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when my quest ends|HANCIRI

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when my quest ends/@Cirilla Delacour

Cela fait maintenant un moment que je suis rentré de mon championnat, un championnat e-sport que j'ai remporté. Et comme d'habitude je suis resté neutre face à ses questions de la journaliste. Une journaliste un peu trop irritante que j'ai repousser, que mon chef à pris ma place et s'est excuser pour mon comportement. Mais une fois loin des caméras, de la journaliste se fut différent. Mais par chance un coéquipier à rappeler la raison et le chef s'est rapidement excuser.

Aujourd'hui est une journée banale, cours et entraînement dans ma chambre. Ce matin j'ai choisi de mettre en plus du collier que Ciri m'avais offert, ses chaussures issus d'un jeu vidéo que j'apprécie énormément. Et lorsque j'ai eu ce cadeau, l'équipe à été jalouse d'un cadeau aussi magnifique venant d'une fille surtout. Chaque de ses cadeaux je les gardes dans sa boîte et lorsqu'elle n'a plus rien envoyé l'inquiétude c'est lue sur mon visage.

Il s'avère même que j'étais présent au tribunal en tant que "spectateur", comme les autres. Car j'avais appris la raison et je voulais être là pour voir l'homme qui a brisé la vie de la pétillante Ciri. Mais après cela j'eus également mes problèmes. Et je me suis concentré dans mes études, l'e-sport. Mais j'ai toujours eu une pensé pour elle.
Je ne savais pas que je croisais Ciri dans les couloirs de Harvard ou dans la Kirkland House.

Il est vingt et une heure, j'ai commandé mon repas. Pendant ce temps je m'entraîne comme chaque jours. A chaque fois que j'ai peur de perdre, je viens toucher le collier et chaque début de manche je viens l'embrasser.
Mais ce soir c'est différent, après l'avoir toucher, je gagne et je suis heureux, je viens visionner mes erreurs et vois. Puis j'entends frappé a la porte.
Je me dit que c'est rapide puis je viens ouvrir la porte. Je reste sans voix observant attentivement le visage. Et me dit que je dois rêver, collier apparent avec les baskets au pied et le bracelet porte bonheur également fait de ses mains apparent.

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Faire ça pendant des heures, décortiquer chaque pièce du processeur que je tiens entre mes mains, fer à souder pas loin, une panoplie de tourne-vis à faire pâlir le premier bricolo du dimanche... en attendant, le petit vélo de mon cerveau arrête de tourner pour tenter de retrouver des bribes de souvenirs. La séance d'hypnose avec ma psy m'a mis sur les rotules... mais je suis incapable de trouver le sommeil. Cet enfoiré de Morphée me fuis, et moi, toute épuisée que je suis, n'aie aucune envie de lui courir après. A la place, je m'éclate à bidouiller et comprendre la complexité dudit processeur jusqu'à ce que mon plus petit tournevis ne rende l'âme entre mes mains. Putain de merde c'est pas le moment de me lâcher, enfoiré ! Délicatesse et langage châtié, toujours. Tandis que je passe une main dans ma chevelure blonde, je réfléchis à toute vitesse et, en désespoir de cause, me mets en quête d'un autre outil. Impossible d'aller plus loin, même avec un couteau à lame fine, qui risquerait en prime d'abîmer ce précieux processeur. En jurant de tous les noms d'oiseaux que mon vocabulaire connaît, je quitte temporairement mon antre pour me rendre chez le voisin, sans savoir qu'en théorie, je connais cette personne. C'est un jeune homme super beau qui m'ouvre, et j'ai l'impression que son regard sur moi me détaille... méfiance méfiance. Heu salut, t'aurais pas un tournevis ultra petit ? J'ai pété le mien et j'suis dans la merde que j'explique sans imaginer une seconde combien j'ai pu être fan de mon interlocuteur. Hélas, comme beaucoup de personnes que mon amnésie a effacé, celui-ci ne fait pas exception. Un couteau minuscule, sinon... Je fronce légèrement les sourcils face au regard qu'il me lance. Ça me fout mal à l'aise... sans que je ne sache pourquoi.
@Han Sol Maeng
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when my quest ends/@Cirilla Delacour

