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Amour: cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes, deux idiots (Calypso♥)

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Le bal avec Calypso


J’avais réussi à mettre fin à ce baiser, en dépit du plaisir que j’y avais pris. J’avais besoin de m’écarter de Caly pour essayer de comprendre, pour l’interroger et essayer d’y voir plus clair. Pourquoi s’amusait-elle ainsi avec moi ? M’embrasser pour mieux me repousser ensuite ? Quel était le but ? Alors que je l’interrogeais, de manière peut être un peu agressive, je sentis qu’elle commençait à son tour à s’énerver. Il n’y avait aucun jeu, me fit-elle sur un ton énervé. Et avant que je n’ai pu prononcer un mot, elle m’interrogea à son tour : pourquoi agissions-nous ainsi ? « On fait tout ça à cause de toi Calypso. » répondis-je avec assurance. Oui ça avait toujours été pour elle que j’avais agis ainsi, que j’avais étouffé mes sentiments. Parce que depuis le jour qui avait suivi cette fameuse nuit dans se bras, cette fois où elle m’avait repoussé, où elle m’avait fait comprendre que rien ne serait possible entre nous, j’avais réalisé que je ne devais être qu’un ami pour elle. Et depuis, je m’étais appliqué à n’être que ça, maladroitement, parce qu’on ne peut pas fermer son cœur comme on ferme un robinet, parce que faire abstraction de mes sentiments pour elle était finalement quasiment mission impossible… «Tout ce que j’ai fait, je l’ai toujours fait pour toi. C’est pour respecter ton choix… » Ma voix s’était quelque peu adoucie. Je sentais que Caly s’énervait et je savais que c’était ma faute, parce que je n’avais pas su garder mon calme. J’essayais d’apaiser les choses entre nous, me rappelant de nos belles promesses quelques jours auparavant. « Et pour être complètement honnête avec toi : ça me bouffe tout ça… Mais je le fais pour toi. Je respecte ta volonté. »
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Amour: cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes, deux idiots.

Dans le fond, Priape n'avait pas tort. Tout ça, c'était de sa faute à Caly. Son comportement de gamine adolescente qui ne sait pas ce qu'elle veut et qui n'assume pas grand chose. En premier, elle n'assume pas le fait de l'aimer. Du moins, pas avec lui. Pourtant, il y a de ça deux semaines, la brune avait tout dit à Valentin à propos de ses sentiments beaucoup trop destructeur envers lui. Comme s'il ne le savait pas, ouais, parce que son meilleur ami avait bien compris depuis longtemps. Pourquoi Priape ne voyait-il pas aussi facilement qu'elle était complètement folle amoureuse de lui ? Ça éviterait les complications après tout. Mais la barrière était bien entendu le comportement de la brune. Et en fixant le brun dans les yeux, en lui disant que tout ce qu'il avait fait se référait à son choix d'il y a quelques années, Calypso s'en voulu énormément. Toute sa relation avec lui était bloqué à ce jour, ce jour où la brune avait très bien menti pour se protéger. Protéger son coeur. Priape n'était pas à l'époque le genre d'homme qui pouvait rester en couple, du moins, c'était ce qu'elle croyait. L’énervement de la Dunster se calma quelque peu, soufflant, inspirant, une attitude presque normale c'était emparé d'elle. Ou du moins, le sentiment de déception et d'énervement n'était plus pour Priape mais plutôt pour sa petite personne. Baissant la tête, elle dit à voix haute. « Alors tout est de ma faute, tu es encore bloqué à ce jour-là... » Ceci était plutôt une réflexion pour elle-même plutôt que pour le beau Zacharias, d'ailleurs, sa voix se faisait faible. Puis elle repris tout en regardant Priape dans les yeux. « Priape, ça fait des années maintenant. Puis, parfois, faut arrêter de respecter certaines choses... » Des efforts, des efforts pour qu'il puisse la comprendre. C'était difficile d'avouer ses choses comme ça. Alors Caly pensa qu'elle n'avait pas assez bu encore pour tout lui avouer. Ou peut-être qu'elle n'était pas prête.

