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Abus de pouvoir ... - Avec Edenshaw.

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    Comme lorsque j'avais cédé pour la première fois, je voulais ressentir ses mains sur mon corps, ressentir le plaisir de cette douce étreinte. Lorsqu'il avait répondu à mes lèvres, j'avais eu le bonheur durant quelques secondes, un bonheur parfait, un désir qui se comblait par un simple baiser, j'avais tellement besoin de ça. Mais la raison me dictait de m'écarter, de continuer à jouer ce « jeu » dans lequel je m'étais lancé, un jeu dans lequel je cherchais à comprendre qui j'étais pour Eden, qui j'étais pour lui, et qu'était-il pour moi ? Jamais je n'avais compris son importance, et pourtant, je revenais tout le temps vers lui, je revenais toujours dans ses bras pour la simple et bonne raison que je ne l'ai jamais oublié contrairement aux autres, que je n'avais jamais envisagé l'importance d'un homme dans ma vie, encore moins l'importance d'Edenshaw à mes yeux. Je me rendais compte à présent, lors que je l'embrassais, que ce n'était pas un simple ami, ni un simple ex petit ami, c'était bien plus fort, quelque chose chose nous liait, du moins, c'est ce que je croyais. Je croyais aussi qu'en lui avouant que j'étais avec Ezra, que ça lui importerait peu, que de toute façon, c'était lui que j'étais venue voir, et non pas Ezra. Que c'était lui que je voulais voir. Je croyais qu'il me comprendrait, je le croyais sincèrement. Et lorsque je cédais une nouvelle fois à ses lèvres, sentant quand même qu'il me répondait, je me sentais apaisée, libérée, presque heureuse.

    Je faillis glisser mes mains encore plus sur son corps, glisser encore plus pour chercher la chaleur humaine d'Eden, le sentir encore plus contre moi. Mais soudainement, sans comprendre pourquoi, il me repoussait, s'éloignait le plus possible de moi. Une totale incompréhension se formait en moi, je ne comprenais pas ce qu'il faisait. « No. » Non ? Il disait « Non » à mes lèvres, à ma totale soumission à l'envie de l'embrasser, à rester avec lui pour la journée, juste dans ces bras, et au pire, l'embrasser tendrement. Je ne voulais rien de plus, je ne voulais pas chercher à faire de tord à mon couple, même s'il était faux. Il respectait mon couple, certes, mais à quel point, je ne le savais pas, et ça me faisait peur. Les yeux rouges à cause des précédentes larmes, je le regardais, à la fois tendre, mais aussi, une totale incompréhension se lisait. Je ne le comprenais pas.
      . I know you, Chuck, and I know how faithful you can be to your "boyfriends". However, I will not assist you in your perverse adultery and I certainly will not accept to being second fiddle to anyone, especially not in a race for your heart and even less so when Ezra is involved. You could have had me every single day for the last three years but something better kept catching your eye. Well guess what ? I'm through with this, I'm through with it and I'm over you. I can't live like this anymore, Chuck. You're going to end up killing me, one of these days !

    Lorsque les paroles d'Eden furent sorti, un mélange d'incompréhension et d'injustice se mêlaient dans mon cœur, se battait, augmentaient en puissance. Je n'étais certes pas l'exemple de fidélité, mais j'étais toujours là pour lui, malgré ce qu'il s'était passé depuis ces dernières années, malgré qu'il soit sortit avec Luhànn, cette cabot, malgré que je savais qu'il passait souvent à autres choses avec d'autres filles. J'avais envie de lui dire à cet instant, que je n'étais pas vraiment avec Ezra, que lui & moi, ce n'était que de l'amitié. Mes larmes remontaient, revenaient, mais pour l'instant, elles étaient silencieuses. Assise par terre, sur les genoux, je regardais Eden, un Eden qui me fuyait, un Eden dont j'avais l'impression que je dégoutais à en vomir ses tripes.
      . You and me ? I always thought that we had something special, that that was the reason I couldn't forget you and that you felt the same things for me that I felt for you. Huh. I guess I was wrong. But guess what ? I respect myself enough to not debase myself into lowly adultery. I respect the people I date to not have them endure the sufferings of being cheated on. When I was with Luhànn, do you think for one moment that I ever thought of you ? The moment your face starting crawling back into my mind, I dumped her like a piece of shit, for you ! Because I didn't want to hurt her later on and I thought that we had something special. But if we don't ? Then forget it. I have way too much sex friends already.

