Go to jail do not pass "go" ¦ Marlon

Le regard sur les barreaux devant lui, Florian laisse entendre un long soupire. Ce n'était clairement pas comme ça qu'il imaginait sa soirée, encore moins sa nuit. La mâchoire qui le lance, les poings encore crispé de la bagarre à laquelle il a participé et les flics trop vite arrivés... Bien sûr, c'est surtout lui qu'ils ont cherché à chopper, à coffrer parce que trop souvent dans des conflits, cassier loin d'être vierge. Il est bien trop connu des flics et pourtant, toujours il ressort libre. "J'ai droit à mon appel ou ça serre à rien que je dérange mon avocat ?" Parce que de toute façon, demain, il sera à nouveau libre non ? Ils ont pas d'excuse pour le garde trop longtemps, il avait, par chance, déjà vendu la drogue la quasi totalité de la drogue qu'il avait sur lui et la quantité trouvé dans ses poches n'étaient pas suffisante pour balancer qu'il était entrain de dealer, pas trop d'alcool dans le sang, le seul soucis, c'est cette foutue bagarre et grâce aux flics, le type en face s'en tire pas trop mal.

Il se lève alors du banc, pour s'approcher des barreaux et regarder le flic de plus près. "On s'est déjà vu non ?" Probablement, parce qu'il a déjà été coffré plusieurs fois, a déjà passé plusieurs nuits dans cette cellule pour diverse motif. L'alcool parfois aidant bien.

@Marlon Wenston

TW : Langage grossier

A peine prit le début de son service, que déjà Marlon avait été appeler pour une bagarre en ville, en renfort. Le flic accompagné de son binôme avait quitter le poste pour prendre la direction des méfaits. Arrivé sur place, le duo a dû traversé une foule de jeune qui sortait d'un bar. Au centre de cet attroupement, deux gars qui se mettaient sur la gueule. Après avoir séparer les deux jeune gens, celui qui a été pointé du doigt par le groupe formé autour de la bagarre comme celui qui avait commencé à chercher la merde était un dénommé Florian. Après vérification sur la tablette qui leur sert d'ordinateur quand ils sont en déplacement, il découvre qu'il est déjà bien connu des service de police. Il s'en va sans dire qu'entre l'allégation et le cv long comme le bras, c'est celui-ci qu'ils embarquent. Le second est là, énervé mais amocher quant au prévenu, avait peu de blessure. C'est pour cela que les pompiers ont été appeler et attendu par l'autre équipe.

Après l'interpellation, ils procèdent à une palpation suivi d'une fouille quand Marlon senti des choses dans la poche de l'interpellé. Après cela, il place le délinquant dans le fourgon, menotte aux poignets, et prit la direction du commissariat pour l'auditionné. Sachet de drogue en sa possession, un peu d'alcool dans le sang. La cellule fût la première chose qui à été choisi, pour l'interroger le lendemain matin.
Dans ses missions, l'officier Wenston fait des rondes dans les cellules pour voir si tout ce passe bien. C'est là qu'il fût interpellé par le jeune malfrat qui demande s'il peut appeler son avocat. Entre nous, faut-il vraiment le déranger ? Demain on t'interroge et tu ressortiras. L'emmerde pas pour ça, ça vaut pas la peine, crois-moi.. Oui, Marlon tutoie. Marlon trouve ça plus juste, n'aimant pas se sentir supérieur au public. Car pour l'officier, vouvoyer est une forme de supériorité. Florian se lève pour s'approcher. Je crois bien oui. Mais je croise tellement de délinquant que je ne pourrais te le certifier. Marlon le fixe un instant puis reprend. Oui, on s'est déjà vu. Pour possession de drogue d'ailleurs. Tu consommes ou tu deals ?

Aucune raison de déranger Bohème visiblement, faut dire que c'est un peu la routine de passe l'appel et que demain, il soit libérer parce que l'avocat à fait le nécessaire. Si l'appel n'est pas passé est-ce que cela changera quelque chose ? Il n'en sait rien, mais c'est le code, autant le faire. "J'vais quand même passé cet appel. Vu qu'c'est mon droit. Ou tu l'passes pour moi, t'as juste à balancé ton résumé avec mon nom." Pas sur que l'avocat apprécie un appel alors qu'il est en plein voyage, à faire des folies de son corps dans des épreuves, mais ça le blond il s'en branle totalement. Si il a moyen de passer moins de temps en salle d'interrogatoire, pour sûr qu'il sautera sur cette occasion.

