J'ai besoin de réponse et tu es la seule capable de m'en fournir. Depuis le début, tu me dis des choses stupides que tes yeux démentent. A chaque fois. – Il serra les poings, me donnant froid dans le dos, si sa se trouvait, il allait les abattre sur moi ce dingue. - Je n'aime pas les menteurs. » Ma voix tremblantes, je pris la parole, je ne comprenais pas moi-même ce que je disais, c’était l’effroi qui parlait de lui-même. « Non mais t’es complètement malade ! » Je ne savais pas quoi faire, d’un coup, sans réfléchir, mon poing parti de lui-même, pour s’abattre sur son nez. Je repliai mes jambes sur moi-même et tentai de ramper vers l’arrière en me tirant à l’aide de mes coudes et en poussant ma petite carcasse faible et fragile avec mes pieds. Je reculai de plus en plus devant son regard sombre. Ses yeux étaient comme un gouffre dans lequel je me perdais, comme engloutit par la noirceur de ses iris. Je reculai de plus en plus, mais frappai bientôt le mur, je ne redressai un peu plus en m’aidant du solide rempart de brique. Je redoutais sa réaction, je n’aurais jamais du le frapper, qu’est-ce que j’avais fais !? Dieu que je pouvais être stupide ! Je me mis à sangloter et d’une voix tremblotante, je chuchotai « Je ne sais même pas comment tu t’appelles, qu’est-ce qu’on fait là? J’ai peur de toi OUI! Est-ce si étonnant après ce que tu fais, t’es complètement barge mon dieu! »
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« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Elle vient de dire que je suis complètement malade, c'est ça ? J'ai bien entendu ? Effectivement je le suis et c'est pour cette raison que sa remarque ne fit qu'amplifier ma fierté et fait naître un sourire satisfait sur mon visage. Mon Dieu, elle était vraiment idiote. De ma place, j'aperçois ses coudes, en sang et ses vêtements en lambeaux. Et dire que si elle m'avait dit la vérité, l'affaire aurait été réglé en dix minutes. Je peux vous avouer un secret ? J'aime beaucoup jouer avec ses nerfs. Elle a l'air si... si fragile, si vulnérable quand je suis présent. Qui suis-je pour elle ? Un psychopathe ? Oui, je crois que c'est le cas. Je garde mon sourire. Là, sans comprendre pourquoi, je sentis une légère douleur et un picotement dans le nez. Elle venait de me frapper à l'aide son poing. Logique. Et après, dans l'histoire, c'est moi le fou. Personnellement, je ne m'attaquerais pas à une personne qui me domine totalement mentalement ou physiquement. Je ferme les yeux et touche mon nez, il n'a pas l'air enflé. Il n'est donc pas cassé. Je descends mes doigts vers mes narines. Je sens quelque chose d'humide qui coule et qui descend jusque ma bouche. Doucement, je passe ma langue sur mes lèvres : du sang. Elle m'a donc fait saigner, la garce. Que dis-je, la pute. J'ouvre les yeux. Elle en a profité pour reculer et se redresser à l'aide du mur. Je me relève doucement et époussette mes vêtements. Elle parle, j'ai presque l'impression qu'elle hurle, si elle continue, quelqu'un va rappliquer c'est sûr. Je m'approche donc d'elle d'un pas rapide et la plaque contre le mur de façon plutôt violente. Je ne me sens pas de bonne humeur, pour tout dire, elle m'a mis en colère et quand je le suis, ce n'est généralement pas bon signe pour la personne qui en est la cause. Mes mains serrent ses bras brutalement. Je songe à me calmer mais je n'en ai pas envie, après tout, elle mérite tout ce qui lui arrive non ?

