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( rockhart ) so much pain for someone so young

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so much pain for someone so young

appartement de nico.
20.08.23
@Nicola Rockefeller
violence physique, traumatisme.

depuis qu'elle t'as raconté les soucis qu'elle a rencontré et comme ça l'avait pas mal touchée psychologiquement, t'arrêtes pas d'y penser. ça te fais quelque chose, t'aimes pas imaginer qu'elle a été malmenée. de base, c'est le genre de truc qui te mets en nerfs, mais là, tu ressens beaucoup plus que ça. c'est pas seulement une femme, c'est aussi nico. que ce soit elle, ta soeur, tes potes proches, ça te ferais le même effet. alors ouais, dès que t'as su qu'elle était de retour, t'as voulu lui rendre visite, t'assurer qu'elle va bien. lui montrer que t'es là si elle a besoin. elle a peut-être pas envie de ta présence en particulier, mais eh, tu lui imposes, comme t'imposes pas mal de trucs aux gens. arrivé depuis quelques minutes, tu montres enfin ce que t'avais dans ta poche ― bon.. tu me devras un paquet de bonbons. que tu dis en lui mettant devant elle sur la table. t'as retenu ce qu'elle t'as dis tout à l'heure.
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so much pain for someone so young

appartement de nico.
20.08.23
@Iwan Lockhart
violence physique, traumatisme.

T’avais déjà enfilé ton haut de pyjama prête à aller te mettre dans ta chambre pour lire et aller dormir. Tu parles d’une soirée palpitante. La clim a fond, tu cherchais un espace frais en dehors de ta douche où tu es restée assise longtemps sous l’eau froide, assez pour avoir les doigts ridés. Lorsqu’Iwan t’a dit venir chez toi, t’es immédiatement allée enfiler une robe pour l’accueillir plus convenablement. Que tu veuilles ou non, il allait venir, c’était pas vraiment une question. C’est mignon, il s’inquiète, mais t’as pas envie qu’il le fasse, que personne ne le fasse. Ça complique davantage les choses. Assise en tailleur sur le canapé, à laisser la télévision parler dans le vide, tu tournes la tête vers lui avant de voir qu’il t’a remmené finalement son dernier paquet, ses préférés. Tu sais comme ça compte. Il n’aime pas partagé et toi, plus sensible qu’à ton habitude, tu trouves ce geste plus qu’adorable. T’avais envie de bonbons. Mais tu le taquinais, même si tu ne voulais vraiment pas de ses cacahuètes sans sel. Merci… Oh non, ta sensibilité est mise à rude épreuve là. C’est juste un paquet mais tu sais que c’est pas rien. Maladroitement, tu viens l’enlacer, cachant ces yeux qui commencent à boire la tasse. Tu restes suffisamment longtemps comme ça l’entourer de tes bras pour que tout revienne à la normal, et finalement revenir assise, les lèvres pincées. Promis, et tu en auras même deux. Merci. Sans perdre plus de temps tu t’empares du paquet, l’ouvre et le mets entre vous. Je t'autorise à en prendre quelques uns. Forcément qu’il va le faire avec ou sans ton autorisation, tu le sais.
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appartement de nico.
20.08.23
@Nicola Rockefeller
violence physique, traumatisme.

