tu te souviens de moi? non, je vais plutôt faire en sorte que tu t'en souviennes vraiment + maximilian

Nos petites retrouvailles dans ce pub me paraissaient insuffisantes. Je voulais quelque chose de plus fort pour faire en sorte qu'il se souvienne vraiment de moi. De ce que nous avions partagés, nos baisers, nos caresses, bref inutile de vous faire un dessin. J'avais vraiment la tête à me taper n'importe qui et Maximilian c'était encore mieux. Pour le moment, je badais trop, je faisais n'importe quoi. L'autre jour, mon meilleur ami est venu me chercher dans la forêt toute seule car j'avais pris des champis la veille. Là, j'allais m'envoyer en l'air avec un plan cul favori. Mon première c'était Konrad, mais comme c'était fini et que je voulais plus jamais baiser avec, fallait bien le remplacer n'est-ce pas. Je m'amusais à provoquer le jeune homme en retirant ma culotte. J'étais même pas bourrée quoi, j'étais juste un peu défoncée comme tout le temps maintenant. Il s'avança vers moi et il colla son corps contre le mien en me reprochant que je portais trop de vêtement. « rien ne t'empêche de me déshabiller à ce que je sache. » je passai mes mains derrière sa tête pour l'attirer à moi. Les lèvres de Maximilian étaient douces et chaudes à la fois. J'avais perdu ce goût que je retrouvais ce soir, là c'était juste tout bon. Je sentais ses mains glisser jusqu'à mes hanches puis remonter vers ma nuque. C'était genre l'endroit le plus sensible de ma peau. Celui qui avait la malheureuse idée d'embrasser mon cou se retrouvait complètement nu en moins de deux secondes. Le jeune homme se recula et je l'observai un instant. C'était trop horrible de me faire ça, de se reculer alors qu'il commençait à me chauffer comme pas possible. Mais j'oubliais qu'on était en pleine rue là et que si un malin passait juste à côté, même si on était caché par l’obscurité, on aurait quand même l'air con. « on a qu'à aller dans ta voiture. » proposai-je d'une voix malice. J'espérais qu'il en avait une, car j'allais pas attendre des heures non plus.

Emma attendait de moi ce que j'attendais d'elle. Et qu'elle me souffle à l'oreille que rien ne m'empêchais de lui enlever sa robe ne fis que confirmer ce que je pensais, elle voulait juste un plan cul pour ce soir. Tout à fait comme moi, c'était une chance d'être tombé sur elle alors que je ne savais même pas ce qu'elle faisait dans la vie.. Je l'embrassais, la plaquant un peu plus contre le mur froid, contrastant avec la chaleur de nos deux corps. Mais alors que le baiser devenait plus intense, je reculais un peu, ma rappelant que nous étions dans la rue, et que n'importe qui pouvait débarquer ici.. Je la fixais, sans bouger, ma main sur sa nuque maintenant, collé à elle mais ma bouche séparée de ses lèvres si plaisantes à embrasser. C'était une belle femme, une femme de caractère, elle savait faire de l'humour, et savait se faire désirer par des hommes. Elle excellait même dans ce domaine, si la première j'avais tout de suite apprécié ses talents, ce soir j'étais ravi de les retrouver, et je pense que j'allais adorer. D'une voix malicieuse, elle me proposa d'aller dans ma voiture, et il ne fallait pas être devin pour deviner ce qu'elle comptait y faire. Mais j'étais encore plus partant qu'elle, et sans hésitation je pris sa main, la tirant jusqu'à ma voiture, mon humer noir. En plus on allait avoir de l'espace ! Sauf si elle voulait plutôt qu'on aille à l'hôtel, après tout ce serait quand même plus confortable.. Je la plaquais contre la portière arrière, ma main glissant dans ses cheveux, et mes lèvres retrouvant les siennes avec une grande facilité. Ma seconde main glissa sur sa taille, avant de se poser sur la taule de ma voiture, tandis que mes lèvres dévoraient sa joue et sa mâchoire. Un sourire aux lèvres, je réussis à me redresser de nouveau, mon front touchant le sien. " Tu veux qu'on aille dans un hôtel du coin..? " Payer une nuit ne me dérangeait pas, si elle ne voulait pas rester dans la voiture. C'était l'avantage d'être un Woodworth..