J'ai été mis au courant, je sais que s'est long de retrouver les images. Parfois on ne veux pas et parfois on veux. Je connais bien pour être passé par là. Et actuellement je revis doucement avec la thérapie naturelle. Je ne lui en veux pas, il lui faudra du temps.
Mais je ne peux remarquer son visage si épuiser alors que je n'ai pas encore mangé. J'aimerais l'aider. Je m'apprête à répondre quand le livreur arrive et annonce mon pseudo que j'utilise en game et mon nom. Je me décale et lui dit que c'est moi, puis remercie et regarde et vois qu'il y a trop.
Je regarde toujours Ciri et réalise que le temps passe rapidement.

Tu veux manger avec moi? Ils ont mis pour deux personnes. Et j'ai terminer mon entraînement. Donc si tu veux je peux t'aider. Mais entre une seconde, je vais chercher ma petite boîte.

Je la regarde, qui reste plantée devant ma porte, puis je viens lui prendre un de ses doigts pour ne pas la blessée. Prenant de la main où le bracelet se trouve. Je la fait entré dans ma chambre où son entreposer des trophées. Puis je vais fouiller dans mon bac et viens à sortir la petite boîte. Je me retourne et viens regarder Ciri.

Ciri...Comment tu te sens?

Je me relève et viens me cogner sans faire exprès à la porte du meuble en hauteur que j'avais oublier de fermé. Le choque fait tombé un album photo. Que je ne vois pas. Je viens frotter ma tête ayant un peu mal. Puis vient tapé dans l'album photo et le ramasse puis l'ouvre et ris amusé. Me souvenant de ce moment.

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Un peu incrédule, je suis plus spectatrice que réellement actrice des évènements qui se déroulent devant moi. Si un semblant de déjà-vu me donne envie de poser des questions, je préfère demeurer silencieuse pour le moment. Histoire de ne pas passer pour une gourde si tant est que je fasse fausse route... Ne... Mon corps se tend lorsqu'il prend l'un de mes doigts. Mes yeux d'un bleu profond se perdent dans les détails de la chambre que je ne retiens même pas, trop préoccupée par mon mal être physique. Chaque fois que l'on me touche, j'ai envie de fuir à la vitesse de la lumière. Pas toucher... que j'articule finalement, en évitant soigneusement son regard. Je planque mes mains dans mon dos, à deux doigts de prendre mes jambes à mon cou lorsqu'un détail retient mon attention : Ciri. Il m'a appelée par mon surnom... Comment tu sais... Mes prunelles sont remontées vers mon interlocuteur en un dixième de seconde. J'en oublie même le malaise ressentit lorsqu'il m'a touchée, et cligne plusieurs fois des yeux, très surprise. Tu me connais, pas vrai... Je sursaute et recule de trois pas lorsque l'album tombe. Je déteste le bruit, je déteste être surprise et ne pas avoir une issue de secours vers laquelle me réfugier. Pour être honnête, j'ai peur. Je suis même pétrifiée. Ma méfiance envers l'âme humaine me secoue de plus en plus souvent, sans que je ne puisse la contrôler. T'es pas obligé de m'aider ou de m'offrir à bouffer que je dégoise finalement en regardant cette photo, où nous sommes ensemble, et où j'ai un sourire rayonnant. J'en demeure interdite, car ce sourire rayonnant, lui, a disparu depuis longtemps, emporté par mon amnésie. Je... je sais pas... La réponse à sa question. Est-ce que je vais bien ? Non. Est-ce que j'irai un jour mieux ? Ce n'est pas dit. Mais en attendant, je reste soigneusement devant la porte, incapable de faire un pas en avant ou en arrière.
@Han Sol Maeng
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when my quest ends/@Cirilla Delacour

Je suis désolé, je pensais que en prenant un doigt tu n'aurais pas de problème. Promis je parlerais seulement pour te demander de venir. C'est que je ne pensais pas te voir ici après tout ses évènements.

