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I got you (Mia & Lexie 5)

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CW : Erotisme

La chute est renversante, vertigineuse et fabuleuse. Comment ne pas résister à cet appel de ce gouffre si séduisant ? D’ailleurs Lex’ s’est laissée tenter sans grande rébellion. La lutte n’a pas été bien longue et sa raison s’est vue muselée par le désir et l’envie. A moins qu’elle ait approuvé en secret ce geste que tout son corps réclamait depuis longtemps. Mais peu importe. La jeune femme se perd, là, sur ces lèvres qui l’ont tant narguée, il y a quelques instants. La défiant, lui repprochant son manque d’audace. Là voilà l’intrépide imperitnente qui vient prendre ce fruit offert sur cette bouche. Les derniers remparts de doutes sont tombées. Après tout pourquoi pas ? On lui donne l’accès, on l’invite même ! Qui est-elle pour refuser une telle demande ? Il n’y a plus d’étiquette, plus de hierarchie, elles ne sont que Mia et Lexie.

Sa peau brûle brusquement, de cette sensation si douloureusement exquise qu’elle pense qu’elle ne quittera jamais la mémoire de ses sens, alors que les doigts de sa divine amante viennent effleurer la peau de son dos, et se loger contre sa nuque. Lexie se consume d’un frisson délectable, qui la renverserait presque, si elle n’était pas elle-même soutenue par un de ses bras, tandis que son autre main s’accroche toujours à la nuque de la sublime tentatrice qu’elle enlace, comme si elle avait peur que cette dernière lui échappe, qu’elle ne soit qu’un fantôme de ses songes éphémères, qui s’évanouiera, la laissera là, tremblante de frustration, au réveil.

Mais non. Ce n’est pas un rêve. C’est encore mieux. Mia répond à ce baiser, sensuellement, entraînant Lexie un peu plus profondément dans l’abîme. Cependant, les remords, la culpabilité ne sont pas encore de la partie. Ils attendent, tapis dans l’ombre de la faille, qu’elles aient terminé cette chute si délicieuse. Lexie les ignore, les oublie, ils n’existent pas. Et elle sombre, un peu plus, dans le désir de cette étreinte, lorsqu’elle sent les jambes de son amante s’enrouler autour de son bassin, pour l’attirer davantage contre son corps. Le contact est grisant, et l’enivre bien plus que l’alcool qui coule actuellement dans ses veines. Et Lexie ne peut retenir un soupir de plaisir de venir s’échouer contre les lèvres de sa belle. Là voilà complétement prise dans ce chaos. Et c’est un simple baiser, qui la met dans cet état ! Elle réalise, qu’elle va totalement s’égarer si elle plonge davantage mais… c’est ce qu’elle veut.
Mia murmure d’ailleurs contre ses lèvres.

- Qu'est-ce qu'on est en train de faire...?

Si la raison de Lex avait survécu au chaos de cette étreinte, ces mots seraient venus l’extirper de là, pour la secouer et lui faire arrêter cette douce frénésie tant qu’il est encore temps. Mais celle-ci est morte, ou du moins bien trop silencieuse, pour qu’elle puisse lui accorder la moindre attention. Alors la jeune femme habille ses lèvres d’un sourire narquois et, toujours contre les lèvres de son amante, ironise un :  

« ça me paraît plutôt évident. Tu veux un schéma explicatif ? »

Même dans ces instants, Lexie reste… Lexie. Elle n’a jamais eu besoin d’être quelqu’un d’autre et encore moins avec Mia. La seule chose qu’elle a dissimulée ce sont les sentiments qui la dévorent et qui sont en train d’hurler leur exaltation dans ses oreilles. Mais là est la pureté de ce lien qui les unit, il est vrai, sans artifice. Elle n’a pas peur d’être elle-même, elle l’a révélé un peu plus tôt.
Elle sent son amante rire doucement, mais… détourner ensuite le visage. Lexie se fige dans ses gestes, surtout par peur d’en faire un qui mettrait mal à l’aise Mia, qui lui répond.

- Lexie... tu sais très bien ce que je veux dire.

Oui elle sait. Ils sont là, lui sourient presque, les remords et la culpabilité, ils commencent à vouloir la tirer d’un côté, tandis que l’envie, le désir, l’ardeur qui la consument la retiennent de l’autre.

« Tu veux que j’arrête ? » souffle-t-elle avec une tendresse non dissimulée. Elle comprendrait, ô oui elle comprendrait… après tout, ce serait plus raisonnable ; et tellement plus douloureux. Mais heureusement la raison de Lexie se tait encore. La seule voix que la jeune femme écoute est celle de Mia, le visage détourné, qui hésite :

-  Je... J'en sais rien, il y a un silence puis elle accroche de nouveau ses prunelles aux siennes, Non ?