    Il n'imaginait même pas la peine qu'il me faisait, la douleur qu'il me faisait. Je culpabilisais sans comprendre pourquoi je devrais. En clair, il m'accusait d'avoir briser son couple, il m'accusait d'être inhumaine. C'est ce que je comprenais. Je le regardais, j'avais envie de pleurer, de pleurer jusqu'à ce que mon corps sèche et meurt par la déshydratation, comme ça, je ne le ferais plus souffrir, et je mourrais dans la même souffrance qu'était la sienne, en plus de la souffrance que je portais depuis tant d'années. Mais il me faisait une déclaration d'amour, il ne s'en rendait pas compte, mais il me disait l'importance que j'avais à ces yeux. Je ne ne rendais pas compte à quel point il m'appréciait, je ne savais pas ce qu'il ressentait exactement. Pour l'instant, j'avais pour seul impression qu'il me détestait à cause de la violence de ces mots. Tant bien que de mal, je me levais, faiblement car étant blessé moralement, je n'arrivais plus à rien, plus d'énergie.
      . Wh..You...

    Je le regardais, me sentant triste et en colère, il me blessait, et il m'énervait, je ne savais pas si ce que je pensais était juste ou faux, mais j'étais en colère contre lui. Sans vraiment comprendre ce que je faisais, je ne me contrôlais presque plus, je me jetais sur lui, je le poussais sur ce lit si violemment, je me m'étais sur lui pour le frapper sous cette colère, si monstrueuse. Je le frappais avec mes poings, mais je n'étais pas forte physiquement comparé au bel âtre que j'avais sous mes poings, je savais que pour lui, ce n'était que des petites caresses.
      . You're a hypocrite, Edenshaw! You are a bitch, a big slut, a... YOU ARE HYPOCRITE! Over the years, you lied to me! You've never appreciate me! You always take advantage of my feelings for you! ALWAYS I WAS RETURNED IN YOUR ARMS! I was stupid, YOU ARE UNHEALTHY!

    Traduction:
    Je le frappais, je le frappais, je n'avais plus de limite. La raison de ma colère, j'avais du mal à la comprendre. Mais en tout cas, j'étais juste énervée qu'il méprise ce que je ressentais pour lui. Pour moi coucher avec quelqu'un ne voulait rien dire, et il ne se rendait pas compte que lorsqu'il m'avait fait l'amour, à cette époque, c'était le meilleur à mes yeux, et le seul encore à ce jour pour la simple raison qu'il y avait quelque chose entre lui et moi. J'étais en larmes, j'étais triste, et je passais cette tristesse en colère.
      . You tell shit. You are the only one in my heart! No... Now, there is anyone in my heart! You can stop to play the comedy! If you will be so unhappy, let's go to fuck your slut, your Luhànn! She's not better than me ! She's not more fiddle as me,

    Traduction:
    Je soupirais, essuyant mes larmes. Et je voulais partir de là, le quitter, aller loin. Après tout, j'étais plus rien pour lui. Je n'étais qu'un poison qui le tuait, il le disait, je le tuerais. Je préférais partir, je tenais à lui, ça me faisait mal de partir, je ne voulais pas, je voulais être dans ses bras. Je voulais que nous retournions en arrière, je ne voulais plus lui mentir et lui dire qu'Ezra n'était que du vent, n'était rien de plus une personne que j'appréciais, mais sans plus. Que c'était le seul qui m'obsédait chaque jour, que chaque homme avec qui j'avais couché, je pensais toujours à lui malgré ce que je faisais avec eux. Je quittais ses cuisses, je quittais le corps que je voulais présentement dans mes bras, je quittais tout, cherchait simplement mes chaussures pour m'en aller. C'était le bazar ici, et je les avais balancé n'importe où quand je m'étais couché à ses cotés, car c'était la seule chose qu'il voulait de moi, j'en étais sur, ce n'était qu'un hypocrite.
      . I search my shoes, and I leave! You will be happy without me!

