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Le preux chevalier - Marlon

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LE PREUX CHEVALIER

Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Marlon Wenston
Violence, agression physique.

Récente dans cette ville, tu n’arrivais pas à retrouver ton chemin. Pourtant ton gps te disait bien de passer par ces ruelles, mais ça ne te donnait pas vraiment envie. Il était tard, la nuit était tombée et l’alcool commençait à bien faire son effet. Une robe assez courte, moulante comme simple habit qui cache quelques parties de ton corps. Des talons aiguilles, une simple pochette pour ranger ton téléphone et ta carte bancaire ainsi que les clés de ton logement, une petite veste histoire de couvrir tes épaules. Les cheveux attachés en un énorme chignon à l’arrière de ta tête, tu sortais tout droit d’une boite de nuit que l’une de tes connaissances t’avait conseillé. Il est vrai que tu t’étais amusé, tu ne pouvais pas dire le contraire, mais tu aurais surtout dû payer un taxis, tu serais déjà chez toi. Tu marchais tant bien que mal, cherchant à te repérer, mais clairement, la ville était bien différente une fois la nuit tombée.

Par chance, ton père n’était pas présent dans cette ville, sinon, il t’aurait déjà tué sur place. Il t’engueulait à chaque fois que tu sortais quand tu étais sur Londres ou Paris. C’était bien les seuls moments que tu pouvais avoir, alors quand tu sortais, généralement, tu te mettais la tête à l’envers, comme ici. Sauf que cette fois-ci, c’était bien différent, tu n’étais plus sous son emprise, il se trouvait à des milliers de kilomètres et tu pouvais enfin souffler, enfin profiter de ta jeunesse. L’air frais qui s’engouffrait dans ta veste, se glissant le long de ta peau, faisant dresser tes poils. Un léger soupire s’échappait de ta bouche, ton gps indiquait qu’il te restait encore une bonne quinzaine de minutes avant d’arriver à ton bâtiment. Tu étais à deux doigts d’appeler un taxis, histoire de pouvoir te débarrasser de cette situation, mais quand tu jetais un coup d’oeil aux alentours, ça ne te donnait pas envie de rester plus longtemps dans cet endroit. C’est ainsi qu’un jeune homme te percuta de pleins fouet, un peu plus tu perdais ton équilibre et tu tombais au sol, par chance, il te rattrapa par la taille, pensant à une bonne personne, ce qui n’était pas vraiment le cas. Il ne te lâchait pas, il était un peu trop tactile à ton goût, un peu trop proche de toi. Malgré le fait que tu le repoussais, il continuait a être insistant, la peur s’emparait de toi, les larmes commençaient à monter doucement à tes yeux.
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LE PREUX CHEVALIER

Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Elöa Barclay
Langage vulgaire

Tu avais terminé ta journée au commissariat depuis le début d'après-midi mais tu n'avais pas terminé ta journée. Ça non ! Tu avais profité de ton après-midi pour aller aux foyer pour femmes battues. Tu avais donner quelques conseils. Tu avais était une épaule sur laquelle parler. Tu avais écouté et rassuré. Tu avais fait ton travail. Une fois de plus. Tu avais enchaîner sur les maraudes lorsque la soirée avait débuté. Là encore tu avais donner de toi. Tu avais aidé certain sdf à trouver un toit pour la nuit. Tu avais distribuer quelques repas chaud (ou froid vu la saison) à la plupart des démunis que tu avais croisé. Oui, tu avais eu une grosse journée. Tu t'apprêtais à rentré te disant que ton lit te tendrais les bras, la fatigue commençant à se faire sentir. Tu était crevé en fait. Mais toutes ces missions, autant professionnelles que bénévoles, t'avais épuisé. Tu pensais à cette douche qui te ferai grand bien. Tu te voyais déjà sous celle-ci, l'eau chaude coulant le long de ton visage... Souffler un coup avant de rejoindre ton bien-aimé lit. Oui, tu étais presser de rentrer chez toi Marlon.