Lexie vient remettre une mèche de cheveux derrière l’oreille de Mia en une caresse tendre.

«N’aies pas peur...  Il n’y a que nous… » murmure-t-elle doucement, toujours si proche de ces lèvres divines, sans les effleurer. « Je ne ferai jamais rien que tu ne veuilles pas ou dont tu ne sois pas certaine. Mais il faut que tu me dises ce que tu veux ? Si tu veux que je parte, je partirai, si tu veux que je reste là sans rien faire, je resterai, si tu veux que je continue… Que veux-tu vraiment Mia ? »

La demande est douce et sincère. Lexie s’attend à n’importe quelle réponse, mais elle sait qu’elle ne sera pas prête à celle qui la briserait en mille morceaux, comme lors du point d’impact d’une chute mortelle. La jeune femme calée sous elle déglutit et Lex' sent son souffle contre sa bouche s’accélérer.

- Je ne veux pas que tu t’arrêtes.

Cette fois c’est elle qui a l’impression que sa respiration a une seconde d’avance sur les battements de son coeur, alors qu’ils viennent de lancer un roulement beaucoup trop rapide pour qu’elle puisse rester stoïque. Elle sourit et vient de nouveau capturer les lèvres de Mia, en un serment, une promesse qu’elle ne ne le regrettera pas. Mais ses lèvres ne restent pas longtemps ici, elles ont envie d’explorer, de goûter, d’écouter, de voir, de sentir, de ressentir chaque respiration, chaque parcelle de peau, chaque son, elles descendent ainsi le long de la mâchoire de son amante et viennent se loger dans son cou, tandis que sa main droite vient  épouser le creux des reins de la sirène entre ses doigts. La chute a repris sa course et elle est fiévreuse. Toujours nichée dans le creux de cette gorge, Lex’ soupire de plaisir :

« Je vais préciser ma question. » Elle mordille presque la peau.« Parce que si je ne m’arrête pas..." Ses lèvres s’étirent en un sourire espiègle :   "comme tu me le demandes si expressément. Je vais avoir besoin de savoir. » elle descend un peu sur son épaule, vient pousser le tissu qui la recouvre pour la parsemer de baisers brûlants. : « Qu’est-ce que tu aimes ? Qu’est ce qui te fait vibrer...» Sa main passe sous son haut pour venir caresser ses hanches. « Ou je peux aussi le découvrir par moi-même, mais je veux quand-même m’assurer de bien satisfaire ta requête jusqu’au bout.»



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cw : érotisme, sexe (mentions)

Tu n'as plus envie de réfléchir. Plus envie de t'interroger. Du moins, pas maintenant, alors que Lexie te pose une question... des plus importantes. Pourtant, tu ne sais même pas quoi lui répondre. Tel un poisson hors de l'eau, tu suffoques à l'idée de faire quelque chose de totalement nouveau. Ces pensées que tu as toujours essayé de chasser, ou de faire passer pour de simples fantasmes... les voilà qui reviennent toquer à ta porte, comme pour te dire "hey, on est toujours là. On a toujours été là." Oui, tu as parfois fantasmé sur des actrices, des chanteuses, des personnages fictifs, même. Tu t'es toujours dit que ça ne voulait rien dire, que tu cherchais juste une échappatoire à ton quotidien plan-plan et ton mariage statique. Et si...? Et s'il y avait quelque chose de plus profond à ces désirs ? N'est-ce pas l'occasion de le découvrir ? Est-il trop tard pour faire marche arrière ? Ou n'en as-tu simplement pas envie ?

Un de tes soupirs fait écho au sien alors que ses mots imprègnent ton esprit. Ce que tu aimes..? Tu humectes tes lèvres pendant que les rouages tournent à plein régime dans ta caboche. Pourquoi aucune réponse ne te vient ? Tu ignores si la pudeur t'empêche te parler ou si tu ne sais simplement pas quoi lui dire, mais la boule logée dans ta gorge ne te permet que de murmurer faiblement :

J'en sais trop rien... je n'ai jamais... jamais rien fait avec une femme.

Et voilà. Au moins, le secret n'en est plus un. Ça n'a pas vraiment de rapport avec sa question, mais tu as l'impression que c'est un détail plutôt important à mentionner. Qu'elle ne s'attende pas à avoir en face d'elle une sorte d'experte en la matière, hem... Lexie continue de parsemer des baisers sur ta peau, si bien qu'il t'est assez difficile de te concentrer sur ses mots.

