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Abus de pouvoir ... - Avec Edenshaw.

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    Complètement … folle ? Oui, c'était le mot qui me qualifiait le mieux lorsque je sortais en discothèque avec les amis, je buvais jusqu'à me rendre complètement saoule, ce qui signifiait une bonne quantité de vodka, rhum etc... tout un mélange quoi, voir même un petit joint que j'avais piqué pour une taf, qui s'en ai avéré être plusieurs, ce qui me rendait complètement stone, je ne me rendais pas compte de ce que je faisais, et même de la claque monumentale que j'avais mise à ce mec pour la simple raison qu'il ne savait pas parler aux femmes, et croyez moi que je n'y allais jamais de mains morte! Mais malheureusement, ça dégénérait souvent et je me retrouvais à pieds dans le froid pour retourner jusqu'à la maison des Eliot. Il faisait froid, et j'avais encore du chemin à faire sauf que je me retrouvais à passer devant la maison des Dunster. Et même bourrée, et shooté, j'eus la bonne idée de venir passer la nuit dans le lit d'Eden. Je ne savais pas s'il était là, peut-être était-il parti s'amuser, voir même couchait-il avec une autre? Je n'en savais rien et je m'en foutais, s'il n'était pas là, il me retrouvait certainement dans son lit le lendemain, lui faisant la surprise de mon corps si svelte et merveilleux – oui les chevilles vont bien - . Je me glissais alors dans la maison des Dunster, heureusement pour moi, tout le monde était soit de sorti, soit ils dormaient, en même temps, c'était un Samedi soir, qui ne faisait pas la fête hein ? Je me glissais alors jusqu'à la chambre d'Edenshaw, je savais où elle était depuis le temps, et sagement, sans un bruit, voir même arrivée comme une voleuse, j'entrais sagement dans sa chambre, essayant de ne pas faire de bruits. Je me pris alors le pied dans quelque chose, je poussais un long soupir, essayant de retenir l'horrible douleur qui me persécutait, et soudainement, en espérant ne pas avoir réveiller Edenshaw, bien qu'il servirait plus d'accueil pour me réchauffer qu'autre chose... je m'approchais alors de lui, et posait mon regard sur lui... Il dormait. Je le trouvais vraiment mignon comme ça, c'était limite si je ne m'en voulais pas d'embêter une si jolie bouille pareil. Avec mon doigt, je titillais doucement la joue d'Edenshaw avec l'ongle...
      . Hey, hey, Eden... Are you wake up ? murmurais-je alors doucement, histoire de voir s'il dormait vraiment.

    J'arrivais au bon moment alors. Je jetais mes chaussures un peu plus loin et je vins à lever la couette et me glissais près de lui, me blottissant alors contre ce corps chaud, provoquant alors un frisson étrange lorsque je venais juste de coller ma poitrine contre lui, cette sensation si chaleureuse en était presque troublante, mais j'espérais oublier, encore et à mon habitude, je ferais taire cette petite voix. Je déposais ma tête sur son épaule, et Morphée vint à me capturer dans ses bras, alors que ma main caressait son torse, j'abusais vraiment de lui... mais j'adorais ça. Seulement, je ne me rendais pas compte qu'en m'endormant, mes pieds étaient froids, à un tel point que je vins coller les miens à ceux d'Eden... tout en continuant de m'endormir...
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Allongé torse-nu au milieu de ses draps blancs, il était seul, comme tous les jours auparavant, son dernier colocataire, Maxim, ayant obtenu son diplôme à la fin de l'année scolaire précédente. Il n'avait pas froid, ni chaud. Il était confortablement installé sur un matelas moelleux, endormi paisiblement sans avoir été dérangé par le corps d'une belle plante, pour une fois : auparavant, Chuck réchauffait ses draps. Puis, Luhànn l'avait fait. Récemment, il s'agissait plutôt de Giulia. Eden n'avait en effet vu Chuck que peu récemment, surtout après les nombreux rateaux qu'elle lui avait fait : le soir au restaurant, au bal de la Saint-Valentin ... Encore, lorsqu'elle l'abandonnait pour Jared, il comprenait un tant soi peu et n'était pas plus vexé que ça : elle avait connu Jared en premier, elle aimait s'amuser avec lui et il l'attirait par sa personnalité provocatrice, contrairement à lui et sa personnalité chaleureuse et protectrice. Mais Jared était parti, et pourtant, Chuck continuait à lui "résister", si résister signifiait l'abandonner dès qu'elle voyait mieux avant de revenir vers lui au final. Quelque part, il se demandait s'il n'était pas celui qui perdait au change, dans cette relation : ses sentiments étaient ignorés, il était majoritairement seul parce que celle qui voulait dire quelque chose pour lui, d'un point de vue romantique, savait qu'il serait toujours là quoi qu'elle lui fasse. Et pourtant, il ne pouvait point sévir avec elle, il ne pouvait qu'attendre. L'attendre, plus précisement. Qu'elle réalise qu'il était l'homme qu'il lui fallait, qu'elle avait besoin de lui et qu'elle ne devrait plus le contrarier ... Il pouvait toujours attendre !

Comme d'habitude, ses rêves étaient hantés par ses beaux cheveux blonds et ses scintillants yeux bleus. Il ne l'avait d'ailleurs pas entendue rentrer dans sa chambre, malgré le léger grincement émit par la porte de bois lorsqu'elle s'entrouvrit. Ronflant doucement, la joue gauche posée contre l'oreiller, il entendit à peine les mots qu'elle lui avait envoyé. Puis, aussi rapidement qu'étonnamment, elle s'était blottie contre lui ... Ou plutôt, contre son torse, rendu doux par de légers poils soyeux. Grognant légèrement au contact de sa peau glaciale face à la sienne, si chaude, son rêve évoluait : il avait commencé par voir Chuck, dehors, sous la pluie. Puis, un vieil homme l'avait ramassée pour l'emmener dans un restaurant au loin afin qu'elle puisse retrouver ses amis. C'est alors qu'un de ses anciens amants la reconnut et était venue la voir afin de lui demander des réglements de compte. C'est alors qu'il était venu et qu'il l'avait sauvée de cet étrange interlocuteur ... Avant de se faire gifler par une Luhànn furieuse. Puis, les deux femmes s'étaient livrées à une lutte digne de luchadors méxicains avant de se trainer mutuellement dans la boue ... C'est alors que ceux-ci se transformèrent en sables mouvants et avalèrent les deux femmes qu'il avait eu dans sa vie ...

Frissonant, sa main se leva instinctivement, caressant les cheveux de Chuck, la gardant collée contre lui, sans doute de peur qu'elle ne s'enfuie. Quoi qu'il puisse arriver, il avait besoin d'elle, il l'avait compris. Et Luhànn, dans tout ça ? Il n'en savait rien. Son cerveau était encore flou quand à sa relation avec sa présente ex-petite amie. Il ne fallait pas non plus oublier Giulia, sa "sex friend", ni tous ceux qui lui mettaient la pression, lui rappellant ce qu'il savait intérieurement : pour le moment en tout cas, sa relation avec Chuck lui nuisait plus qu'autre chose. C'était comme une drogue pour lui ; il avait développé une addiction à son sourire, à son odeur, à sa manière de parler et de penser ... Une addicition dont il ne pouvait se débarasser, ni dans ses rêves, ni dans ses nuits passées avec d'autres demoiselles.