    Traduction:
    je cherchais encore, malgré mes larmes, malgré le bandage qui se défaisait, je m'en foutais, je voulais juste partir, ne plus souffrir de mes sentiments à son égard. J'avais envie de le détester, mais je n'y arrivais pas.
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Tourmenté, il se demandait ce qu'ils faisaient ici. Pourquoi ils étaient ici. Il maudissait son retour. Il détestait avec passion son retour. Ne serait-elle pas revenue, il n'aurait pas eu à la confronter, à ressentir cette déchirure dans son coeur, déchirure qu'elle avait créée à leur première nuit passée ensemble. Ne serait-elle pas revenue, Edenshaw n'aurait eu aucune question à se poser et aurait, à la place, fait une confortable grasse matinée. Au lieu de cela, il s'était retrouvé réveillé bien trop tôt, ayant conséquemment une migraine. Il s'était retrouvé hanté de ces mêmes questions existentielles qui avaient hanté ses pensées la première fois qu'il avait vu Chuck pendue au bras d'autrui : était-il donc laid ? Ennuyeux, peut-être ? Ou n'appréciait-elle tout simplement pas sa manière assez simple, douce et romantique de faire l'amour ? Peut être préférait-elle les durs qui faisaient dans le S&M et la traitaient comme une merde employant comme excuse le fait qu'elle fût une fille ! Était-il trop pauvre pour subvenir à ses besoins ou ne la comprenait-il pas assez ? Pourquoi ne lui suffisait-il pas ? Pourquoi devait-elle s'entêter à briser son coeur en allant voir si l'herbe n'était pas plus verte chez les voisins ?

Il était triste. Il était en colère. Incompréhensif. Trahï. Elle aurait pu se taire et le laisser faire ... Elle aurait dû. Au lieu, elle s'était sentie obligée de sortir son poignard afin de jubiler devant sa peine à savoir qu'elle était avec autrui (du moins, c'était comme ça qu'il le voyait). Ne lui aurait-elle rien dit, il seraient encore tous deux assis dans ce coin, lui la tenant sur ses genoux, lui caressant le ventre, sa tête posée amoureusement sur son dos. Car Edenshaw était un passionné, et, pour lui, une simple étreinte pouvait être aussi passionné que la plus torride des nuits. En effet, tout reposait dans les émotions accordées à une scène particulière. Mais là, il n'avait plus envie de rien. Il n'avait plus envie de sentir les cheveux de Chuck, de lui faire sentir sa présence, leurs corps collés l'un à l'autre, ses murmures capables de la rassurer. À présent venait le moment qu'ils viendraient tous deux à regretter un jour : celui des confrontations et des insultes balancées à l'aveuglette sans réelle autre motivation que celle de la colère.

Ne daignant pas jeter un oeil vers Chuck, il se moquait de ses sentiments à l'heure actuelle, aussi altruiste qu'il puisse être. L'être humain se concentre tout d'abord sur lui-même avant de regarder les choses à une plus grande échelle, et, en tant qu'humain, Edenshaw n'y faisait pas exception. Il ne voyait donc pas l'air ébahi de Chuck ainsi que la pétillance avec laquelle ses yeux brillaient ; il ne remarquait pas qu'elle avait l'air de souffrir autant voire même plus que lui. Elle semblait désorientée dans ses propos, comme si chaque mot était impossible à achever tant ses idées étaient en brouhaha :

- Wh ... You ...

Le plus pathétique, dans cette histoire, c'était qu'ils n'étaient pas si différents, l'un de l'autre, au final, lorsque l'on y réflechissait bien : ils éprouvaient des sentiments similaires l'un envers l'autre, aussi intenses que déboussolants. Et confrontés à leurs sentiments, ils ne savaient pas comment réagir. Évidemment, Edenshaw faisait des pas en avant (ou, en l'occurence, en arrière) : étant l'homme, c'était la choise courtoise à faire. Il devait mener le bal. Mais au fond, il était tout aussi perdu qu'elle. Jamais n'avait-il été aussi sérieux avec une fille auparavant ... Jamais n'avaient-elles eu autant d'effet sur lui que Chuck. Il se rapellait encore de la fois où l'une de ses petites amies de l'époque avait tenté de le rendre jaloux et à quel point cela l'avait laissé indifférent ; or, Chuck, sans même vouloir essayer, y parvenait sans difficultés. Au fond, il ne demandait rien de bien difficile : il ne la demandait qu'elle, et pour lui tout seul ... Mais ce cap n'était visiblement pas à franchir immédiatement. Mais retournons en à la scène qui se déroulait sous nos yeux. Un Edenshaw, interloqué, allongé sur le lit, une véritable furie aux yeux bleus lui martelant le torse dénudé à coups de poings fermés. Bien que la douleur physique était pour lui égale à une piqûre de moustique, celle infligée sur son psyché était tout autre : l'idée qu'elle veuille lui faire du mal était innaceptable à ses yeux. Il était incapable de l'admettre, car cela voudrait dire des choses bien graves à leur propos. Leur "triangle amoureux" avec Jared lui semblait à présent un bien doux compromis, étant donné que celui-ci collectionnait d'habitude les colères de la blonde. Depuis son départ, il se les prenaient toutes, sans exceptions ni avertissements.

