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les débris (artys)

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Loin des regards indiscrets, les entrailles qui se libèrent de ce trop pleins d’émotions. Loin des habitudes mais, c’est elle. Alys qui t’a toujours fait dérailler de ce que tu penses savoir de toi. Qui t’a toujours laissé découvrir des nouvelles facettes de ton propre caractère. Impossible de t’apaiser à la simple idée que quelqu’un est touché à son corps sans scrupule. Que quelqu’un est souillé ta déesse, suffisamment pour laisser des séquelles indélébiles. Mais l’égo est rongé par cette absence de vérité. Pourtant, que tu comprends. Toi, longtemps fermé dans ta propre bulle secrète sur tes propres traumatismes inavoués. Tu sais très bien ce que ça fait, probablement le pire, dans cette histoire. Ses mots qui te heurtent, d’une violence invisible. Les nerfs essayent de retomber, le corps est inerte, la tête vers le bas, soupire qui s’expulse de tes poumons qui manquent déjà d’air. Les poings serrés, dans l’élan colérique de ton âme assommée. Le regard qui se relève quand elle parle de toi, ton éloignement. Tu repenses à tes mots, ta distance. Le roi des cons et pour cette fois, t’en as conscience. Un instant marqué avant de finalement s’avancer vers elle, d’un pas ou deux. Qu’est ce que t’aurais voulu entendre, toi ? Qu’est ce que t’aurais voulu qu’on te dise en connaissance de cause de son propre vécu ? Devant elle, sans l’a toucher, l’air maladroit, ironiquement. Je suis désolé. D’avoir été aussi con, de ce qui lui est arrivé. Elle sait que ces mots ne sont qu’inconnus entre tes lèvres. Mais je t’en veux quand même de m’avoir rien dit avant, même si c’était maladroit pour essayer. Le ton est apaisé, les sentiments mêlés. J’aurais déplacé la ville entière pour retrouver ce connard et être là pour toi. Mais tu m’as laissé comme un con sans la vérité. Pour te sentir encore plus con maintenant.

@Alys Reinhardt
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Les yeux relevés vers lui, tu l'observes en silence après ton presque monologue. Tu restes immobile alors qu'il a l'air d'être un lion en cage. Tu le connais par cœur, il boue de l'intérieur. Deux tempéraments totalement différents qui fonctionnaient pourtant si bien ensemble. Lui toujours trop calme, toi toujours trop démonstrative. Complémentaires, parfaits l'un pour l'autre avant tout ça. Tu es surprise quand trois mots sortent de ses lèvres tentatrices. Il ne les prononcent pas souvent Artur, parce qu'il pense toujours faire les choses justes, et parce qu'il a l'égo similaire au tien. Ce n'est pas de ta faute. Ni pour ce qu'il t'est arrivé, ni pour le reste. T'es aussi fautive que lui, parce qu'il a raison, tu n'as pas cherché à lui dire la vérité. Tu as accepté la rupture sans donner signe de vie. ― J'avais besoin de temps pour comprendre et pour accepter ce que j'avais vécu. Et surtout je n'avais pas la force d'en parler. Elles sont très rares les personnes au courant, voir même quasi inexistantes. ― Et savais comment tu allais réagir. Je n'avais pas envie que tu le retrouves. Je n'avais pas envie que tu vois les marques sur mon corps. Je n'avais pas envie que tu me vois si désemparée. Je ne supportais plus qu'on me touche et je ne voulais pas te faire subir ça. Tu es comme lui, tu n'aimes pas être faible, encore moins devant les gens que tu aimes.

@Artur Wolford
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Tu ne pouvais pas savoir, en temps normal, ta vie continuerait d’avancer sans même que t’oses t’ne soucier. Mais tu ne peux pas avec elle. La douleur est trop forte, les griffes sur ton âme sont vives, encore. Je comprends. Et c’est réel. Tu connais cette sensation amère de n’être qu’un déchet souillé par les mains d’un autre. Un sourire léger vient percer ton visage quand elle avoue le fait qu’elle te connait, qu’elle savait comment tu aurais pu réagir. Tristement prévisible, mais paradoxalement content qu’elle sache te décrire. Les billes noires sont adoucies, dans les siennes. Tes bras tentent l’aventure de s’entourer autour d’elle, une étreinte délicate où tu laisses ta tête reposée contre ton torse, le haut de son crane à ton menton. J’ai dit des choses que tu ne méritais pas. Et ça t’arrache le cœur rien que d’y penser. Sensation douloureuse dans la poitrine qui pèse lourd. Un baiser sur son front, sans réellement contrôler tes mouvements. Simple impulsion de tes émotions qui s’affairent.