HJ; Désolé du retard, et, si ça te bloque, ma réponse (aussi nulle soit-elle, en passant, désolé, j'étais ... je sais pas où, mais j'ai écrit de la merde Abus de pouvoir ... - Avec Edenshaw. 2442039969 ) je peux rajouter un truc sur le lendemain matin. :) Bisous, et je te promets de t'écrire une vraie réponse digne de ce nom la prochaine fois. ^^"
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    Ce soir, je ne savais pas pourquoi, j'étais venue rechercher du réconfort, du bien-être, même si j'étais la « petite amie » d'Ezra, j'étais pas du tout amoureuse de lui, j'étais juste une amie pour lui, et il était juste un ami pour moi, je ne pouvais pas m'empêcher de venir voir Edenshaw. Jamais je ne comprendrais pourquoi je suis revenue soudainement ce soir, pourquoi je venais de m'infiltrer dans la maison des Dunster, pourquoi je m'étais glissée dans le lit d'Edenshaw... Jamais je n'avouerais pourquoi, car j'étais tout bonnement trop fière d'avouer ce que je ressentais à l'intérieur de moi lorsque j'étais avec lui. Comme là, lorsque je m'étais blottie dans ses bras, mon coeur s'était mis à battre plus fort, l'alcool et les quelques joints n'en étaient pas la cause, mais j'essayais de me calmer, de me laisser bercer par les bras de Morphée. J'étais si bien dans ses bras, que je m'endormais plus rapidement que je ne l'aurais, profitant de cette chaleur, de ce contact qui m'avait tellement manqué. Oui, je l'avouais intérieurement, Edenshaw m'avait manqué, à un tel point que personne ne pouvait imaginer, ça me faisait du bien d'être avec lui dans ce lit, même si au fond, je savais qu'au réveil, ça ne sera pas ça, je savais que je risquais de me faire jeter dehors par Eden, mais je m'en foutais, ça me faisait tellement de bien d'être dans ses bras. D'ailleurs, c'était sur cette pensée, cette dernière pensée que Morphée me prit dans ses bras, me faisant sombrer dans un long sommeil que j'espérais réparateur.

    Pour ma part, je n'avais pas fais de rêves spécialement, j'étais trop bien en ce début de soirée que lorsque je dormais, je ne rêvais pas ou alors, je ne m'en souvenais pas. Par contre, un détail qui avait changé depuis quelques temps, enfin... comment dire ça, je commençais à être très mouvementée dans mon sommeil, mes mains avaient parcourus entièrement le corps d'Eden, du moins, que ce soit de sa tête jusqu'à ses cuisses, mes mains le caressaient instinctivement, cherchait la chaleur de son corps, l'affection du jeune homme à mon égard. Ça m'était arrivé une fois, il y a quelques jours, j'étais en train de dormir dans le même lit d'une amie, une de me rares amies avec qui je n'avais pas couché, la pauvre avait finit par avoir les seins douloureux à force que je l'ai taquiné pendant notre sommeil. Au moins, je prouvais à ceux que j'aimais que je les aimais d'une manière très physique aussi... C'est plutôt pervers. D'ailleurs, lorsque je me réveillais, je me sentis un peu gênée. Oui, fallait bien se réveiller un jour et bien que je m'étais couché bien après lui, je me réveillais avant. Et le pire dans cette situation, c'était que la position que nous adoptions était vraiment... mémorable. J'étais contre lui, la main d'Edenshaw me caressait les cheveux, c'était quelque chose d'agréable, j'avais ma main sur...*hum* son entre-jambe, ma tête sur son épaule, ça par contre, c'était à la fois étrange, et excitante.

    Bien que cette position était à la fois drôle, excitante et étrange, je n'arrivais pas trop à me concentrer, j'avais mal de tête à cause de ma soirée précédente. Je refermais les yeux, réalisant que j'étais dans les bras d'Edenshaw, et que j'étais merveilleusement bien si on enlevait ce mal de tête horrible. Je savais que s'il se réveillait, il me jeterait dehors, j'avais peur de recevoir des mots qu'il ne fallait pas. Seulement, lorsque me levait un peu, voyant le visage d'Eden, le regardant dormir, je ne put m'empêcher de sourire d'une façon si tendre, touchée par la beauté de mon Eden, par l'effet qu'il me faisait. J'approchais mon visage du sien, jusqu'à ce que mes lèvres rencontrent les siennes, un bien chaste baiser comparé à ce dont j'avais envie de faire avec lui, mais je me retenais, il se réveillerait. Il devait sûrement rêver à sa petite copine Luhànn, une petite pétasse de chez Cabot que je jalousais sans comprendre pourquoi, que j'avais envie d'effacer l'existence juste parce qu'elle avait été la petite amie d'Eden. Je souris, caressait doucement sa joue...
      . You are so ungrateful.. murmurais-je. Why you don't come to look for me? Je soupirais.

    En faite, je savais que je ne devais pas rester ici, il va se réveiller, ou même je l'avais peut-être réveiller un peu par ce que je lui faisais pendant son sommeil. Je ne pouvais résister à l'envie de l'embrasser, je déposais juste déposer un chaste baiser encore une fois sur ses lèvres, je voulais l'embrasser, ça me faisait tellement de bien de l'embrasser.
      . I... Edenshaw ! Cette fois, j'avais parlé de façon clair, assez pour espérer qu'il soit bien réveiller.

    Je glissais doucement ma main sur sa cuisse, caressant sensuellement, cherchant à le taquiner. Et aussi...sur son membre, même à travers son sous-vêtement, je savais qu'il sentirait ma main.
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Une langue. Des lèvres. Ça, c'en était un, de beau réveil ! les yeux toujours fermés, il laissa sa langue se mêler à celle de Chuck sans trop se poser de questions ; celles-ci viendraient après. Néanmoins, au sentir du contact d'une main sur ses parties intimes, il ne put s'empêcher de sursauter, surpris par ce geste innatendu. Il était réveillé, et, bien qu'il était toujours un peu endormi, il ne put s'empêcher de se demander ce que Chuck faisait dans son lit, les mains à lui parcourir le corps. Aurait-ce été n'importe quelle autre fille du campus (hormis Luhànn), il se serait dit qu'il avait trop bu et s'était trouvé une "amie" dans la même situation et cherchant le confort d'un lit chaud partagé à deux. Néanmoins, Chuck n'était pas "n'importe qui". Il se serait rappellé d'une nuit passée avec elle si elle avait eu lieu. Non. Celle-ci avait dû se faufiler dans la maison au beau milieu de la nuit avant de glisser sous ses draps en silence ... Et quelque part, il en était ravi. Son premier instinct fut de la bercer dans ses bras et de la couvrir de baisers avant de lui faire visiter son fameux "Jardin d'Eden", mais il se dit avec regret que les choses ne pourraient pas marcher ainsi : il se rappelait encore du rateau qu'elle lui avait laissé lors du bal de la Saint-Valentin ... Ou encore du soir où elle l'avait abandonné, seul, à cette table de restaurant extravagante, le coeur lourd et le porte-feuille léger.