Avant bras entre les barreaux pour prendre légèrement appui sur ceux-ci alors qu'il se décide à taper la discussion avec le poulet, faut dire qu'il a pas trop le choix sur comment s'occuper. Réfléchir à ses conneries ? Non, et en plus, il n'aurait clairement pas assez d'une nuit pour le faire, si bien entendu, il en avait envie. Le Bostonien est loin d'être un enfant de cœur, il le sait, la police ignore juste à quel point, ou peut-être qu'elle le sait, mais que la corruption en son sein empêche de bouger réellement.

Il laisse entendre un léger rire quand le flic répond à sa question. Aucune certitude, il relègue ainsi le Martinez à un statut de délinquant parmi d'autre. "J'pense pas sinon, t'aurais pas douté. J'suis pas l'genre de mec qu'on oublie." Il le provoque un peu, parce qu'il est comme ça c'est son caractère, toujours à faire de la merde, à chercher la provocation. "Et l'interrogatoire, t'as dit demain, mais j'vais être honnête, la drogue, elle était à l'autre type, il voulait la vendre à une gamine." S'faire passer pour un saint, balancé un mensonge aussi gros qu'une maison, toute façon la loi américaine est une merde pour ça, parce que vu qu'il avait de la cam pour lui, il est automatiquement coupable.

Petite ronde dans les geôles afin de vérifié que tout se passe bien pour les détenus. Bon, ce n'est pas un spa, mais les geôles, ce n'est pas le grand luxes mais s'ils voulaient un minimum de confort, ils n'ont qu'à rester tranquille comme bon nombre de citoyen. Mais en tout cas, ils n'ont rien de dangereux sur eux étant donné qu'on leur retire tout ce qui pourrait potentiellement être nocif pour leur sécurité. C'est en passant devant celle du prénommé Florian qu'une discussion s'est établi. Martinez demande son appel. Il a raison, il y a le droit cependant, l'officier le rassure en lui disant qu'il n'y avait pas de raison de déranger son avocat vu l'accusation et la situation plutôt bénigne et habituelle. Cependant, le bagarreur insiste pour le passer cet appel. Il propose que ce soit Marlon qui le passe s'il ne voulait pas le faire appeler, claironnant qu'il n'y avait pas besoin de s'éternisé mais simplement donner les faits avec son nom.

Un sourire sur les lèvres, du policier s'affiche avec un petit ricanement. Tu as l'air bien serein concernant cet appel... En même temps, s'il a l'habitude d'être enfermé derrières ces barreaux, son avocat doit également avoir l'habitude des appels autorisés lors de l'incarcération. Le flic lève les yeux au ciel en l'écoutant. Il réfléchi mais l'homme, maintenant accoudé au barreau lui pose une autre question. Se connaissent-ils ? Marlon le pense. On peut pas se rappeler de tous, mais maintenant que tu le dis, oui, on se connait. Le flic reste là, debout, sans bouger, face des cellules, les bras croisé sur le torse. Oui, c'est demain et ton histoire ne tient pas debout. A chaque fois que tu te fait pincer c'est pour éviter que tes potes de vendre à des gamines ? C'est ça ?

Il les connaît par coeur ces jeunes. Toujours à trouvé des excuses toutes plus dingues les unes que les autres. Mais ça le fait marrer le flic. Ils ont de l'imagination. S'il pouvait, l'officier écrirait un bouquin avec toutes les excuses bidons qu'on lui donnait ! Mais le tatoué tente toujours de trouvé une raison à tout cela, mais c'est plus fort que lui, il ne trouve pas de réponse a cette question. Pourquoi? Il y a bien l'excuse du besoin (envie) de se faire de l'argent facile. C'est vrai que les billets s'empilent plus rapidement qu'en ayant un boulot légal. Mais dans ce cas, pourquoi pas assumé tout simplement quand ils se font pincés ? Oui, c'est ça qui turlupine le plus le flic. Pourquoi ne pas assumé ?