Pour ce faire, tu passais par des petites rues, tranquille. La plupart des gens évitait les ruelles. En même temps, la nuit, on sait tous qu'elles sont malfamés ces petites rues... C'est d'ailleurs dans l'une d'elle que tu vois au milieu, un couple. Ça te fais sourire ça. A deux, c'est bien moins dangereux. Surtout avec un homme. Non pas que tu pense que les femmes ne sont pas capable de se défendre, (loin de là cette idée !) mais elles sont malheureusement des victimes plus frêles... Tu continues d'avancer, prêt à les salués et leur souhaiter une bonne soirée quand tu vis que ce n'était pas un couple. Non Marlon, ce n'est pas ça. C'est un homme et une femme oui. Mais pas ensemble visiblement. Ils ne se connaissent pas. Non. Tu prends une grande inspiration quand tu vois cette demoiselle peut couverte qu'elle n'est pas consentante. Alors tu t'approches d'eux. Tu salues l'homme Salut mec, besoin d'aide peut-être ? Il sursaute. Il ne s'attendait pas à voir quelqu'un ici, à cette heure perdue. Dans cette ruelle bien sombre. Non, il ne s'y attendait pas et tu avais avancé discrètement. Toi, tu n'as pas de talon, tu ne fais pas de bruit quand tu marche. Et ça a été ton point fort pour l'interpeller. Puis après cette salution, tu fais de même avec la jeune femme. Tu vas bien ? Demandes-tu alors que l'homme a lâcher la jeune fille en détresse.
T'as d'la chance toi... Aller, dégage de là ! Siffles-tu d'entre tes lèvres. Plus vite que ça !
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Marlon Wenston
Violence, agression physique.

Tu devais de nouveau apprendre à vivre, refaire tout de toi-même sans que personne ne soit derrière toi pour te dicter ta conduite, tes mouvements et tes paroles. Ta vie n’a pas été très intéressante jusqu’à il y a quelques mois, tu n’as jamais été libre, tu n’as jamais eu ce plaisir de pouvoir vivre comme toutes les personnes normales. Ce caractère que tu as forgé suite à toutes ses privations et à ses disputes et ce rabaissement journalier. Tu n’étais plus la même qu’il y a quelques années, tu avais pris ton envol tel un petit papillon, découvrant la l’immensité de la planète, la liberté totale. Mais, il y avait tellement de chose que tu devais encore apprendre, tu n’avais plus de garde du corps qui te suivait à la trace, tu devais te débrouiller seule, te défendre et survivre dans ce monde de requin. Il n’était pas possible d’être faible, tu devais montrer de quoi tu étais capable, de t’élever sur la marche la plus haute pour prouver à ton père, que même sans lui, tu étais quelqu’un. Malheureusement, tu n’avais pas anticipé ce chemin pour rentrer, surtout pas après plusieurs verres. L’alcool commençait à faire son effet, tu avais du mal à avancer et encore plus avec ces talons, cette tenue un peu trop serrée et courte pour trainer dans ce genre d’endroit.

Manque de chance, petite proie facile, comme un petit oisillon coincé dans une cage, voilà ce que tu étais pour cet homme. Un homme malfamé, certainement repoussé par la plupart des femmes, mais tu n’y arrivais pas, et même si tu essayais de le pousser de toutes tes forces, la fatigue, l’alcool, t’empêchait d’y arriver. La peur commençait à prendre le dessus, la boule au ventre qui se faisait ressentir et les battements de ton coeur qui s’accéléraient et qui se faisaient de plus en plus irréguliers. Une larme coulait le long de ta joue, jusqu’à ce qu’une personne s’approcha de vous, peut-être un ami à lui, mais finalement, au vu de son regard et de son ton, ça n’avait pas l’air d’être le cas. Il te posa cette question, est-ce que tu allais bien, ta tête fit simplement non, n’osant même plus bougé, comme tétanisée. Te voilà libéré de l’emprise du mec qui ne chercha pas à se battre, il quitta rapidement les lieux, t’offrant de nouveau la liberté que tu appréciais tant. Mais la peur, le stress, ce mélange incompatible avec l’alcool, seulement deux pas en arrière et tu te retournas pour vomir ce liquide dont tu avais un peu abusé durant la soirée. Les bras appuyés contre le mur du bâtiment, une seconde larme coula le long de ta joue. Les jambes tremblantes, le rythme cardiaque toujours élevé, tu n’étais pas en état de dire ou de faire quoique ce soit.
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Elöa Barclay
Langage vulgaire

