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les murmures obsédants (julebert)

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les murmures obsédants

@Julia Steiner
tw : hôpital psychiatrique

c'est là que je vois que tout a changé. je ne suis plus le même. avant j'aurais explosé dans tous les sens au simple fait de penser aux derniers mots de ma mère. mais là, non seulement j'y ai pensé mais je t'ai également dévoilé ce lourd détail de ma vie. tu es la seule au courant julia. personne d'autre ne le sait. t'imagine pas le pas énorme que je viens de faire. et je pense qu'en temps normal, j'aurais littéralement vrillé. peut-être est ce le fait d'être à l'hôpital psychiatrique, un endroit relativement sécurisant pour moi. peut-être est ce le traitement plus fort qu'ils me donnent depuis plus d'une semaine. ou alors peut-être est ce toi, tout simplement. toi qui m'apporte tant depuis quelques semaines. mois. tu ne me réponds pas. tu te contentes de prendre ma main et de m'attirer vers le lit. je m'assois. le haut de mon corps se retrouve piégé entre toi et le matelas. tes cuisses de part et d'autres de moi. mes mains glissent instinctivement sur toi. mes yeux scannent les tiens. je t'écoute. je t'entends parler. tu me flattes de nombreux compliments. je ne peux pas m'empêcher de sourire. naïvement surement un peu bêtement. « ça fait beaucoup de folie tout ça » l'homme le plus fou. une chance folle. nous sommes chez les fous. je ne te le fais pas dire. tu t'embarques dans une histoire avec un dingue. un taré aussi bien dans sa tête qu'un fou de toi. je ne prétends pas être l'homme parfait pour toi, loin de là. mais je vais m'appliquer du mieux possible pour que tu sois heureuse au quotidien. et tu me confirmes que ça y est. on est enfin en couple. sourire qui s'élargit. s'agrandit naturellement. « enfin ! t'es officiellement la toute première petite amie de la vie d'hebert venancio » voilà que je parle de moi à la troisième personne. mes doigts remettent une mèche de cheveux derrière ton oreille. tu te jettes à mes lèvres pour un baiser des plus passionnés. le premier en tant que couple. en tant que petit ami officiel de toi. j'arrive pas à croire ce qu'on vient de faire. une dinguerie. on est en couple. ça rend ce baiser encore plus intense. plus explosif. ma main glisse dans ta nuque pour te garder près toi. maintenir cette proximité. « ma mère t'aurait adoré, tu sais ... » et ça me fait étonnement du bien de te dire ça. j'aime tellement t'avoir près de moi. t'es tout ce qui compte à mes yeux. ces dernières semaines m'ont apprises à faire de toi ma priorité. et égoïstement, je veux te garder à mes côtés. je ne vais pas te lâcher pour le reste de la soirée. probablement de la nuit. « faut qu'on fête ça ... une semaine sans t'voir, c'est beaucoup trop pour moi. j'en ai accumulé des envies là t'imagine pas » je rigole en enroulant mes bras autour de toi.
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Julia Steiner