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Le bal avec Calypso


La jeune femme baissa la tête suite à mes paroles. Je me rendis alors compte que les mots que j’avais prononcés pouvaient paraître accusateurs. Elle reprit mon affirmation –tout est ma faute- me fit-elle avant d’ajouter que j’étais encore bloqué à ce jour là. Oui, c’était vrai, ce jour restait à jamais gravé dans ma mémoire, cette fois où elle m’avait repoussé. « Ca fait peut être des années Caly, mais pour moi c’est comme si c’était hier… Je me rappelle de chaque détail de cette discussion… » Je me souvenais bien de la façon tendre dont nous étions enlacés lorsque nous nous étions réveillés, comment elle s’était rapidement éloignée de moi visiblement mal à l’aise et puis la conversation gênée qui avait suivie durant laquelle elle m’avait très bien fait comprendre que nous ne pouvions pas être un couple, que nous devions rester de simples amis. « Et chaque instant de la nuit qui l’a précédé… » ajoutai-je ensuite. Cette nuit qui avait probablement tout changé entre nous puisque depuis j’avais été incapable de faire abstraction de mes sentiments pour elle. « Pour moi, rien n’a changé depuis... » J’étais toujours autant amoureux d’elle qu’avant. C’était peut être ça le problème : moi et mes sentiments envers ma meilleure amie, sentiments que je n’aurais probablement pas du ressentir. « Alors, j’ai peut probablement tord de tout te remettre sur le dos. Finalement c’est surement aussi ma faute si on n’arrive pas à s’entendre, si ça finit toujours par déraper entre nous d’une manière ou d’une autre. Je suis désolé de m’être emporté Caly… » En la voyant ainsi, tête baissée, je me sentis soudain un peu coupable. Je faisais passé mon propre ressenti avant le sien, je gâchais son bal parce que j’étais incapable de me tenir à ses côtés sans me sentir irrémédiablement attiré par elle. Elle ne méritait pas ça. Je défis ma veste et m’approchai d’elle pour la poser sur ses épaules. « Il fait froid. On devrait probablement rentrer… »
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Amour: cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes, deux idiots.