Il devait s'expliquer avec elle ... Lui dire que malgré tous les efforts qu'il faisait pour elle, elle semblait soit ne pas les remarquer, soit ne pas vouloir les remarquer ; il avait l'impression qu'elle se fichait de lui et de ses sentiments ... Qui plus est, ce n'était pas une fille facile à suivre si l'on était un garçon comme lui : venant de classe moyenne et incapable de lui offrir des cadeaux aussi extravagants que ceux de la Eliot House ... Il devait lui expliquer qu'il essayait, corps et âme, mais que malgré tout, rien ne semblait marcher ... Et que c'était pour cela qu'il était allé voir ailleurs et qu'il avait tenté de l'oublier, ces dernière semaines.

Une dernière question lui passa cependant par l'esprit : que faisait-elle ici, avec lui, dans son lit ? Du moins ... Pourquoi était-elle revenue ? Ne s'était-elle pas mise en couple avec cet affreux Winthrop qu'il n'avait jamais apprécié, et encore moins depuis leur histoire ? Ne s'était-elle pas assez affichée publiquement avec lui afin de l'humilier et de lui faire comprendre qu'elle était très bien sans lui et qu'elle n'avait pas besoin de sa présence ? Si. Mais bon. Ces questions attendraient. Il était certes faible, lui qui prêchait pouvoir lui résister, mais il l'assumait. S'il s'était toujours promis un truc, c'était que la fierté ne dicterait jamais ses actions et ne risqueraient jamais de mettre en jéopardie une potentielle future relation. Car si elle semblait toujours ne rien éprouver pour lui d'autre que de l'amusement et de l'habitude, et ce, après trois années, Eden espérait toujours intérieurement que les choses changeraient un jour. Les mots suivants erraient dans son esprit, à la fois vagues et pourtant étrangement vifs :

- You are so ungrateful ... Why did'nt you come to look for me ? ... I ... EDENSHAW !

S'il n'était pas bien réveillé avant, ce dernier mot l'avait bel et bien fait tressaillir. Personne ne l'appelait Edenshaw, du moins, personne qui le connaissait relativement assez pour le considérer comme un ami. Tous les autres l'appellaient Eden, Chuck y compris. Mais elle avait pris cette facheuse manie de prononcer son prénom en entier lorsqu'elle était fâchée. L'attrapant entre ses bras, son dos à elle contre son torse à lui, il lui embrassa le cou vers le côté, juste en dessous du crâne, ses deux bras la protégeant telle une cage des dangers du reste du monde. Puis, il déclara d'une voix douce, presque enivrante :

- Now, now, sweetheart ... What's all this fuss about ? There's no need to get angry ! And ... Good morning to you too.

Il sourit alors : il serait hypocrite s'il n'avouer pas aimer les femmes en colère. Ça le faisait toujours rire pour une raison qu'il ignorait. Sans doute étais-ce parce qu'elles s'énervaient pour un rien ... Il resta ainsi quelques secondes, son torse collé à son dos, son nez perdu dans ses cheveux, occupé à humer leur odeur délicieuse, ses yeux fermés.


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    Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais eu ce besoin inexpliqué de rester, de trouver une solution pour rester ici. J'essayais de comprendre ce qu'il m'avait poussé à crier son prénom, à dire haut et fort, sous une pulsion colérique, comme ci je lui en voulais. Je ne savais pas pourquoi, je le jurais devant Dieu (même si je n'y croyais pas), je ne comprenais pas ce qu'il me poussait à m'énerver contre lui, à chercher à ce qu'il se réveille au lieu de partir discrètement, sans qu'il n'ai jamais remarqué que j'ai passé la nuit avec lui, que j'ai profité de sa chaleur. Je l'avais même embrasser pour tout dire, je ne savais vraiment pas ce que je faisais, et je ne comprends pas pourquoi je ressentais tous ces besoins : dormir dans ses bras, l'embrasser aussi langoureusement que je pouvais, faire en sorte de rester avec lui. Je me sentais vraiment perturbée, à tel point que je cachais ce sentiment par de la colère, je m'énervais alors qu'il n'avait rien fait de mal. Enfin si, je lui reprochais de ne pas comprendre ce qu'il m'arrivait, de ne pas me regarder. J'avais l'impression que ces yeux me regardaient, mais pas le … cœur ? Rien qu'à cette idée, je sentis mon cœur se serrer, de la même intensité que je criais son prénom, pour vraiment le réveiller, pour vraiment lui montrer que j'étais là ?

    J'avais tant espérer qu'il ressentes ma présence, qu'il me regardes sans que j'ai besoin de dire un mot. Je lui reprochais de ne pas être aussi torturer que moi intérieurement, de ne pas montrer signe envers moi; je le punissais en conséquence, je ne venais pas à une fête qui ne m'était pas destiné, et je le quittais si vraiment j'avais du le suivre par faiblesse. J'avais besoin de me protéger de lui, j'avais peur de lui, de ce qu'il me faisait, qu'il m'obligeait involontairement à revenir vers lui. Seulement, la réaction d'Edenshaw n'était pas celle attendue, je ne m'attendais pas à ce qu'il me prennes dans ces bras de cette façon, je sentis que mon cœur allait s'arrêter lorsque je sentis ses lèvres sur ma peau, je crispais alors mes mains sur les draps du lit, fermant les yeux. C'était vraiment difficile de résister à ça, je tentais tant bien que de mal de montrer que ce n'était rien, que pour lui, j'avais l'habitude de ses lèvres sur ma peau, de ses lèvres sur mon corps entier.
      . Now, now, sweetheart ... What's all this fuss about ? There's no need to get angry ! And ... Good morning to you too.

    J'essayais de me taire, sinon j'allais explosé, me retourner pour l'embrasser. Oui, j'avais envie de me retourner, de me blottir dans ses bras, de lui dire que j'étais malade, que je n'étais pas dans un état normal, qu'il me rendait comme ça. Mais je ne voulais pas le dire, je voulais pas en parler, car je ne savais pas ce que c'était, je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait, j'étais...perdue. Il me troublait, et je ne savais pas pourquoi, et je cachais cela par l'énervement, j'étais indéniablement frustrée de ne pas comprendre ce qu'il m'arrivait. Je glissais mes doigts vers l'une de ses mains pour y mêler mes doigts, pour ensuite me retourner, et faire face à Edenshaw. Je lui faisais même un peu trop face, nos souffles se mélangeaient, me troublaient encore plus. La seule chose qui me venait en tête à ce moment là était de déposer mes lèvres sur les siennes, et de glisser ma main sur son torse pour tenter de lui faire l'amour. Je rougis honteusement, avant de perdre un niveau, de glisser ma tête sur son torse, de glisser ma cuisse entre les siennes, me blottir dans ses bras me faisait le plus grand bien et de calmer mes ardeurs, d'éviter que des mots horribles sortent de ma bouche, alors que ces mots, je n'y pensais pas, je ne les croyais pas même si j'essayais de me mentir à moi-même. Je ramenais alors la couette sur nous, me recouvrant presque entièrement.
      . Right now, I just want to stay like we are. Don't move please, don't say anything, just you and me, here, just us, staying quiet.