Il hausse légèrement un sourcil en attendant la réplique du flic concernant son appel. "J'vois pas pourquoi j'stress'rai à cause d'un appel." Il pige pas quel stress ça peut apporter. Flo il stressera quand on lui balancera qu'il va passer dans un juge et qu'il risque réellement de la prison ferme. Là, il voit pas de raison d'être aussi désespéré que certain gars présent pour cette nuit avec lui derrière les barreaux. Lui, limite ce qui l'angoisse le plus c'est de devoir balancer le tout à Lyssandre quand il sortira, quand il devrait donner des explications et que petit à petit, le brun découvrira dans quoi le blond trempe réellement... Ce qu'il est derrière cette mascarade de jardinier.

Il insiste, mais il le redit encore une fois, formulé autrement. "J'suis pas du genre qu'on oublie." Entre sa dégaine, son attitude et ses tatouages, il l'art de marquer les esprits le Martinez, il a les bons airs de son rôle de petite frappe de gang, sauf qu'il est pas juste une petite frappe, il est bien plus, à un rôle bien à lui dans le gang comparé à certain qui ne sont que dealeur, lui c'est un plus. Il sourit d'ailleurs, amusé de le provoquer légèrement comme il le fait. Il l'observe, l'écoute et donne des excuses à la con concernant la drogue qu'il avait sur lui. Petite quantité, pas un gros délit en soi, heureusement qu'il avait déjà écoulé la plus grosse partie de sa cam...

Il laisse voir un petit rictus quand le policier lui fait comprendre qu'il ne le croit pas. "Ah ouais, si tu traites tes potes comme j'ai massacré c'gars, j'ai pas envie d'être ton pote." Il le cherche, réplique toujours sur une chose sans pour autant lui donner ce qu'il veut, faisant ainsi dériver doucement le sujet. "Ta meuf tu fais du SM avec p't-être ?" Il garde son sourire, le détail de haut en bas. "En même temps, ça s'rait même pas surprenant." Il repose alors son regard sur celui du poulet.. "Ou p't-être que c'est elle qui t'fouette. Du genre flic soumis." Il rigole alors, amusé de la représentation mentale qu'il se fait.

Ils étaient là, tous les deux à se regarder. Marlon, lui, essayait de comprendre et de détendre le détenu alors que ce dernier, était plus dans la provocation et avec un air de jemenfoutiste. Le flic avait vraiment du mal à les comprendre réellement. L'appel à l'avocat se fera donc sereinement pour le dealeur. Marlon acquiesce donc, lui confirmant qu'il pourrait passer ce coup de téléphone un peu plus tard (à la fin de leur discussion). Face à lui, le malfrat était réellement serein, et provocateur qui plus est, insistant sur le fait qu'on ne peux l'oublier. Marlon réfléchi, silencieusement, sans mimique faciale, et il est vrai que, même s'il pense l'avoir déjà vu, il n'en ai pas bien sûr. En même temps, ceux qui sont derrière les barreaux se ressemble tous un peu. Tatoué, provocateur, toujours plus ou moins pour la même raison... Alors, pour reconnaître quelqu'un, c'est qu'il les a pincer plusieurs fois. Florian, lui, ne faisait pas parti de ses habitués. Ange, lui par contre, le flic s'en souvient. Ce camé qu'il croise bien trop souvent ici. Lui, il veut l'aider. Ange refuse. Il peut comprendre, Marlon. Oui, il peut comprendre que l'ego passe avant tout. Qui, avec de l'ego, accepterai de l'aide d'un parfait inconnu ou même pire : un officier de police. Marlon sent qu'il est au fond du trou, psychologiquement parlant. C'est pour cela qu'il souhaite aidé l'Ange. Mais, pour l'heure, c'est Martinez qu'il a en face.