Âge : 25
Lieu de naissance : paris, mais a grandi berverly hills (californie)
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans le centre ville
Situation sentimentale : divorcée, preuve que l'amour n'existe pas.
Études / Métier : diplômée et prof de danse
Date d'inscription : 31/10/2020
Pseudo & Pronom(s) IRL : clochette/she/her
Icon : les murmures obsédants (julebert) - Page 2 Tumblr-l-110711283397869
Faceclaim : ashley marie dickerson
Crédits : bb moi (avatar) koalavolant (codesigna)
Multicomptes : fallon (i.likhachyova)
Description (1) :
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née le 22 novembre 1998 à Paris, France et pourtant elle a grandit à Beverly Hills en Californie. à 18 ans, elle choisit de quitter le cocon familiale pour rejoindre Boston et intégrer la prestigieuse université d'Harvard. julia était quelqu'un de très gentil auparavent, mais elle s'est subitement endurcie, un peu calculatrice. est-ce qu'on parle de son corps qui est considéré comme une arme de séduction massive ? D'ailleurs, elle ne manque pas de s'en servir à ses fins. ses yeux de biche sauront convaincre n'importe qui, il suffit qu'elle batte des cils et le tour est joué. elle a soif de l'inconnu, car l'inconnu l'attire énormément. Et ne pas savoir ce qui va lui arriver, la rend encore plus désireuse et curieuse. jul déteste faire à manger, et façon, elle réussit toujours à tout cramer. c'est une tête brûlée puissance 1000 et elle déteste qu'on lui tienne tête, car ses caprices peuvent en effet, aller loin quand elle n’a pas de frein. elle donne, mais exige de recevoir beaucoup en retour. sa devise, c’est un peu « qui m’aime me suive », les autres n’ont qu’à aller voir ailleurs ! Elle a chien du nom de Dexter. (Leur rencontre était un coup du destin puisqu'il l'a sauvé d'un possible accident)


Description (2) :
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hebert (pnj) — ex-mari. il est retourné au pays en lui laissant un mot d'adieu. ava — meilleure amie. matteo — meilleur ami. scott — ex relation exclusif (premier amour). jules — ex colocataire + ami. landon — une nuit inoubliable, révélation amicale. elsa — bonne copine. ollie — ex amitié. uc — uc.

Spoiler:

Warnings : sexe, sans filtre
RPS : 430
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Julia Steiner
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t137631-julia-steiner-bensu-soralRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t174637-julia-fallon-repertoire-rps#8626676Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t174633-julia-steiner-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t163157-meetsachussets-justeiner#7603954

les murmures obsédants


Tu as toujours été ainsi, à foncer tête baissée, à suivre ce que te dicte ton cœur Julia. Jamais tu n'as écouté ta raison. Et pourtant, ça t'aurait servi à une époque. Ça t'aurait évité bien des souffrances. Sauf que là, ta raison et ton cœur te dictent la même chose. Première fois que ça t'arrive. Première fois qu'ils sont en harmonie totale. Tu aimes tellement ce qu'il provoque chez toi. — Bah, on est deux fous alors et j'aime ça. Rire qui résonne dans la pièce. Tu n'as jamais prétendu être parfaite, personne ne l'est et tu n'es pas assez idiote pour croire que la perfection existe. Que tu en es même la preuve. Car tu sais parfaitement que tu es imparfaite, mais imparfaite à ta façon. — Sache que c'est un honneur et en même temps, c'est beaucoup de pressions d'être la première. Il faut que je sois à la hauteur. Tu n'as pas besoin de te mettre toute cette pression Julia. Il t'aime comme tu es, n'est-ce pas l'essentiel ? Sauf que tu veux lui plaire, et même si la perfection n'existe pas, tu veux pouvoir la toucher rien que du bout des doigts, pour lui. Pour qu'il soit heureux et qu'il oublie tous ses maux. Tout ce qu'il a pu vivre de si traumatisant. De si horrible. Désire de le voir sourire tous les jours à tes côtés, voilà ce dont tu aspires Steiner. Et quand il te parle de sa mère, tes lèvres quittent les siennes accompagnées de ce large sourire. — Tu penses ? Je suis le genre de fille qu'elle espérait voir à tes côtés ? Lèvre qui se coince entre tes dents, pensées pour tes parents à qui tu fais la gueule. Et là, tu te dis que toi, t'as encore tes parents, alors que lui n'a même plus la chance de voir sa mère. Trop têtue pour pardonner à tes tuteurs. Pourtant, tu as envie de leur présenter Hebert. T'as le temps, non ? Il faut d'abord que tu passes par la case réconciliation avec eux. Ton sourire refait rapidement surface lorsqu'il te parle de fêter dignement votre première soirée en couple. Certes dans un hôpital psychiatrique, mais l'endroit n'est pas ce qu'il y a de plus important, c'est vous et seulement vous. Ici, ailleurs, qu'importe tant que vous êtes ensemble. — Vas-y, je suis incapable de te résister. Je serais ta petite infirmière coquine ce soir ! Parce qu'on pourrait vous surprendre d'une minute à l'autre, mais c'est ça qui rend le moment si excitant, non ? Sourcils qui dansent, tu prends ton rôle très à cœur. Fait glisser ta veste d'infirmière le long de tes bras. Bras qui reviennent aussitôt se croiser devant ta poitrine pour tirer sur les plis de ta robe et la retirer. Te voilà en sous-vêtements ultra sexy. Tu défais ton chignon et secoues la tête pour rendre tes cheveux un peu plus sauvages. — Si j'arrive pas à contrôler mes gémissements, hésite pas à me mettre une main contre la bouche. Ou alors laisse-moi te mordre à la place. Évidement, pas jusqu'à le faire saigner. Juste pour étouffer tes bruits contre sa peau...[...]. Les vêtements tombent sur le sol, sur son torse, tu déposes mille baisers et glisse ta langue délicate. S'en suit alors une folle nuit d'amour et de plaisir intense... Laissant la magie opérer. Vos deux intimités, frottées l’un sur l’autre vont exploser. Dans vos têtes, c’est de la folie et enfin après des heures de plaisir intense, à la limite de l’épuisement, vous vous donnez complètement... Au diable la morale standard. Hôpital ou pas hôpital.
(Julia Steiner)