    Je fermais alors les yeux, et m'enfermait dans ses bras, profitant de la chaleur de son corps, profitant de cette étreinte. Je me demandais à quoi il pensait présentement, qu'est ce que ça lui faisait que je sois ainsi contre lui, à me blottir dans ses bras. Je me maudissais car j'avais l'impression d'avoir faiblis. Je voulais changer la situation, du moins, je ne voulais rien ramener à ce dont j'étais perturbée, je ne voulais pas qu'il remarque quoi que ce soit. Je me serrais encore plus, cherchant à ce qu'il me soutienne entièrement. Je glissais alors ma main sur sa hanche, et caressait le long de sa sculpture. Douce étreinte, doux échange, j'aimais ça, c'était pire que troublant. Je fermais alors les yeux, appréciant au maximum notre étreinte.
      . Doesn't that bother you if I am staying here?
    dis-je dans un souffle, histoire de faire un peu la conversation quoi.
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Elle était tendue. Il pouvait le sentir. Au moment ou ses mains s'étaient posées sur son corps, elle semblait s'être crispée. Inquiet, il était préoccupé par ce qui la tracassait. C'était ça, les émotions : lorsque l'on appréciait énormément quelqu'un au point de ne plus pouvoir s'en séparer, on avait tendance à vouloir qu'ils aillent toujours bien. Oui, Edenshaw appréciait énormément Chuck, mais, non, il ne l'aimait pas. Pourquoi donc ? Parce qu'il était trop têtu pour l'avouer : la seule chose qui le retenait d'être son esclave, de lui appartenir entièrement, c'était de ne jamais avouer, ni à lui, ni à personne d'autre, ce qu'il savait intérieurement. Néanmoins, il ne comprenait pas la colère de son amie et ... ça l'effrayait. Mais il savait l'apaiser. Ça, il en était sur et certain. Néanmoins, il en perdait la situation présente, se retrouvant à présent nez à nez avec Chuck, sentant son souffle sur ses joues, leurs coeurs battant à la même allure. C'est alors qu'elle s'allongea sur lui, son oreille contre son coeur, sa cuisse entre les siennes, comme aux bons vieux temps. Il rougit, ressentant de la rigidité à son entre-jambe au moment où la cuisse de Chuck l'avait frolée. La serrant fort contre lui, il soupira ; souhaitant qu'elle ne parte jamais, il l'embrassa à nouveau sur le haut du crâne, fermant les yeux. Qu'ils étaient bien là où ils étaient ! Qu'ils étaient bien comme ça ! Leurs doigts étaient entre-mêlés, formant ensemble une harmonieuse poigne. De son autre main, il lui caressait les cheveux tandis qu'elle relevait la couette au dessus d'eux. Ils étaient dans l'obscurité, le souffle de leur respiration régnant dans cet empire de silence avant qu'elle n'ouvre la bouche :

- Right now, I just want to stay as we are. Don't move please, don't say anything. Let's just be you and me, here, just us, staying quiet.

C'était parfait. Pour une fois, ils étaient sur la même longueur d'onde. Hochant de la tête, il resta muet, comme elle le lui avait demandé ; la berçant dans ses bras, il ne pouvait s'empêcher de se sentir protecteur envers elle ... Comme si elle était sa responsabilité, et sienne uniquement. Quoi qu'il advienne, où qu'il était, il espérait qu'elle savait qu'elle pouvait compter sur lui. Il pourrait être en plein milieu d'un acte sexuel avec une potentielle petite-amie qu'il n'hésiterait pas à décrocher son téléphone et à se précipiter à sa rescousse. Qu'elle ait des problèmes financiers, émotionels ou scolaires, il serait toujours là. En effet, Edenshaw croyait à la dévotion, notamment envers ceux pour qui il ressentait de l'affection. Il croyait à aider ceux de qui il souhaiterait de l'aide, car comment espérer recevoir ce que l'on offrait jamais ? Elle lui caressa alors le dos, ce à quoi il frissona. Entre eux, ça avait toujours été tendre ... Légèrement romantique. C'était non seulement dû à sa personnalité plutôt calme et délicate, mais surtout à la sincérité des sentiments qu'il éprouvait pour elle. Avec n'importe quelle autre femme, il pouvait faire l'amour savagement et passionnément. Avec Chuck, cependant, il ne pouvait qu'être délicat, comme si elle était une fleure délicate fragile comme du verre.

Un jour, il lui offrirait des diamants. Un jour, il l'appellerait "mon amour". Mais pour l'instant, il ne pouvait utiliser que des surnoms enfantins tels que "Doll", "Candy" et "Sweetheart", étant donné qu'il n'avait pas les moyens pour prouver qu'il était sérieux et qu'il aimait se voir comme étant un homme de sa parole.

- Does it bother you that I am staying here ?

Elle avait posé la question fatale. Ne sachant que répondre, il resta là, à pondérer sa réponse, Chuck confortablement allongée sur son torse, visiblement aux anges d'après ce qu'il pouvait voir de son visage. Chuchotant presque de sa voix délicate, il répondit finalement :

- Absolutely not. You know that you are always welcome here whenever you're feeling blue or if you just want to see me ... Besides, I still don't have a roommate so we should just enjoy "this", whatever it may be, for the time being ... Don't you think ?

Traduction:

Ils étaient bien, là, à regarder les rayons du soleil filtrer à travers les fenêtres et à entendre le lointain chant des oiseaux, comme une distante mélodie ; un leitmotiv en sourdine. Le silence le berçait, ses yeux se refermant lentement tandis que ses pensées s'égarèrent ... Puis, il se rendit compte de quelque chose.

- But, Chuck ... I'm just curious : don't you have a boyfriend ?

Traduction:

Il espérait que cette question n'allait pas tout gâcher, qu'elle n'allait pas s'enfuir en colère comme il l'en savait capable. Néanmoins, il devait connaître la réponse. Ça le rongeait de l'intérieur depuis plusieurs jours et semaines, à présent. Qu'elle lui dise oui, qu'elle lui dise non, il souhaitait juste savoir une fois dans sa vie où ils en étaient, tous deux. Il pourrait vivre avec une réponse telle que "Oui, j'ai un petit ami, mais je préfère être ici avec toi". Et une autre question lui vint finalement à l'esprit. D'un air interrogateur, il lui demanda :

- And ... What are we, exactly ?