Maximilian me fascinait. J'aimais quelque chose chez lui qui le rendait encore plus unique. Je crois que j'étais amoureuse, mais pas de lui. J'étais amoureuse de sa bouche, de ses mains, bref, j'étais amoureuse de son corps. Bizarre à dire je sais. Maximilian savait comment parler aux femmes. En fait, il avait un charme fou. On voyait bien qu'il avait quelque chose dans la tête et que c'était pas un mather complètement con dans mon genre. Bah, s'il aimait les sauvages comme il le disait si bien, y'a pas vraiment de problèmes alors. Nous échangions des baisers féroces lorsqu'il se recula et m'attrapa pour m'emmener à sa voiture. C'était juste une proposition, je voulais juste qu'on soit un peu caché. J'aimais la façon dont il prenait les commandes à m'embrasser sur sa voiture. Ma respiration s'accélérait comme les battements de mon coeur. Je m'appuyai contre la portière en l'attirant plus vers moi. Celui-ci colla son front au mien et me proposa d'aller dans un hôtel. Oh mon dieu. C'était une blague? La chance que j'avais. C'était pas tous les jours qu'on me proposait une chose pareille pour s'envoyer en l'air. Mais j'oubliais que Maximilian était pété de tune en fait. Je le regardais avec des yeux brillants. « je te mentirais si j'te dis que je n'ai pas envie. » lui glissai-je à l'oreille. Je capturais une dernière fois ses lèvres avant de rentrer dans la belle voiture. Maximilian était un homme de goût. On aurait dit un Chuck Bass numéro deux, mais en mieux. Sur la route, je sortis une cigarette et l'alluma dans la voiture, tout en abaissant le carreau. En fait, j'étais pas gênée, peut être que ça le dérangeait. Je le fixais en recrachant lentement la fumée. « ça te dérange? » lui demandai-je en grimaçant. De toute façon on venait d'arriver devant un bâtiment que devait être sans doute "l’hôtel du coin". Nous sortions de la voiture et je me collai à lui en montant les marches pour y accéder.

Une folle. Cette fille devait être folle pour oser me rendre fou comme ça. Et chaque fois que j'étais plus entreprenant, elle me suivait. Plus j'étais tactile, plus j’approfondissais les échanges physiques, plus j'étais fou de ses lèvres. Je ne me souvenais pas avoir fibré ainsi la première nuit, sinon il était sûr que je ne l'aurait jamais laissé partir comme ça du jour au lendemain. Après l'avoir plaqué contre ma voiture de luxe énorme, je lui demandais si elle voulait aller à l'hôtel. Parce que bon, les voitures c'était bien, mais quand on a une bombe pareille dans les bras, un lit c'est peu-être mieux.. Et à mon plus grand plaisir, elle avait accepté, un grand sourire aux lèvres. " Alors on y va" Alors sans attendre, je la laissais monter dans la voiture, montant à mon tour. Je vis qu'elle prit une cigarette, ce qui me fis froncer les sourcils. Elle me demanda si ça me gênait, et en effet ça me gênais. Alors tant pis si je passais pour un con, un coincé ou autre, mais pas de clope dans ma voiture, ni dans la bouche que j'allais embrasser longuement je l'espérais : " Ouais, balance ça. C'est crade, j'aime pas avoir le gout et l'odeur du tabac, quand je passe un moment intime et agréable avec un belle fille.. C'est comme si tu imagine un plat de pâtes avec comme odeur du camembert. Pas appétissant... Tu fumeras après. " Qu'est-ce qu'elle croyait? Je n'allais pas me gêner pour lui dire ce que je pensais. Si elle refusait de poser sa clope, je la touchais plus, cette odeur m’insupportais. Nous arrivâmes devant un hôtel 3 étoiles, assez joli qui avait l'air propre. Parfait. J'aurais aimé plus classe, mais les hôtel 5 étoiles seraient sûrement complet..

Je me sentais belle et puissante à côté de lui. Je sais pas, il avait un truc qui me plaisait. En plus d'avoir une belle gueule, il avait de l'argent aux as. J'étais pas obsédée par l'argent et encore moins radine, mais ça faisait un petit plus quand même. Dans la voiture, je m'étais permise d'aller une clope mais Maximilian n'était pas très d'accord, voir pas d'accord du tout. Je soupire en levant mes yeux au ciel. Il cassait tout là, pourquoi il fallait qu'il me fasse chier? Je fumerais après quoi? Après baiser hop? Je jetai ma clope par la fenêtre. « pardonnez-moi, monsieur j'ai des goûts de luxe. » dis-je d'un air ironique en faisant rapidement battre mes cils. Ouais je le provoquais et j'aimais ça. Une fois arrivé, Maximilian prit une chambre, il avait l'air de bien connaître l'endroit. Moi je n'y étais jamais allé. On prenait l'ascenseur et rien que là, je le chauffais un peu à l'embrasser dans le coup. C'est bon Emma, t'y es presque tiens le cou bordel. Nous arrivions dans notre chambre pour ce soir et Maximilian ferma la porte. Je me précipitai vers lui et le fit basculer dans le lit. Me retrouvant à califourchon sur lui, je m'amusais à remonter ma robe et à faire glisser les brettelles le long de mes épaules. « j'ai fumé dans ta voiture, tu vas me punir? » j'affichais un petit air innocent tout en glissant mes mains sous son t-shirt, là où je pouvais caresser sa peau chaude et attirante. Je me collais à lui pour l'embrasser à pleine bouche. Je sentais que cette nuit allait être mémorable, en tout cas j'allais tout faire pour qu'il s'en souvienne. C'était comme si j'avais été en manque de lui, mais sans m'en rendre compte.