Tu es là. Au bon moment et au bon endroit. Tu es là à rêvasser d'une vie sentimentale en regardant les tourtereaux. La tienne est bien moins glorieuse. Oh ça oui ! Que des personnes nocives. Des femmes qui ont pu se jouer de toi. Des femmes qui étaient là par intérêt. Ouais, toi tu es le mec trop gentil. Toi tu es ce mec qui fait tout pour les autres et qui penses pas à lui. Tu n'es pas fait pour être en couple. Tu repenses à Elle. Celle qui a fait battre ton petit coeur. Vous étiez jeunes. Jeunes et impulsifs. Surtout elle. Elle rayonnait partout où elle allait. Elle me donnait le sourire ) chaque instant avec elle était trop éphémère à mon goût. Oui, elle était ma joie de vivre. Mon bonheur. Mon sourire... Mais ça c'était avant qu'elle ne plonge dans le vice. Ce vice qui pousse bien trop de personne dans les abîmes de cet enfer. Enfer qui s'assombrit à chaque prise. Quelque soit la manière dont c'était prit. Oui, Elle fait partie de ces personnes trop faible pour réussir à succomber à une overdose. Tu l'as pleure. Bien trop souvent. Cela remonte à des décennies. D'ailleurs, quand tu y penses, c'est comme ci c'était hier. C'est si loin et pourtant si proche de ta vie actuelle. Elle te manque, tu l'aimais, elle s'est détruit. Elle vous a détruit. Et tu le payes encore aujourd'hui. Donc oui, tu regardes les deux inconnus dans la ruelle, imaginant leur histoire.
Mais la situation était tout autre. Cette relation n'était visiblement pas consenti. La jeune femme semblait se débattre de là ou tu es. Tu avances vers ce couple qui n'en était pas un. Tu stoppes ce mec qui n'est là que pour son propre plaisir. Tu soulage cette fille qui n'a rien demandé à personne. Certains diront que la jeune femme avait cherché les histoires. Il est vrai qu'elle était légèrement habillée mais, est-ce une raison pour se faire agresser ainsi ? Non. Bien sûr que non ! Mais faut croire que beaucoup d'homme pense de cette raison est valable. Tu reçois bien trop de femmes dans ton bureau pour déposé plainte. Elles sont généralement en larmes quand elles sont face à toi. Elles tremblent lorsqu'elles te racontent leur histoire. Histoire dure. Histoire difficile. Tu essayes d'imaginer ce qu'elles peuvent ressentir. Mais toi, tu n'as jamais vécu pareille situation. Tu ne peux qu'imaginer. Mais tu es là. Tu es là pour les accompagner. Pour les rassurer. Mais tu ne peux te mettre à leur place. Tu imagines qu'elles seront traumatisé à vie. Tu imagines qu'elles pourraient être bien plus méfiante envers les hommes. Leur vie sentimentale pourraient être bouleversée par ces hommes. Homme qui n'ont aucune pitié et aucun sens de la retenue. Mais ce soir, tu as évité tout ça. Enfin, elle sera traumatisée tout de même. Mais tu as intervenu rapidement.
Tu as fait déguerpir cet être immonde rapidement. Il n'en a pas demander son reste. Et c'est bien mieux ainsi. Moins de blabla, plus de résultat. Le ton sec, tu as rarement ce ton-là. Normalement tu es posé, la force tranquille. Mais là, tu n'as pas eu l'envie d'essayer de comprendre cet homme (que tu considères plus comme un animal !). Tu ne voulais pas discuter avec lui. Il a eu de la chance que tu ne sois pas en service. Ça aurait été une toute autre chanson. Mais après son départ en grande vitesse, tu t'adresse enfin vers cette pauvre victime des rues ... Tu lui demandes comment elle va. Un simple mouvement négatif de la tête fût sa réponse. Tu es peiné de le savoir mais, en même temps, ça se comprends. Qui se sentirait bien après un tel acte ? Je n'ai pas eu le temps de poser d'autres questions que là voilà appuyer contre le mur, vomissant contre ce dernier. Compatissant, tu lui pose délicatement une main sur l'épaule pour ne pas l'effrayer et la lui tapote légèrement, marque de soutien. Durant ce temps, sans la pressée, tu lui demandes si tu peux faire quelques choses pour elle. Un ami a appeler ? Où de la famille peut-être ? Mais tu ne la brusque pas. Ton ton est désormais bien plus calme et posé. Ton ton que tu utilises quand tu travailles.
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Marlon Wenston
Violence, agression physique.