Caly gardait la tête baissée, les larmes lui montaient aux yeux. Peut-être la joie, la tristesse, beaucoup trop de sentiments la traversaient en ce moment même. Sa voix ne sortait plus, bien trop coupé parce que la brune entendait. Il n'avait rien oublié, il y repensait, "comme si c'était hier", cette nuit, leur nuit. Puis, si rien n'avait changé, alors tout ce qu'il avait dit ce soir-là était encore vrai ? Alors cela voudrait dire qu'il était encore à Caly ? Que peut-être, il avait bien des sentiments pour la grecque depuis de nombreuses années ? Après lui avoir dit tout cela, comment pouvait-il oser se culpabiliser ? Rejeter la faute sur lui ? La Dunster était bien la seule coupable, coupable d'avoir eu si peur, d'avoir été si lâche à l'époque. Cette nuit-là, sa première fois, son premier amour, elle y pensait encore, elle en rêvait encore. Priape, tout contre elle, juste eux. Et ça la faisait rêver encore, parce qu'il n'y avait jamais eu meilleur que lui. Par amour, avec amour. En réfléchissant, savoir ce qu'elle devait faire, devait dire, le brun allait prendre son silence pour un énième refus. Seulement, Calypso était juste en réflexion avec elle-même. Quelques secondes plus tard, il déposa sa veste sur ses épaules. Même quand la jeune femme avait un comportement incompréhensible, il restait gentil, aimable et attentionné. Priape était bel et bien parfait. Et si l'amour qu'elle avait pour lui était bien trop fort, même si cela pouvait la détruire, elle l'aimait tellement qu'aujourd'hui, elle ne pouvait pas le laisser partir. Pas cette fois. Pas cette nuit. Lui attrapant la main pour le remercier de lui prêter sa veste, le mascara qui avait un peu coulé, la Dunster releva enfin sa tête vers son Priape. « On se fiche du temps qu'il peut faire.. » Caly cherchait ses mots, jusqu'où allait-elle aller ? Jusqu'où serait-elle prête à avouer ? « Tu ne peux pas te rendre coupable Priape.. Oh non, tout est de ma faute depuis le début. Depuis cette nuit... » Calypso avait "offert" sa virginité à son meilleur ami, à l'homme qu'elle aimait, même si à l'époque la jeune femme ne comprenait pas les sentiments si fort qu'elle pouvait ressentir. « Jamais je n'ai regretté un seul instant ce moment, jamais je n'ai regretté cette nuit.. Mais aujourd'hui, la seule chose que je regrette, c'est bien notre discussion ainsi que mon mensonge. » Et si aujourd'hui il y avait cette possibilité qu'ils puissent s'aimer, sainement, pleinement, sans dérapage ? La brune rêvait un peu trop, mais ça lui faisait du bien pour une fois. Pour une fois, elle espérait que tout cela se produise. Puis Caly s'approcha un peu plus de Priape avant de continuer. « J'étais simplement une gamine apeurée de ce qu'elle pouvait ressentir Priape. J'avais peur, aujourd'hui encore, mais différemment. J'ai peur du pouvoir que tu as, celui de m’anéantir en moins d'une seconde. » Observant son "meilleur ami", la brune continua à parler, à s'expliquer. Il lui donnait confiance, et grâce à ça, elle remit en cause de années de mensonges. « Parce qu'aujourd'hui, je me rends compte que je ne pourrais pas supporter toute une vie ta simple amitié. » Comme une bombe dans son coeur, comme une bombe dans leur relation, Calypso se sentait libéré d'un poids en moins.

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Le bal avec Calypso


L’air de la nuit était frais et je me rendais compte que la température dehors contrastait avec celle qui régnait à l’intérieur de la salle. J’avais donc posé ma veste sur les épaules de ma cavalière en la voyant frissonner quelque peu tout en l’invitant à rentrer. Pourtant, elle me répondit qu’elle se fichait du temps qu’il faisait et elle reprit la conversation là où on l’avait laissée. D’après elle, je ne devais pas me rendre coupable, elle avoua que tout était de sa faute. Je la regardais avec un éclat de surprise dans les yeux. Où voulait-elle en venir ? Je n’eus pas le temps de lui demander qu’elle enchaina en m’apprenant qu’elle n’avait jamais regretté cette nuit, et cet aveu attisa ma curiosité davantage. Mon regard plongea dans les sien, et je redoublais d’attention alors qu’elle poursuivit. La seule chose que Caly regrettait c’était la discussion que nous avions eus, et elle précisa –et son mensonge-. Les battements de mon cœur s’accélèrent sensiblement. J’avais du mal à réaliser le sens de ses paroles. Avais-je bien compris ? Elle fit un pas vers moi et continua sa déclaration pour finalement conclure qu’elle ne supporterait pas toute une vie ma simple amitié. C’était le moment que j’avais toujours attendu, toujours espéré, les paroles que je rêvais d’entendre depuis que je l’avais rencontrée. J’aurais pu lui répondre mille choses, combien je l’aimais, à quel point je tenais à elle, tout ce qu’elle représentait à mes yeux. J’aurais pu aussi bien lui répondre en miroir à sa dernière phrase que moi aussi je ne supportais pas sa simple amitié, que cela faisait même des années que j’en crevais à petit feu de devoir n’être que ça pour elle : un meilleur ami et rien de plus. Pourtant, les paroles qui s’échappèrent de ma bouche furent complètement différentes. « Je crois que l’on devrait rentrer… » Répétai-je d’une voix mécanique. J’avais le souffle coupé, comme abasourdi par cet aveu qu’elle venait de faire. Après cette phrase creuse, je la regardais avec un regard vide et inexpressif, muet, ma coupe de champagne tremblant dans ma main, hanté par les images de nos dernières disputes, les paroles dures que nous avions échangées, ce baiser qui ne voulait soit disant rien dire et qui n’était qu’une –erreur-, tout ça s’opposant à ce moment que nous étions en train de vivre. Tout s’entrechoquait dans ma tête. Finalement, je brisai le silence qui s’était instauré en ajoutant sur un ton sarcastique : «L’alcool ne nous fait pas faire que des erreurs, il nous fait aussi dire de sacrées conneries… » Je venais de me moquer délibérément de son discours, faisant ainsi référence à notre dernier baiser échangé et aux excuses qu’elle avait trouvées pour se justifier. Je venais de briser la magie de ce moment, je venais de tout gâcher. Mais le temps que je le réalise et c’était déjà trop tard, les mots s’étaient échappés de ma bouche.
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Amour: cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes, deux idiots.