Traduction:
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    Je m'étais installée dans ses bras, j'avais besoin de ce contact charnel, j'avais besoin de lui. Je ne cherchais plus à comprendre pourquoi, ni à me prendre la tête, on le sait ou ou le sait pas. Et puis, c'était si agréable de sentir cette échange, je n'arrivais pas à m'en défaire, et même pire, n'avouant pas que j'adorais être dans ses bras, n'avouant pas qu'il me calmait, j'avais pris l'initiative de me serrer encore plus contre lui, de me mettre comme toujours contre lui, ma cuisse entre les siennes bien que je sentais son membre, je me calmais intérieurement pour ne pas céder à mes envies, ma tête dans sur son torse, reposée. En plus de ça, il me caressait les cheveux, m'apaisait, c'était si agréable, je m'endormais presque. J'essayais de lui faire comprendre que je ne voulais pas qu'il ne dise mot, qu'il ne dise rien pour la simple raison que j'avais peur qu'il touche un point sensible, que je doives me protéger par la méchanceté pour ne pas qu'il sentes ma profonde détresse à son égard. Lui demandant si je dérangeais pas, je me trouvais un peu idiote sur le coup, moi qui lui avait dit avant de se taire, et pour répondre, il fallait bien qu'il parles. J'étais vraiment idiote, mais c'était de sa faute, j'étais toute bizarre avec lui, c'était pas comparable avec tous les mecs que j'avais connu jusque là. Personne ne me rendait aussi fébrile, aussi faible, aussi...bien sans avoir recours à des moyens sexuels.
      . Absolutely not. You know that you are always welcome here whenever you're feeling blue or if you just want to see me ... Besides, I still don't have a roommate so we should just enjoy "this", whatever it may be, for the time being ... Don't you think ?

    Je souris, me cachant encore plus dans ses bras. C'était vraiment touchant ce qu'il me disait. Voir même un peu trop, j'en rougirais presque trop. Je ne voulais pas qu'il voit ça, qu'il me voit troubler par de simples propos, des paroles qui me touchaient, me révoltaient intérieurement, m'engueulaient de ne pas répondre à cette douce romance, je n'arrivais presque plus à cacher ce trouble, il le faisait vraiment exprès. Je le savais depuis toujours que j'étais la bienvenue, je le savais malgré ce que je lui faisais subir, j'en avais bien conscience de ce que je faisais, je savais que je lui avais fais du mal le soir où je l'ai laissé en plan dans ce restaurant alors qu'il n'était pas très riche comparé à moi, qu'il était à Harvard pour son intelligence, et non pas grâce à l'argent de sa famille. Il me touchait à tel point que je m'engouffrais encore plus dans ses bras, que je cherchais à cacher mon visage en plaquant ma tête sur son corps, essayant de me contrôler. J'espérais que je ne devais pas répondre, je n'aurais pas le courage de parler, il sentirait ce trouble en moi, je ne pouvais me résoudre à lui montrer tant que je ne savais pas ce que c'était, enfin si, je me doutais que ce soit positif, mais sur quels points? Je ne savais pas, je n'avais jamais connu ce sentiment là auparavant. J'essayais qu'il en reste là...
      . But, Chuck ... I'm just curious : don't you have a boyfriend ?

    Une question qui me cloua directement, je vins à glisser ma main sur le draps pour serrer aussi fort que je pouvais, mutiler le tissus pour éviter de sombrer, pour éviter de m'énerver pour protéger ce que je ressentais. Je me torturais tellement que je sentais mes yeux s'embuer, je pleurais. Oui, tout restait en moi, j'allais exploser si je ne partais pas. Pourtant, c'était une question si banale, une question que j'attendais au fond, il se préoccupait juste de savoir si j'avais quelqu'un dans ma vie, il se demandait pourquoi je venais vers lui alors que normalement, je devais me tourner vers le Winthrop que j'avais désigné m'appartenir entièrement. J'essayais de me contenir de toutes mes forces dans ses bras, j'essayais de ne pas craquer.
      . And ... What are we, exactly ?

    Trop d'attention, trop de romantisme. Une question, qui contrairement à la première, je n'en avais aucune idée étant donné que je ne savais pas où j'en étais avec lui. Je cherchais seulement à le rendre jaloux, mais à la fois à le repousser, comme lorsqu'on dansait un tango, une passion sans limite, mais tout en se montrant si inaccessible, lui et moi pratiquions cette danse depuis tant d'années, nous ne passions jamais cette frontière, nous n'allions jamais chercher à comprendre cette passion. Du moins, je voulais la comprendre avant lui. C'était ça qui me faisait peur, la comprendre, car intérieurement, l'oiseau, que j'étais, m'interdisait de comprendre pour me protéger de cette dure vérité. Mais, je devais réagir à ce qu'il me disait, mais malheureusement, je réagissais sûrement pas comme il le souhaitait,car je le repoussais : ma main vint à se poser sur son torse, et je me libérais de lui, même si maintenant, il pouvait voir mon visage perler de larmes. Je voulais partir, quitter cet endroit, ne pas souffrir d'aimer sa présence. Je m'étais échappée que trop vite, à tel point que je venais à chuter du lit, embarquant avec moi une bouteille de bière que j'écrasais avec ma main accidentellement, me blessant bien évidemment. Une entaille peu profonde s'était dessinée sur ma main, mais je n'y faisais pas attention, pour la raison que je cherchais à fuir. Troublée, en plus de ça, malade à cause de la nuit que j'avais passée, endormie à cause de l'alcool et le peu de drogue que j'avais consommé. Je me pris alors le meuble dans le genou, gémissant alors de douleurs, en me tenant le genou, remarquant enfin que je m'étais blessé sur la paume et que le sang s'était posé sur mon genou. Mais ça ne m'empêchait pas de chercher une sortie que je n'arrivais pas à franchir, une partie de moi-même m'interdisait de partir, donc, je restais dans la chambre d'Eden. Ne sachant où aller, je vins à me mettre dans la position du fœtus dans un coin de sa chambre...
      . I..I said...I said « Don't say anything »... Did you unterstand what I mind ? Don't remember my life, our life. dis-je en pleurant.

    Traduction:
    Je n'arrivais plus à empêcher mes larmes de couler, j'étais à la fois touchée par les paroles d'Edenshaw, mais à la fois, je voulais m'en protéger, et pour cela, je le fuyais...encore. Je cherchais toujours à comprendre ce qu'il m'arrivait. Jamais je ne comprenais...
      . I'm lost, Edenshaw. I'm lost, and... I would like you to be...just...I would like you to be « normal » with me.

    Traduction:
    J'étais toujours dans mon coin, pleurant à chaudes larmes. Je n'arrivais pas à me contenir, j'étais beaucoup trop sensible. A l'instant, je voulais qu'il ne me répondes jamais, qu'il me prennes juste dans ses bras, me ramène dans son lit, pour qu'on restes comme je le voulais : au calme, moi dans ses bras, lui me réconfortant, nous deux aussi bien que nous le pouvions.
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Ils étaient bien. Ils étaient confortablement installés, lui en dessous, Chuck allongée sur son torse, leurs respirations en harmonie parfaite, synchronisées à la micro-seconde près. Néanmoins, comme d'habitude, il avait tout gâché ... Malgré son intellect, il était constitué d'une telle manière qu'il ne pouvait pas s'empêcher de parler lorsqu'une question lui avait été posée, malgré le fait qu'uniquement quelques secondes auparavant, il avait promis de rester silencieux. En même temps, ce n'était pas uniquement de sa faute : Chuck était celle qui avait tenté d'entamer une conversation ; elle était celle qui s'était engagée à prendre des risques en l'interrogeant de la sorte. Malgré tout, il ne s'attendait pas à la réaction qu'elle eut alors. Il avait en effet cru qu'elle lui aurait répondu "Peut être bien, qui sait ?" à la première question et "Je ne sais pas, sans doute rien d'important" à la deuxième. Mais lorsqu'elle se dégagea de ses bras, ces bras protecteurs qui l'entouraient, il ne put être que surpris. Si surpris, d'ailleurs, qu'il recula en sursaut. Et elle en profita pour s'enfuir.