t'écarquilles les yeux quand elle vient t'prendre dans ses bras. tu sais qu'elle aime les bonbons, mais à ce point.. bon, ça te fais pas trop regretter de lui avoir cédé ton paquet. et puis, tu comptes en profiter toi aussi. c'est pas que pour elle. tes mains viennent se poser dans son dos, le caressant doucement. elle est vraiment très sensible là. peut-être qu'elle a ses règles aussi. ça y joue ça sur l'humeur des femmes. tu sais pas que derrière ton dos, elle a les yeux beaucoup trop embrumés, sinon ce serait le pompon. ― pas d'quoi. étreinte terminée, ton regard se pose sur elle. t'arques un sourcil, puis soupires ― c'est bon je m'en fous en vrai. j'peux en acheter des tonnes des paquets si j'veux. ouais on sait que t'es blindax, pas besoin de le rabâcher à chaque fois. t'ouvres le paquet, puis l'pose devant elle après en avoir piochés et mit quelques uns en bouche. t'allais en effet pas lui demander la permission. les minutes passent sans que tu trouves vraiment les mots. tu t'es pas invité chez elle ce soir pour rien. toi qui d'habitude aurait enchainé d'autres bonbecs, là t'es focus sur autre chose. t'as la boule au ventre rien que d'imaginer que tu vas lui dire ce que tu t'apprêtes à dire. toi qui d'habitude est l'pro pour faire l'autruche. dos posé contre le dossier du canapé, tes doigts arrivent  doucement à sa main, la saisissant et au moment d'lui dire ce que t'avais en tête, tu te dis que déjà, le geste était surement de trop. sauf que là, t'as l'air d'un con. malgré la boule qui se formait au creux de ton ventre. ce si petit geste intime qui n'avait  pas eu lieu entre vous depuis si longtemps, te mets le palpitant. limite. et là, tu fais quoi ? tu dis quoi ? tu lui tapotes la main en mode ' poto d'la muerte j'suis là pr toi tqt frr '. t'aurais pu le faire, mais merde, tu vas pas faire des pas en arrière à chaque fois non ? ― par rapport à c'qui s'est passé... enfin, bref. t'as pas envie d'en parler, mais j'suis là. voilà. c'est tout c'que j'avais à dire. bon. non. peut mieux faire quand même. tu relâches sa main, regard qui se focus sur tout sauf sur elle, puis poursuis ― et aussi, tu m'as manqué. beaucoup trop. et t'as les mains moites. voilà, c'est bon, c'est déjà pas mal. bon, allez, un bonbon en bouche histoire de passer vite à autre chose ― vraiment les meilleurs cheux là. tu penses tellement à autre chose que t'as même pas le gout du bonbon.
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20.08.23
@Iwan Lockhart
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T’es trop émotive en ce moment, faut que tu travailles dessus. En même temps, t’es quelqu’un de très sensible de base, seulement ça s’est accentué dernièrement. Comme lorsque tu as pleuré quand tu as fait cramer les cookies l’autre jour. Tu voulais faire plaisir, et finalement, personne n’aura eu ce luxe, on a même fait semblant de les apprécier. C’était vraiment immangeable. J’y tiens, je ne viens jamais les mains vides. Autant que ça te fasse doublement plaisir. Tu sais te faire recevoir. Toujours un petit quelque chose à l’adresse de l’autre. Paquet ouvert entre vous deux, il ne fera certainement pas long feu, et vous savourez inlassablement. Quelques instants sans un mot, tu réfléchis à la couleur que tu vas prendre, alterner entre les goûts depuis tout à l’heure, évitant de prendre deux fois de suite le même. Doigté que tu sens sur ta main, tu détournes le regard des sucreries pour voir le brun s’emparer de cette première. Ok ça y est c’est comme vice versa dans ta tête, tes émotions sont en panique, ça crie alerte dans tous les sens. Dans tes iris qui viennent se poser sur lui, on peut y voir les personnages courir dans tous les sens affolés par la situation. Y a rien au clair en toi, mais une question tourne en boucle :  qu’est-ce qu’il fait ? pourquoi il me regarde comme ça ? T’en oublie de respirer, tu vas finir par devenir bleue, allez c’est un automatisme, relâche la pression. Finalement, c’est un mélange d’émotion : bleu et jaune. La tristesse prenant le dessus sur la joie. Silencieusement, avec un léger sourire, tu te concentres pour pas laisser tes émotions prendre le dessus. T’es vraiment trop sensible. Tu sens ta gorge te piquer puis tes yeux.  