A vrai dire, il aurait pu se passer tellement de choses et si rapidement, mais tu avais une bonne étoile au-dessus de toi qui avait fait passer cet homme à cet endroit. Au début tu avais cru que c’était un de ses amis et que tu n’aurais plus une personne contre toi mais deux, et très rapidement la situation avait changé. Finalement, il était là pour t’aider et te permettre de rentrer sereinement chez toi. Enfin, sereinement était un grand mot, tu ne pensais pas être en état de rentrer chez toi, ton cerveau s’était mis sur le bouton off et une fois libéré, la première chose qui se passa : l’alcool que tu avais ingurgité durant toute la soirée, avait besoin de sortir. Le stress, la peur, ce mélange ne faisait pas bon mélange au fond de toi, la larme qui finissait son chemin, éclatée au sol. Tu sentais sa main se poser sur ton épaule, mais ce n’était pas le même ressenti que celé de cet autre homme, une fois que tu reprenais un peu ton souffle, tu t’écartais du mur, reprenant ton souffle, essayant de calmer les battements de ton coeur. « Je n’ai pas grand monde ici, je viens d’arriver à Boston. » laissais-tu glisser, prenant un mouchoir pour t’essuyer la bouche, jetant celui-ci dans la poubelle la plus proche. Ton regard se posa directement sur le jeune homme « Merci de m’avoir aidé. » soufflais-tu doucement. Il était rare que te rendes comptes des choses et que tu remerciais, mais cette fois-ci, tu ne pouvais pas passer à côté. Ton cerveau essayait de se battre pour ne pas penser aux choses qui auraient pu se passer, si il n’était pas arrivé. « Je suis seule. » finissais-tu par avouer et tu ne voulais pas finir seule. « Ça te dérangerait de passer ta soirée avec moi ? » un besoin d’être rassurée, d’avoir une personne près de toi. Peut-être qu’une fois chez toi, ça irait mieux, mais tu avais un gros doute. Tu commençais à ressentir la fraicheur de la nuit, l’alcool s’était certainement bien dissipé après cette altercation. Les frissons parcouraient ton corps tout entier, tu attendais ce que le jeune homme allait choisir, mais tu comprendrais s’il avait déjà quelque chose de prévu.
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Elöa Barclay
Langage vulgaire

Tu rentrais chez toi tranquillement, à pied, comme à ton habitude. Tu as bien un moyen de transport, ton fidèle destrier à deux roues mais aujourd'hui, tu avais choisis de te déplacer à pied, profitant du beau temps. Le soir, tu n'avais donc pas trop le choix que de rentré à pied. Cela ne te dérangeais pas, au contraire ! C'est donc à pied que tu passes par les ruelles plus ou moins mal famées. Tu connaissais les environs, tu n'habites pas très loin alors, tu y va sereinement. De toute façon, tu es officier de police, la nuit ne te fais pas peur. Tu sais te défendre, Marlon. Tu n'es pas bagarreur pourtant, mais tu sais frapper s'il le fallait. Tu évites tout de même, ta première arme ne sont pas tes poings, mais la parole. Tu préfères dialoguer, apaiser les maux qui peuvent résoudre, la plupart du temps c'est ainsi que tu règles les soucis.