Une bouteille renversée, une Chuck étalée sur le sol, la main entaillée. Puis, elle se releva, se cogna dans sa table de chevet avant de se tourner vers la porte. Son sang ne fit qu'un tour, son coeur battant la chamade. L'adrénaline lui monta au corps tant la scène était intense à ses yeux. Il était terrifié. Terrifié qu'elle parte et qu'elle le laisse seul après cet éveil rempli d'espoirs et de promesses silencieuses ... Il avait peur qu'elle ne revienne plus. Il avait tout gâché. Néanmoins, elle fit alors quelque chose qu'il n'avait pas anticipé : Chuck s'accroupit alors dans un coin de la salle, la tête bien protégée entre ses deux bras, comme une victime de traumatisme.

Il ne savait pas comment ils étaient passés de ce tendre calin à cette scène affreuse. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il fallait y rémédier. Accroupie dans un coin de sa chambre se tenait une jeune fille désorientée ... Une jeune fille qui comptait beaucoup pour lui, dont le coeur étaient lourd et les yeux remplis de larmes. Souffrant du malaise de celle-ci, il se remit instantanément de sa stupeur lorsqu'elle s'était libérée de son étreinte quelques secondes auparavant, se levant doucement hors de ses draps et marchant vers Chuck. Elle souffrait. De quoi ? Il l'ignorait. Mais elle souffrait, et ça lui faisait mal. Son coeur était transpercé, tout comme la main de Chuck. En parlant de celle-ci, malgré le fait que la blessure n'était pas profonde, il devait faire quelque chose à son propos ... Étant donné qu'il avait une profonde aversion pour le sang. Contournant le lit ayant décidé de ne pas suivre le parcours de la jeune femme dû aux débris de verre et le fond de bierre à présent étalés sur son tapis, il marcha prudemment vers elle, rammassant au passage une bande blanche enroulée sur sa table de chevet.

Il avait eu de la chance : malgré le bazzar omniprésent dans sa chambre, les piles de vêtements empilées au coin du lit, les feuilles volantes et désordonnées sur le bureau et les livres empilés à la hâte sur les étagères, il avait quand même réussi à trouver son rouleau de bande adhésive en cas de blessures ... Pourquoi avait-il été posé sur sa table de chevet ? Il aurait aimé croire au destin. En vérité, c'était parce que environ trois jours auparavant, il s'était effleuré le mollet contre une grille en métal, sur le chemin du retour vers la maison des Dunsters.

S'approchant alors de Chuck, le regard attendri, il ne souriait plus. Les choses n'étaient plus légères, ils n'étaient plus bien, là où ils étaient. Sifflant doucement entre ses dents afin de la calmer, de la garder posée et relaxée, il s'accroupit à son côté, prenant sa main entre ses doigts avant d'enrouler la bande blanche autour de celle-ci. Certes, il ne la désinfectait pas mais ceci pouvait toujours être fait après ... Qui plus est, elle s'était coupée sur une bouteille contenant de l'alcool ... Il y avait donc moins de risques à ce qu'elle ait une infection. Elle pleurait encore, les larmes lui coulant le long de ses joues, balbutiant entre deux sanglots qu'elle aurait préféré qu'il se taise, qu'il ne dise rien ... Qu'il ne lui rappelle pas leur histoire. Culpabilisant, il se tut, se contentant de masser avec délicatesse la paume de sa main, à présent recouverte par un bandage.

Il lâcha alors doucement sa main, la reposant presque sur ses jambes avant de masser doucement son genou qui avait du souffrir de l'impact ... L'observant attentivement, il ne put s'empêcher d'être ému par sa détresse et par son insécurité ... Il avait mal pour elle. Ses émotions à lui ne voulaient plus rien dire à present car elles ne faisaient que miroiter celles de Chuck. La libérant de la cage que ses bras formaient autour de son crâne, leurs yeux se rencontrèrent alors furtivement et il le ressentit ... Ressentit quoi ? Il ne pouvait le décrire ; il savait simplement que ça lui avait donné des frissons. Et, instinctivement, sans comprendre pourquoi, il fit ce qu'il aurait du faire depuis le début. Edenshaw lui caressa la joue gauche, balayant quelques cheveux rebelles d'un geste de main avant de les ranger derrière son oreille. Puis, avec concentration, il essuya les larmes de Chuck avec ses doigts, comme si elles étaient de perles dangereuses qui pourraient le couper (ou plutôt, la couper) s'il y allait trop brusquement.

Une fois ses larmes sêchées, Edenshaw contempla la fille qui se tenait en face de lui. Elle semblait fragile ... Sans protections ni défenses. Levant lentement le menton de Chuck afin de pouvoir plonger son regard dans le sien, il afficha un regard strict qui lui ordonnait silencieusement de se taire et de rester immobile. Puis, s'avançant lentement vers elle, il déposa sur ses lèvres un doux baiser avant que celui-ci ne devienne quelque peu plus langoureux. Une main dans ses cheveux, l'autre derrière son dos. Il continuait avec autant de chaleur qu'il le pouvait, cherchant à mettre Chuck à son aise et à lui montrer l'intérieur de son coeur d'une manière qu'il savait qu'elle comprendrait. Se détachant alors rapidement d'elle, il lui chuchota dans l'oreille avant de continuer :

- But don't you see it, Doll ? With me, you'll never be lost, because I will always be here to guide you ... Together ... Ah god, I can't begin to imagine all the wonderful things we can do together.

Traduction:

Il l'embrassait toujours. Il la désirait. Puis, ralentissant avec hésitation dans son élan, il se résolut finalement à ajouter :

- You were always the only one for me, Doll. No matter how hard I tried, there couldn't be anybody else ... I think that ... I believe ... I'm nothing without you.

Traduction:

Ayant ouvert son coeur à celle-ci, il se retrouvait à nu (émotionnellement) devant elle. Maintenant venait le moment difficile : celui de la réponse de celle-ci. Allait-elle se moquer de lui ? Allait-elle le rejeter ? Allait-elle se calmer et lui ouvrir son coeur, elle aussi ? Il l'ignorait : il la savait imprévisible et capable de changer du tout au tout. Mais ça lui importait peu. Il s'était libéré de cette tension accumulée depuis trois années maintenant. Il lui avait enfin dit ce qu'il avaait toujours sû et tenté de lui faire comprendre.
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    J'étais mal, je souffrais dans mon coin, je souffrais de ressentir quelque chose et de ne pas comprendre ce qu'il m'arrivait, pourquoi il était si différent des autres hommes. J'avais peur de ce que je ressentais pour lui, car je savais seulement que je tenais à lui, et que toujours, je voulais revenir dans ses bras. C'est pour cela que j'avais fuis, que malgré le parcours que je venais de faire pour lui échapper, je ne me rendais pas compte à quel point j'étais malheureuse loin de lui, cinq bon mètres qui me rendaient encore plus triste. Chaque mot qui me touchait, me rendait encore plus méchante avec lui, encore plus cruelle à son égard. Je m'étais enfermée dans ce petit cocon, dans cette position de fœtus, je cherchais à m'isoler encore plus de lui, tout en restant proche. Quelque chose aussi d'assez contradictoire, car si je voulais m'isoler, je n'avais qu'à sortir de cette chambre, je serais loin de lui et de son romantisme qui savait me toucher, m'imprégner sans que je puisse me défendre. Jamais je n'arrivais à faire feu longtemps contre Eden, je lui étais beaucoup trop soumise au fond.