À la dernière interjection de sa part, ses yeux roulèrent vers le ciel tandis qu'il répondit sarcastiquement, haussant la voix d'un ton :

- Are you fu**ing kidding me ?! You're talking about yourself, here, Chuck ! I was always truthful and straightforward with you, and not once did I try to take advantage of you ! Never once did I come to see you "just for the sex" ! There was always something more to it for me because I care about you in a way I can't understand. I'm the one who got hurt the most in this whole story ! You never cared about me ! You were always toying with me ! I know Jared was always your favorite, I know it, and don't lie and act as if that's not true ! You're the unhealthy one, Chuck.

Traduction:

Et pourtant, elle continuait de le marteler de coups, comme si elle pouvait brûler à travers son coeur et le détruire définitivement. Et pourtant, elle continuait. Décontenancé, il avait l'air faible ... Impuissant, ses lèvres tordues vers le bas, lui qui d'habitude souriait tant ... Un instant, son coeur s'allégea : elle venait de faire un pas, elle aussi, et un énorme pas. Elle venait de lui dire ce qu'il rêvait d'entendre depuis maintenant trois ans. Mais elle recula ensuite avec le reste de sa réplique. Se mordant la lèvre, il se rendit compte qu'il n'était qu'un imbécile et qu'il venait sans doute de perdre la meilleure chose qu'il ait jamais eue ... Néanmoins, elle allait trop loin. Furieux, il attrapa ses poings lorsqu'elle s'apprêtait à les cogner contre son torse à présent rougi par les impacts avant de la pousser sur le côté et de se lever. Debout en face d'elle, il affichait un regard noir, une larme perlant à son oeil gauche.

- Oh right ! That's rich ! Really, someone should give you an Oscar already ! Are you even listening to the crap coming out of your mouth right now ? Somehow, I highly doubt it. You don't know squat about Luhànn so shut the fuck up and leave her out of this ! This is between you, me and no one else. Not Luhànn, not even Ezra, no matter how much I hate him. And please : you never had room in your heart for anyone else but you ! If you really do care about me as much as you say you did, what are you doing in Ezra's arms at night instead of mine, when I want you so much more than he could possibly ever want anyone ? Is he such a great lover ? Does he make the world tremble, or something ? What does he have that I don't ? Because I really can't see it ...

Traduction:

S'interrompant alors, il se rendit compte que la situation était drastique. Il avait besoin que cette affaire se cesse, tout de suite, avant que les choses ne s'envèniment et qu'il ne fasse chose qu'il regretterait. Regardant honteusement Chuck, son dos tourné vers elle, sa tête légèrement inclinée afin qu'elle aparaisse dans son champ de vision, Edenshaw déclara finalement :

- ... Chuck ? You should go. I really need you to go, right now. I think it would be better for both of us ... Please, just, leave me alone ...

Traduction:

Une larme coula le long de sa joue gauche tandis qu'il se disait qu'il regretterait ces mots. Il n'avait qu'une envie, c'était de la prendre dans ses bras, de s'excuser et de la rassurer quand à leur relation. Mais c'était à présent trop tard pour cela. Leur connexion semblait s'être dissoute, du moins, affaiblie, et il savait qu'il vallait mieux laisser les choses ainsi : tenter quoi que ce soit ne serait que pure follie et envenimerait la situation plus qu'autre chose.

Il lui tourna alors le dos tandis qu'elle essuyait ses larmes. Il souffrait.

Elle déclara une dernière chose à laquelle il ne prêta pas attention, enfouissant son visage dans ses mains et se lamentant sur son sort. Puis, il se retourna et marcha lentement vers la porte, vêtu uniquement de son caleçon, avant de sortir de la chambre et de chercher Chuck. Il pouvait discerner un léger filament de cheveux blonds tourner au coin du couloir et se précipita à sa poursuite, lui attrapant le bras et la retournant vers lui, leurs souffles se mêlant, leurs regards se croisant, un air désolé affiché sur le visage.

- Chuck ! Wait ! I ... I'm sorry, I got carried away ...

Traduction:

Son regard presque implorant, il la lâcha finalement lorsqu'il se rendit compte qu'elle n'allait pas partir de sitôt. Se grattant la tête et baissant honteusement les yeux vers le sol, il se racla la gorge avant de chuchoter :

- ... I don't want to lose you ...