Toujours dans la provocation, il lui parle de ses potes. Ou plutôt de ceux du flic. Ca tombe bien, on est pas là pour être pote. Ce fût la seule chose qu'il avait à dire. C'est très enfantin mais il commence à fatigué de sa garde puis, c'était ça pour un moment de silence. Silence uniquement verbal, car ça gueule pas mal dans les cellules à côté. Mais lui, Florian, il lâche pas l'affaire concernant la provoc'. Non, il enchaîne sur la vie perso. Jeune homme... Oui, on dirai un vieux qui parle alors qu'ils ont que quelques années de différence. Marlon a laisser glisser cette appelation sans même y réfléchir, il sait qu'il va se faire taclé. Ma vie personnelle ne te concerne pas. Poser contre le mur, les bras toujours croisé sur la poitrine, il donne une info quelque peu bateau pour lui donner un minimum d'information. Ma vie sexuelle est bien épanouie. Ca, c'était un mensonge. Sa vie sexuelle et bien même sa vie sentimentale était dans le néant. Il n'y a aucune femme dans sa vie. Pour le moment mais il ne cherche pas pour autant d'avoir une relation. Il a bien trop peu de temps pour entrée dans une relation. Ce n'est pas faute de sortir et avoir la possibilité de rencontré une jeune femme qui pourrait l’intéressé mais, non, il n'a personne dans sa vie.

Il laisse entendre un léger rire le blond. "Pourtant, je suis pote avec certain de tes collègues. On pourrait le d'venir si tu m'étais un peu du tien." Du genre, si il devenait un flic verreux pour avoir un peu plus d'argent à la fin du mois, pour peut-être aussi avoir une vie un peu plus exaltante que celle de justicier en uniforme. Le délire du mec sexy en uniforme, le blond il l'a jamais eu, trouvant cela plutôt moche, sauf quand c'est un stripteaseur ou une stripteaseuse, mais là, l'uniforme est loin d'être le même. Il est plus sexy, plus envoutant, puis faut dire que pour lui les uniformes comme ça c'est clairement pas une bonne chose, pas associé à de bon souvenir non plus.

Il arque un sourcil en entendant l'appellation. Jeune homme. "T'as quoi cinquante pige pour m'appeler comme ça ?" Il se moque, rigole. "Si c'est l'cas, t'es vach'ment bien conservé." Kassim en serait probablement jaloux, parce quoi ? Il doit avoir max la trentaine non ? Flo il est pas forcément doué pour deviner l'âge des gens, mais lui, il semble quand même assez jeune, pas autant que lui, c'est plus une tête brûlée pour réussir à garder son calme face à lui comme il le fait, mais pas encore le genre de flic à être tout le temps derrière son bureau à aboyer des ordres aux autres.

"Ah ouais ? T'as baisé ta femme quand la dernière fois ?" Faut bien avoir un sujet de discussion non ? Lui il va se faire chier sinon et comme il ne veut pas trop parlé de sa vie personnelle, mais que niveau sexe, ça semble quand même allez, forcément le dealeur il en profite. "Dans quelle position ? Faut qu'tu m'donne des idées pour quand j'vais retrouver mon mec." Il assume clairement de s'afficher en couple avec un gars, même si balancer cette information à un flic est probablement pas la bonne idée non plus.

Appuyer contre le mur derrière lui, le flic écoute le dealeur le provoquer, ricanant de ses conneries. Florian le provoque encore et encore. Il lui mit même en tête que certains de ses collègues sont mouillés dans les combines de Martinez. Il fronces le nez, glissant son doigt sur ce dernier, comme il le ferait s'il avait des lunettes. Mais ce n'était pas le cas. Le tatoué avait une très bonne vision.
Il doit certainement en connaître, surtout si le détenu lui en parle ici, c'est qu'ils doivent être du bâtiment. Il ne comprends pas, Marlon. Non, pourquoi être véreux si tu décides d'être flic ? Bon ok, la fin du mois est plus confortable, c'est certains mais pourquoi ne pas tout simplement passé de l'autre côté et laisser son badge à quelqu'un de plus motivé à porter l'uniforme que ces flics qui ne sont pas du bon côté de la loi. Ça, ça l'insupporte le brun. Il grince des dents, tentant de camoufler son énervement vers au tôlard.

Puis vient les questionnements sur la vie privé de l'officier. Il lève les yeux et, inconsciemment, l'appelle ' jeune homme '. Mais qu'est-ce t'es aller dire toi !? En disant cela, il savait qu'il allait faire réagir et amplifié les railleries de l'hôte de la cellule. Mais tant pis, c'était sorti. Mais ça ne loupe pas. Il juge son apparence pour trouvé son âge, exagérant bien évidemment. La cinquantaine ? Marlon laisse échappé un léger et court ricanement avant de  le remercier du compliment. On m'le dit souvent ouais. Il roule des yeux avant de se refermer, laissant ses émotions en interne.
Les questions salaces pleuvent. Il l'énerve. Il veut le faire craquer. Mais le Wenston tient bon. Il sait garder son calme, surtout dans de tel circonstances. Il le laisse parler. Si ça peut le garder calme en se défoulant et imaginer une vie sexuelle au policier, qu'il se fasse des films. Il écoute Marlon. Il attend que le blond s'arrête avant de reprendre. Tu fais s'que tu veux avec ton mec. Mais ma vie ne te regarde pas.