─ Si je te dis que c’est mieux qu’avec un homme, je vais avoir peur de te décevoir si jamais je ne réponds pas à tes attentes. (Elle exhale un léger rire avant de reprendre plus sérieusement.) Mais pour être honnête, le genre n’a pas vraiment d’importance, ça reste… un moment où l’on se laisse porter. Mais si ça te rend nerveuse... (Elle se redresse pour te fixer.) ... sache que de un : dans n’importe quel cas je suis à l’écoute de toi et de ton corps, de deux : je me sens honorée d’être la première.

La première... ce titre semble évoquer chez elle une sorte de fierté. Et tu frémis une nouvelle fois - cette fois-ci de manière plutôt désagréable - à l'idée que tout ne soit qu'un gros piège visant à se payer ta tête. Tu vois déjà Lexie taper dans la main de ses potes, victorieuse d'avoir gagné son pari.

Non. Elle ne ferait pas ça.

Qu'est-ce que tu en sais ? Tu ne la connais pas, après tout. Tu ne sais pas de quoi elle est capable. Pourtant, la peur n'est pas aussi fulgurante que cette autre force qui semble s'animer en toi. Le désir. Tu passes tes mains dans ses cheveux pour les retenir en arrière alors que tu captures de nouveau ses lèvres.

Montre-moi.

─ Qui suis-je pour refuser une telle demande ?! s'amuse-t-elle sans se départir de son sourire espiègle.

Sa main se balade le long de ton haut, et tu retiens un nouveau soupir en sentant ses phalanges effleurer la peau de ton ventre.

─ Surtout s’il y a le moindre geste qui ne te plaît pas, arrête-moi… Je peux enlever ce truc encombrant ? Ça me dérange dans ma découverte de toi.

Tu acquiesces et te redresses légèrement afin de lui faciliter la tâche. Puis, soutien-gorge noir exposé, tu te laisses retomber contre le canapé. Tes mains retrouvent bien vite ses cheveux, sa nuque, son dos... ta fébrilité s'oppose à son calme, mais tu as l'impression d'être branchée à une prise électrique. Le courant te rend dingue, brouille tes connexions et imposent le contact entre tes mains et son corps.

C'est complètement dingue. Tout ça est complètement dingue. Je suis sur mon canapé, à la maison, et une de mes étudiantes est en train de...

Shhh... profite, Mia. Fais donc taire ces voix agaçantes. Vis dangereusement. Une fois n'est pas coutume... pas vrai ?

(c) mars.
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CW : Erotisme - Sexe

Son cœur rugit dans sa poitrine à en faire sauter ses côtes, elle ressent sa pulsation qui martèle dans son crâne, tandis qu’elle contemple Mia, à demi nue ou presque, devant elle. Pendant quelques secondes, elle ne bouge pas, égarée dans cette vision, qu’elle dévore du regard, qui la laisse là, saisie, interdite mais aussi pleine de cette sensation d’attente frénétique. Puis, sur sa peau, le frisson brûlant du désir court à une vitesse folle talonnant les doigts de sa belle qui parcourent alors ses cheveux, son dos puis sa nuque. Le pressentiment qu’elle ne devrait pas faire ça oublié ! A-t-il seulement existé ? Peu importe, on s’en fout ! Là, plus rien n’a d’importance, il n’y que ce contact sur sa peau, cette vision divine, le souffle court qui sonne comme un compliment à ses oreilles, et le goût de l’épiderme exquis qui commence d’ailleurs à lui manquer. Lexie sent, à son tour sa respiration devenir laborieuse. Le contact des doigts de Mia sur son corps en ébullition est ardent, la rend dingue, vient balayer la quiétude de ses gestes, comme une tempête de flammes. Ça y est, elle sait maintenant, elle ne pourra plus vivre sans. Et d’ailleurs, comment faisait-elle jusqu’ici ? La vie n’avait aucun sens alors…

« Tu es magnifique. » parvient-elle à souffler pourtant, sans réfléchir. Le mot est pauvre, parce qu’il n’y en a  pas un assez grand pour contenir tout ce qu’elle ressent tout de suite. Mais pas grave. Il est sincère. Sa belle glousse et essaie sans doute par embarras de cacher ses formes. Lexie intercepte son mouvement d’un geste en lui prenant doucement les mains, son pouce caressant l’intérieur de ses paumes: « Non attends ! Je suis sérieuse, vraiment ! je sais que ce que je vais dire va paraître complètement ringard, et tu aurais le droit de te foutre de ma gueule, mais j'm’en fous : je pourrais rester là juste à te regarder que ça me comblerait tout autant que de te faire l’amour. »  