Traduction:
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    Je le frappais, je le brisais, je lui faisais mal, mais pas autant que j'avais mal. Je souffrais intérieurement de mes sentiments pour lui. Avant, c'était facile, il y avait Jared, il y avait quelqu'un pour m'écouter, mais maintenant, je n'avais qu'Eden, il ne me restait plus que lui, j'avais besoin de lui, mais je ne supportais pas ce que je ressentais pour lui, ni ce qu'il se passait entre nous deux. Pourtant, qu'est ce que j'avais envie d'arrêter tout ça, et l'embrasser aussi langoureusement que je tenais à lui. Mais j'étais comme en colère, je voulais me protéger de ces fameux sentiments, car j'avais peur que ça nous détruise encore plus. Et le pire dans tout ça, c'est qu'Edenshaw me retournait chaque moi. Il m'accusait d'être une menteuse, de lui avoir fait du mal autant qu'il m'en faisait. J'avais du mal, j'avais mal. Il mentait, et ça me faisait. Il mentait, il savait que pour lui, je quitterais tout pour le voir, que pour lui, je mourrais pour le protéger. Il ne s'en rendait pas compte que Jared n'a jamais été mon préféré, que la personne que je tenais le plus au monde, bien plus que ma famille, bien plus que mes amis, c'était lui. La seule chose que je n'avouerais peut-être jamais, c'est que j'ai mal agis, que j'aurais du être là pour lui lorsqu'il en avait besoin, mais j'avais toujours eu le goût de cette liberté depuis mes seize ans, ce petit goût que je croyais bien pour moi. Je croyais que c'était bien. J'avais beau lui dire ce que j'avais sur le cœur, réfuté tout ce qu'il disait, ça me retombait forcément dessus. J'avais envie de lui dire que tout était faux, qu'Ezra c'était du vent, mais je me retenais, j'avais envie de mentir, mais ça me faisait du mal... Je devais partir, il me le disait si bien... « ... Chuck ? You should go. I really need you to go, right now. I think it would be better for both of us ... Please, just, leave me alone ... » Mon coeur se serrait face à cette annonce, se comprimait, saignait, au bord de la mort même. J'avais mal, pourquoi était-il si cruel avec moi? J'avais envie de lui crier que je restais pour l'achever, pour le tuer, pour qu'il souffres autant que je souffrais, mais au fond... il fallait l'avouer, je ne voulais que son bien, et s'il avait besoin que je partes, je partirais. Je devais partir, je décidais de chercher mes chaussures et je m'en allais, c'était la meilleure solution s'il souffrait de ma présence. Je les avais trouvé, près de la commode, et je les avais enfilé plus rapidement que je ne les avais enlevé.
      . I will never come back... Bye,Eden...

    Traduction:
    C'était mon mot final, je ne voulais pas rester plus que ça. J'avais mal au cœur, à la gorge, au ventre. J'avais mal, et mes larmes avaient refait surface sur mes joues, encore plus nombreuses, encore plus douloureuses. Je passais le pas de la porte, je voulais partir, je voulais le quitter, cette décision était douloureuse, mais s'il devait être « bien », je devais partir, ce n'était pas grave si je savais que j'allais souffrir de cette absence. A peine la porte de sa chambre était passée, que je souffrais déjà. Je marchais tant bien que de mal, essayant d'effacer à chaque pas mes sentiments pour lui. Je ne m'attendais pas à ce qu'il revienne, à ce qu'il m'interceptes. Nos souffles se mélangeaient, j'avais l'envie furieuse de l'embrasser. Je ne disais rien, je pleurais seulement, je lui avais dis que je m'en allais, je le ferais. On souffrait beaucoup trop tous les deux...« Chuck ! Wait ! I ... I'm sorry, I got carried away ... » Je souriais, de façon plutôt ironique. Je ne le croyais pas, je ne le croyais plus. Il les avait dit trop facilement, pour moi, il les pensait. J'étais un monstre, j'étais un poison. J'abandonnais le fait de partir, du moins, je voulais l'écouter une dernière fois. J'avais envie de me jeter dans ses bras, j'avais envie de l'embrasser, lui dire ce que je ressentais pour lui. Rien ne sortait, rien ne se faisait. Il me lâchait, me regardait d'une façon qui m'attendrissaient presque. Je devais partir, je le savais. « ... I don't want to lose you ... » ne pas céder? Évidemment, je ne devais pas céder, il ne savait pas ce qu'il faisait, il était tout aussi perdu que moi dans ses sentiments. Il s'accrochait à des sentiments qui ne m'étaient pas destiné. J'étais attendri par ses larmes, par … mon amour pour lui ?
      . False... We're lost.