Noon, c’est pas le moment. Tout à l’heure quand tu seras seule dans ton lit avec les animaux autour de toi, ok, mais pas là. Tu restes silencieuse à ne rien dire, les yeux grands ouverts pour éviter qu’ils se noient de nouveau, avant de lâcher, un faible merci, perdu au milieu de ta concentration. C’est sa révélation finale qui vient fermer les valves, faire renaître ce sourire sincère, et cette rougeur légendaire. Ça pourrait passer inaperçu avec ce bronzage impeccable, mais y a trop d’indices à la fois : ces fossettes, ce nez qui se retrousse et ses yeux fuyards. Tu ne pensais pas entendre ces paroles, et il ne peut deviner à quel point ça réchauffe ton cœur. T’as jamais voulu tout ça, cet éloignement, mais ça faisait trop mal pour juste laisser les choses comme elles étaient entre vous. Et puis tu t’es dis qu’il s’en moquait. Toi aussi … tu m’as manqué. dis-tu tout en remettant une mèche derrière ton oreille. Tu ne diras rien sur combien c’était pas facile, mais c’était peut-être moins compliqué au final que de rester aussi proche de lui. T’en sais rien, t’évites d’y penser, trop surprise par ses propos. C’est pas le genre à vraiment dévoiler ce qu’il ressent. Et en même temps, tu sens que ça va pas être de la tarte. Tout ce qui s’est passé à fait que t’es passée d’un in love à 100% à un peu moins, mais on sait comment tu es. En même temps c’est facile de ne pas craquer quand on se parle pas, qu’on ne se voit pas. Tout est tellement plus simple à des kilomètres de distances, et pourtant. T’aimes le rhum arrangé ? Tu tentes d’apaiser tout ce qui se passe dans ta tête, d’éviter que la gêne d’un stress prenne le dessus pour finalement éviter de vous regarder dans le blanc des yeux. J’ai remmené une bouteille. Il est très bon, mais faut pas trop en boire, ça nettoie bien les boyaux….
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20.08.23
@Nicola Rockefeller
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t'es pas le plus doué pour les démonstrations. t'es pas le plus démonstratif de la famille. ces trucs là, tu les laisses à ta soeur et ta mère. toi, t'es comme ton père. moins t'en montres, moins tu souffres, moins tu te fais piétiner. pour le moment, t'faire passer en premier t'as plutôt toujours bien réussis. parfois, tu fais passer quelques autres personnes en priorité, avec toi. ta soeur, ta mère, estrella et c'est tout. les autres, ils t'ont plus donné l'envie de ne plus laisser transparaitre ce que tu ressens au plus profond de ton coeur. jusqu'à elle. ça fait des mois que tu fais tout pour te dire que ça vaut surement pas le coup. l'excuse de ton frère n'étant plus d'actualité, il n'y avait plus que ton égoïsme légendaire et surtout le fait que t'avais plus du tout l'envie de quelqu'un te rendes aussi vulnérable que tu pourrais l'être quand t'aimes fort une personne. parce que t'as beau être celui que t'es, t'es aussi quelqu'un d'extrêmement sensible. d'où le fait que t'oses pas vraiment t'ouvrir. ce simple geste, ta main posée sur la sienne, suffisant à faire battre ton coeur plus que tu ne l'aurais imaginé. bien trop, puisse que t'oses pas aller plus loin. encore une fois. c'est pas la première fois. pourtant, avec les événements de ces derniers jours, t'étais venu dans l'optique de lui faire  comprendre que tu t'inquiétais pour elle, parce qu'elle comptait beaucoup plus qu'elle pouvait l'imaginer. mais rien n'sort de ta bouche. tu joues encore la carte du lâche, du je m'en foutiste. c'est pas