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This is my story
Elle pensait que c'était un poisson d'Avril mais non. En effet ma mère perdait les os dans la cuisine en préparant des cupcakes à mon père. Et je fusse à 17h04 à San Francisco, prénommé Adam Dave John Haster... Je ne vais pas ma vous donnez le topo de la taille vous vous en fichez comme de la dernière pluie -tiens, c'était hier si je me trompe par . Je deviens fort bouclé comme vous pouvez le constater sur les différentes photos de famille... Pourtant, aucun de ma famille est bouclé... Ou du moins sur celle qui était dans la chambre de ma mère ! Alors, à mes dix ans, j'ai commencé à me poser les questions du genre : "comment on fait les bébés, tu es vraiment ma maman ?" : vous voyez un peu ? Donc en conclusion, je croyais que j'étais adopté... Et ma mère me montrait des photos de mon père jeune... LA BOULE DISCO, depuis je ne voyais plus mon père pareil, avec rien sur la caillasse. Bref, c'était une petite anecdote bien sympathique. À mes 14 ans, je fusse horrifié de remarquer que mon regard se portait essentiellement sur les derrières et des abdomens, des garçons plutôt que des filles - comme certains de mes camarades de cette époque- je demandais à mon infirmier de mon collège et me répondit que j'étais à l'âge où les hormones travaillaient, que cela me passerait. Deux ans plus tard, j'avais toujours cette "maladie" comme disait mon père, et l'appris à son dépend en me trouvant en train de peloter mon petit ami du moment... LE DRAME ceci à exploser ma famille. Je me suis toujours tenue responsable, malgré, qu'ont me répétais : ce n'est pas de ta faute c'est ton père nah, nah nah toujours ce même discours. On j'en suis... Ah oui ! La musique ! Alors quoique mon père n'était pas vraiment pour ce genre de chose, je développais un certain talent pour la musique : guitare, basse, violon, violoncelle, batterie, piano... grâce à l'argent que mon père gagnait j'avais pu avoir beaucoup d'instrument de toute sorte, les surnoms que ma mère me donnait ? "mon petit virtuose". Après ce petit guillemet "culture"reprenons l'histoire, qui, mon fait venir à Harvard. À mes 18 ans, mon père, croyais obstinément que du jour au lendemain, je pourrais passer de gay à hétéro ou du moins à bisexuelle mais non, j'ai pourtant essayé mais mon esprit et mon corps étaient en totale contradiction. Mon père me mit à la porte sous un accès de colère en disant que, je ne faisais pas assez d'effort port passer le cap mon "passe-temps" ma mère rouvrit la porte, en larmes, en me tendant une enveloppe avec une main tremblante dont l’intérieur avait l'air fort épaisse : pour cause ! 5000 euros se trouvaient à l’intérieur, pour me faire vivre paisiblement je l'ouvris et trouvais une lettre qui me fit pleurer à chaudes larmes :
Chérie.
Mon amour pour toi est tel, que te voir habiter dans un environnement; comme celui-ci; n'est donc pas envisageable pour moi, une mère. Voilà de quoi te trouver un logement acceptable pour un étudiant. j'ai accepté la voie que tu as choisie depuis 4 ans, mais j'ai peur que ton père ne le comprenne jamais. Ainsi, je voudrais que tu m'envoies une lettre racontant ton année chaque jour de ton anniversaire pour pouvoir avoir de tes nouvelles. Choisis ta voie... Ne te retournes pas vie
Ta mère qui t'aime
Chérie.
Mon amour pour toi est tel, que te voir habiter dans un environnement; comme celui-ci; n'est donc pas envisageable pour moi, une mère. Voilà de quoi te trouver un logement acceptable pour un étudiant. j'ai accepté la voie que tu as choisie depuis 4 ans, mais j'ai peur que ton père ne le comprenne jamais. Ainsi, je voudrais que tu m'envoies une lettre racontant ton année chaque jour de ton anniversaire pour pouvoir avoir de tes nouvelles. Choisis ta voie... Ne te retournes pas vie
Ta mère qui t'aime
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