    Traduction:
    Je m'approchais de lui, à un tel point que nos souffles se mélangeaient l'un à l'autre, et jusqu'à ce que nos lèvres se touchèrent. Ma main se glissait alors le long de son torse, puis jusqu'à sa tête et se glissait dans sa chevelure. Je glissais ma langue entre ses lèvres, je caressais ma jumelle que j'aimais tant voir, que j'aimais tant caresser. Je profitais de ses lèvres une dernière fois, je profitais une dernière fois de sa tendresse. Je profitais d'une dernière embrassade, avant d'arrêter ça.
      . It was the latest. It's better if I'm coming out of your life. You are right, I'm a poison for you. You should forget me. I will doing the same thing.

    Traduction:
    Je caressais alors sa joue, tendrement, je le regardais. J'avais envie de rester, mais il fallait partir, je le blessais autant qu'il me blessait, jamais nous allions surmonter ça si je m'efforçais de rester dans ses bras. Il ne compensait pas Jared, pour la simple raison que Jared n'avait été que pour moi, une passade, un échappatoire pour éviter d'avouer ce que je ressentais pour lui. Je m'écartais d'Edenshaw, il ne fallait pas que je cèdes. Je souris, et descendit les escaliers pour aller entrer, sous les regards surpris des autres Dunsters, et je me dirigeais vers la maison des Eliot. A chaque pas, je rêvais qu'il insiste, qu'il revienne me chercher, qu'il crie mon prénom, qu'il me dise qu'il me pardonnait, qu'il... m'aimait ? Je souhaitais trop, et à peine j'avais atteint le trottoir, mes pieds cédaient sous la douleur, à genoux sur le sol, en larmes. J'avais du mal à calmer mes larmes. J'avais les yeux embués, je cherchais mon téléphone, et j'appelais mon chauffeur pour qu'il m'emmène chez moi, et non pas à la maison des Eliot, je ne voulais pas leur montrer mes larmes, et laisser le plaisir de certaines de me voir.
      . Allo... yes, it's Chuck. Can you come to look for me at the Dunster's House? Thank you.

    Traduction:
    Je restais là, attendant comme une larve. Toute façon, il était Samedi matin, il n'y avait personne, tout le monde se remettait de la nuit passée.
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Son visage se décompose. Il était littéralement livide, comme si tout espoir venait d'être perdu et qu'il ne verrait plus jamais la lumière du jour. Il était triste ... Effondré, intérieurement. Une véritable épave. Ça n'avait rien à voir avec les fois où il avait accouru acheter une glace pour voir la caravane du marchand disparaître au coin de la rue pendant son enfance. Elle ne semblait même plus avoir envie de l'aimer ... Sa bouche se tordit alors en une grimace triste tandis qu'une ou deux larmes dévalaient ses joues. Dégouté, il n'avait pas envie de la perdre.

- Baby, don't say that ... p-please, I b-beg you ...

Traduction:

L'émotion était telle qu'il begayait. Il voulait l'attraper, la ramener de force dans sa chambre, l'attacher à son lit et la convaincre qu'il était le seul homme dont elle aurait jamais besoin, et elle, la seule femme dont il aurait besoin. Il baissait les bras. C'en était fini, et, comme d'habitude, tout était de sa faute. Il ne vallait décidemment absolument rien. C'est à ce moment là qu'elle l'embrassa, encore une fois. À ce moment là, Edenshaw eut l'impression que même un tremblement de terre ne pourrait les séparer tant ils étaient parfaits ensemble. Collés l'un à l'autre, tout semblait aller mieux ... pendant un bref instant. Mais c'était sans compter sur les paroles qui accompagnaient ce baiser. C'était le dernier. C'était fini, elle ne voulait plus de lui alors que lui la désirait plus que tout. L'important, il lui prit la main, mêlant ses doigts au sien et la serrant fermement, tout en faisant attention de ne pas lui faire mal. Il lui dit alors calmement, doucement, silencieusement et mélancoliquement :

- Please ... Stop ... Stop doing this ! Stop breaking my heart ! What did I do to deserve this, Chuck ? Why won't you listen to me ? Why won't you try to make me happy ?