Mia détourne le regard, mais inutile de lire dans ses yeux pour voir que cette fois-ci elle est gênée. Elle souffle un : « Oh Lexie... » et cette dernière saisit qu’elle a peut-être dit quelque chose de déplacé, alors elle s’empresse de lever les mains en signe de reddition : « Pardon ! Pardon ! Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise, vraiment. C’était... » elle a un pauvre sourire  « L’inverse même. » Elle reprend les mains de Mia : « Ecoute on n’a qu’à dire que t’as le droit de me dire de la fermer hein ! » La jeune femme dépose un baiser chaste sur le nez de son amante, ajoute en plaisantant : « pas sûre que j’obéisse par contre. » et enfin avec un petit sourire malicieux : « Ou tu peux toujours me faire taire autrement. » Lex’ a à peine le temps de terminer sa phrase que Mia tire sur son col pour la rapprocher et la regarde droit dans les yeux.

— Tais-toi. Et embrasse-moi.

Woah, ok, c'était diablement sexy, ça. Lexie ne se fait pas prier, elle a compris le message. Elle saisit le visage de sa belle entre ses mains pour l’embrasser avec une passion dévorante et ce baiser, plus fiévreux que les précédents, fait gronder l’orage en elle. Il désire plus, il réclame tout ! Il la pousse, la fait quitter les lèvres de Mia pour la plonger sur le haut de cette poitrine encore dissimulée, qui l’appelle. Ses lèvres retrouvent avec bonheur la saveur de cette peau, qu’elle a déjà découverte plus tôt, dont elle  est déjà complètement dépendante. Ce qui devrait tirer une sonnette d’alarme dans son esprit. Mais les bateaux dans la tempête n’entendent pas les cris du port et en matelote suicidaire elle s’y enfonce avec une soif infinie de frissons et de dangers.




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Quand est-ce que les choses ont tourné au vinaigre ? Pourquoi maintenant ? Dévêtue, dessoûlée par cette redescente sur Terre, tu te sens vulnérable. Lexie est toujours sur toi, semblant perplexe bien que bizarrement compréhensive quant à ce changement brutal de situation. Sa compassion ajoute une couche supplémentaire à la honte qui te ravage. Tu frottes ton visage d'une main absente, optant pour la facilité :

Rien, je... j'suis fatiguée. Et... on a beaucoup bu.

─ Parle pour toi ! Je suis presque sobre, rétorque Lexie dans une tentative d'humour. Tu…tu préfères que je parte… ? (Son regard s'égare, évitant le tien.) Tu regrettes… ?

Cherchant ton haut en tâtonnant sur le canapé, tu te redresses pour t'asseoir à ton tour. C'est le vide total dans ta caboche. Tu ne ressens plus rien, comme détachée de ton propre corps. D'une voix robotique, tu déclares :

Tu peux dormir à l'étage, dans la chambre d'ami, ou... Je peux t'appeler un taxi. (Une pause.) Je suis désolée... j'ai pas les idées claires.

Le silence est lourd, pesant. Lexie paraît se raidir, elle aussi. L'expression empathique glisse de son visage, remplacée par un masque impassible. Tu sens son regard posé sur toi mais tu n'arrives pas à l'affronter.

— Tu ne réponds pas vraiment à ma question, finit-elle par souffler avant de se lever. Mais… je comprends… je… je pense que je vais rentrer…

Délesté de son poids, le canapé se remplume lentement. Tu enfiles ton haut, puis ta jupe, dont la matière brillante similaire au latex ôte toute grâce à ton mouvement alors que tu le fais glisser tant bien que mal le long de tes cuisses.

— Je veux pas te mettre davantage mal à l’aise, hein.

Son ton glacial te laisse de marbre. Qu'est-ce qui ne va pas chez moi...? Tes jambes te paraissent trop faibles pour te lever à ton tour. De toute façon, elle ne t'en laisse pas le temps. Sans doute déçue par ton silence, Lexie finit par se diriger vers la sortie. Le bruit de la porte se refermant derrière elle te sort de ta transe, et tu sautes sur tes pieds pour la rattraper. Or tes pieds refusent de te porter jusqu'à l'entrée. Tu t'arrêtes derrière le battant, la main agrippant la poignée. Trop tard.

Et pourtant, tu es consciente, malgré ta torpeur, que les emmerdes ne font que commencer.

(c) mars.
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