Alors que je lui interdisait de fumer dans ma voiture, elle ralait un peu, mais me regarda sensuellement, battant des cils. Arrrh, mon dieu vite cet hôtel, je ne vais pas pouvoir tenir des jours comme ça, avec elle à mes côtés, offerte et mienne pour cette nuit. Je pris rapidement une chambre double, sans rien commander : pas de champagne, pas de fraises, au pire on s'occuperait de ça après si on avait faim, mais pour le moment autre chose était plus urgent. La clé à la main, nous pénétrâmes dans l’ascenseur, et je pus de nouveau m’agripper à son corps, ses lèvres plaquées contre les miennes. Elle me rendait fou, si l'ascenseur s'était coincé quelques minutes je lui aurait enlever sa robe et je lui aurais fait l'amour sauvagement à mon avis. Mais il ne se bloqua pas, et je pus ouvrir la porte de notre chambre. Je n'eus même pas le temps de dire un mot qu'elle se jeta sur moi, me basculant sur le lit. Je la laissais faire, caressant ses cuisses, la bouffant les des yeux. Elle s'amusait à se dévoiler, faisant glisser ses bretelles pour me montrer la peau de ses épaules. Puis avec un sourire taquin elle me demanda si je comptais la punir. Hum, proposition sympathique.. Surtout que juste après ça, j'eus droit à un baiser langoureux. Je cherchais sa langue, je mordillais ses lèvres, j'étais dingue de ces sensations. Mais je n'aimais pas être en dessous d'elle, et je voulais rapidement virer sa robe qui me gênait, alors je la fis basculer, pour inverser les positions, et je vins embrasser son cou à la peau fine, en profitant pour lui souffler au creux de l'oreille : " Oui, je vais te punir, tu va crier toute la nuit.. " Je glissais mes mains sur ses bras, pour enlever les deux bretelles, dévoilant son soutiens-gorge. Je savais qu'elle n'avait rien en bas, puisque sa culotte avait fini par terre près du bar, et je comptais bien en profiter.. " Mais dis moi, je suis encore bien couvert par rapport à toi, déjà fatiguée? "

La passage entre l’hôtel et la chambre m'a parut comme un passage éclair. Le deuxième petit avant-goût dans l'ascenseur c'était juste tout bon. J'avais jamais fais tiens ça, m'envoyer en l'air dans un ascenseur, dans le noir avec les caméras et tout. Ouais bon, là je m'emballais. Une fois dans la chambre, je le poussais dans le lit et j'avais décidé que c'était moi qui prenait les commandes. Je m'étais mise sur Maximilian et je m'amusais à jouer avec les bretelles de ma robe. Le regard que je lui avais lancé était pire qu'excitant, c'était comme s'il y avait des braises dans mes yeux. Je l'embrassais en attrapant sa langue à plusieurs reprises. La passion montait même si je savais très bien qu'elle était basse par rapport à ce qui allait arriver par la suite. Maximilian attrapa mes cuisses et me fit basculer sur le côté. C'était lui le chef maintenant. J'étais pas d'accord, pas du tout même. Il m'embrassait dans le cou et je ne pouvais m'empêcher de vibrer sous le contact de sa peau. Fallait pas s'en prendre à mon cou, j'étais trop sensible là. Heureusement, cela ne dura pas, il était déjà occupé à retirer mes bretelles pour voir mon soutient gorge. Il remarqua qu'il était toujours habillé par rapport à moi. Pourquoi c'était toujours moi qui était à poil la première? Enfin presque. « il suffisait de demander. » Je me redressai et l'obligeait à retirer son t-shirt que je jetai plus loin. « joli. » dis-je en caressant son torse musclé. Ouais, il était blindé musclé et ça je kiffais trop. J'ouvrai ensuite la ceinture de son jean et tira sur celle-ci pour le faire tomber sur moi. Je pouvais me montrer sauvage, et il le savait. Inutile d'essayer de basculer et de me remettre sur lui, il était trop fort et il allait me remettre en-dessous. J'imaginais déjà qu'on allait se disputer. Mais non, on voulait montrer tous les deux à l'autre qu'on gérait au lit. Simplement ça. Des images de notre première fois me revenaient de temps en temps, et bon dieu que c'était bon tout ça.