comme ci ça allait l'étonner. t'arrives même pas à savoir qu'est ce qui pourrait te retenir de t'ouvrir un peu plus. cette fois, plus rien ni personne ne pourrait t'en empêcher et le pire, c'est que cette fois, t'en as vraiment envie. c'est surement pas le moment ? pour elle d'entendre ça. surtout après ton comportement envers elle. comportement que tu contrôles pas. tu t'en rends même pas compte. t'es comme ça. t'as toujours agis avant de réfléchir. c'est comme ça. le seul truc qui pourrait t'empêcher de t'ouvrir, c'est qu'elle, elle a avancé. elle a accepté ce que tu lui as dis ya quelques semaines. tu la considères comme une simple pote, et l'attirance n'est pas réciproque. t'as pas été franchement cool sur ce coup. elle méritait mieux. et elle a du s'en rendre compte puisse qu'elle a enfin tourné la page visiblement. du moins, tu penses ? trop d'choses qui se mélangent dans ton esprit parfois trop étroit. t'ignores les traits de son visage. t'ignores la réaction qu'elle a puisse que t'évites son regard. tu sais juste que toi aussi, tu lui as manqué et c'est l'principal en vrai. t'aurais pu ne pas du tout lui manquer. même si cette option, t'y croyais pas tellement d'base. tu le sais que tu comptes pour elle. du moins, que tu comptais. ça s'efface pas comme ça. et la question sur l'rhum arrangé ça te sautes. du moins, à moitié. tu te demandes si elle est gênée maintenant. t'aurais peut être pas du lui prendre la main. ça va niquer la soirée. non ? si elle est gênée, ça veut dire qu'elle est vraiment passée à autre chose ? t'es un pote, rien de plus. ok, trop d'questions d'un coup qui se bousculent dans ton esprit. tu te racles la gorge et viens la regarder en haussant légèrement les épaules, une fois l'bonbon avalé, manquant limite de t'étouffer avec ― ouais ouais, parfait. ça pourra pas m'faire de mal. si vous aviez pu vous saouler avant histoire d'oublier tout ça. mains qui viennent frotter ton jean, tu te lèves puis viens vers elle ― besoin d'aide ? pour les verres ? t'as l'air assez nerveux, ne sachant quoi faire. t'arrives pas trop à rester en place. trouver un truc à faire pour chasser c'moment gênant de ton esprit.
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20.08.23
@Iwan Lockhart
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Réponse en main, tu te lèves et en direction de la cuisine pour aller chercher la bouteille à peine rangée avec les autres alcool. Si votre frigo est vide en revanche, le bar lui est toujours aussi rempli. On voit que vous avez de nombreux restes de soirées. Pourquoi, tu dis ça ? T’as quelque chose à noyer ? Bouteille en main, tu viens la poser sur le comptoir et regarder le brun, pas dans son enthousiasme comme la dernière fois que vous vous êtes vus avant de partir chacun en vacances. Le chlore l’a durement attaqué ? Et tu réalises que tu ne lui as peut-être pas demandé comment il allait. Tu t’en veux de ne pas avoir remarqué quoi que ce soit avant. T’es habituée à ce qu’il en fasse des caisses pour un oui ou un non, sinon ça ne serait pas lui, mais il est étrange. Tu ne serais trop dire ce qu’il y a, trop crédule. Face à la bouteille, tu la fais glisser jusqu’à lui. Je vais surtout te confier la bouteille. L’autre fois j’en ai mis partout en ouvrant. Le bouchon en liège est pas facile à ouvrir. J’ai deux mains gauches. Verres que tu viens récupérer, tu les poses à proximité de la bouteille, et viens t’asseoir sur le comptoir, à côté de votre apéro tardif, croisant les jambes pour les doucement les balances. ça ne va pas ? Voix douce, tu te mets facilement à t’inquiéter. Ton univers ne supporte pas le mal-être des uns et des autres, mais encore moins celui de ceux que tu aimes. Tu le regardes avec beaucoup de compassion, et un petit sourire en coin né sur ton visage, une mèche de cheveux que tu viens remettre derrière ton oreille.