Mon nez n'arrête toujours pas de couler, je renifle et ressent une horrible sensation. J'essaie de ne pas y faire attention. Je retire une main d'un de ses bras pour essuyer le sang qui coule puis je la remet en place, tachant le haut de la jeune fille. J'inspire, je soupire, je tente désespérément de calmer la colère qui monte en moi. « Drake. - dis-je froidement - Je m'appelle Drake. » Je ne sais pas pourquoi je lui dis mon prénom, j'essaie de répondre à ses interrogations pour qu'elle réponde aux miennes. J'approche mon visage du sien. Si je voulais, je pourrais l'embrasser, elle ne pourrait rien faire, elle est bloquée. Mais non. Mes yeux se plongent dans les yeux. « Je n'aime pas les gens qui jugent sans connaître. - dis-je en souriant, un sourire peu rassurant - ET JE NE SUIS PAS BARGE BORDEL ! - criais-je. Non, je ne le suis pas. Je n'ai pas de coeur, c'est vrai mais j'ai un avantage sur beaucoup de personnes : je sais comment en blesser un. - Franchement, de nous, qui crois-tu qui est en tord ? Hein ? Tu m'as jugé, sans me connaître, sans jamais m'avoir adressé la parole alors que je ne t'avais jamais rien fais. Je vais te donner une putain de bonne raison d'avoir peur de moi... - je marque une pause, elle va regretter. - Sammy. Je vais faire de ta vie un enfer, même Satan n'oserait pas y foutre les pieds. » dis-je en souriant. J'approche mon visage encore un peu plus du sien. Je suis persuadé qu'elle serait facile à manipuler. Je suis prêt à passer la journée dans cette putain de pièce. Mon visage redevint sérieux et froid. J'avais hâte de voir ce qu'elle allait faire.(ici)
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Drake Ҩ Sammy
« Obstacles are like wild animals. They are cowards but they will bluff you if they can. If they see you are afraid of them... they are liable to spring upon you; but if you look them squarely in the eye, they will slink out of sight. »


Lorsque je relevai mon regard vers lui, son nez saignait abondamment et son regard était ardent, brûlant, j’en avais des sueurs froides. Il semblait furieux. Je continu à le traiter de malade, je ne peux pas m’en empêcher. Soudainement, sans que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, il est devant moi, à quelques centimètres… que dis-je ? Millimètres de mon visage ! Il me plaque violemment contre le mur de brique, ma tête se heurtant encore contre le mur. J’ai la tête qui tourne, la pièce entière n’est plus qu’une sombre scène que je voie de loin. Ses mains se resserrent sur ma peau lacérée, il pressent encore et encore jusqu’à ce que je ne sente plus le sang y circuler, c’est atroce. Son regard est planté dans le miens. Je n’ai plus la force de me débattre, je reste là, je le regarde, il ne semble avoir aucun remord, aucune pitié. Je tremble de tout mon être, mais la fatigue est-elle que je n’en ai même plus conscience. Je sens les larmes couler sur mes joues, sur ma bouche, je sens le goût salée de ces gouttes coulent à flot de mes yeux d’un bleu océan dans lesquels les gens ont habituellement l’habitude de voir pétiller de joie, absent à cause de la prise de drogue ou d’alcool, à l’écoute lorsque je suis en cours, mais jamais en larmes. Je ne me permets jamais de pleurer en public et me voilà maintenant aux mains d’un psychopathe, en larme. Mon corps entier est secoué de sanglot. Son nez saigne toujours, cela semble le dérangé, il s’essuie puis me ré-agrippe, tâchant mon haut. Je me regarde, j’ai l’air d’une catin, la poussière à élue domicile sur mes vêtements, mes cheveux sont en broussailles, mes larmes ont fait couler mon mascara qui rend maintenant mon regard charbonneux et mes joues sont tâché de noir. Sans parler de mon chandail qui est complètement ruinée, entre la tâche de sang du jeune homme et les dégâts de ma chute, il n’en reste plus grand-chose. Et on ne parlera même pas de mon regard éteint et de mon corps qui a dut mal à tenir debout, je pense que s’il me lâchait, je m’effondrerais sur le sol. « Drake. – dit-il en un souffle. - Je m'appelle