Traduction:

Elle lui caressa la joue avant de lui répondre, puis, partit. Encore surpris par ce qu'il venait de se passer, il ne la suivit pas au départ, cherchant à comprendre l'incompréhensible. Puis, se rendant compte qu'elle allait partir sans qu'il n'ait l'occasion de lui dire au revoir, sans même daigner se couvrir de vêtements plus chauds et discrets, il dévala les escaliers quatre à quatre à la poursuite de la jeune femme sous les yeux surpris, méprisants ou admiratifs de ses camarades Dunsters. Il ne donnait certes pas la meilleure image de lui-même à ceux-ci, mais ça lui était égal. Tout ce qui comptait, pour lui, à présent, c'était Chuck. Elle s'était crée un chemin hors de la maison des Dunsters, empruntant leur porte d'entrée et il n'avait pas d'autre choix que de la suivre. Les personnes se promenant dans les environs à heure pareille seraient sans nul doute surpris de voir un homme nu avec pour seul vêtement un caleçon en train d'essayer de raisonner avec une magnifique blonde aux yeux bleus, mais il s'en fichait.

Il la rejoingnit finalement et resta debout, plusieurs centimètres (entre cinquante et cent) derrière elle, silencieux, les mots déroulant en succession dans son cerveau tandis qu'il se demandait ce qu'il pourrait à présent faire. Il ajouta finalement :

- Chuck, please, stay here ! Don't do this ! Don't do something we both know you'll regret !

Traduction:

Puis, il se tut, attendant patiemment sa réponse avec appréhension et crainte.
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    Je regrettais déjà les mots horribles que je lui avais dis il y a plusieurs minutes de cela, je les regrettais, je voulais lui dire à quel point je tenais à lui, mais jamais mes mots ne sortaient. La raison tenait bon, et même accompagné par mon cœur qui me disait de calmer ma souffrance, de calmer la sienne, de faire le bon choix pour nous deux. Je le regardais, je n'arrivais pas à quitter ses yeux, les paroles qu'il avait à mon égard me touchait, me berçait j'aurais presque cru que j'allais lui dire que je restais que j'allais retourner sagement dans sa chambre, que j'allais lui faire l'amour...que nous allions une énième fois nous pardonner avant de nous déchirer plus tard ? Je ne voulais plus de ça, et surtout pour lui, je ne voulais plus lui faire du mal. Il me suppliait, et j'avais faillis céder lorsque je m'étais mise à l'embrasser, c'était horrible comment je me sentais triste, déchirée par une telle décision. Je me mis à sourire lorsqu'il disait que je lui brisais le cœur, que je ne cherchais pas à faire son bonheur, mais justement, si je partais, s'il m'oubliait, il serait certainement plus heureux. Je partais, pas en courant, mais assez rapidement pour ne plus sentir l'odeur des Dunster, encore moins l'effluve d'Eden qui me captivait, me calmait à chaque fois que j'étais dans ses bras. Je préférais être seule dans cette rue, à genoux, au sol. Je m'apitoyais sur mon sort de merde, je n'étais qu'une salope comme les autres, qui baisaient partout, alors qu'au fond, je savais que je voulais juste tasser des sentiments que je refusais qu'ils soient miens. J'attendais mon chauffeur, espérant qu'il se dépêche, je ne voulais pas rester ici, je ne voulais pas craindre qu'il avait le temps de s'habiller pour venir me parler. Mais ce fut pire que ça, Eden n'avait même pas pris le temps de s'habiller, il était dehors, à moitié nue, essayant de me faire rester là. Je posais mon regard bleuté vers lui, me sentant toute trouble rien que de le regarder m'implorer de cette façon. J'avais honte de ce que je faisais, j'avais honte de ce que j'allais faire. Mais c'était pour son bien, je devais le faire. Je me relevais tant bien que de mal, essuyant ma robe, j'essayais de prendre un ton neutre sur mon visage et dans ma voix, mais c'était difficile car je souffrais autant, voir même plus que lui de cette séparation.
      . You should go back to the house. You're going to make yourself sick with this temperature.