    Je ne l'entendais pas arrivé, je ne l'entendais même pas bouger jusqu'à moi, j'étais trop en pleurs, j'étais trop enfermée dans mon monde à essayer d'échapper à mes sentiments, à ce que je ressentais, à ce que je réagissais vis à vis de lui. Je le sentis arrivé lorsqu'il se mit à siffler, c'était assez fort pour que je comprennes qu'il ne soit pas loin de moi. Je le sentais proche de moi, je le sentais s'approcher, et je n'osais bouger. Non, je ne voulais pas bouger, j'avais peur qu'il me regarde défigurer par les pleures, défigurer par la fatigue, je me sentais pathétique. Je ne demandais que ça, qu'il me dise des mots touchants, qui me rendent heureuses mais lorsqu'ils sortaient je finissais par prendre peur, je finissais par fuir ce que j'aimais le plus au monde. Je restais stoïque à son arrivée, le laissant prendre ma main, il pouvait l'ouvrir encore plus, amplifier ma douleur physique mais elle n'égalera pas celle que je ressentais à l'intérieure de moi. Il prenait soin de moi, il me bandait la main qui saignait, arrêtant cette petit hémorragie, il y en avait une qui n'arrivait pas à s'arrêter, mon cœur saignait, j'avais mal à la poitrine, je ressentais cette douleur que je n'arrivais pas à calmer.

    Il déposait alors sa main sur mon genou, me procurant un frisson inhumain, mais aussi un apaisement morale, mes larmes coulaient moins, mon cœur commençait à calmer sa course effrénée. Il m'obligeait alors à ne plus me recroqueviller, à le regarder, et nos yeux se rencontrèrent et je ne pus réprimander mon envie de l'embrasser dès l'instant que nos regards se croisèrent. Il vint à déposer sa main sur ma joue, je fermais les yeux à cette sensation si agréable, si douce, et continuait de m'apaiser encore plus. J'avais presque souris, j'avais presque montrer ce que je ressentais, mais il ne resta que l'espace de quelques secondes. Je me laissais faire, après tout, je lui étais entièrement soumise. Je rouvris les yeux après qu'il ai séché mes larmes, le regardant … d'une façon à la fois tendre et désolé, j'étais désolé de m'être énervée comme ça, mais je ne lui dirais pas, j'avais trop peur pour ça. Il s'approchait de moi, encore plus, il s'approchait de moi, je sentais son souffle sur mes lèvres mais je ne le refusais pas, je laissais Eden toucher mes lèvres, m'embrasser même langoureusement, je me laissais faire, mais je n'y répondais pas, sinon il comprendrait que je tiens à lui, car déjà je sentais mon cœur se serrer, se comprimer sous l'intensité de cette échange. Je prenais de ma main blessée, la sienne, j'allais pour me rapprocher et céder à la tentation lorsqu'il vint à céder à ma place.
      . But don't you see it, Doll ? With me, you'll never be lost, because I will always be here to guide you ... Together ... Ah god, I can't begin to imagine all the wonderful things we can do together.

    Touchant, ses paroles me touchaient encore mais moi qui venait de céder, moi qui venait d'accepter seulement le fait de l'apprécier bien plus que je ne voulais le croire, je me laissais embrasser encore une fois, en n'y répondant jamais. Je ne voulais pas lui donner de faux espoirs, je ne voulais pas le blesser, ni lui faire du mal car c'étaient les choses que j'arrivais à faire de mieux avec lui, faire du mal à Eden, lui dire ce que je ne croyais pas, ce que je ne pensais pas.
      . You were always the only one for me, Doll. No matter how hard I tried, there couldn't be anybody else ... I think that ... I believe ... I'm nothing without you.

    Je serais capable de lui céder, de me laisser toucher par les mots qu'il venait d'avoir. C'était des mots qui venaient de me toucher en plein cœur, j'étais complètement chamboulée par les propos qu'il avait. Le pire dans tout ça, c'était que j'avais son souffle sur mes lèvres, ce souffle humide et si chaud qui frappait ma peau. J'avais envie de céder à ses lèvres, à leur humidité, à leur goût si unique et à cette sensation qui me faisait tellement de bien. Mes yeux fixèrent les siens, m'hypnotisant involontairement, et je cédais. Je pris appuie de ma main qui n'était pas blesser, pour m'approcher de lui encore plus, et venir littéralement me coller contre lui, déposer mes lèvres contre les siennes pour l'embrasser langoureusement. Je glissais ma main sur ton torse, et ainsi que mon corps qui vint à se coller au sien, l'embrassant dans une fougue que je ne maitrisais pas du tout. Je ne me rendais pas compte de ce que je faisais, j'étais sur lui, l'embrassant aussi langoureusement que je pouvais, autant qu'il m'avait touché. Mais la dure réalité me rattrapait, et ma conscience m'interdisait de continuer, même si j'aimais être contre lui, même si j'aimais sentir sa langue joué avec la mienne. Je me poussais soudainement, me retrouvant assise en face de lui, tombant sur les fesses.
      . No...I'm sorry... Euh...I'm sorry. I can't... Ezra will be furious if he know what we do. I can't... I'm …

    Traduction:
    Je le regardais, dans les yeux. Je m'en foutais vraiment d'Ezra, je ne me préoccupais vraiment pas du tout de ce qu'il pensait de moi, on ne s'aimait pas, on était juste amis même si Eden n'était pas sensé le savoir. Mon regard était toujours posé sur Eden, j'avais envie de revenir dans ses bras, j'avais envie de rester, mais aussi faire en sorte qu'il croit encore que je suis avec Ezra, je ne voulais pas casser tout avant d'être sure de ce qu'il se passait, d'être sure de ma raison qui me poussait à vouloir la jalousie d'Edenshaw. Je me rapprochais d'Eden encore une fois, à quatre pattes devant lui, mon visage si proche du sien.
      . Promise me... You will never said at Ezra what we will doing...never...I need just you, just your lips on mine. No more, just kiss...

    Traduction:
    Je l'embrassais encore une fois, je n'en pouvais plus j'avais besoin de ses lèvres, justement j'avais besoin de lui, car je tenais à lui, mais à quel point et pourquoi, je n'en savais rien. J'entourais seulement son cou avec mes bras, et lui donnait le baiser le plus langoureux que je pouvais. Mon coeur se mettait à battre à la chamade, je le serrais aussi fort que possible dans mes bras. Je voulais juste qu'il m'embrasse. Alors entre deux baisers, je lui demandais.
      . Get me in your arms. Can you get warm ?