Drake. » Je pouvais sentir sa respiration, son souffle réchauffant mon cou. Il se nommait Drake… C’était déjà bon à savoir… Il approcha encore son visage du mien. Son nez collé au mien. Son sang coulant autant sur sa peau que sur la mienne. J’eus un rictus de dégout. Ses yeux se plongèrent dans les miens, aussi froid que précédemment. « Je n'aime pas les gens qui jugent sans connaître. - dis-je en souriant, un sourire peu rassurant - ET JE NE SUIS PAS BARGE BORDEL ! –Il criait, il avait laisser tomber son masque d’indifférence. Il avait l’air d’un vrai fou. - Franchement, de nous, qui crois-tu qui est en tord ? Hein ? Tu m'as jugé, sans me connaître, sans jamais m'avoir adressé la parole alors que je ne t'avais jamais rien fais. Je vais te donner une putain de bonne raison d'avoir peur de moi... – Il avait totalement raison, je l’avais jugé, j’avais eu tord. Mais en même temps, son comportement présent validait les réactions que j’avais eut. Mon instinct était définitivement plus que bon. Seulement, j’avais fais une erreur, je lui avais montré, j’étais maintenant vulnérable, à sa mercie. - Sammy. Je vais faire de ta vie un enfer, même Satan n'oserait pas y foutre les pieds. » Mes yeux s’écarquillèrent et mes sourcils se froncèrent, les sanglots reprirent de plus belle. Il rapprocha encore son visage du mien. Sa respiration me chatouillait le coup. J’essayai une dernière fois de me débattre, j’utilisai le dernier soupçon de force que j’avais pour remonter mes mains et les posai sur son torse. Ses mains était toujours posé sur mes bras, mais près de mes épaules, je pensai alors naïvement que si je le poussais de toute mes forces, il bougerait un peu et me laisserai le chemin libre. Je lui lançai un regard furieux et me mit à le pousser de toute mes forces, me débattant, j’avais l’air possédée. Après quelques minutes, je dû m’avouer vaincu, je ne le ferai pas bouger de là, j’étais trop petite, trop chétive, trop maigre. Je n’étais qu’une pathétique carcasse sans aucun intérêt. Je relaissai tombai mes bras sans forces. Je le regardai, tout espoir avait quitté mon regard. Je lui crachai au visage. Stupide ? En effet. Mais bon, j’abandonnais. Je savais que je ne sortirais pas ici sans son consentement, et il n’avait pas l’air prêt à me le donner. Alors à quoi bon répondre à ses questions ? Cela ne servirait à rien, de toute façon dans l’état où j’étais, il serait inconscient de me laisser sortir au beau milieu du hall de l’université…
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Are you afraid? pv. Sammy J. Carpenter Tumblr_lon1c42dAd1qd9g4so1_500
« Tout le monde a peur de quelque chose
ou de quelqu'un. C'est humain. »

Dans un dernier espoir, dans un dernier souffle Sammy a tenté de me repousser. Les mains collés contre mon torse, elle a poussé de toutes ses forces mais ce n'est pas suffisant. Elle est petite et elle ne peut rien contre les muscles que j'ai développé depuis trois ans. Son maquillage était foutu et la petite lumière d’insouciance et de joie que j'avais aperçu durant les bref secondes avant notre rencontre n'était plus. Elle était éteinte. La jeune fille avait abandonné la bataille et de toute évidence, elle venait de perdre la guerre. C'est triste, je suis déçu, elle n'a pas vraiment duré longtemps. Elle pleure et je n'aime pas quand les gens pleurent en public. Ok, il est vrai que n'importe qui aurait pleuré sauf moi bien entendu mais quand même. Elle ne cherchait même pas à se retenir, elle avait abandonné. Je soupire, ce n'est plus drôle, la situation ne m'amuse plus. Je lâche ses bras et m'éloigne d'elle. Je sors un mouchoir de ma poche et commence à essuyer la poussière, le sang et le noir qu'elle a sur le visage. Mes gestes sont doux. Pour tout dire, je me suis calmé. Si je fais ça, ce n'est pas pour être gentil mais si elle sort dans cet état, c'est certain que dans la demie-heure qui suit je suis dans le bureau du doyen. Elle est à peu près correcte maintenant. Je retire ma veste, dévoilant mes bras nus et la met sur ses épaules, la