C'est ainsi que tu te retrouves dans cette ruelle. Ruelles sombres, éclairé seulement par les deux lampadaires à chaque entrée de celle-ci. Au centre de celle-là, il y avait trop peu de lumière pour voir correctement. Le flash des téléphones étaient donc le meilleur éclairage pour traversé cette petite rue fermé aux voitures. Il y avait bien des jeunes qui y passaient en scooter mais ils étaient rarement des personnes bienveillants. C'est donc là, dans cette petite voie, que tu vois cette femme en mauvaise posture. Après avoir fait déguerpir le malfrat, la demoiselle en détresse décompressa de son agression en dégobillant tout ce qu'elle pouvait, une main contre le mur. Tu déposes une main rassurante sur son épaule. Ce sont rarement des moments sympathiques alors, un peu de réconfort n'était pas de trop. Quand la jeune femme eue finie de vidé son estomac, elle se redresse, s'essuyant la bouche d'un mouchoir sortie de son petit sac sur son épaule. Posant quelques questions, elle t'apprend qu'elle vient d'arrivée dans la ville, n'ayant personne ici. Ça te fait de la peine. A peine arrivée, déjà agressé... Comment garder de bons souvenirs et l'envie de continuer de vivre sans crainte ? Tu te poses la question Marlon. Mais là, la jeune inconnue te remercie. C'est normal. Je n'allais pas laisser une jeune fille en détresse. Puis, déformation professionnelle, et un bon fond, avec aucune once de méchanceté ! Ça aide ! Tu lui souris, sincèrement et tendrement, voulant encore la rassurée. Mais de là, elle m'apprend qu'elle est seule, et qu'elle ne souhaite pas l'être pour la nuit, te proposant de passé la nuit avec elle. Passer la nuit ensemble ? Chez toi? Tu es surpris par la question. Tu te fais des film Marlon, tu n'as pas bien compris sa question. Elle à sûrement voulu dire autre chose, mais, sous le choc, elle peut mal s'expliqué. Mais finalement, tu comprends mais tu es de tout de même surpris par cette demande. Demande compréhensive malgré tout. Tu lui souris à nouveau. Je ... Bah je... D'accord, mais je prends le canapé ! Cette précision était nécessaire, au cas où elle s'était bien exprimé et qu'elle souhaite réellement passé la nuit avec toi.
Tu l'as vois frisonner, sans réfléchir, tu retires ta veste et lui dépose délicatement sur ses épaules avant de frictionné celles-ci pour tenter de la réchauffé. En fait, comment t'appelles-tu ?


@Elöa Barclay
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Marlon Wenston
Violence, agression physique.