La vie est belle, la nuit est pleine d'étoiles, on entend les criquets parce qu'il fait chaud et que ça sent l'odeur des vacances. Priape n'avait pas parlé, il l'avait embrassé fougueusement, envieux, pressé, Calypso ne répondait plus de ses sens, ils étaient tous envolés, un nouveau sentiment de satisfaction, d'amour l'envahissait. En fait, c'était plutôt ce que Caly c'était imaginé. Elle avait pensé que cette fois-ci, ils arriveraient à avancer, qu'ils pourraient peut-être s'aimer. Simplement, sans se faire mal. Comme si avoir pensé à ça lui avait porté mal chance, Calypso se senti flancher en entendant Priape qui insistait pour rentrer malgré les paroles de la brune. Premier coup de poignard. Comme si tout cela n'était pas réel, comme si ce n'était qu'un mauvais rêve, la Dunster priait dans sa tête pour qu'elle se réveille. Effectivement, elle ne pouvait pas accepter son refus, pas cette fois, pas après ce qu'il lui avait dit. Alors quoi, c'était lui qui jouait finalement ? Ce n'était qu'une idiote, il l'avait pris pour une idiote. Calypso était vraiment déçue, contre elle-même certes, mais surtout contre son abruti de meilleur ami. Avouer ses sentiments, ou presque, lui avait fallut un effort inimaginable. Seulement, tout était réduit à néant par quelques paroles venant de sa part. Son amour, celui qui était en possession de son propre bien-être. Dans le fond, la brune avait toujours espéré qu'il éprouvait quelque chose pour elle, que malgré les disputes, ils étaient fait pour être ensemble un jour. Calypso l'aimait et elle avait rêvé, un peu trop, elle avait espéré même si elle ne s'en était pas rendue compte. Seulement, le reste des paroles furent bien plus profonde, intense, blessante. Deuxième coup de poignard. Comme si la première phrase n'était pas assez explicite, comme s'il prenait un malin plaisir à la torturer en cet instant. Tout cela semblait si incroyable qu'Adams ne réagissait pas. Sa tête fulminait, mais son corps lui, vidé de tout sens, était en pause. Peut-être que si la brune bougeait, elle risquait de tomber. Un. Deux. Trois. Le temps que Calypso réalise, le temps qu'elle comprenne son rejet, le temps qu'elle réalise l'absurdité de leur relation, le temps qu'elle comprenne qu'il n'y avait plus d'espoir. Relevant la tête, un regard noir pour son meilleur ami, elle retira la veste de Priape avant de lui jeter au visage. Puis d'un ton d'une méchanceté surprenante, elle lui dit. « Le plus étonnant Priape, c'est que finalement, j'en ai rien à foutre. » Mensonge. Encore un, Caly. Peut-être que c'était pour se protéger elle-même, elle et sa fierté. Après tout, après lui avoir dévoilé ses intentions, il l'avait complètement ignoré -ou presque-. Un dernier regard noir en direction du beau Zacharias. « Sombre idiot. » Puis d'une démarcha qui se valait rassurante, sûre d'elle, la brune ouvra la porte pour rentrer dans la salle. Comme si la chaleur lui prenait au visage, comme si ses émotions revenaient en vague, Calypso sentit les larmes monter.
Que quelqu'un vienne la sauver, Calypso a un poignard qui lui lacère le coeur.