Je viens à mettre mon paquet de nourriture sur la commode, ne voulant pas toucher mon lieu de gaming. Puis je vais sur mon lit et la regarde en souriant. Puis regarde de nouveau la photo en souriant, cette photo est l'une parmi tant d'autre. Et d'ailleurs c'est celui qui est privé. Je viens regarder Ciri doucement puis me décale en tapotant le matelas pour lui dire de venir s'asseoir.

Ton surnom je le connais, parce que chaque de tes cadeaux que tu m'envoyais tu les signais de ton surnom. Et le premier cadeau tu as mis ton prénom et tu as signé ton surnom.
Je me rappel de la première fois que tu m'as rencontré, tu t'es sentis minuscule, mais tu étais heureuse d'être avec moi. Et d'ailleurs...


Je viens à montré le collier en souriant puis te regarde de nouveau.

Tu as forcé la sécurité pour venir me voir dans les loges pour m'offrir le collier que tu avais fais. Et comme remerciement je t'ai proposé de regarder les manches dans les loges. Chaque jours de championnat ou autre, je ne le quitte jamais. Il est important et a beaucoup de valeur à mes yeux.

Je viens à tourner la page de l'album photo et ris amusé de voir cette photo et te la montre. Amusé toujours en riant.

Regarde c'est toi quand je t'ai mis de la glace sur le nez, ton regard étonné était tellement drôle. On avait fais un après-midi ensemble parce que tu t'ennuyais tellement. Alors j'ai dis la veille que j'arrivais et j'ai débarquer au matin.
Mais tu sais peu importe le temps qu'il faudra, il faudra du temps.

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J'écoute cet étudiant Kirkland m'énoncer des anecdotes comme si cette vie n'était pas la mienne. La preuve est là, devant mon nez, et pourtant je ne parviens pas à me dire que ces souvenirs m'appartiennent, ni mieux encore, que nous avons un passif ensemble. Bien qu'il m'ait invitée à entrer, ma méfiance me pousse à rester sur le pas de la porte, spectatrice, incapable de bouger le petit doigt. Cette sensation de déjà-vu ne me quitte pas, d'autant plus lorsqu'il m'explique que de nombreux cadeaux ont été offerts par mes bons soins... J'ai été une groupie chiante en fait ? J'ai bien compris qu'apparemment mon interlocuteur n'en n'avait pas pris ombrage, au contraire, et conservait chaque cadeau de ma part comme un porte-bonheur. Mais d'extérieur, cela fait vilaine fan à qui on ne dit pas non et qui est prête à tout pour obtenir un moment avec sa star... J'suis désolée. C'était bidon comme réaction que je reprends en passant une nouvelle fois ma main dans mes cheveux. Pour toi ça a l'air d'être de bons souvenirs en tout cas... Ou alors je suis totalement à côté de la plaque et tu dis tout ça pour me rassurer. Dans un cas comme dans l'autre, je reste sur le pas de la porte, gênée. Tu t'appelles comment ? Ma propre question m'énerve. Cette situation pourrie dans laquelle je me trouve m'énerve. Mes prunelles fixent donc mes pieds, tâchant de me rendre ce brin de contenance et d'assurance qui a l'air de s'être fait la malle depuis belle lurette...
@Han Sol Maeng
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Tw : Choc Post Trauma/Amnésie
when my quest ends/@Cirilla Delacour

Je viens à rire quand elle me pose la question, puis la regarde doucement, au fond je suis inquiet et l'envie de dire ma façon de penser à cet homme reste. Mais il a été jugé, mais cette envie de le jugé moi même me ronge assez souvent. Il lui a brisé la vie. Et s'il lui demanderait pardon je refuserai même qu'il lui adresse la parole, voir un regard. Je serais le premier à lui mettre une droite et autre pour lui faire sentir la douleur qu'elle a subit et qu'elle subit chaque jour.

Ce reconstruire est dès plus difficile, on passe par le passé pour suturé la plaie, cela peut prendre des mois, plusieurs années. Ce qui m'est arrivée, ça m'a pris plusieurs années, car c'est seulement maintenant que je remonte la pente. J'arrive à accepté le regard des autres. Je fais un exercice pour calmer la pression et j'oublie ce qui se passe.
Au final je viens à répondre.