décollant un peu du mur. « Garde la. Brûle la. Fais en ce que tu en veux. Rentre dans ta chambre, débarbouille toi, change toi. » dis-je d'une voix sans émotions. Ni froid, ni chaleureux. Je m'éloigne d'elle et lui tourne le dos, j'avance vers la porte et tente de l'ouvrir. Elle ne bouge pas. Mais putain, c'est quoi ce bordel ? Je la pousse un peu plus froid, peut-être est-elle bloquée par des bouts de graviers, je m'accroupis pour regarder, il n'y a rien. Je soupire. Je me redresse et m'éloigne avant de foncer à nouveau vers la porte pour lui foutre un bon coup d'épaule. Une douleur intense se fait sentir. La porte n'a pas bougé d'un centimètre et j'ai mal à l'épaule, comme un gros con. Je donne un coup de pied dans celle-ci, rien à y faire. Je sens que ma patience diminue à nouveau. Sammy n'a pas bougé d'un pouce, allez savoir pourquoi. Je commence sérieusement à péter un câble. Je redonne un coup d'épaule dans la porte, la douleur s'intensifie. Je commence à donner de grands coups de poings dans cette putain de porte, priant pour qu'elle cède... (ici). A contrecoeur, je me retourne vers la jeune fille et m'adosse à la porte, me laissant glisser contre celle-ci, vaincue par une chose qui bloque cette putain de sortie de merde. Mes mains tremblent, je littéralement entrain de perdre le contrôle de moi même et je n'aime pas ça. Il ne manquerait plus que je pleurs. « C'est fini. -annonçais-je à la jeune fille sur un ton déçu - On est coincé ici jusqu'au retour des ouvriers, à mon avis. » dis-je en soupirant. Je baisse la tête et observe la sol avant de me relever et d'avancer vers Sammy. Je prends sa main et la regarde, elle a quelques égratignures mais rien de très grave. Mon nez continue de saigner. Je ne m'en soucis guerre mais j'ai sans doute la gueule en sang, ça ne doit pas forcément être très jolie à voir. Une idée plutôt saugrenue me vient à l'esprit. « Quitte à rester coincé ici toute la journée et toute la nuit... autant passer un bon moment. » Et c'est sur ses mots que mes lèvres touchent celles de la jeune fille.
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Drake Ҩ Sammy
« Obstacles are like wild animals. They are cowards but they will bluff you if they can. If they see you are afraid of them... they are liable to spring upon you; but if you look them squarely in the eye, they will slink out of sight. »


Lorsque j’eus abandonné tout espoir, je posai ma tête sur le mur derrière moi, ne regardant même pas Drake. J’en avais assez. Cela dura un instant, puis Drake soupira. Il lâcha mes bras et s’éloigna, je sentis la circulation sanguine retrouvé lentement son état normal, me causant de léger picotements. Je le vis sortir un mouchoir du coin de l’œil, mon premier réflexe fût de penser qu’il allait sans doute tenter de m’étouffer avec. Charmant non ? Mais au contraire, il s’approcha de moi et commença à essuyer délicatement la poussière et le sang qui m’acculait mon doux visage. Je le regardai d’un œil différent, comment passer d’une telle violence à une chaleur quasi réconfortante? Mon regard était rempli d’incompréhension, mes lèvres cessèrent peu à peu de trembler. Comme si j’avais trouvé un confort malsain dans ses gestes délicats. Je levai les yeux sur lui, il retira sa veste dévoilant ses bras nues, et drôlement plus musclé que les miens, je pensai d’abords qu’il était stupide d’avoir même pu croire un seule instant pouvoir rivaliser contre un homme de sa carrure et pensai ensuite que dans d’autre circonstance, cette musculature m’aurait semblé plutôt attrayante voir même attirante, mais pour le moment, j’étais trop fatigué pour discerné quoi que ce soit. Il avança vers moi et m’éloigna un peur du mur et m’enveloppa de sa veste. « Garde la. Brûle la. Fais en ce que tu en veux. Rentre dans ta chambre, débarbouille toi, change toi. » Mon regard ne quittais pas son visage. Je le fixai, comme déstabilisé par ce soudain changement d’attitude. Bien que sa voix ne soit pas rassurante, réconfortante ou encore ne serais-ce qu’un poile chaleureuse, mon