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20.08.23
@Nicola Rockefeller
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t'es pas l'genre à courir après quelqu'un. si tu sens que y a pas d'ouverture possible, tu sais que t'es le genre à tout faire pour passer à autre chose. les semaines sont passées, les mois. la distance aide aussi à se rendre compte de pas mal de choses. bref. tu la laisses prendre sa bouteille de rhum, te disant que le mieux c'est de faire comme d'habitude, l'autruche. le mec sur de lui. c'est ce que tu sais faire de mieux non ? ― non pourquoi ? j'ai l'air de vouloir me noyer dans l'alcool ? t'es pas triste. loin de là. c'est juste que ça te permettrais d'affronter  le reste de la soirée. elle a l'air d'être à l'aise elle. d'ailleurs, tu l'as jamais vu aussi... à l'aise là. tant mieux pour elle en même temps. bouteille devant le nez, tu viens t'accouder au bar, venant la saisir lorsqu'elle te demandes de l'ouvrir ― nico ne serait pas nico si elle était pas aussi maladroite. bouche qui se fend en un léger sourire, l'ironie qui se lit sur les traits de ton visage. bouteille ouverte avec succès et sans aucun dégât. tu verses le rhum dans chacun de vos verres ― mais.. j'ai l'air d'pas aller ou quoi ? ok, t'arrives pas à faire semblant apparemment. regard rivé sur le verre, long soupire qui s'échappe de tes lippes ― c'est que... j'suis.. tu te balances sur ta chaise, puis poursuis en venant saisir le verre entre les doigts ― stressé. à cause d'la salle qui va pas ouvrir à temps. ouais ça passe bien ça non ? tu portes le verre à tes lèvres, légère gorgée, - non trop grosse, t'as pas su doser - qui s'écoule le long de ton œsophage t'arrachant une grimace ― rah putain, ça m'arrache !!! pire grimace ever là. puis une fois remis, tu repousses ton verre de la main prenant un air dégoûté. t'attendras un peu avant d'en reprendre une gorgée. c'est pas d'la bière lockhart hein ― mais bref, pas envie d'parler de ça.. tu marques un temps de pause, puis sans vraiment la regarder, tu dis ― ya aussi l'fait que ça m'a inquiété de fou ton histoire. j'aurais été avec toi en italie ce soir là, j'crois qu'encore une fois j'aurais terminé à l'hosto. [...] avec lui évidement. c'est pas la première fois que tu t'en prends à quelqu'un et que vous finissez tous les deux à l'hôpital. c'pas comme ci ça te faisais peur ça. l'habitude vous savez. quoi que ça fait un moment qu'on te voit plus à l'hôpital de boston.
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appartement de nico.
20.08.23
@Iwan Lockhart
violence physique, traumatisme.

Non, mais tu dis que ça pourrait pas te faire de mal. Epaules que tu lèves vers le ciel, tu ne sais pas, t’interprète peut-être mal ses propos. Enfin, tu le connais, fait peut-être son dramaqueen. Tu n’en sais rien, tu demandes seulement, mais tu préfères savoir que ça va. Je fais des efforts... dis-tu à voix basse comme une enfant prise sur le fait. Et t’en fais, en déléguant le plus possible pour éviter les fracas. Verres remplis, tu viens prendre le tien entre tes mains. Je t’ai connu plus enjoué et bavard. Surtout bavard, t’es plus loquace que moi. Et ça veut dire le niveau.  Mais tu comprends parfaitement que l’ouverture de la salle le stress. Ce n’est pas rien ce projet, et tu ne peux ignorer l’importance que cela à, à ses yeux. Il mise tout dessus et c’est un rêve qui devient finalement réalité. T’inquiète, vaut mieux que ça ouvre plus tard mais qu’il n’y ait pas d’imprévu par la suite. Là, tout sera parfait et tu n’auras pas à te tracasser d’un dégât possible. C’est facile à dire, mais à réellement penser, pas tellement. C’est comme ce souvenir du rhum, il semblait légèrement plus doux quand tu l’as bu la dernière fois. Pourquoi t’as pris ça ? Aucune idée, tu voulais un truc local et voilà, t’es revenu avec ça entre les mains, grimace de dégoût au visage. En fait … c’est pas très bon… Ah bon ? On n’avait pas remarqué. Ça te brûle de l’intérieur, et t’es obligé de fermer les yeux pour essayer de penser à autre chose. Doucement tu les rouvres quand il vient parler de nouveau de ces soirées en Italie, ravalant ta grimace, pour changer ce masque. Est-ce que ces propos t’inquiètent ? Non, car tu sais que rien de tout ça ne se serait produit. Tu n’aurais pas remarqué cette collaboratrice, pas un instant d’intimité n’aurait existé, et donc pas de mari violent. Iwan, si tu avais été là, il n’y aurait eu aucune raison à ce que quelqu’un soit blessé. Rien ne se serait passé. Intérieur de la lèvre inférieur que tu viens mordre, tu regardes ailleurs, gênée de cette confidence. Avec des si on refait le monde, et tu sais que le voyage aurait été tout autre. Tu serais allée jusqu’au bout, tu n'aurais pas écouté les conseils des autres, et tu n’aurais jamais réussi à moins l’aimer. T’aurais préféré cette version de l’histoire. Et ça te peine beaucoup d’imaginer une autre issue. Et merde, c’est reparti. Il est vraiment fort ce rhum. Oui bien sûr. Tu trouves une excuse à cette montée dans eaux. C’est tout qui t’attriste : repenser à cette soirée, au fait que vous auriez pu moins vous déchirer, et que le monde aurait pu être comme dans ta tête, un peu bisounours. Petit reniflement, tu bats des cils pour oublier tout ça. Par contre je t’interdis d’aller à l’hôpital pour moi. Le doigt menaçant, tu n'es vraiment crédible avec tes yeux de biches larmoyant. Tu t’en voudrais trop qu’il soit blessé, te pardonnant que difficilement. Prendre soin de lui n’a jamais été déplaisant, mais tu préfères ne pas être impliquée dans son malheur. Tu l’aimes trop pour le voir souffrir à ta place.
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20.08.23
@Nicola Rockefeller
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ouais ça peut pas t'faire de mal, mais t'en es pas au point de vouloir te noyer d'chagrin dans l'alcool. ou alors, tu le ferais mais pas en compagnie de quelqu'un ou alors avec une personne aussi déprimée que toi. si peu que tu sois déprimé aussi. et bouteille en main que tu viens ouvrir, tu n'manques pas de prendre un air amusé lorsqu'elle prend l'petit air coupable. ouais ouais, tu la connais la rockefeller. maladroite comme pas possible ― si tu serais pas maladroite, ça t'enlèverais du charme. en tout cas, te concernant, ce trait de sa personnalité t'as toujours fais un petit effet. puis tu te racles la gorge et remplit les verres en grimaçant légèrement. euh ouais, c'est vrai que t'as déjà été plus bavard, mais eh, elle aussi c'est un vrai moulin à paroles quand elle s'y met ― j'ai... ouais, boh, j'ai surement pas grand chose de ouf à raconter. c'est surement parce que t'as trop d'pression. tu te poses trop de questions et pour le coup, ça t'empêches de débiter. tu prétextes le stress de ta salle, et il est bien réel. ― ouais ouais, t'as raison, mais c'est pas surtout ça. c'est le fait de devenir patron. j'sais pas être patron, j'suis pas fait pour ça. j'suis fais pour partager ma passion, apprendre  aux autres c'que j'aime faire le plus au monde. et j'suis entrain de me rendre compte que j'vais surtout en partie devoir gérer des gars. et rien que d'en parler ça t'mets une pression monstre. heureusement, pour le coup, tu pensais pas le dire, mais t'as ton père avec toi et lui, il gère de ouf tout ça. en tout cas, comme d'hab, ça te fais beaucoup de bien de parler avec elle. t'es bien entouré toi; le peu de potes que t'as, sont supers à l'écoute, mais il est vrai que c'est avec elle que t'aimes le plus parler. et ça date pas d'aujourd'hui. et tu poursuis sur ce qui t'as donné un coup au moral dernièrement. du moins, sur ce que tu décides de lui dire pour le moment. son agression. elle a pas envie d'en parler, mais pour le coup, ça fait partie des choses qui te mines le plus, donc tu te devais de lui en parler, puis que t'es disposé à enfin ouvrir ta bouche. verre d'alcool repoussé, tu captes que t'es pas le seul à n'pas aimer. t'sais pas où elle l'a choppé ce truc... encore une trouvaille de son meilleur pote. il est vraiment chelou lui. ― ouais c'est sur. si tu m'aurais parlé de cette meuf, je t'aurais pas laissé retourner la voir... comprend c'qu'elle comprendra sur ce coup. t'hausses les épaules lorsqu'elle dit t'interdire d'aller à l'hosto pour elle avec cet ai ― toi t'es maladroite, moi j'fais des trucs cons quand il s'agit de protéger ceux à qui j'tiens. j'serais pas moi sinon... eh ouais, chacun son truc.