    Traduction:
    Je voulais qu'il me réchauffe, qu'il me prennes dans ses bras, qu'il me réchauffes dans le lit. Je voulais qu'il soit rien qu'à moi, je voulais être à lui, rien que pour aujourd'hui, dans le plus total des secrets, car après tout, personne ne m'avait vu entrer, personne ne m'avait vu venir dans sa chambre. Je pouvais profiter un peu de lui.
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Au moment où il les avait prononcé, ces mots, il les avait regrettés. Ceux-ci avaient gâché leur matinée, couvrant leur ciel bleu de bonheur et d'insouciance en ciel couvert de nuages grisés propices à la pluie. Néanmoins, Chuck avait sû lui oter toutes ses craintes ... Pendant une minute, uniquement. En effet, elle s'était assise sur lui et lui avait rendu ses baisers, baisers auxquels elle s'était retenue de répondre au départ. Sa température montait tandis qu'ils continuaient à s'embrasser ; ses mains glissèrent le long du dos de Chuck jusqu'à trouver refuge confortable sur ses fesses. C'est à ce moment là qu'elle se dégagea à nouveau, se retrouvant à présent assise contre le sol, occupée à le regarder d'un air désolé, les paroles sortant de sa bouche produisant un écho contre la paroi de ses oreilles ... Elle l'avait repoussé. Elle avait osé le repousser. Incompréhensif, il l'observait le temps qu'elle balbutiât quelques excuses à propos d'Ezra et du fait qu'elle ne "pouvait pas" le faire ... Il était vrai qu'au moment où elle s'était détaché de lui, l'idée d'engager un rapport sexuel avec elle lui avait effleuré l'esprit. Néanmoins, toute tentative de romantisme était à présent inutile.

Ezra. C'était donc vrai.

Il se mordit la lèvre. Il était con. Vraiment con. Incroyablement con. Probablement l'homme le plus con de la planète, même ! Il s'était ridiculisé à balancer sa déclaration à trois francs si sous, il s'était mis dans l'embarras pour ensuite voir ses croyances confirmées ; croyances jusqu'à présent réprimées jusqu'aux fin-fonds de ses pensées. Cette fille était décidemment un véritable poison. Elle savait se servir de lui, elle savait le manipuler. Faire en sorte qu'il ne puisse jamais l'oublier tout en ne s'offrant jamais à lui ... Il était devenu dépendant d'une drogue qu'il ne pouvait avoir qu'en quantité insuffisante et cette drogue se prénommait Chuck.

Et en plus, elle lui était toxique. Elle savait quel coup faire pour blesser, quel coup faire pour tuer, et telle une criminelle sadique, préférait le tuer à petits feux. Elle avait commencé par son coeur, le vidant du sang qui le faisait battre en le rejettant régulièrement. Ses jeux psychologiques allaient eux finir par avoir des repercussions sur son esprit. Son ego et ses espoirs prenaient un véritable coup lorsqu'elle s'affichait avec son petit-ami et celui-ci lui donnait un véritable pincement au coeur dès qu'il le voyait : elle l'avait trahï ; du moins, c'était comme cela qu'il voyait les choses.

Elle lui demandait de ne rien répéter à personne. Elle lui demandait de garder leur aventure secrète. Pris par surprise par son baiser, il se laissa faire, ses paupières tombantes dû au plaisir procuré par ce simple acte. Mais dignité et colère refirent surface dans son cocktail d'émotions, prenant contrôle total de son corps et l'empêchant de faire une chose qu'il regretterait sans nul doute par la suite. Tandis qu'elle lui demandait de l'enlacer, ses bras autour de son cou telle une adolescente hormonale en train de danser une valse avec l'homme de ses rêves, il lui ôta les mains de son cou, ne souhaitant pas avoir le moindre contact physique avec elle. Elle le répugnait. Elle l'avait horrifié.

Il lui avait offert son coeur, elle l'avait maché avant de le recracher sur l'assiette. Il le lui avait ouvert et elle l'avait dépecé pour lui rendre l'enveloppe. Repoussant presque violemment Chuck, Edenshaw se leva alors rapidement et recula autant qu'il le put jusqu'à ce que son dos soit contre le mur, son pied gauche dangereusement près des débris causés par la chute de la bouteille, quelques minutes auparavant. Prenant un air grave et adoptant une voix sérieuse et imposante, il déclara :

- No.

Il avait osé lui refuser quelque chose.

Jamais encore n'était-il parvenu à le faire, ayant toujours cédé à ses grimaces ou à ses plaintes. Néanmoins, aujourd'hui était un autre jour : aujourd'hui était le jour où il avait vécu une grosse déception amoureuse. Voyant la mine interloquée de Chuck, il ajouta finalement :

- I know you, Chuck, and I know how faithful you can be to your "boyfriends". However, I will not assist you in your perverse adultery and I certainly will not accept to being second fiddle to anyone, especially not in a race for your heart and even less so when Ezra is involved. You could have had me every single day for the last three years but something better kept catching your eye. Well guess what ? I'm through with this, I'm through with it and I'm over you. I can't live like this anymore, Chuck. You're going to end up killing me, one of these days !

Traduction:

Cela devait être la deuxième fois qu'il l'appellait Chuck de sa vie entière, et pour cause. Les surnoms ne servaient plus à rien, à présent. Ils ne pouvaient que lui faire faire demi-tour. Cherchant à agrandir la plaie dans l'espoir de la faire réfléchir, il continua sur sa lancée :

- You and me ? I always thought that we had something special, that that was the reason I couldn't forget you and that you felt the same things for me that I felt for you. Huh. I guess I was wrong. But guess what ? I respect myself enough to not debase myself into lowly adultery. I respect the people I date to not have them endure the sufferings of being cheated on. When I was with Luhànn, do you think for one moment that I ever thought of you ? The moment your face starting crawling back into my mind, I dumped her like a piece of shit, for you ! Because I didn't want to hurt her later on and I thought that we had something special. But if we don't ? Then forget it. I have way too much sex friends already.

Traduction:

Il aurait pu ajouter qu'elle était loin d'être la meilleure qu'il connaissait au lit mais il n'aimait pas mentir et il trouvait que ce serait trop cruel ; qu'il était incapable d'être aussi froid, et surtout, avec elle. Il lui aurait bien demandé de partir, de quitter sa chambre et de le laisser seul, mais avant cela, il attendait sa réponse. Il était en colère ; elle lui avait fait du mal, et, bien qu'il lui pardonnerait presque toute faute jugée impardonnable par la race humaine, il ne pouvait la pardonner de s'être moquée de ses émotions. En avait-elle, au moins ? Il ne le croyait pas un instant. Et c'était probablement parce qu'il ne pouvait point les connaître, ses émotions, tant elles étaient opprimées et dissimulées.


HJ ; Pardonne les éventuelles fautes d'innatention et le contenu merdique mais à cette heure, je sature. ;_; Abus de pouvoir ... - Avec Edenshaw. 2157042859 *mais j'avais vraiment envie de te répondre avant de dormir xD*
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