regard s’attendris, il n’était peut-être pas si barge que sa finalement… Quoi que je me trouvai stupide de pouvoir ne serais-ce que penser du bien de Drake en ce moment précis. Je me retrouvai quand même accroupit dans une sale en rénovation, les vêtements en lambeaux, les coudes en sangs et le visage tâché de maquillage et de larme. En bref, j’étais plutôt dans un piteux état. Mais au moins, mes larmes avaient cessé de couler. Le jeune homme, lui se dirigeait maintenant vers la porte, il tourna la poigné, mais rien ne se produisit, la porte ne bougea aucunement, pas même d’un centimes. Il la poussa avec plus de force et se pencha, sans doute pour regarder si quelque chose la bloquait. Il se releva rapidement, s’éloigna de la porte et couru vers celle-ci et tenta de l’enfoncer d’un coup d’épaule. Pas même un craquement ne s’éleva de la porte en bois. Je serré les lèvres, voyant par la façon dont les muscles de ses bras étaient tendu, que ce dernier coup avait du lui faire mal. Seulement, il ne laissa en aucun car paraître cette blessure. Il donna un gros coup de pied dans la porte, mais celle-ci ne bougea pas plus. Pour ma part, je n’avais toujours pas bougé, je restai là, recroquevillé dans un coin, serrant la veste de Drake autour de moi. Il redonna un coup d’épaule dans la porte, ce qui aggraverait son mal s’il était déjà blessé et commença à frapper dans la porte de toutes ses forces. À ce stade-ci, que la porte reste fermé ou ne s’ouvre, j’en avais rien à foutre, j’étais si fatigué, c’était comme si toute cette peur s’était évaporé d’un coup, emmenant l’anxiété avec elle. J’avais limite l’impression d’être complètement péter. Drake se retourna et leva le ton, brisant le silence qui s’était installer dans les dernières minutes. « C'est fini. – annonça-t-il - On est coincé ici jusqu'au retour des ouvriers, à mon avis. » Étonnamment, je ne réagis même pas, je le regarda et haussait les épaules. Qu’est-ce qu’on pouvait bien y faire après tout? Le garçon semblait désespéré, c’était presque triste à voir. Drake s’approcha de moi et prit mon visage dans ses mains. L’idée de me demander ce qu’il faisait ne me vint même pas à l’esprit. Son regard se balada sur mon visage. Quant à lui, il avait le visage en sang, à cause de moi… J’avais du remord, apparemment, je ne connaissais pas ma force. « Quitte à rester coincé ici toute la journée et toute la nuit... autant passer un bon moment. » Je ne réagis pas tout de suite lorsqu’il posa ses lèvres sur les miennes, tout d’abords, je trouvai un réconfort peu commun dans ce contact physique. Après m’être fait violenter de la sorte, un peu de chaleur corporelle n’était jamais de trop. Seulement, de sa part ? C’était plutôt étrange non? Mais en ce moment précis, je n’en fis pas de cas. Je vins me blottir au creux de ses bras réconfortant et prolongea notre baiser. Je glissai mes bras autour de son torse et posai ma tête dans son cou. Ce qu’on pouvait être bien. Quelques secondes passèrent avant que je ne relève la tête, il saignait encore du nez, c’était terrible. Je pris le mouchoir avec lequel il m’avait moi-même nettoyer et passait sur son visage. Je murmurai doucement et avec un air gênée « Désolée… apparemment, je suis une femme plutôt forte eh… » J’essayai délicatement son nez et sa bouche, ainsi que son menton puis jetai le torchon tâché plus loin. Je regardai ensuite son épaule qui devait lui faire mal et passai mes mains dessus en pressant un peu, je savais que sa serait loin d’être désagréable, mais en tant qu’infirmière, je savais que c’est ce que je devais faire afin de vérifier si les muscles était froissé. Mais bon, tout semblait être okay, il aurait mal pendant quelques jours mais pas plus. Je m’étendu sur le sol, repliant mes jambes sur moi-même le visage éteint de fatigue et regardai le visage de mon opposant, c’était bien étrange de voir à quelle vitesse la situation avait changé, je ne comprenais pas vraiment, mais je ne me posais aucune question.
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