C'était une lutte qui s'engageait dans cette chambre d'hôtel. Elle voulait être dominante, je voulait être dominant, je voulait lui montrer qu'au lit, si j'avais les commandes ça pouvait rapidement devenir cosmique, mais elle aussi avait l'air de savoir ce qu'elle faisait. Je lui tirais un peu sur sa robe pour dévoiler son soutiens-gorge, avant de râler parce que moi j'étais encore tout habillé. Ni une ni deux, elle se redressa, et m'enleva mon T-shirt pour dévoiler mon torse musclé qui avait l'air d'être à son gout. Normal cela dit, vu qu'il plaisait à tout les membres de la gente féminine, l'été c'était l'hécatombe quand je passais en maillot de bain. Elle ajouta un petit "joli", un sourire aux lèvres, qui me vit frémir d'envie. Mais je n'eus pas le temps de réfléchir à comment lui retourner le compliment que déjà elle défaisait ma ceinture, pour me tirer vers elle brutalement. Dieu, cette fille allait me rendre fou, enfin quelqu'un qui maîtrise, qui prends les choses en main, qui.. qui est parfait au lit quoi. Merde, cette fille et moi on était fait pour s'unir au lit, c'était pas possible autrement. Une fois collé à elle de nouveau, je passais mes mains dans son dos, et détachais son soutiens-gorge avec un geste expert. L'habitude. Je le fis glisser sur ses bras, avant de l'envoyer valser au sol, observant la peau dévoilée, un sourire tout sauf innocent aux lèvres : " Joli. " Je lui rendait son compliment, mais ce n'était que la pure vérité.. Il n'y avait plus que sa robe qui me gênait, mais je ne l'enlevais pas tout de suite, revenant embrasser ses lèvres sauvagement, les mordillant, les léchant, les suçant, .. Tout doucement, mes lèvres glissèrent jusque son cou, sa gorge, ses épaules. Puis je trouvais l'un de ses seins, que je me mis à effleurer seulement, voilant voir ses réactions. Parce que l'art, c'était de s'adapter..

Maximilian était douté putain. C'était rare les mecs qui savaient me prendre en main, qui savaient me dominer. Je voulais pas faire de comparaisons avec tous mes plans culs car perso je trouve que ça ne se faisait pas, mais si je devais je placerai Maximilian très haut. Mon corps vibrait à ses baisers, à ses caresses si sensuelles. Il était torse nul maintenant et sans plus attendre je lui avais enlevé sa ceinture. J'étais pas fatiguée moi, et loin de l'être donc s'il le pensait j'allais lui prouver qu'il se trompait. Le jeune homme détacha mon soutient gorge et le jetai plus loin, là où son t-shirt était. Je soupirais alors qu'il embrassait ma gorge, mon cou, mes épaules, puis ma poitrine. Il allait gagner s'il continuait comme ça, et je voulais pas. Sinon j'allais lui montrer à quel point je pouvais être chiante quand j'étais mauvaise perdante. Sa langue jouait avec mon sein et je sentais ses mains glisser sur mon ventre. Puré que c'était bon, il savait trop s'y faire lui. J'allais foutre le feu aux draps si ça continuait. Il aimait ça, me chauffer, me faire plaisir, ça se voyait. Je levais doucement ma jambe contre sa cuisse mais le jeans me dérangeait. Je le poussais sur le côté pour me mettre sur lui et ouvrir la tirette de son pantalon pour le retirer. Et cette fois-ci, j'arrivais à rester sur lui. Mais pas pour longtemps je crois. Ma langue reprit goût à la sienne, à son cou, à ses pecs et à son ventre. J'avais trop hâte de lui tirer son boxer, mais avant, je voulais m'amuser un peu. Je touchais lentement le tissu qui cachait son membre excité tout en le regardant d'un regard méga pervers on va dire. Ma main caressait l'endroit où le boxer était le plus tendu. Maximilian n'était pas fatigué non plus. Je lui lançai un dernier regard puis descendit l'élastique du boxer jusqu'à ses genoux. Je dévorait son entre-jambe du regard. Il était loin de s'ennuyer lui.