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when my quest ends/@Cirilla Delacour
Après que j'ai courut et bousculer les personnes sur mon passage, j'ai saisi Ciri doucement dans mes bras. Ses bras qui autre fois la prenait pour un doux câlin. Ses mains qui autre fois lui caresser les cheveux doucement et lui prenait la main pour une balade dans les rues un après-midi ou une journée. Mais à cause de cet homme voilà que tout es brisé.
Un homme qui brise la vie d'une femme et je sais qu'il y a d'autres femmes brisé ainsi, mais là c'est une femme qui m'est importante à mes yeux!
Même si on s’attaquerait à ma soeur Mia je serais brisé et serait un homme en colère. Mais là Ciri est n'est pas ma soeur, je ne lui ai jamais avoué et je ne sais pas comment le temps sera.
Mais les temps passé avec elle, pour moi reste inchangé, car au fond elle est la même. Celle qui est accro à ouvrir les ordinateurs, celle qui est sur l'informatique comme moi, bien que je sois dans la criminalité.
Mes mains qui caresses les siennes aussi doucement que possible. Je l'entend qui énonce son surnom. Ce surnom rien qu'à nous deux, celui que j'avais l'habitude de lui dire à cause de ses cheveux et sa personnalité. Mais aussi une part de douceur pour elle, bien que je trouvais ce surnom mignon. Je lui disais "mon lionceau" accompagné d'un câlin quand je la voyais et on suspectait que j'avais des sentiments pour elle, mais timide comme je suis, j'ai refusé de voir cela.
Après m'être décalé, je vois les gens qui passe nous fixer, mais je les ignores.Trop concentré pour regarder la belle Ciri qui répète si je l'ai appelé "mon lionceau" je secoue positivement la tête. Puis elle me dit que je sens la vanille, je souris pour affirmé que c'est cela. Connaissant qu'elle aime les effluves de vanille dans un parfum et que ce dernier et celui qu'elle ma offert. Oui je n'en mets que rarement pour en garder au maximum. Je la regarde faire, humer comme un lionceau.
Mais elle vient me dire une phrase qui irrite mon intérieur et comprends sa réaction plus approfondit. Bien qu'elle me sert fortement la main, je ne ressent rien, ayant la main assez musclé, par la musculation. Je la regarde et viens faire une chose qui pourrait m'être peut-être fatale.
Je viens caresser ses lèvres et lui dit.
Mon lionceau, calme toi. Ne te fais pas mal.
Je viens lui prendre sa main et courre vers sa chambre. Ma boîte à outils dans ma poche depuis que j'ai quitté la mienne.
Poussant la porte de sa chambre, je lâche sa douce main, puis m’assoie devant ce qu'elle voulait ouvrir. Puis la regarde dans les yeux en souriant.
Je m'en occupe, repose toi.
Je viens à commencer à ouvrir ce que j'ai devant moi. Puis mets les vis de côté. Je regarde l'intérieur et cherche de quoi retirer la poussière qui s'est accumuler. Je trouve quelque chose et retire la poussière et quelques grain viennent me chatouiller les narines et je viens éternuer assez fortement. Je lève les mains pour dire que tout vas bien. Puis viens à me mettre à chanter ta chanson préférer. Ton unique chanson préférer et celle que je chantais, celle que tu m'avais fait découvrir. Tout en bougeant au rythme des paroles que j'ai en tête.
Un homme qui brise la vie d'une femme et je sais qu'il y a d'autres femmes brisé ainsi, mais là c'est une femme qui m'est importante à mes yeux!
Même si on s’attaquerait à ma soeur Mia je serais brisé et serait un homme en colère. Mais là Ciri est n'est pas ma soeur, je ne lui ai jamais avoué et je ne sais pas comment le temps sera.
Mais les temps passé avec elle, pour moi reste inchangé, car au fond elle est la même. Celle qui est accro à ouvrir les ordinateurs, celle qui est sur l'informatique comme moi, bien que je sois dans la criminalité.
Mes mains qui caresses les siennes aussi doucement que possible. Je l'entend qui énonce son surnom. Ce surnom rien qu'à nous deux, celui que j'avais l'habitude de lui dire à cause de ses cheveux et sa personnalité. Mais aussi une part de douceur pour elle, bien que je trouvais ce surnom mignon. Je lui disais "mon lionceau" accompagné d'un câlin quand je la voyais et on suspectait que j'avais des sentiments pour elle, mais timide comme je suis, j'ai refusé de voir cela.
Après m'être décalé, je vois les gens qui passe nous fixer, mais je les ignores.Trop concentré pour regarder la belle Ciri qui répète si je l'ai appelé "mon lionceau" je secoue positivement la tête. Puis elle me dit que je sens la vanille, je souris pour affirmé que c'est cela. Connaissant qu'elle aime les effluves de vanille dans un parfum et que ce dernier et celui qu'elle ma offert. Oui je n'en mets que rarement pour en garder au maximum. Je la regarde faire, humer comme un lionceau.
Mais elle vient me dire une phrase qui irrite mon intérieur et comprends sa réaction plus approfondit. Bien qu'elle me sert fortement la main, je ne ressent rien, ayant la main assez musclé, par la musculation. Je la regarde et viens faire une chose qui pourrait m'être peut-être fatale.
Je viens caresser ses lèvres et lui dit.
Mon lionceau, calme toi. Ne te fais pas mal.
Je viens lui prendre sa main et courre vers sa chambre. Ma boîte à outils dans ma poche depuis que j'ai quitté la mienne.
Poussant la porte de sa chambre, je lâche sa douce main, puis m’assoie devant ce qu'elle voulait ouvrir. Puis la regarde dans les yeux en souriant.
Je m'en occupe, repose toi.
Je viens à commencer à ouvrir ce que j'ai devant moi. Puis mets les vis de côté. Je regarde l'intérieur et cherche de quoi retirer la poussière qui s'est accumuler. Je trouve quelque chose et retire la poussière et quelques grain viennent me chatouiller les narines et je viens éternuer assez fortement. Je lève les mains pour dire que tout vas bien. Puis viens à me mettre à chanter ta chanson préférer. Ton unique chanson préférer et celle que je chantais, celle que tu m'avais fait découvrir. Tout en bougeant au rythme des paroles que j'ai en tête.
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