@Alys Reinhardt
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C'est libérateur d'en parler. De lui en parler à lui surtout, le principal intéressé auquel tu l'as caché. Et lorsque son regard s'adoucit et qu'il se pose sur toi presque comme avant, tu regrettes presque de ne pas lui avoir avoué avant. Tu n'aurais pas pu Alys, par honte, par peur qu'il s'emporte alors que tu n'étais pas en mesure de le calmer. Peur de le perdre pour une autre raison. Parce que tu le sais, il se serait vengé. Ton corps se tend, juste un instant, quand tu es attirée contre lui. Tu as toujours du mal à ce que l'on te touche, par instinct, parce que tu as peu de perdre le contrôle encore une fois. Mais c'est lui, ton Artur. Tu te détends doucement et ton visage se laisse aller contre son torse. Tes bras glissent autour de son corps pour l'entourer et le tenir contre toi. T'es bien là, dans ses bras. ― Je t'en veux d'avoir pu croire que je t'aurais trompé. Tu n'en aurais jamais été capable, tu l'aimais trop. ― De ne pas avoir eu confiance en moi. Même si je comprends. Il avait une preuve, fausse. Et tu connais ses problèmes de confiance, sa difficulté à s'attacher, son refus de s'intéresser.

@Artur Wolford
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Tôt était là pour l'accabler Alys. Un veritas pimenté, agrémenté par son silence pesant. Qu'est ce que t'étais censé faire toi ? Incapable de donner ta confiance parfois à ta propre famille. Première histoire marquante pour ton myocarde insensible. Loin d'être le roi de la communication, comment aurais-tu pu réagir autrement ? Son corps contre le tien, l'odeur de son shampoing qui remonte à tes narines, embaume ton âme entière. T'es apaisé, un instant. Les cœurs qui battent à l'unisson comme si leur danse parfaite n'a jamais été oubliée. Elle comptait tellement Alys cette rage de la perdre ta rendu agressif, pendant des mois. Tu te décolles un instant gardant tes mains le long de ses bras, caressant ton pouce sur sa peau. Le regard toujours planté dans le sien. L'élan d'affection s'éternise quand t'es phalanges viennent dégager son visage d'une mèche de cheveux, ramenée derrière son oreille. Les choses sont faites. Et sur aucuns de vos choix vous ne pouvez revenir en arrière. Je te déposes chez toi ? Impossible de savoir ce que tu dois faire, maintenant. Les pensées sont chamboulées. Pour une rare fois tu ne sais pas quoi dire. Mais tu sais qu'un tel diamant même esquinté n'a rien à faire ici.

@Alys Reinhardt
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Tu aurais aimé que l'instant dure plus longtemps afin de rester en sécurité dans les bras qui t'ont serré tant de fois. Ecouter son cœur, sentir son odeur, prétendre que rien n'est arrivé. Mais tu es rappelée à la réalité lorsque la chaleur de son corps disparaît quand il se sépare du tien. Les regards se retrouvent à nouveau, comme attirés alors que vous n'étiez pas capables de vous regarder dix minutes plus tôt. ― En effet, on ne peut pas revenir en arrière. Tu fais partie de ceux qui ne regardent pas en arrière. La vie est bien trop courte pour regretter les erreurs. Pourtant quelque chose au fond de toi aurait aimé que les choses se passent autrement. Tu lui souris quand il prolonge l'élan d'affection dont tu semblais être la seule à profiter il y a encore quelques mois. ― Je ne voudrais pas te faire manquer ton rendez-vous, ni dépasser la limite tolérable des vingt minutes que tu m'as accordé. Les lèvres s'étendent un peu, ébauche d'un rictus amusé. Tu le taquines, te moques gentiment de ses mots. Tu espères cependant que le rendez-vous est bien imaginaire.

@Artur Wolford
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Tu ne sais pas ce que tu fais. L'appel de la raison revient trop fort. Tu ne peux pas lui pardonner en claquant des doigts si ? Est ce que c'est parce que c'est elle ? Que ses raisons te parlent bien trop profondément ? Tu devrais la détester encore. Au lieu de ça, tes yeux amoureux se posent sur elle comme si les mois n'avaient pas compté. Comme si il n'y avait eu qu'elle depuis tout ce temps. En réalité, les corps sont passés contre toi, mais les sentiments étaient ailleurs. Les fantasmes ont été nourris par l'imagination parfaite. Tu ricanes libérant votre contact physique, quelques pas en arrière pour l'inviter à te suivre en dehors de cette ruelle inerte. Tu sais très bien qu'il n'y a pas de rendez-vous. Simple sournoiserie pour mettre une pression tant désirée il y a des dizaines de minutes, maintenant comme oubliée. Et ça fait déjà 43 minutes pour ton information. Admires comme je prends sur moi. Les yeux sur cette montre énorme à ton poignet quand la confiance réapparaît. Parenthèse partiellement clôturée une fois la rue principale retrouvée. Le pas qui se presse jusqu'à ta voiture, ouverte d'un revers de clé. Portière passager ouverte pour la laisser rentrer. Parfait gentleman partiellement lunatique sinon en croit t'es changements d'émotions d'une heure à l'autre. Tu l'as ramènes, chez elle. Les souvenirs chaotiques une fois garés dans cette rue. Une fois seul, le masque peut tomber : le visage peut se refermer, la haine pour revenir reprendre son terrain le temps de digérer tout ce que tu viens de se passer.

FIN
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