Loin de-là Ciri, tu étais celle que je préférais.Car j'avais toujours le droit à un mot d'encouragement. Et tu es celle que je préfère. Je me suis inquiété quand tu n'as plus rien envoyé et j'ai chercher pourquoi.

Un regard nouveau après avoir posé mes yeux vers la fenêtre pour observer la pluie tombé. Puis je viens à poser l'album photo à côté de moi. Pour venir joué avec une bague anti-stress. Mais je m'en servait pour calmer le fait que j'étais assez irrité par le fait d'une chose. Puis viens répondre.

Ne soit pas désolé, pourquoi tu le serais? Est-ce que c'est ta faute? C'est normal, ça s'appelle un choc post traumatique. Le...non laisse je ne veux pas te faire mal. Te faire pleurer me ferait mal. Si tu veux l'album dans l'espoir de te souvenir, tu peux le prendre. Sinon je peux ouvrir l'ordinateur en te racontant des souvenir épique.
Et oui ce sont de bon souvenir, mais on peut s'en refaire de nouveaux.


Je viens me lever afin de saisir un bloc et un stylo. Puis je viens écrire mes infirmations pour l'aider. Et je viens à terminer par un dessin que j'avais l'habitude de lui faire sur le bras ou le poignet intérieur. Puis je viens à me rapprocher d'elle sans la toucher, puis je viens levé la main et fait semblant de lui caresser les cheveux, sachant qu'elle ne veux pas être toucher.
Puis je ramène ma main contre mon corps et lui répond.

Han Sol Maeng je suis le joueur e-sport que tu venais souvent voir. J'ai comme surnom LordRider

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Tu as été... inquiet ? Cette phrase me surprends tellement que j'en reste un bon moment bouche bée. Lorsque la mémoire fait défaut, on ne se sent pas plus neuf, ni meilleur... juste vide. Sans intérêt. Entendre donc de la bouche de ce jeune homme qu'il s'est inquiété, quelque part, cela me donne l'impression d'exister dans l'esprit de quelqu'un. Je suppose que t'as trouvé... pourquoi... Mon menton se baisse, et mes yeux se font fuyants à nouveau. Je ne sais pas ce que je suis censée ressentir à l'idée que quelqu'un sache pour mon viol. Tout ce corps me paraît bigrement encombrant d'un coup, je me sens sale. Sans même y réfléchir, ni m'en rendre compte, je murmure : je l'ai peut-être mérité... La raison, je ne la connais pas. Ou plutôt, je ne la connais plus. On me raconte depuis un bon moment ce qui s'est passé, l'horreur que cela a été, mais hormis l'impression de lire un scénario d'un très mauvais film d'horreur, cela ne me provoque rien de particulier. Ou plutôt si, encore plus de vide. Mes prunelles bleutées se repose finalement sur le visage de celui qui me paraît toujours aussi inconnu. J'ai un mouvement de recul incontrôlable lorsque je vois sa main se lever, et ma respiration devient saccadée. Je ne saisis pas le papier sur lequel il vient de dessiner quelque chose qui me donne une nouvelle impression de déjà-vu, et recule encore. Je... je peux pas... Fuir. Je n'ai que ça en tête, fuir, lorsque je m'enfonce dans le couloir tête la première. Peut-être que je bouscule une ou deux personnes au passage, je ne sais pas. Je suis paumée et effrayée tel un chaton abandonné et je déteste ça.
@Han Sol Maeng
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Tw : Choc Post Trauma/Amnésie
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Oui j'étais inquiet, plus de nouvelles de toi et quand j'ai appris avec les informations....Enfin oublie je ne veux pas te faire rappeler cela. Tu ne mérites pas.

Je viens la regardé puis ne bouge pas de ma place ne voulant pas la brusquer. Je sais que ce serait lui faire peur. Elle continue de rester accrocher au passé. Ce que je peux comprendre, je reste calme, mais intérieurement je bouillonne. J'ai vraiment ce sentiment que j'aurais dû être plus attentif lorsque j'étais à ses côté. Elle me dira que je n'y suis pour rien. Mais au fond et silencieusement je me dis que c'est de ma faute.