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Le regard qu’elle me jeta ne laissait aucune place au doute : j’avais tout gâché. Je le lus dans ses yeux avant même qu’elle n’ouvre la bouche. D’un geste énervé, elle retira ma veste de ses épaules et la jeta sur moi. Je tendis les mains pour l’attraper maladroitement, renversant le contenu restant dans ma coupe sur moi. Je laissai échapper un juron « Et merde ! » s’appliquant autant à mon geste qui venait d’entrainer la tache sur ma chemise qu’aux paroles que je venais de prononcer et qui avaient visiblement atteint leur cible. Pourtant j’avais obtenu ce que j’avais toujours voulu : ma meilleure amie devant moi, m’avouant à demi mot qu’elle m’aimait. Pourquoi fallait-il que j’agisse ainsi ? Que je sabote tout avec mes petits propos acerbes ? Reprenant la parole sur un ton cassant, elle m’affirma qu’elle n’en avait rien à foutre, et tout dans son attitude, du timbre de sa voix à l’expression de son visage, tout laissait penser qu’elle était sincère, que rien de tout ceci ne l’atteignait. Après m’avoir qualifié de sombre idiot, elle prit le chemin de la porte pour se diriger de nouveau vers l’intérieur de la salle. Je regardais son dos alors qu’elle s’éloignait avec grâce malgré l’affront que je venais de lui réserver. J’étais comme paralysé, incapable de tendre le bras pour la retenir parce que je savais que je venais de commettre l’irréparable. Voilà des années à présent, Caly m’avait réservé le même sort. Alors que nous venions de passer la nuit ensemble, que je venais de lui déclarer mon amour, elle m’avait repoussé, rejeté, refusant l’amour que je voulais lui offrir. Et alors quoi ? Cela me donnait-il pour autant le droit de lui infliger le même sort ? A quoi rimait cette petite vendetta personnelle ? Quelle satisfaction en retirais-je ? Aucune. A vrai dire, je m’étais rarement senti aussi mal. « Caly, attends ! » tentai-je de la retenir mais trop tard. Je regardais la porte qui venait de se refermer sur elle avec un air anéanti et un gout amer dans la bouche, immobile, ma veste tombée à mes pieds, ma chemise trempée de champagne. Je restais un instant sur place, comme incapable de bouger, essayant d’imprimer ce qui venait de se passer : je venais de laisser partir mon rêve… Puis, je me penchai pour ramasser ma veste et je pris à mon tour le chemin de la salle, persuadé que je ne pouvais pas aggraver davantage la situation…
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Amour: cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes, deux idiots.

Calypso sentait son coeur, il était encore en vie ce salop. Son souffle se faisait saccader, la jeune femme tentait quand même de bien respirer. La chaleur lui montait à la tête, ce n'était pas bon. Ses yeux commençaient à être noyés par les larmes. C'était trop dur à accepter, trop dur de rester. C'était pour cette raison qu'elle ne s'était pas retourné quand elle l'avait entendu parler. Ce n'était qu'un abruti. Même si quelques années auparavant la belle Adams avait fait pareil, aujourd'hui s"était son tour. Si elle savait que ça ferait si mal, elle ne se serait pas ouverte à lui comme ce soir. Peut-être que c'était une mauvaise idée de venir à ce bal avec Priape, peut-être qu'elle aurait du se trouver un charmant jeune homme autre que son meilleur ami. Puis la jeune femme se fit une promesse, essayer de profiter malgré le peu de temps qu'il restait. Effectivement, très vite, Caly partirait pour rejoindre la maison des Dunster. Essuyant la larme qui avait coulé, inspirant un grand coup, avec force et fierté la grecque fit quelques pas en direction de sa table.

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RP TERMINÉ
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