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appartement de nico.
20.08.23
@Iwan Lockhart
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T’es le premier à me dire ça. Ok stoop les compliments, tu vas plus savoir où te mettre. Vraiment, tu ne sais pas en recevoir un sans être en train de rougir ou de sourire de cette manière. Vaut mieux que ce soit charmant que pénible, mais y a quoi voir comment tu t’excuses sans fin lorsque tu viens commettre une maladresse. C’est terrible, mais ça te donne presque envie de ne pas rectifier ce que tu qualifies pourtant d’un défaut. Au moins, y en a qui trouve que c’est pas si affreux que ça, au contraire. Contrairement à cet alcool qui lui est clairement imbuvable, mais pourtant tu ne vas pas le jeter. T’as acheter ça et elle restera pas au fond du bar, non. Moue aux lèvres, tu comprends qu’il peut ne pas avoir grand-chose à dire, et finalement ça tombe sous le sens : la salle. C’est quelque chose qui lui tient très à cœur, c’est un grand projet et son premier dans le monde du travail. Ce n’est pas rien. Tu sais ce que ça fait un patron généralement ? ça délègue. Alors fais-le, t’en as les moyens. Prends les personnes nécessaires pour pouvoir te dégager du temps à être en salle et coacher. Après oui, tu vas devoir passer par la partie un peu moins fun, mais tu ça ne sera pas que ça. Fais ce qu’il te plait, ne va pas t’enfermer dans un bureau, tu vas devenir aigri après et je crois que j’ai pas envie de voir cet Iwan-là, non pas trop.Mine de dégoût, ton petit nez se retrousse, et tu viens donner une note un peu plus légère à ton discours, mais tu le penses vraiment. Il doit rester ce qu’il est et faire ce qu’il aime pour s’épanouir complètement. Et ça te tracasse qu’il se mette dans des états pareils alors que la salle n’a pas encore ouvert. Pourquoi ? Y aurait pas eu de raison, puisque y aurait rien eu de plus que de l’ordre du professionnel avec elle. J’aurai été dans mon monde comme d’habitude, à ne rien comprendre. Non, c’est sûr que tu n’es pas très doué en matière de décryptage de langage corporel, et relations sociales telles que la drague… L’innocence te demande d’être explicite ou de savoir une partie pour te dire ah oui là c’est du rentre dedans. Tu aurais agis comme tu le fais habituellement, ignoré car aveugle, ou juste remercier car pas intéressée et dans ce monde -là tu n’aurais pas voulu d’elle car pas disposée vouloir plus qu’une relation professionnelle. Oui, ce voyage aurait été totalement différent avec lui, et de tout point de vue. Verre que tu viens terminer, tu le reposes sur la surface du meuble, toujours cet air de dégoût au visage, avant de finalement reprendre de ton sérieux et de contempler le brun, pensant à tout son être. T'as raison... Ce que certaines personnes pourraient qualifier d’insupportable, te font rire, car il est comme ça sans filtre et en même temps sensible. A sa manière, mais toi tu sais tout ça. Tu l’as longuement écouté dans ces capsules, se livrant à visage masqué. T’as appris à le connaître en dehors, et ce qui est considéré comme des défauts pour d’autres sont qualités pour toi. C’est son charme à lui et y a qu’à voir comment tu peux réagir, tu le prends avec légèreté souvent. Evitons que tu ailles à l’hôpital prochainement, je pense que nous avons eu assez de drames dernièrement et toi ton quotas d’hospitalisation en l’espace d’un an. Je vais finir avec des cheveux blancs rapidement à ce rythme sinon.
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