Oui j'ai trouvé...Les médias ne ce sont pas privé de parler. Et...J'étais présent au tribunal au fond. Je voulais m'assurer que tu sois en sécurité. Qu'il ne te fasse pas mal une fois de plus. Même si cela est trop tard...

Je viens à dire cela avec une sonorité qui sonne que je m'inflige une sentence. Que je dis que c'est de ma faute. Mais une phrase venant de ta bouche vient parcourir mes oreilles. Cette phrase qui fait secouer mon corps, mon cerveau, mon esprit. Je te regarde avec l'envie de te prendre dans mes bras et te dire que tout est fini que tu es en sécurité, mais à cause de cet homme et le choc post trauma tu ne peux avoir de contact physique.
Mon regard en répond à la place de ma voix, un regard qui dit que c'est faux et qui t'interdit cette phrase.

Alors que j'ai essayé de faire semblant de lui caresser les cheveux. Comme si s'était vrai. La peur viens à Ciri et je la regarde qui recule pour fuir. Je reste un moment sans bouger. Mais je choisi de sortir en courant, bousculant également les personnes. Puis je viens à la prendre dans mes bras venant caresser ses mains.
Mon parfum vient se mélanger à sa peau, un parfum avec une note de vanille. Je regarde devant moi et viens lui dire.

Mon lionceau, tu es en sécurité on est à Harvard. On est à la Kirkland House. Tout vas bien mon lionceau tu es en sécurité c'est terminé.

Je reste caressant doucement ses mains, puis doucement je me détache pour venir lui prendre sa main et la serrer doucement.

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Trop d'inconnues à l'équation achèvent de me donner envie de fuir. Le couloir, le premier escalier venu, n'importe quoi plutôt que de faire face à des souvenirs qui, à coup sûr achèveraient de détruire le peu de dignité encore présente dans mon être. Mon pas est rapide, presque trop. Je bouscule d'ailleurs plusieurs personnes au passage, mon angoisse augmentant crescendo à chaque bref contact physique que je ne peux éviter. Si l'envie de me recroqueviller, genoux contre ma poitrine, se fait de plus en plus pressante, des bras m'entourent subitement sans que je ne puisse ni prévoir la donne, ni l'éviter. Une seconde bloquée par l'incrédulité coulant désormais dans mes veines, ma respiration se fait d'autant plus rapide. Mon lionceau... que je répète avec la constance d'un perroquet. Des effluves délicates de vanille m'enveloppe, emporte mon esprit torturé vers des contrées plus clémentes, comme protégée par une sorte de sensation de sécurité que je n'ai pas ressentie depuis des mois. Personne ne m'appelle mon lionceau. Personne sauf la personne me serrant actuellement dans ses bras, et que je n'ai pas la force de repousser. Ma main droite effleure son omoplate, mes doigts refusant de rester cloîtrés derrière la bannière de protection en acier trempé que je place soigneusement entre moi et les autres. Tu m'as appelée mon lionceau... que je répète encore alors qu'il s'éloigne, probablement conscient que ma panique peut revenir au galop dans la seconde. Un risque à prendre, peut-être, tel celui de le regarder droit dans les yeux, sans les baisser cette fois. Je ravale mes larmes, trop consciente des éventuelles mauvaises langues gravitant autour de nous. Tu sens... tu sens la vanille... Je n'ôte pas ma main de la sienne, sans réellement comprendre pourquoi là, tout de suite, je n'ai pas envie de fuir à l'autre bout de la planète. Mieux encore, je penche légèrement mon visage pour humer ce parfum qui m'enveloppe, me transporte, et ce sans que moi, j'ose le toucher. Je ne serai jamais en sécurité. Il n'a pas été condamné que je réponds finalement en serrant les mâchoires à m'en faire mal. D'ailleurs, sans m'en rendre compte, je serre plus fortement la main de Han Sol de mes doigts tremblants, me mordillant la lèvre de nervosité. Jusqu'ici, j'avais gardé l'information jalousement gardée. Jusqu'à aujourd'hui.
@Han Sol Maeng
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