    Traduction:
    Il faisait froid, moi-même je frissonnais à cause de la température. Mais je me préoccupais plus de lui qui était nu, je ne voulais pas qu'il soit malade, surtout par ma faute. Dans ma tête, je cherchais des excuses pour qu'il arrête de me suivre, je ne voulais pas qu'il se fasse plus de mal avec moi, je ne voulais pas qu'il continue de souffrir à cause de mes infidélités que je ne pouvais contrôler, je ne voulais pas qu'il meurt de ses sentiments à cause de moi... Je lui tournais le dos, je ne pouvais pas le regarder en face, pas avec ce que je lui disais.
      . Ezra is much better than you in bed. He is so charming and attentive, if it goes well, maybe at the output of the university, I would be his wife, who knows. Je mentais. Je ne voulais pas de ça, je le voulais Edenshaw Cartwright, je voulais être Chuck Cartwright. Je mentais car il avait été le seul à arriver à me rendre heureuse lors de relations. I have sex with an Eliot, Andy, he has done what you did ever made. je mentais, je n'arrêtais pas de mentir. Mais je voulais qu'il parte, je ne voulais plus qu'il souffres à cause de moi. You should forget me. I'm unhealthy, no? Je savais ce que je pouvais dire, ce que jamais je n'aurais osé lui dire, car ce n'était pas vrai. Même mes parents ne diraient pas ça. You are so poor. You are not a good party for me. Go away...

    Traduction:
    Je regrettais chaque mot, je détestais tout ce que je disais, je ne les pensais pas. J'avais besoin de lui, mais je n'étais pas celle qui lui fallait...
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Ce que Chuck ne semblait pas comprendre, dans son raisonnement, c'était qu'Edenshaw était incapable de l'oublier. Il l'avait essayé, tous le savaient pertinemment, mais n'avait jamais réussi à accomplir quoi que ce soit d'autre que la déception de la révélation : sans elle, il n'était rien. Elle le complétait pour une raison qu'il ignorait ; il le voyait à présent. Il y avait quelque chose à propos d'elle qui le fascinait ... Étais-ce son odeur ? Son rire, peut être ? Quoi que ce soit, il ne pouvait la laisser partir ainsi. Il ne pouvait laisser la meilleure chose qui lui fût jamais arrivée s'éclipser sous ses yeux. Il ne voulait d'ailleurs pas le faire. Il tenta donc une dernière fois de la retenir, de la garder avec lui, cherchant au moins à se gagner le temps nécessaire pour avouer l'inavouable ... Mais il n'était même pas capable de se l'avouer à lui même.

Et pourtant, elle semblait de marbre, une véritable statue de marbre modelée en Grèce Antique, incapable de ressentir des émotions. Elle lui déclara avant tout qu'il ne devrait pas attraper froid, et, un instant, il crut qu'elle ressentait toujours cette étincelle qu'ils avaient toujours eue ... Leur étincelle.

- No, trust me, I won't. For as naked as I am out here, there's a fire burning in me that will keep me warm. Listen, Chuck, I ...

Traduction:

Poétique, n'est-ce pas ? Il se mit alors à soupirer, tentant de cracher une bonne fois pour toute les mots qu'il avait à la bouche, de s'en débarasser comme si de rien n'était. Mais elle en avait profité pour tenter de briser leur relation au delà du réparable ; bien qu'il ne voulait pas croire la moitié de ses propos, il ne pouvait que les ressentir chacuns comme une gigantesque giffle qu'elle lui infligeait. Lui qui avait toujours envisagé son avenir avec Chuck ne pouvait pas accepter le fait qu'elle puisse vouloir épouser autrui que lui ... Lui qui avait toujours tout fait pour qu'elle soit confortable, à l'aise, heureuse et prête lorsqu'ils "le" faisait était décontenancé d'apprendre qu'ailleurs, "ça" se faisait mieux. Et maintenant, elle en revenait à l'argent ... Il roula ses yeux vers les cieux, sachant pertinamment que cela devait arriver un jour. Il la laisser terminer sa phrase, silencieux, avant d'ouvrir la bouche. Mais à ce moment là, la limousine que Chuck attendait tant arriva, et, sans prévenir, cette dernière sauta dedans. Lorsque celle-ci démarra, il se retrouva aspergé d'un peu d'eau restée sur la route de l'averse de la nuit passée.

Encore sous le choc, il balbutiait silencieusement :

- B ... But I love you ...

Traduction:

Mais c'était trop tard. Elle avait disparu. Déçu, il se retourna et rentra dans la maison des Dunsters. Elle avait eu raison : il était glacé, mais la plus brûlante des douches ne pouvait rien pour lui : son coeur était glacé.

Tentant de continuer sa disseration, il se rendit compte qu'il ne pouvait rien faire, bloqué dans sa rédaction par le souvenir des mots que Chuck lui avait presque crachés au visage. Puis, il se mit à sa batterie et la frappait à pleine force grâce aux batons prévus à cet effet, se débarassant ainsi de sa rage ...

Il souffrait, et rien ne pouvait changer ça.

Edenshaw avait perdu Chuck.
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