Il ne cède pas le bougre, répondant calmement à Florian, toujours dans l'envie de ne rien dire sur sa vie privée. Après le blond, il n'en a rien à faire, c'est juste pour passer le temps, parce que la nuit va être longue, surtout comparé à ce qu'i devait faire à l'origine. Il devait profité de son mec passé la nuit avec, faire des choses peu catholique comme c'est plus que souvent le cas entre eux. Attirance qui ne s'estompe pas malgré le temps, qui au contraire semble se manifester encore plus. Le dealeur complètement addicte au sensation de plaisir que son copain lui procure. Il finit par rigoler doucement. "Ouais donc, en gros, t'en as aucune." Lance-t-il alors pour le chercher, "Pas d'femme, pas d'plan cul. Ou alors t'es juste mal baisé." Il sourit. "J't'aurais bien baisé moi perso." Si il était pas en couple, si il n'avait pas cette foutue envie d'être fidèle à son gars. En couple avec une autre personne pour sûr qu'il aurait clairement provoqué le flic autrement, qu'il lui aurait proposé un plan foireux comme il en a la capacité. Con jusqu'au bout. "Mais c'est une bonne chose pour toi, d'pas passé dans mon lit, au moins, t'as encore une chance de prendre du plaisir avec d'autre." Il se vante le Martinez, parce qu'il est fier de ses compétences dans un pieu, parce que si il était mauvais, il aurait pas eu autant de plan cul, d'amant qui demande à retrouver ses draps, Lyss aurait tourné les talons aussi après l'avoir quitté. Mais au final, c'est ses talents au lit qui avait permit au deux tourtereaux de rester en contact, d'avoir une excuse pendant ses longs mois pour se revoir, se retrouver. "Vas-y balance, t'as baiser quand pour la dernière fois ?" Il s'imagine déjà une date lointaine. "Et j'parle de vrai baise, pas de masturbation." Parce que si il est coincé, il doit souvent en faire des parties solitaires non ?

HJ : désolée, je réponds de mon tél. Donc désolée si ma réponse est un peu courte...

Florian cherche a énerver Marlon. Mais Marlon sait rester neutre, impartial et calme. Cela fait partie de sa formation. Beaucoup d'officier et même plus grader encore qui ne savent pas garder leur calme. Mais ce calme légendaire différencie Marlon des autres policiers. Autant de son équipe que tout autre force de l'ordre. Non il ne se sent pas supérieur. Loin de là. Mais souvent on le défini comme la force tranquille. Cette tranquillité laisse perplexe ses ennemis, quel qu'ils soient. Mais Marlon est humain. Il fait en sorte de trouver la parade pour garder la face. Mais certaine fois il aimerai pouvoir laisser filer entre ses lèvres, tout ce qui lui passe par la tête. Sifflant entre ses dents pour pousser sa gueulante. Une gueulante pour remettre en place son interlocuteur. Mais il n'hurlera Marlon. Non. Il tient bon. Il laisse Florian parler. Il l'observe. L'écoute. Il réponds finalement. Mais pas pour lui donner la réponse escomptée. T'as l'air bien sûr de toi. il le chari. A son tour de chercher. A son tour de faire parler le délinquant. Mais qui te dit sur t'es si bon au lit ? . Il sait déjà ce qu'il va répondre. Mais s'ils peuvent avoir une conversation, autant lui donner de quoi faire. Mais en soit, le flic apprécie moyennement le sujet. C'est vrai quoi, il y a bien d'autres sujets bien plus intéressant que de parler de sexe non ? Il lui fait d'ailleurs la remarque. N'empêche, tu dois sacrément être en manque pour ne parler que de ça. c'est ce qu'on dit. Plus t'en parle, moins t'en fait. Serait-ce le cas de Martinez ?