JULIA

STEINER

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@Julia Steiner
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cela ne fait aucun doute. nous sommes tous les deux fous. moi, ce n'est plus à prouver. ma présence entre ces murs psychiatriques en est la preuve. toi en sortant avec un gars comme moi. un pauvre type perdu et abîmé par la vie. enfermé dans une spirale infernale. l'impression de tirer tout le monde vers le bas. c'est mon fardeau. celui que je porte depuis tant d'années. j'ai pas envie que tu vives la même chose. « aucune pression à avoir. j'veux dire, si j'fais mal les choses faut qu'tu m'en parles. j'veux vraiment que ça marche nous deux. j'suis prêt à tout te donner » et tu n'imagines pas tout ce que je suis prêt à faire pour toi. tous les sacrifices. je m'engage corps et âme dans notre relation parce que j'ai envie que ça marche. que ça fonctionne. je veux tout te donner même si, fatalement, j'ai l'impression d'avoir rien à t'offrir. rien, à part une vie tourmentée par mes troubles. par mon incapacité à laisser le passé au passé. j'ai envie d'avancer mais je ne sais plus comment m'y prendre. j'ai tout essayer. alors je te confie ce que j'ai sur le coeur. ma mère t'aurait adoré. ça m'arrache un fin sourire sur les lèvres. le genre de sourire sincère qui fait autant de mal que de bien. « évidemment, t'es belle, intelligente, drôle et tu supportes son fils » je ne peux pas m'empêcher de lâcher un petit rire, le coeur tellement lourd. tellement serré. « elle t'aurait surement prise dans ses bras en te disant merci. baby lui ressemble beaucoup, elle a hérité de toute sa douceur » que je te dis pour que tu puisses te faire une idée de qui était ma mère. elle me manque terriblement. au fond, je ne suis qu'un gosse traumatisé, à qui ses parents manquent terriblement. qui se sent coupable et impuissant. on est pas là pour s'apitoyer sur mon sort. j'ai fais le con et tu décides quand même de te lancer dans l'aventure avec moi. ça se fête. t'en entré en douce ici. j'ai envie qu'on profite de ce moment qui n'appartient qu'à nous. je te regarde avec tellement d'envie et d'admiration. toi, ce petit bout de femme qui est en train de changer littéralement ma vie. je craque pour toi à un point. je ne résiste pas quand tu me regardes ainsi. quand tu me provoques silencieusement. et c'est avec un amour naissant et beaucoup d'excitation qu'on se lance dans les joyeusetés pour fêter le début de notre couple. le début de nous. officiellement.

FIN
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