Ta demande pouvait être très étrange, mais au vu de ce qui se passait, tu ne te voyais pas rester seule, du moins pas ce soir. Tu ne le connaissais pas, mais c’était un peu comme tout le monde ici, tu n’avais pas grand monde que tu connaissais et surtout sur Boston, à l’heure actuelle. Tu aurais certainement demandé ça à n’importe qui, qui t’aurais sauvé dans cette ruelle, sombre et un peu glauque. Un léger soupire s’échappait de ta bouche, tu essayais de reprendre un peu tes esprits après tout ce qui s’était passé. Génial comme arrivé à Boston, une vie bien chargée et des emmerdes qui te tombaient dessus dès tes premiers jours dans cet endroit. Est-ce que cette ville était faite pour toi ? Tu allais vite le savoir dans quelques mois, le temps de pouvoir rencontrer des nouvelles têtes, connaitre la ville dans ses moindres détails et savoir les quartiers que tu devais éviter. « Tu travailles dans quoi ? la sécurité ? » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ton regard qui se posait sur le jeune homme qui se trouvait face à toi. Déformation professionnelle, il devait travailler dans la sécurité ou même dans les forces de l’ordre, mais ce n’était pas vraiment affiché sur sa tête. Tu te rendais compte que ta question pouvait être mal compris, tu passais ta main dans les cheveux « Enfaite j’ai pas envie d’être seule, je t’avoue qu’avec ce qui s’est passé … » tu haussais doucement les épaules « Ne penses pas que c’est pour autre chose où quoi. » soufflais-tu doucement, voulant lui faire comprendre que tu n’envisageais absolument rien, mais une présence te ferait du bien. « Excuses-moi, oublies cette question, je vais me débrouiller. » tu cherchais ton téléphone pour pouvoir contacter un taxis et être en sécurité jusqu’à chez toi, ça sera déjà bien. « Je m’appelle Eloä, et toi ? » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ton regard qui se posait sur le jeune homme.
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Elöa Barclay
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Tu l'aides la demoiselle. Elle est en détresse. Tu es fonctionnaire de police. Elle a eue de la chance que tu sois passé par là. Tu essaies de la réconforter lorsqu'elle se tient au mur. Par la suite, elle te demande quelle est cette déformation professionnelle. Tu souris. Officier de police. Elle te fait une demande. Étonnante. Enfin, tu as eu les idées mal placé. Et tu t'en veux. Comment ça se fait que tu ais pensé à ça, surtout après ce qu'elle vient de subir. Pauvre idiot !! Tu l'écoutes, elle te remet en place ou plutôt, tes pensées mals placés. Tu n'est pas comme ça. Ce n'est pas toi, Marlon. Tu secoues la tête pour te remettre sur le droit chemin, proposant de dormir dans son canapé. Non non, je vais te tenir compagnie. Tu n'as rien à craindre avec moi et, je sais, malheureusement, qu'après ce genre d'expérience, les nuits peuvent être agités, difficiles à gérer.

Tu l'as voit prendre son portable. Tu l'interrompt dans son mouvement, posant délicatement ta main sur la sienne. Je te raccompagne. Tu lui souris. Un sourire bienveillant. Enchanté Elöa. Moi c'est Marlon. Tu l'as regarde. Elle tremble. Encore en état de choc. Tu comprends et compatis. Tu en vois tellement de jeunes femmes qui viennent porter plainte, ou que tu vois dans les associations de femmes battues. Tu en vois de toutes les couleurs avec ton travail. Cela te répugne. Mais la vie est faites ainsi. Malheureusement pour ces pauvres victimes. Tremblante, tu lui passes un bras autour des épaules, la réconfortant. On y va ? Nouveau sourire, tendrement, compatissant. Je te laisses pas. Pas ce soir. Tu ne veux pas la forcer. Ni lui faire peur. Mais tu sens qu'elle en a besoin. Puis, si elle le souhaites, tu pourras rester plus longtemps. Tu rentreras pour t'occuper de tes bébés poilus mais tu ne l'a laissera pas seule bien longtemps.


@Elöa Barclay
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Marlon Wenston
Violence, agression physique.

Toi qui vivais toujours dans la sécurité avec un garde du corps ou avec un chauffeur, mais depuis que tu avais négocié ta liberté avec ton père, tu n’avais plus aucun moyen d’être en sécurité dans une ville. C’était tellement habituel ce genre de chose, les agressions en plein milieu des rues, une fois que la nuit était tombée. Un léger soupire s’échappait de ta bouche, comme si tu étais soulagée d’avoir rencontré cet homme qui t’avait permis de t’en sauver, sans avoir une égratignure. Ton regard ne le quittait pas, il t’avouait être de la police, tu hochais soudainement la tête « Je comprends mieux. » un léger sourire assez faible s’affichait sur ton visage. Tu venais de proposer à un officier de police de venir dormir chez toi, mauvais plan, tu ne voulais pas qu’il s’imagine quoique ce soit et au vu de ses réponses, c’était le cas. Tu fermais un instant les yeux, cherchant ton téléphone pour arranger la situation. Un taxis ferait l’affaire, il t’amènerait jusqu’en bas de chez toi et tu pourrais t’y enfermer à double tours. Mais dans le fond, tu n’avais aucune envie de te retrouver seule, pas avec ce qu’il venait de se passer. Tu avais encore de l’alcool dans le sang, pas en mesure de te battre, tu n’avais pas forcément la bonne tenue pour ce genre de chose. « Je ne veux pas t’obliger à quoique ce soit, tu dois certainement avoir d’autre chose de prévu. » tu cherchais le numéro d’un taxis, en plein milieu de la nuit dans une ville que tu ne connaissais pas. Tu sentais sa main se déposer contre la tienne « Merci. » laissais-tu glisser entre tes lèvres « Enchanté Marlon. » un léger sourire accompagnait tes paroles. Tes tremblements se faisaient de plus en plus violents, et il te prenait légèrement dans ses bras, une accolade qui te faisait du bien. « Faisons comme ça. » tu reprenais ton chemin, prenant la direction de ton logement, il ne te restait pas très longtemps pour arriver jusqu’à la-bas.
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Ruelle de Boston.
20 mai 2023
@Elöa Barclay
Langage vulgaire

Tu lui as donner ton métier. Cela à l'air de la soulager ou du moins, mieux comprendre tes agissements. Tu es comme ça Marlon, même si tu n'aurais pas été policier, tu aides ton prochain. Tu tends la main à autrui. Tu veux aider. C'est pour ça que tu es officier. C'est un cercle vicieux. Un bon cercle. Mais un cercle. Vous ne vous quittez pas des yeux. C'était rassurant sûrement. Toi, tu observes ces réactions. Pour ne plus faire de bourde comme tu l'avais fait concernant la nuit chez elle. Mais c'est l'heure. La fatigue te prend au dépourvu. Tes filtres tombent peu à peu. Mais tu ne voulais pas la mettre mal à l'aise. Bien au contraire ! Ton but est de la ramener chez elle et de la protéger. La protéger de ces rues si malfamés après que le soleil se soit couché.
Tu lui dis que tu vas la ramener. Qu'elle n'a pas besoin d'appeler un taxi. Que tu serais son chauffeur. Piéton mais chauffeur tout de même ! De plus du fait de l'accompagné, tu pourras plus rapidement la ramené, connaissant les rues et chemins comme ta poche. Tes surveillances et rondes que tu fais au boulot te sont bien utiles.
Tu te dis que, finalement, ta moto aurait été bien mieux pour rentré plus vite mais, avec, tu ne l'aurais pas vu se faire agresser. Là encore, c'est un cercle vicieux. Mais, tout de même, en moto ça aurait été plus simple pour ramener la jeune demoiselle. Elle devait être plus jeune que toi, mais de quelques petites années. Mais elle a un joli petit minois, une petite frimousse de poupon. Poupon qu'on ne veut pas voir brisé. Cependant, elle est brisé. Elle ne le sait pas encore mais toi, tu le sais. Et tu as envie de la protéger. Protéger et servir. Et tu seras là pour elle. Tu as l'habitude de suivre les dossiers, aller prendre des nouvelles des victimes même après que le dossier soit clos. Et ce soir, tu rajoutes une nouvelle demoiselle, bien mignonne. Trop mignonne pour être seule dans les rues de Boston.
C'est en pensant à tout ça que tu l'as prend délicatement dans tes bras pour la protéger du vent mais aussi de la rassurer. Elle acquiesce ta proposition de la ramener chez elle. Tu es rassuré. Tu ne te voyais pas l'abandonner dans un taxi à cette heure-là. Alors, où habites-tu ? Je connais les rues par coeur.
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